Mamie se prostitue : les débuts (2024)
Marcelle a été une connasse toute sa vie. pour une fois, appelons les choses par leur nom. Elle avait été mariée, mais elle avait aussi beaucoup trompé son mari. Avec toutefois une once intelligence, qui consistait à ne pas se faire prendre, dans ses turpitudes.
Elle n'a jamais été non plus très courageuse et ne savait pas garder un boulot, encore moins gérer une carrière. Elle a donc fait un tas de petits jobs, de serveuse en passant par manœuvre et autres femmes de ménage.
Arrivé à la retraite, le pauvre mari passant bien plus de temps à la maison, forcément, finit par s’apercevoir que sa femme est une vieille salope en chaleur, qui le trompe allègrement. Il se fâche et finalement le couple divorce, laissant Marcelle avec une toute petite retraite, mais toujours autant d'envie de tas de choses inutiles.
Grâce à une assistante sociale, la vieille femme réussit à trouver un logement dans un petit village. C'est une petite maison, cuisine, salon-salle à manger au rez-de-chaussée, et à l'étage deux chambres et salle de bain-toilette. Mais très vite, elle se rend compte qu’elle ne va pas pouvoir vivre avec si peu de revenus. Finalement, elle en vient à passer une annonce sur un site de rencontre, et elle passe son temps sur un site de dialogues, avec le doux pseudonyme évocateur de Marcellevénale.
Elle ne tarde pas à recevoir ses premiers clients. Marcelle ayant toujours peur du manque d’argent, et étant, par nature, très avare, fait une projection sur ses clients, et n’ose pas leur demander le prix de ses prestations.
Elle annonce pourtant les prix les plus bas de ce marché du sexe, pipe, baise et sodo pour cinquante euros. Elle se retrouve à être moitié prix par rapport à ses collègues, et malgré cela, elle a peu de client.
Son premier client, un jeune homme en tenue travail, arrive.
Elle ouvre la porte, nue avec son peignoir bleu pisseux sur les épaules, laissant voir sa grosse panse dont le bas du ventre est zébré de cicatrices. Ses jambes percluses de varices bien apparentes, qu’elle ne cache même pas avec une paire de bas. Faut dire, les bas, ça coûtent ! Et son visage ingrat, qui fait qu’un de ses amants lui mettait, jadis déjà, l’oreiller sur la gueule, pour ne pas se faire peur, disait-il aimablement ! Et pas un sourire, juste la tête d’un clébard insomniaque.
L’homme est assez surpris, il ne devait pas s’attendre à voir chef-d’œuvre en péril, mais bon, il est là, si la vioque est douée, ça devrait pouvoir le faire.
- Bonjour, marcellevénale ?
- Oui, c'est bien moi. Et avant que le jeune n’ait pu dire quoi que ce soit, elle lui ordonne de sa voix de crécelle. :
- Les chaussures ! j’ai fait le ménage ce matin.
Le jeune homme se déchausse alors et laisse ses chaussures à l’entrée, sur une serviette jetée là. Puis, il suit la mémé dans l’escalier carré qui monte à l’étage. Il en profite pour demander :
- Je sors du boulot et j’ai besoin de me laver les mains, où se trouve la salle de bain.
De là où il se trouve, il ne peut voir la sale tête que fait la vieille, mais, contrainte et forcée, en arrivant en haut de l’escalier, elle indique, de mauvaise grâce, la porte du fond à droite, c'est la salle de bain.
- Et surtout, tu ne me salopes pas tout ! j’ai fait le ménage ce matin !
Quand le jeune ressort de la salle de bain, en prenant bien soin de refermer correctement la porte, il revient vers la vieille femme pour lui donner les cinquante euros, pour lesquels ils se sont mis d’accord.
La vieille ne répond rien, prend les billets et les met dans la poche de son peignoir, tout en regardant ses pieds.
Sentant que cette vieille femme n'est pas plus franche que ça, le jeune qui la suit dans la chambre, se laisse aller et lui dit, une voix rauque qui trahit son excitation :
- Je vais te la mettre dans le cul, tu vas voir ce que tu vas voir, mémère.
La vieille laisse tomber son peignoir sur le sol de sa chambre.
Pour une maniaque de la propreté ! Ça se pose là, se dit le jeune client.
Ensuite, elle se met à quatre pattes, en travers de son lit. Elle ne propose pas de faire une pipe, puisque le jeune lui a dit qu'il allait l'enculer directement. C'est toujours ça de moins à faire, pense-t-elle, oubliant un peu que les clients, s’ils sont sensibles aux prix, reviennent en général pour les prestations.
