Les brésiliennes (2024)

 

Carlos et Flavien sont deux amis brésiliens qui viennent des favelas. Ce sont des garçons très pauvres, qui n’ont eu de salut que dans la prostitution des mineurs et ils se sont connus sur le trottoir de Rio de Janeiro ou, à l'époque, de gros clients assez riches s’offraient les services sexuels de ces jeunes hommes, souvent tout juste entré dans l’adolescence.

Les deux jeunes garçons, d’une dizaine d’années, s’offraient et avaient vite compris qu’il en fallait toujours plus pour ces clients vicieux et pervers. Aussi, ils décidèrent de s’offrir ensemble. Là, ils s’occupaient à deux du client dans un premier temps, et s’ils en avaient l’occasion, l’un fait les poches de l’homme pendant que l’autre subissait ses assauts. Ils ne refusaient rien, fussent quelque chose de douloureux, ils faisaient toujours bonne figure, allant jusqu’à simuler le plaisir, quand bien même, ils se faisaient déchirer le cul. Les affaires ne marchaient pas trop mal, et les deux jeunes prirent un petit studio en ville, pour recevoir et y vivre.

Puis, arrivant à l'âge seize ans et voyant que les clients étaient intéressés surtout par les jeunes garçons et bien moins par les jeunes hommes, les deux amis avaient fini par aller voir un docteur, qu'on leur avait conseillé, pour subir un traitement hormonal.

Très vite, elles avaient perdu leurs poils et avaient les seins qui poussaient. À ce moment de leur jeune existence, elles commençaient à se sentir bien plus femmes qu’hommes. Elles se faisaient maintenant appeler Carla et Flavia.

Mais la vie était dure au Brésil. Elles avaient eu vent par un ami, du moins, le croyaient-elles, que le voyage en France les emmènerait dans un pays de cocagne, où les clients se bousculaient pour se taper les transsexuelles, qu’ils étaient gentils et prévenants, bien loin du client lambda brésilien.

Le bateau, qui coûtait largement moins cher que l'avion, doit arriver au Havre. Dans ce cargo, les deux amies avaient payé le voyage, en partie en nature et elles avaient été les esclaves sexuelles des marins. Comme voyage merveilleux, on faisait mieux !

Tout avait commencé par une convocation de Carla dans le bureau du capitaine, en fait, sa chambre, dans laquelle il y avait une petite table et un ordinateur.

Elle frappe à la porte métallique et entend :

- Entrez.

Elle ouvre le lourd battant, puis le referme derrière elle en disant :

- Bonjour capitaine, vous m'avez demandé.

- Oui, j'ai un petit souci avec vous ! J'ai eu la compagnie et elle me dit que votre voyage a été payé avec des faux billets.

- Comment ça, des faux billets ! C'est pas possible.

- Que voulez-vous que je vous dise ? Alors, en tant que seul maître à bord, je peux vous jeter à l'océan ou vous faire payer maintenant votre passage.

- Mais nous ne sommes pas riches ! nous n'avons pas beaucoup d'argent, le peu que nous avons, nous le réservons pour en France.

- Oui, oui, en France la vie est chère. Mais, si vous n'avez pas d'argent, on va s'arranger autrement. Vous allez payer votre passage, en vous prostituant.

Faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, Carla, qui a l'habitude de ce genre de choses, ne répond rien, mais fixe le capitaine d’un regard un peu triste, qui en dit long sur sa déception.

- Parfait, tu vas commencer par me montrer tes nichons.

La jeune transsexuelle soulève son pull et défait son soutien-gorge, pour montrer fièrement sa petite poitrine.

- Très bien, on va voir comment tu suces maintenant. Viens ici.

La jeune femme se déplace, se plante devant l'homme, qui est assis sur son lit et qui vient de pousser la table sur le côté. En bonne professionnelle, habituée à ce genre de relation, elle attend les ordres.

- Accroupi, salope.

Elle exécute l'ordre sans problème et ouvre la braguette de l'homme, qui ne porte pas de sous-vêtement. Elle dégage son sexe encore mou, le regarde, lui fait quelques petits bisous, quand elle entend :

- On n'est pas là pour faire des petits bisous ! Tu me prends dans ta bouche et tu me suces, compris connasse ?

Elle ne répond rien. Très vite, le sexe durci et devient de plus en plus gros. Il ne sent pas très bon, visiblement le fameux capitaine ne prend pas de douche tous les jours. Elle suce, elle suce, elle suce, ça fait bien un bon gros quart d’heure, presque une demi-heure qu'elle s’acharne sur ce membre.

