Mamie se prostitue : la famille (2024)

 

Bien qu'elle sache pertinemment qu'elle n’avait pas beaucoup de mémoire, Marcelle ne prend pas la peine de noter ses rendez-vous, que ce soit pour ses clients ou pour sa famille.

Ainsi son petit-fils lui a téléphoné la semaine d'avant pour lui dire qu'il avait un échange avec la fac de Poitiers et qu'il passerait devant chez elle, qu'il en profiterait alors certainement pour s'arrêter et venir lui faire un bisou.

Le jour prévu, il fait un petit détour et s'arrête chez sa grand-mère. Il descend de sa voiture, se rend à la porte et sonne.

La vieille, ne se souvenant plus que son petit-fils devait venir, se dit que c'est un client qui passe. Et, comme à son habitude, alors qu'elle porte ton vieux peignoir délavé, va près de la porte, ouvre le peignoir, mettant ainsi ses vieux nichons en avant et ouvre la porte.

Le jeune homme est interloqué.

- Mamie ! Qu'est-ce qui t'arrive ?

- Rien, j'attendais quelqu'un…

- Mamie, tu attends quelqu'un, à moitié à poil !

- Oui... Non… et le visage de la grand-mère s’empourpre d’un seul coup, elle en oublie de refermer son peignoir, laissant son vieux corps aux yeux de ce gars tout juste sorti de l’adolescence.

- Qu'est-ce que c'est que ce cinéma ?

- Rien, rentre... Et mémé referme son peignoir, se réajuste, puis referme la porte d’entrée.

Elle ne sait plus trop comment faire. puis elle dit, au jeune qui vient de s'asseoir dans le canapé :

- Veux-tu un café ?

- Oui, je veux bien.

Elle se lève, se rend dans la cuisine, prépare deux expressos, revient avec un petit plateau, sur lequel il y a les deux tasses, deux petites cuillères et du sucre. Elle pose ça sur la table basse et elle commence à demander des nouvelles de son petit-fils.

Celui-ci va bien, il est très content de la faculté et se réjouit d'avoir été choisi pour cet échange avec la fac de Poitiers.

D'un seul coup, la sonnette retentit. La vieille, comme pétrifiée, ne bouge pas.

- Mamie, tu ne réponds pas ?

- Non... Ce sont des démarcheurs. Ils me cassent les pieds, je ne réponds pas.

- Ah bon !

Puis, la sonnette retentit à nouveau.

- Mamie, ça insiste, ce serait peut-être mieux d'aller leur dire que tu n'es pas intéressé.

- Non, non, non... Laisse, ils vont s'en aller.

Une troisième fois, la sonnette retentit, et cette fois avec des coups frappés sur la porte.

La vieille met son doigt devant la bouche et fait signe à son petit-fils de ne pas faire de bruit.

Encore des coups frappés à la porte, puis d'un seul coup, une voix puissante qui dit :

- Alors la pute, peux-tu m'ouvrir, nom de Dieu ! J'ai envie de ton cul, moi.

Le jeune, totalement estomaqué, ne comprend pas trop ce qui se passe et il demande à sa grand-mère :

- Qu'est-ce que c'est que ce cinéma-là ? Quelqu'un cherche à te nuire, Mamie ?

- Non, non, c'est rien... Ça doit être un ami qui me fait une blague.

- Tu parles d'une blague !

D’autres coups frappés à la porte et cette fois encore plus fort, la voix qui demande :

- Alors, morue, tu es en main avec un client ? On peut te baiser à deux ! Tu m'as dit tout à l'heure, que tu n’avais personne et que tu m'attendais. C'est quoi ton bordel là ?

Le jeune homme comprend que quelque chose de très bizarre se passe dans cette maison. Il demande franchement à sa grand-mère :

- Mais ! Tu te prostitues ?

Mémère, affolée, devenant à nouveau rouge vif, bouge la tête pour faire non. Puis, elle balbutie :

- Enfin… Non ! Enfin… C'est pas ce que tu crois…

Le jeune devient tout rouge, lui aussi, comprenant que sa grand-mère, à presque soixante-dix ans, fait le plus vieux métier du monde ! il lâche alors :

- Moi, je m'en vais.

