Théo-rème de l’inceste Chapitre 1 : la découverte

 

Je me nomme Théo, un grand malheur est arrivé dans ma vie lorsque mes parents ont divorcé. Ma mère est chiante, un peu pétasse, il faut bien le dire, elle fait très prout-prout parce qu’elle est secrétaire dans une très grosse boîte et qu’elle a la sécurité de l’emploi.

Mon père, un type gentil, pas con du tout, mais à l’ouest total ! S’il a dix balles dans la main, il en dépense vingt. Tous les mois à courir après l’argent qui manque alors que tous deux gagnent bien leur vie.

Ma mère s’est mariée sur le tard, je n’ai jamais compris ce qu’ils faisaient ensemble ces deux-là. Mais aussi loin que je me souvienne, je ne voulais pas qu’ils se séparent et puis, un jour, crac, ça arriva.

Certes, la séparation m’apporta une sorte de confort, ma mère me laissant faire à peu près tout ce que je voulais et, surtout, trop facile à rouler dans la farine, jamais son petit Théo (c’est moi) ne ferait de grosses bêtises, tout juste quelques espiègleries ? Tu penses, maman chérie !

Je l’avais déjà mise au pas sur tout ce qui était ma vie, à savoir mes fringues, mes sorties, mes devoirs et mes potes ! Bref, à onze ans, en entrant au collège, j’étais déjà le maître chez moi, disons dans mon petit appartement que j’occupai au premier étage de la grande maison que nous louait son entreprise.

Bien que ma mère fut encore pas mal foutue, j’avais un peu honte des soirées qu’elle passait avec certaines de ses copines "olé-olé" et je les voyais bien, des samedis soir, sortir pour aller boire un pot en ville ou aller en boite, déjà chaudes comme la braise, les mémés !

Une fois, elle ramena une espèce de mec, qui ne ressemblait à rien, au petit matin. Et moi, je ne dormais pas et j’avais surpris leurs ébats dans la chambre de ma mère qui ne fermait pas sa porte. Sans avoir vu beaucoup de détails, je l’avais tout de même vu à quatre pattes, la tête dans l’oreiller et le mec lui limait le cul en lui beuglant :

- T’aime ça, te faire enculer, hein grosse pétasse blonde ! Allez, dis-le… T’aime, ça te faire ouvrir le fion, hein vieille chienne ! Tu dois te faire enculer souvent, salope !

Moi, je restais interdit, d’un côté dégoûté que ma mère soit cette chienne lubrique, mais aussi et très paradoxalement, très excité de voir ma mère se faire défoncer le cul, un peu comme dans les films de boules que je matais avec des potes plus âgés que moi, avec lesquels je traînais.

Ma mère grognait et j’avais du mal à comprendre si elle souffrait ou si elle aimait ça. Le type, lui, lui foutait des tapes sur le cul, de temps à autre et lui donnait des ordres :

- Branle-toi le clito, pendant que je t’encule. Vas-y, tripote-toi la chatte. Mais, tu pisses pendant que je te pousse la crotte ! Quelle dégueulasse alors !

Je voulus repartir et laisser ces deux porcs en rut faire leurs saloperies sans moi, mais je n’y arrivais pas, comme ensorcelé par les mots du mec, par la lubricité de ma mère. Et puis, à les écouter et les observer, j’allais certainement apprendre des secrets d’adultes qui, pour le moment, m’étaient totalement étrangers.

- Ha ! T’es bonne du cul, vieille morue… Dommage que tu sois bourrée et que tu pues de la gueule comme un gendarme des pieds ! J’vais t’remplir le pot, pétasse.

Et là, je vis le mec s’arque-bouter, cramponner de toutes ses forces les hanches de ma mère et râler pendant de longues secondes, alors même que ma vieille râlait à l’unisson. Puis l’homme s’abattit de tout son poids sur ma vieille, sa bite toujours enfichée dans le cul de maman. Et cette dernière grognait une sorte de :

- Casse-toi connard, barre-toi, tu as eu ce que tu voulais, dégage.