L’homme, qui ne veut visiblement pas jouir rapidement, lui dit :

- Je savais bien que les pédés, ne suçaient pas aussi bien que les vraies femmes !

Piquée au vif, elle s’escrime encore plus sur l’engin.

Le sale bonhomme affiche un sourire narquois. Il sait très bien se retenir pour ce genre de salope. Pour cela, il pense à son boulot et se concentre dessus, passant en revue toutes les taches qu’il aura à conduire. Ça lui permet de ne pas bander trop vite.

Puis, un coup de téléphone du bord, c'est la passerelle qui l'appelle aussi l'homme se dit qu'il est temps de finir. Il s'adresse à la pute :

- Suce mieux que ça, salope, tu vas avoir ta récompense.

Ne sachant trop comment faire plus, Carla masturbe l'homme en jouant de sa langue autour du gland et en créant une dépression dans sa bouche, qui fait comme une petite pompe à vide.

D’un coup, l'homme lui plaque la tête sur son bas-ventre et se vide les couilles tout au fond de sa gorge, dans un grognement d'ours mal léché, ou du loup de mer, encore que le loup de mer, bien peu l’ont entendu ! Une fois qu'il a éjaculé, l'homme repousse vivement la tête de Carla et lui dit :

- Casse-toi dans ta cabine maintenant. Tu m'enverras ta copine, dans une heure, pour lui péter le cul.

L'homme referme sa baguette et sort de la chambre, laissant volontairement la porte ouverte et faisons comprendre à la pute, qu’elle a intérêt à sortir vite fait, sans avoir le temps de se rhabiller.

Aussi, se retrouve-t-elle dans les coursives avec le pull et soutien-gorge à la main, les seins à l'air, en allant vers ça cabine. Elle rencontre deux matelots qui lui font des réflexions salaces.

Carla se dit qu'elle pourra, peut-être, tapiner un peu sur le bateau, avec les matelots, pour se faire un peu d'argent. Mais elle se trompe lourdement !

Le capitaine démoniaque a décidé, lui, de se servir de ces deux putes pour remercier et encourager son équipage, absolument pas pour qu'elles gagnent de l'argent.

Arrivée dans la cabine, elle embrasse sa compagne et fait le point avec elle :

- Il parait que nous aurions payé avec des faux billets ! Il faut alors qu'on continue à payer le voyage en nature. Là, j'étais obligé de sucer cet immonde salaud qu’est le capitaine. En plein milieu de l'océan, ça va être difficile de négocier.

- Comme tu dis, c'est honteux, mais nous sommes des putes, donc il s'imagine être tout-puissant et avoir tous les droits sur nous.

- Oui, à ce propos, d'ici une heure, le capitaine t'attend dans sa cabine.



Une heure plus tard, Flavia, qui a passé une robe et un petit débardeur, de même que son petit porte-jarretelles et ses bas, sort de sa cabine pour se rendre dans la cabine de l'affreux capitaine. Elle frappe à la porte.

- Entrée.

- Vous m'avez demandé capitaine ?

Il lève les yeux, détaille un instant la prostituée, puis se remet sur son ordinateur et ordonne :

- Allez, fous-toi à poil. Vire-moi ta robe. Je veux voir ton cul et tes nibards.

Flavia retire son gilet, qu'elle pose délicatement sur une chaise à sa portée, puis retire sa robe. Elle ne porte pas de soutien-gorge et ses petits nichons sont bien dressés, elle regarde l'homme, qui lui a toujours les yeux rivés sur son ordinateur et lui demande :

- Ça va, ça te plaît ?

L'homme repousse la table, une fois de plus, sur le côté. Cette fois, il se met debout, défait sa ceinture, puis sa braguette, fait glisser son pantalon sur ses chevilles et impose encore :

- Viens me sucer la pine. Tu vas voir, ma bite a encore le bon goût de merde de ta copine.

Flavia, qui a l'habitude de ce genre de demandes outrageuses, s'accroupit devant le sexe. Le prend et le porte à sa bouche.

L'homme se penche et vient lui attraper les tétons, qu'il pince très fortement.

- Aie ! S'écrit la jeune prostituée, en gardant toujours le sexe dans sa bouche, ce qui donne une voix très particulière.