Il se lève dans un geste souple de félin, arrive, tout de suite à la porte, enfile rapidement ses chaussures, ouvre la porte. Et là, tombe nez-à-nez avec un bon gros bonhomme, qui lui demande :

Ça y est, tu as fini ? tu lui as bien pété le cul à la vioque ? Bon, j’ai ses cinquante balles, faut pas maintenant qu'elle me casse les couilles à faire perdre mon temps ! Surtout qu’elle n’est pas miss monde !

Et le mec exhibe le billet de cinquante qu'il a dans sa main.

Le jeune homme s'en va, sidéré, alors que le bonhomme rentre dans la maison.



Le soir même, le petit-fils, revenant de la fac de Poitiers, explique à sa mère ce qu'il a vécu. Il a bien compris que sa grand-mère se prostitue.

La mère, connaissant parfaitement les frasques de sa propre mère, n’en croit pas ses oreilles ! Elle sait sa mère folle de bites, mais de là à se prostituer, à presque soixante-dix ans, c'est un comble !

Le compagnon de la mère ne dit mot, mais enregistre tout, et se dit qu'il va falloir qu'il aille voir la vieille.



Le compagnon de la fille de Marcelle a bien capté que sa belle-doche faisait la pute, malgré son âge. Le lundi, il prend le téléphone du boulot que l'entreprise prête à chaque agent en astreinte et il compose le numéro de la vieille. Il essaie de modifier sa voix et force un peu sur l'accent nord-africain.

La vieille se fâche tout de suite et l'envoie bouillir, en disant qu'elle ne veut pas de bougnoule.

Déçu, Rachid attend trois heures pour rappeler et cette fois, masque son accent du bled, en se faisant passer pour un bon français de souche. Il obtient un rendez-vous pour dix-sept heures, le soir même. Il téléphone à sa compagne pour lui expliquer que l'astreinte l'envoie l'autre bout du département et qu'il n'est pas sûr, qu'il rentre ce soir. Là-dessus, il finit sa journée.



En fin de service, il part avec le véhicule d'assistance que tous les agents d'astreinte peuvent utiliser. Il se dirige vers Poitiers et à dix-sept heures précises, arrive dans le patelin de ça "presque belle-mère".

Il gare son véhicule un peu plus loin, de façon à ne pas être vue depuis la maison de la vieille. Puis, emmitouflé dans son parka, il se rend à pied jusque chez la mémé. À l’heure convenue, il appuie sur la sonnette.

Comme à son habitude, Marcelle ouvre la porte avec son peignoir miteux ouvert, les mamelles qui pendent, son ventre moche et ses jambes pleines de varices. La chatte n'est pas complètement visible puisqu’un peu caché entre le gras des cuisses et le gras de la panse.

Le visiteur sort tout de suite son billet de cinquante euros et lui tend, alors qu’il est encore dehors, sur le pas de la porte.

Comme habituellement, la vieille ordonne de sa voix nasillarde au mec de retirer ses godasses.

Le client, se penchant en avant, retire ses chaussures qu’il laisse dehors, devant la porte.

Une fois qu'elle a vu qu'elle a été obéie, elle se retourne et ordonne encore :

Suis-moi. Et elle traverse en partie le salon, monte les escaliers et entre dans la chambre. Là, comme on est en hiver, et que la nuit tombe, elle allume la lumière.

L'homme, qui arrive derrière elle, éteint en disant :

- Je préfère quand il n’y a pas trop de luminosité.

- Si tu veux, moi ça ne me dérange pas.

Elle retire son peignoir, le met au pied du lit et elle s’accroupit devant son client.

L'homme, qui est en train de baisser son pantalon et de retirer son slip, offre son chibre à sucer.

Mémé s’en empare de sa main experte, et l’amène à la bouche. Très vite, elle sent le membre durcir et gonfler.

- Alors, elle est bonne ma bite ?

- Oui, elle est bonne, elle est bien grosse, comme j'aime.

- Allez suce ma belle, fais-moi bien bander, que je te fasse jouir.

La mémé fait son boulot de putain. Elle s'active de plus belle sur cette verge qui ne tarde pas à avoir une belle taille. C'est un sexe sans poils, circoncis, les couilles lisses aussi. Pour une femme raciste, elle aurait dû savoir qu’un sexe circoncis, est un sexe de musulman, donc souvent d’un homme d’origine arabe.

- Elle te plaît cette bite.

- Hum hum, répond la mamie avec la bouche pleine

- Allez, allonge-toi sur le dos, que je te baise, ma toute belle.