Le grand gamin commence par lui tripoter la chatte avec ses quatre doigts. Il sent tout de suite que le sexe est gluant, et prend ça comme de l’excitation de la mémé, à se prendre de la jeune bite dans le corps. En même temps, il lui tâte l'anus avec le pouce, vérifiant ainsi que le passage ne se fera pas en force.
L’anus de la vieille est tout souple, certes ,elle a passé sa vie à se faire enculer copieusement, mais ce matin, ce serait plus le résultat de ses coliques.
De sa main libre, il se branle un peu, histoire d'avoir une belle érection. Il est tout content, cette vieille pute ne lui demande pas de mettre une capote. Et il se rassure en se disant qu’à cet âge, la vioque ne doit pas être contaminée, et que de toute façon, les maladies sexuellement transmissibles se soignent toutes.
Marcelle attend tranquillement, sur ses coudes, son cul relevé, sans rien faire, l'esprit vide, de se faire enculer. l’attente, c'est toujours du temps de gagné !
Finalement, le jeune homme s'approche de ce cul gélatineux, place son gland contre l'anus, qui semble n’attendre qu'une visite. Là, il attrape les hanches de la vieille à pleines mains. Il fait venir ce gros cul à lui, et d’un coup, pousse sa queue dans l’œil de bronze avec force et vigueur.
- Tu es bonne, vieille pute. Tu as l'habitude de te faire enculer mémé, non ?
C'est un tout petit :
- Oui, que répond mamie.
Excité comme il est, très vite, le jeune inonde le cul de la vioque de son foutre chaud et épais.
Quelques petits couinements font penser que la vieille a pris son pied.
Puis, comme s'il était pris de remords, le client remonte très vite pantalon et caleçon et sort précipitamment de la chambre, pour aller mettre ses chaussures, ouvrir la porte et s’en aller comme un voleur.
Marcelle se retrouve le cul barbouillé de foutre, la tête un peu ailleurs. Il lui plaisait bien ce joli jeune homme. Mais voilà qu’il est reparti et, après s’être levé et avoir récupéré son peignoir, en mettant la main dans la poche, elle est toute heureuse de tripoter les billets.
Dans l'après-midi, un deuxième client frappe à la porte, elle ouvre, demande d'une voix acide qu’il retire ses chaussures, car, dit-elle, elle en a marre de nettoyer les escaliers. Bien qu’elle n’ait encore eu qu'une seule personne, mais bref. Ensuite, elle guide cet homme entre deux âges jusqu'à sa chambre à coucher, au premier.
L'homme, lui aussi, demande à pouvoir se laver le sexe, mais la vieille refuse et elle lui dit :
- Je vais te laver ton petit oiseau avec ma bouche.
Le type se laisse guider devant le bord du lit où mamie s’assoit.
D’une main experte, elle ouvre la braguette, défait la ceinture puis le bouton et laisse glisser le pantalon sur les chevilles. Elle descend ensuite le slip à mi-cuisse.
L’homme suit, d’un regard amusé, la vieille qui le déshabille, et quand sa queue est à l’air, alors que mamie est penchée pour baisser le slip, il se projette en avant en prenant la vieille tête en main et enfourne sa bite dans la bouche. Il offre sa queue odorante en la faisant pénétrer le plus loin possible.
Alors qu’elle commence à sucer, elle est fermement invitée à avaler encore plus la pine, de belle taille, qui grossit à vue d’œil, enfin, si la langue avait un œil !
L’homme lime cette vieille bouche avec énergie en lui disant :
Tu aimes ça, les bites, quand elles sentent bon la pine, hein, mémé ?
La vieille femme ne répond rien et continue sa pipe.
D’un geste brusque, le bonhomme sort la queue de la bouche et pousse la vieille qui se retrouve sur le dos, allongée en travers du lit, les jambes dans le vide.
Là, il écarte les cuisses gélatineuses en les prenant à pleine main. Puis, dans la foulée, enfonce sa pine bien droite dans le cloaque de mamie, qui dégage une odeur nauséabonde. Car cette chatte est encore remplie de foutre de la matinée et il a bien macéré.
- Tu mouilles… Elle t’excite ma bite, hein mémé !
Quelques hum, hum, en guise d'acquiescement de la vioque.
L'homme ne met pas longtemps à décharger son foutre, qui va se mélanger avec le foutre du client précédent. Puis, faisant passer la jambe droite par-dessus l’autre, il assène une grande claque sur le cul de Marcelle, en lui disant :
- C'est bon, la prochaine fois, j’irai visiter ton vieux trou du cul ridé.