- Ta gueule, si j'ai envie de m'amuser avec ton corps, je le fais. Je fais encore ce que je veux ! Sinon, comme j'ai dit à ta copine, je vous fous par-dessus bord. Et là, qui va vous pleurer ?

Elle ravale son orgueil et suce le vilain bonhomme. Très vite, elle réussit à lui faire obtenir une très belle érection. C'est une belle bite, pas vraiment très grande, mais assez grosse, avec un gland bien dessiné.

- Viens ici.

Et le capitaine l'attrape par le bras et l'attire jusqu'à la table. La plaque sur le ventre, lui écarte les jambes avec son genou, sans ménagement. Il amène son gland contre l'anus et, sans aucune précaution, il sodomise la pauvre Flavia, qui a les larmes qui lui viennent aux yeux.

- C'est bon, une bonne bite dans ton cul, hein ma pétasse ?

- Oui capitaine, elle est vraiment bonne ta queue, ment instamment la pauvre femme. Mais la voix trahie sa douleur.

- Sans lubrification, ça doit bien te brûler l'oignon, pétasse... Ça m'amuse que tu es le cul en feu !

Puis, d'un coup, sans crier gare, attrape à nouveau le bras gauche de la pauvre femme, la tire vers lui, la force à s’accroupir, en lui intimant l’ordre :

- Vas-y suce ma bite qui sort de ton cul, grosse pute !

Habituée à ce genre de dégueulasserie, la jeune femme à bite ne se formalise pas plus que ça. Et très vite, elle fait cracher cette queue.

L'homme qui grogne quand il éjacule.

- C'est bon de juter dans ta gueule, pétasse !

Flavia se souvient que certains clients aiment aussi le foutre. Aussi, elle se relève et essaie de venir rouler une pelle au vaniteux capitaine.

- Non ! Je ne vais certainement pas embrasser une pute qui a l’haleine qui pue le foutre ! Allez, dégage…

Bon, ce n’est pas pire que les clients au pays, se dit la jeune prostituée et elle se tourne vers la chaise, récupère sa robe, tente l'enfiler, quand elle entend :

- Non ! Tu te casses à poil. De toute façon, les hommes te verront bien à poil, puisque je vais te les envoyer, quand ils l’auront mérité.

Une fois de plus, une pute traverse les coursives à poil, dans ce bateau pervers.

Lorsqu'elle rentre dans la cabine, Flavia, explique ce qu’elle vient de vivre et raconte ce que le capitaine lui a dit : qu'il enverrait le personnel du bateau. Mais elle ne sait pas, si ce seront des prestations qu'elles pourront faire payer ou si ça fera partie de l’amende qu’elle paye en ce moment même.

- C'est vraiment une grosse ordure, ce capitaine, dit Carla.

- Tu sais, au final, il n’est pas pire que ce nous avions comme client.

- C'est vrai, après tout…

- Par contre, il y a une queue assez grosse, et, enculé à sec, je peux te dire que j'ai eu sacrément mal.

- Viens près de moi.

Et Carla se lève et prend dans ses bras sa copine. Ensuite, elle la guide jusqu'à la couchette. Là, elle l’allonge avec grand soin et lui dit :

- Laisse-moi faire, je vais calmer tes douleurs.

Flavia se met sur le ventre, écarte les fesses, pendant que sa compagne s’agenouille entre ses cuisses

Carla vient passer sa langue sur toute la vallée des fesses, puis elle s’attelle à lécher l'anus, dont elle fait tout le contour, avant de passer sa langue dans le sphincter, pour soulager la zone, qui a tant souffert.

Flavia couine comme une belle femelle et se retrouve avec une sérieuse érection.

- C'est trop bon, ce que tu me fais, ma chérie ! Dit-elle dans un souffle.

- Oui, ne t'inquiète pas, je suis là pour te faire du bien. Retourne-toi maintenant.

Et Flavia de se retrouver doucement, lentement, un peu comme dans un film à suspens.

Carla, passant par-dessus son amie, en faisant bien attention de ne pas la blesser, regarde amoureusement sa compagne.

Celle-ci, sur le dos, les jambes repliées, étale une fière érection.

- Attends, je vais m'occuper encore de toi.

Et là, Carla se penche en avant et prend le sexe dressé en main. Puis, se penchant encor d’avantage, le prend en bouche. Elle titille le gland en même temps qu'elle masturbe doucement le joli vit.

La pipe est si bien réalisée, que la petite brunette ne tient pas longtemps et jouit silencieusement dans cette bouche chérie, si douce.