La Vioque est sensible à ces mots. Et un type, qui est gentil avec elle, lui change un peu la vie, par rapport à la majorité de ses clients, qui la traite de vieille pute et qui la baisent brutalement.

Une fois que sa partenaire est sur le dos, avec un soin infini, il lui prend le haut des cuisses, la tire à lui, alors qu'il est au bord du lit et entre doucement sa grosse pine, dans cette chatte molle qui suinte la cyprine.

Même l’introduction est agréable, ce type doit être un mec bien, pense mamie.

Rachid s’occupe de limer cette vieille chatte avec douceur et énergie en prenant bien soin de bouger son bassin de manière à pousser son sexe dans tous les petits coins de cet antre féminin.

Cette fois, Marcelle, prend son pied. Elle commence à couler comme une jeune salope malgré ses soixante-huit printemps. Bientôt, elle interpelle son client en lui hurlant :

- Ah oui ! Encore... encore... elle est trop bonne ta bite ! Encore.

L'homme continue en essayant d'être le plus gentil possible et le plus doux possible. Il s’adresse alors à la mémé d’une voix douce :

- Veux-tu que je te sodomise doucement ?

- Oh oui !

- Alors, je vais m’occuper de ça, ma belle.

Rachid ressort doucement sa bite du vagin, tire encore un peu plus sur le haut des cuisses, culbute les hanches de la femme, de façon à ce que son anus soit en face de son gland. Là, tout doucement, il entre son gland et va jusqu'au fond d'un seul coup, mais d'un coup très doux.

- C'est trop bon de se faire enculer ! Ta bite est vraiment magique.

Oubliant de travestir sa voix, il répond :

- Tu as un corps de déesse, c'est trop bon de t'enculer.

La vieille relève la tête et commence à comprendre que c'est un nord-africain qui l’encule, mais très vite, elle recommence à jouir et sent qu'un orgasme va arriver.

- Oui vas-y continue, défonce-moi bien le cul, défonce-moi s'il te plaît, chérie.

Pour cette fois, l'homme ne fait plus dans la dentelle avec fioriture. Il pilonne le cul de sa vieille belle-doche, en faisant bien attention que belle-maman ait son orgasme, avant de lui balancer son foutre.

À cet instant, ça y est, la vieille a un orgasme terrible. Elle l’exprime en serrant son anus sur la queue qui la défonce si généreusement. Elle se met à gueuler comme une folle :

- Oui ! C'est trop bon... Trop bon... Trop bon…

De façon diabolique, il jouit à son tour, inonde le vieil anus de son foutre chaud. Il reste planté dans le cul de la belle-mère. Puis, il s'affale sur le corps de la mémé pour reprendre son souffle.

La vieille est aussi en train de redescendre du septième ciel et elle embrasse l'homme. Puis, lui demande son prénom.

- Mais tu me connais ! je suis le mec à ta fille, Rachid. Tu te souviens ?

- Salaud ! Oh salaud !

- Oui, je suis un salaud et en plus, c'est con, toute ta famille te maudit et ne veut plus te voir, vieille putain !

- Salaud !

- Oui, mais moi, je pourrais revenir te baiser, pour te donner des nouvelles de ta fille et de ton unique petit-fils…

- Tu n’es qu'un salaud, tu n’es qu'un sale bougnoule.

- Ferme ta gueule, mamie ! Tu étais bien contente d'avoir ma pine dans ton cul, tout à l'heure !

- Salaud !

- Oui, mais je fais jouir ta fille ! Comme toi tu as joui, connasse.

- Salaud ! Je lui dirai !

- Tu lui diras quoi ? Que je t’ai fait jouir avec ma grosse bite ? Tu pourras toujours dire ce que tu veux, de toute façon comme le gamin a vu que tu te prostituais, tu es totalement craméerejetée par ta fille, par le gamin, par ton ex… Donc si tu veux des nouvelles de ton petit-fils faut que tu sois gentille avec moi !

- Salaud…

- Allez, vieille pute, suce-moi la bite, pour la nettoyer…

- Salaud…

- Tu ne voudrais pas que ta fille suce ma bite qui pue ton cul ? Si, vieille folle ?

Et, joignant le geste à la parole, il se redresse, attrape les cheveux de la vieille, la tire jusqu'à ce qu'elle soit par terre et lui colle sa bite, qui sent la merde, dans la gueule.

- Vas-y, suce-moi bien, nettoie-moi ma queue, ce n'est que ta merde. C'est toi qui l'as sali. Allez !

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