Très vite, il remonte son slip, puis son pantalon et descend très rapidement les escaliers. Enfile vite fait ses godasses et se sauve dans la rue.
C'est à ce moment, que mamie s'aperçoit qu'elle s'est fait rouler, que le mec ne l'a pas payé. Heureusement, elle a un autre client qui doit arriver une heure plus tard.
Elle va chatter un peu sur son téléphone pour aller chercher d'autres clients en attendant ce troisième client n’arrive.
C'est un jeune homme de vingt-cinq ans qui arrive et il donne tout de suite les cinquante euros. Avant même de rentrer, malheureusement, un des voisins passe dans la rue et voit le manège de Marcelle. Surtout que la vieille femme est encore en peignoir, et on peut voir ses vieux nichons mous.
La vieille lui demande d'enlever ses chaussures, puis l’emmène dans sa chambre. Elle est assez fière d'avoir un beau jeune homme qui va la baiser. Elle défait le pantalon puis baisse le caleçon du jeune homme et saute sur cette belle queue pour la sucer.
L'homme sent un peu la transpiration et sa bite sent un peu l’urine, mais peu importe, la vieille est tellement heureuse d'avoir un beau mec dans son lit qu'elle accepte n'importe quoi. Elle met un genou à terre et commence sa pipe.
Le jeune homme, lui, ne veut pas que la prostituée le fasse jouir trop vite, il s’est déjà fait avoir plusieurs fois avec des jeunettes. Aussi, il annonce :
- Attends, je vais m'asseoir.
Et il s’assoit sur le lit et fait venir la tête de la vieille sur sa pine. Là, il lui dit :
- Vas-y, salope, suce bien ma bite, vieille pute.
Mémé reprend sa fellation gourmande et quand, elle sent que le jeune risque de partir, elle se redresse et lui demande :
- Tu veux jouir dans ma bouche ?
- Non, je veux te la mettre dans ton gros cul.
Il se lève d'un bon et attrape la vieille, qu’il aide à se relever, puis à se pencher en avant sur son lit. Il la pousse sans ménagement.
Mamie est heureuse, ça lui rappelle certains amants qui la culbutaient ainsi avant de la baiser sauvagement, elle avait alors de furieux orgasmes.
Le jeune lui écarte les fesses molles et lui enfonce son zob d'un coup dans l'anus. Il ne lime pas très longtemps, tant il est excité de pouvoir enculer une femme, qui plus est, une vieille ! Il est en train de réaliser son fantasme.
Marcelle, malgré la douleur de la brûlure du passage en force dans son anus pas encore préparé, ne met pas longtemps, non plus, à grogner de plaisir.
C'est alors qu’il attrape les cheveux de mamie, lui tourne la tête et amène la vieille caboche à la hauteur de sa jeune queue.
- Maintenant, tu peux avoir mon foutre, vieille morue.
Marcelle ne se fait pas prier et peu importe, que cette jolie pine sorte de son trou du cul, elle la suce à nouveau, presque avec passion.
Cette fois, l'homme jute avec un grognement, cramponne la tête, se vide totalement les couilles pendant de longues secondes, puis annonce :
- Tu es moche comme un cul d’ours, mais ton cul est bon ! Donc, je reviendrai, à bientôt vieille pute. On sent tout le dépit qu'il a dans sa voix.
Mamie a un drôle de goût dans la bouche, mais bon, elle est tellement contente d'avoir ses cinquante balles, que le goût de merde dans sa bouche n'est qu'un détail, qu’elle oublie très vite.
Elle se remet sur son téléphone portable pour dialoguer et essayer de trouver d'autres clients pour cette fin de journée. Et c'est totalement plongée dans le chat, qu’elle entend la sonnette de la porte d'entrée. Elle descend, ouvre et tombe sur le jeune homme qui a été son dernier client.
Ce dernier lui dit :
- J'ai perdu ma capote chez toi, je veux regarder si elle n’est pas tombée quelque part.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
Le mec ne prend pas de gants et lui fille une grande claque sur le museau. Puis, il lui dit :
- C'est pas une capote connasse, c'est ma coke.
Et il rentre et ausculte le chemin qu'il a emprunté plus tôt, pour monter jusqu'à la chambre. Là, il se met à quatre patte et fouille sous le lit. Comme il ne trouve rien, il se retourne avec un air mauvais vers mamie, en disant, de sa voix méchante :
- Si tu m’as piqué ma came, je t’assure que tu vas le payer cher !
La mémé n'est pas fière du tout. Marcelle ne sait pas trop de quoi il s'agit, mais elle comprend, au ton acide du jeune homme, qu’elle risque gros. Aussi lui dit-elle :
- Va-t’en, sinon je crie !