Une fois que Flavia est totalement purgée, son amie se redresse et s'allonge amoureusement sur le corps de sa copine. Puis, elle vient l'embrasser goulûment, la bouche pleine de foutre.

Les deux salopes adorent ça, le foutre. Enfin, les deux femmes à bite font un long câlin, dans les bras l'une de l'autre.



C'est une heure après, qu'on frappe à porte de la cabine.

Carla, encore habillée, se lève et va ouvrir la porte. Elle tombe nez à nez avec un homme grand, blond, qui se présente comme étant le second.

Il s'adresse à la prostituée d'une voix ferme :

- Le capitaine m'envoie, pour vous essayer toutes les deux.

Bien que surprise, la blonde s’efface de l’ouverture, laissant ainsi entrer l'homme. Ensuite, elle referme la porte de la cabine.

Flavia est allongée sur le dos, la queue flasque.

Une fois dans la place, il a un regard circulaire et inquisiteur, qui se termine sur la pauvre blondinette, à qui il ordonne :

- Toi aussi à poil.

Elle n'a que sa robe à retirer pour se retrouver totalement nue, à l'inverse de son amie, qui elle, a toujours son porte-jarretelles et ses bas.

- Allez-toi, debout et viens danser avec ta copine. Je veux vous voir danser toutes les deux.

Les deux prostituées viennent au milieu de la carrée, et se mettent à danser doucement et lascivement.

- Frottez-vous les nichons.

Se souvenant de ce que pourrait leur faire le terrible capitaine, les deux jeunes femmes se frottent leurs petites mamelles, tout en bougeant leur cul, comme demandé.

- Ouais, bof, vous ne ressemblez à rien ! Mettez-y plus de cœur !

Sans le son, il n'est pas aisé de danser. Toutefois, habituées à des demandes un peu farfelues de leurs clients, les deux femmes se mettent à danser une sorte de rock, se tenant par une main et bougeant bien leur corps.

- Non ! Plus lascivement, je veux que vous soyez une contre l'autre à vous frotter vos bites, bande de pédales dégénérées.

Toujours obéissantes, les deux femmes se mettent donc à danser une sorte de slow. Elles frottent leur sexe l'un contre l'autre. Tout de suite, Carla commence à avoir une belle érection. Ensuite, un tout petit peu plus tard, c'est Flavia qui commencent à avoir également une bonne érection.

- Super les pétasses ! Alors venez vous mettre sur votre couche et vous allez faire un soixante-neuf, devant moi.

L’homme se relève de la bannette pour laisser les deux prostituées. Elles s'allongent tête-bêche et commencent un soixante-neuf, tout en douceur.

- Allez les filles, je veux voir du foutre.

- C'est difficile de faire sur commande, tu sais.

- J'en ai rien à branler de ce que vous pouvez faire ou pas ! Je veux du foutre, donc j'aurai du foutre, sinon c'est ma ceinture sur le cul, bande de connasses.

Alors les deux femmes se lancent dans une pipe effrénée. Elle s’astique le manche mutuellement avec vigueur pour se tirer le jus. Et bientôt, Carla, qui est dessus, jute dans la bouche de sa collègue.

Flavia, connaissant les vices des clients, se tournent vers l'homme qui leur a donné l’ordre, ouvre la bouche et montre qu'elle a dû foutre plein la gueule.

- OK la pute, très bien, maintenant, roulez-vous des pelles. Je veux voir les langues.

Flavia se dégage, se met sur les genoux et se retourne pour aller embrasser sa compagne. Les deux filles s'échangent le sperme dans des gestes très lascifs, tout en prenant bien soin que cet échange puisse être vu par le client.

- C'est bon, t’es une pute bien obéissante. À présent, je veux voir l'autre jouir. Je veux du jus de couilles, je vous l'ai dit. Allez la petite pétasse, tu pompes ta copine, tout de suite.

Cette fois, la petite brune se déplace vers la cloison de la coque du bateau. Là, elle s’empare de la pine de sa compagne. Une fois bien en main, elle se penche pour la prendre en bouche. Elle lui fait alors une pipe magistrale. Connaissant parfaitement sa compagne, elle n'oublie pas de lui glisser son majeur dans l'anus et de le bouger, faisant de petits moulinets.

Il ne faut pas longtemps pour que la jolie blonde donne des signes de plaisir, puis jouisse dans la bouche de sa suceuse. Elle aussi montre qu'elle a du foutre dans la bouche.