Sa langue semblait coller au palais, je reconnaissais cette voix de fin de soirée, bien trop arrosée, quand ma reume était bourrée et qu’elle devenait très agressive.

- T’inquiète, vieille chouette, mais avant de partir, tu vas me nettoyer la bite, allez, plus vite que ça… Suce.

L’homme s’était mis à quatre pattes et était venu présenter sa queue encore droite devant le visage de ma mère, puis, lui tenant le menton, une fois qu’elle eût fini de parler, lui enfourna sa queue.

- Allez, bouffe, morue, mets-la propre, je ne veux pas une seule trace de ta merde sur ma belle bite. Ma femme n’a pas à bouffer ta merde, connasse !

De là où j’étais, je faisais face à l’homme, mais ce dernier, dans la pénombre, sûrement passablement alcoolisé, ne me voyait pas. Seule la petite lampe de chevet, à droite du lit, donnait une lumière qui coulait sur le lieu du vice, sur cette scène obscène, sur ce lit de dépravation.

Ma vioque suçait la bite que le mec venait de lui mettre dans le cul ! Pouah ! Quelle horreur ! Quelle abomination ! Mais comment cette femme qui m’avait mis au monde pouvait se laisser aller à une telle bassesse ?

- Bon allez, mémé, faut que je rentre chez moi avant que ma femme ne rentre du boulot. Je prends ta caisse, tu la retrouveras devant l’église du Sanitas.

Non, connard. Pas touche à ma voiture !

"Connard", ça, c’était le mot de ma mère. Elle traitait souvent mon père de connard et là, en plus, elle était visiblement bien bourrée et ne pouvait plus articuler grand-chose ! Je me poussai dans la petite chambre, presque en face de celle de ma génitrice, me planquai derrière la porte, mais entre la porte et le mur, je pouvais encore apercevoir les deux affreux.



L’homme se rhabillait prestement, ma mère essaya de se mettre debout, mais avec la secouée qu’elle venait de prendre et l’alcool aidant, elle glissa et se retrouva par terre à côté du lit :

- Aide-moi connard.

Quand tu seras polie, vieille connasse blonde ! Quand tu seras polie… Allez, bye ma salope !

Touche-pas à ma bagnole, connard.

Tu as fait des pieds et des mains pour que je vienne chez toi, et tu m’as promis de me ramener, tu n’es pas en état, tu retrouveras ta caisse devant l’église du Sanitas, je te l’ai dit, je n’ai qu’une parole... Les clefs seront sur la roue avant droite.

Sale connard !

Bye mémé, merci pour la bonne sodo. Quand tu veux, je te déchire à nouveau le fion, vieille peau.

Moi, je m’étais glissé dans la chambre en face, une petite chambre d’enfants, que j’avais occupé jusqu’à mes six ou sept ans, bien planqué derrière la porte ouverte et regardant par l’espace entre la porte et le chambranle.

Et l’homme sortit de la chambre. Il passa devant la salle à manger et dû voir les clefs de la petite voiture de maman, les prit, quitta la maison.

Ma mère grommelait dans son coin, sûrement vautrée par terre, de l’autre côté du lit, donc je sortis de la petite chambre et me dirigeais vers ma chambre à laquelle j’accédais, par un escalier au fond de la cuisine, de l’autre côté de la maison.

Je passai le reste de la matinée à jouer avec ma console, mais les images de ma mère se faisant enculer sauvagement, en redemandant même, ma mère se branlant le clitoris sous les ordres de ce gros con ! Ma mère en train de sucer une bite qui ne pouvait, du moins, le pensais-je alors, qu’être pleine de merde ! Cette même mère qui me faisait des bisous ! Quelle dégueulasse ! Une vraie putain. J’avais honte de cette mère indigne, elle me donnait la gerbe.

Et puis, si le mec se vantait ? S’il en parlait ? Si des gens voyaient la scène une autre fois ? Si mes potes apprenaient que ma mère était une vieille putain lubrique, une vraie bouffe-merde ! Que deviendrai-je alors ? La risée de tout le bahut. Je haïs alors cette vioque dégueulasse et égoïste qui ne pensant même pas aux conséquences pour son enfant !

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