Le type ne prend aucun risque et tourne talon. Il descend rapidement l'escalier et ressort dans la maison, presque en courant.
La vieille en est quitte pour une bonne trouille et se dit qu'il va falloir faire attention à qui elle ouvre. Elle retourne sur le chat.
Assez vite, elle se fait connaître, d'abord par ses prix exceptionnellement bas, ensuite, parce qu’à la campagne, on ne trouve pas autant de prostituées que ça et surtout, parce que très vite, les clients ont compris qu'ils pouvaient la baiser sans capote, s'ils en avaient envie et à volonté.
De ses discussions sur le chat, Marcelle avait connu une autre femme qui se prostituait aussi. Bien que plus jeune, les deux femmes discutaient et se partageaient leurs expériences. Et bientôt, oubliant son âge, il s’imagina être comme sa correspondante, une putain occasionnelle d’une quarantaine d’années.
Elle lui fait part de tous ces petits malheurs, mais aussi de cette joie d'avoir de beaux jeunes hommes qui la sautent et elle avoua même que certains de ses clients, elle les gardait pour la nuit, sans rien demandé d’autre que du sexe.
Il y en eut même un, particulièrement mignon, à qui elle avait offert le restaurant et qu'elle avait gardé tout le week-end. Mais, en même temps, toujours aussi près de ses sous, elle disait aussi qu'elle perdait de l'argent, en faisant ça.
Et puis, de toute façon, elle n'était pas complètement dupe. Le jeune homme avait été content d'avoir passé un week-end, au chaud, avec restaurant, le gîte et le couvert, avec une vieille salope, gratuitement. Mais elle savait qu’il ne tomberait pas amoureux, enfin, elle l’espérait tout de même !
Les deux femmes finissent par se téléphoner, échangent quelques informations sur les clients. La femme d’une quarantaine d'années n'est pas une professionnelle, mais plutôt une pauvre femme qui tire le diable par la queue et qui a trouvé ce moyen pour se sortir un peu de ses embarras.
Un jour, au téléphone, Marcelle avoue :
- Je suis tombé malade, j'ai attrapé un très mauvais rhume, j'ai eu peur que ce soit la grippe ! Mais j’ai eu beaucoup de diarrhées.
- Ha ! Plus de sodomie alors ?
- Ben si ! Mais j’ai économisé sur le lubrifiant, ça glissait tout seul.
- Ha bon ! Répond la femme interloquée.
- Oui, mes clients viennent surtout pour la sodomie, ils adorent tous m’enculer.
Ça laisse dubitatif la femme plus jeune, mais bon, sachant que la vieille a des lubies parfois un peu bizarre, elle ne s'en étonne pas plus.
Une autre fois, Marcelle lui téléphone un petit peu apeuré.
- Mais qu'est-ce qui t’inquiète comme ça, donc ?
- Ben c'est simple, j’ai des nausées, des vertiges, des douleurs dans les seins... Je me demande si je ne suis pas tombée enceinte !
- À près de soixante-dix ans ?
- Oui, après tout, une femme peut enfanter jusqu'à tard, j'ai vu ça à la télé, l'autre fois.
- Et tu vomis beaucoup ?
- Une envie de toutes les heures au moins.
- Et tu continues à recevoir ?
- Bah oui… Faut bien...
- Mais les mecs ne se plaignent pas que tu sens le vomi ?
- Ben non… Personne ne m’a rien dit ! Au pire, certains m’enculent, mais ne veulent pas m’embrasser…
En ce mois de novembre, avec le froid, voici que revient l'épidémie de gastro-entérite. Et, bien entendu, à recevoir pas mal de gens et avoir des contacts peau contre peau, Marcelle finit par contracter une bonne gastro-entérite.
Elle passe deux jours à se vider totalement, entre ce qu'elle vomit et les diarrhées, il ne lui reste pas beaucoup de temps dans la journée. Aussi, ne reçoit-elle personne, pendant deux jours et au matin du troisième jour, alors qu'elle a encore vomi la nuit, elle décide de rallumer son téléphone et de recevoir, à nouveau, ses clients.
Ce matin, non seulement elle se rend compte qu'elle pue de la gueule, mais en plus, elle a l'anus totalement enflammé et qui lui la brûle terriblement. Cependant, accro au pognon, comme elle est, elle ne veut pas perdre une journée de tapin de plus.
Le premier visiteur de la journée arrive. Dès qu'elle ouvre la porte, dans son peignoir usé, entrouvert, à montrer ses vieux nichons et son bide qui ressemble plus à Beyrouth qu’à un ventre, le mec sent une odeur nauséabonde. Il fait demi-tour en disant :
- Non ! Tu pues vraiment ! C'est pas croyable de puer autant !
Une demi-heure plus tard, un deuxième client arrive, visiblement, il est au boulot et a réussi à s'en échapper. Lui non plus ne sent pas la rose et l'odeur de vomi dans la Maison ne semble pas le déranger. Après s’être déchaussé, il suit la vieille dans la chambre où elle tapine. Là, il ouvre sa cotte par le bas, sort sa bite et se laisse sucer.
Mamie s'est mis à genoux. Elle suce cette bite qui est assez imposante, assez grosse et assez longue. Elle ne peut pas la mettre entièrement dans sa bouche, mais elle fait tout pour la faire bander au maximum.
Une fois que le mec bande correctement, il aide de la vieille à se relever et lui dit :
- Allez, tourne-toi, je veux ton cul maintenant.
Mamie s'allonge en travers de son lit, sur le ventre, jambes écartées.
- Ben dit donc, tu dois te faire enculer souvent, vu la gueule de ton trou de balle ! Tu as pris combien de kilomètres de bite dans le cul, aujourd'hui ?
Sans chercher à épiloguer plus, la vieille se tait et fait ce qu’elle sait faire de mieux, attendre de se faire sodomiser.
Le type pointe son gland contre la rosette et dans un grand coup de rein, encule totalement mémé.
La vieille pousse un cri, puis ajoute :
- Tu me fais mal ! Tu m'arraches le cul !
- Oh ta gueule, tu dois avoir l'habitude, vu l'état de ton troufignon.
- Ouais, mais j'ai mal. Alors vas-y doucement.
- Attends, tu es une pute, tu t’en prends dans le cul, tu fermes ta gueule et c'est tout ! Allez, hop...
Le mec ne lime pas très longtemps. Il est très excité de pouvoir enculer une vieille et sans capote encore ! Mais ce petit cul reste encore assez serré pour l’age presque canonique. Bientôt, il sent son jus de couilles monter en pression, il annonce alors :
- Je vais te balancer mon fameux produit.
Se raidissant et tenant fermement les hanches de la mémé, il jute à grosses saccades et vient inonder le rectum.
L’anneau du sphincter se ressert sur cette grosse queue, mémère prend un pied monumental, et se laisse aller au plaisir, avachit sur le lit.
Après quelques instants à reprendre son souffle, le type se redresse, se relève, attrape les cheveux de mémé, tire dessus pour la contraindre à se relever, elle aussi. Là, il lui ordonne :
- Viens me nettoyer la bite, je ne voudrais pas que ma femme sente ton cul ce soir quand je lui ferai sucer son sucre d’orge préféré !
Et d’un nouveau bon coup de rein, le voici qui baise la vieille gueule de mémé.
Tout de suite, Marcelle s’applique et joue de sa langue sur la trique, en même temps qu’elle aspire le vit gluant et odorant.
Le membre qui commençait à dégonfler, redevient dur, petit à petit.
La vieille passe un bon quart d’heure à sucer l’engin pour refaire bander le monsieur.
À nouveau, l’homme grogne, ses jambes commencent à trembler. Et, alors qu’il cramponne la vieille coiffure de mémé entre ses mains puissantes, plaquant la bouche contre son pubis, il décharge plusieurs jets de sperme chaud au fond de la gorge professionnelle.
Marcelle, relevant les yeux vers l’homme et lui dit, d’une voix bizarre :
- Oh merci ! ça c'est une bonne dose.
Mais en même temps qu'elle parle, l'homme sent son haleine et a un haut-le-cœur. Aussi, il se rhabille prestement, sort un billet de cinquante balles de sa poche et le jette à la face de la vieille. Il tourne les talons et redescend vite, enfile ses pompes à toute volée, et sort en laissant la porte grande ouverte.
Le suivant, est un mec qui est déjà venu, et ce qu'il apprécie avant tout, c'est que la vieille ne demande pas de mettre une capote. Et, à cinquante balles, elle est bien la moins chère de tout pays. Mais dès qu'il rentre dans le salon, l'odeur de vomi le prend la gorge. Il regarde la mémé dans son peignoir ouvert, et demande :
- Tu as chopé une gastro, c'est ça ?
La vieille avoue que oui. Le visage défait, l’anus douloureux, elle commence à grimper les escaliers, quand elle entend :
Non ! Je ne peux pas ! Ça pue vraiment trop…
Et il ressort.
Elle recevra encore quelques clients malgré l'odeur nauséabonde qui traîne dans la maison, cette odeur de vomi et de diarrhée mêlés
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