- Parfait ! Maintenant, tu vas lui recracher son foutre dans le cul. Ça va lui lubrifier l'oignon.

Flavia se retourne et écarte ses fesses avec ses mains, de façon à se retrouver à genoux et elle attend. Sa copine vient lui cracher tout le foutre par-dessus les fesses, puis lui passe la langue sur l'anus et fini par m'enculer avec la langue.

- Très bien, parfait, maintenant, tu viens et tu me suces.

L’homme a profité de l'opération, pour ouvrir sa braguette, descendre son pantalon et son slip et offrir un sexe de belle taille à la bouche professionnelle de Carla.

Sachant pertinemment comment faire, pour obtenir rapidement une érection de ses clients, la jeune blonde suce délicatement le gland, alors qu’elle astique le manche avec plus d’énergie. Très vite, elle donne une grosse érection au second. Elle pense pouvoir le faire jouir très vite, quand elle est repoussée.

- Non, je ne veux pas juter pour le moment. Puis, s’adressant à l'autre prostituée, lui ordonne :

- Toi, tu m'amènes ton cul au bord du paddock, allez hop.

Dès que Flavia est en place, le cul bien lubrifié par son propre foutre et la salive de sa copine, elle se tourne, se penche en avant, les coudes sur le lit, écarte ses fesses à pleine main pour offrir son anus étoilé à l’homme.

Le vicieux personnage, plante sa bite directement au fond, du petit cul.

- Tu aimes ça, te prendre de la pine dans ta boîte à crottes, hein, petite pute !

- Oh oui ! elle est bonne ta queue.

- Alors, tu vas voir mon jus de couilles, en plus !

L'homme attrape les hanches de la jeune femme et lime comme un démon, ce petit cul. Bientôt, autant excité par le spectacle précédent que par sa baise, il se met à hurler son plaisir et crache tout son foutre.

- Putain ! Que ça fait du bien de te balancer ma sauce.

À ce moment, il attrape la nuque de Carla et amène la jeune femme au niveau des fesses de sa copine et lui ordonne :

- Lèche-moi bien le cul ! Comme ça tu auras le goût de mon foutre, aussi, dans ta bouche.

Et pendant que Carla lèche l'anus meurtri de sa collègue, le second se recule d'un pas, remonte son slip, puis son pantalon, remet sa ceinture, referme sa braguette et sort de la cabine. En prenant bien soin de laisser la porte grande ouverte.

Dès qu'il est sorti, deux matelots passent leur tête dans l'ouverture de la porte et regardent les deux putes dont l’une lèche encore le cul de l’autre. Ils commencent à faire des réflexions salaces.

- Si vous avez besoin de bite, les pétasses, on est là si vous voulez.

Carla se redresse et se lève. Puis, avec le déhancher particulier qu’elle sait faire pour aguicher, elle vient fermer la porte en faisant un sourire, mi-figue, mi-raisin, aux deux matelots.



Le reste du voyage fut du même acabit. La seule chose, la veille d'arriver au Havre, le capitaine les appelle et leur annonce :

- Vous allez servir de lot de consolation aux matelots, la compagnie m’annonce qu’il n’y aura pas de prime de service à la mer. Je veux que mes dix-nef hommes d’équipage puisse vous utiliser tout leur saoule ! C'est clair les putes ?

Les deux femmes, un peu effrayées, mais quelque part, se souvenaient qu’au Brésil, elles avaient pratiqué ce genre de sport : des mecs à la queue leu leu qui les baisaient.



Le soir venu, le capitaine passa ouvrir la porte de la cabine des putes, en grand. Il leur ordonna, de sa voix puissante et n’admettant aucune remarque :

- Allez, les michetonneuses, en tenue et soyez pro jusqu’au bout de la nuit, comme si vous alliez toucher un gros paquet de fric.

Les deux pétasses se mettent très rapidement en tenue, porte-jarretelles, bas et escarpins. Rien d’autre. Elles savent que presque nues, pour des hommes qui n’ont pas vu de femme depuis plusieurs semaines, l’effet est garanti, et se disent que ça devrait aller assez vite.

Une fois que le capitaine les juge potables, il laisse la porte, donnant sur la coursive, grande ouverte.

Devant la porte, il y a la queue. Tous les matelots, à l'exception d'un ou deux qui devait être de quart quelque part, étaient là à attendre leur tour.

En sortant de la cabine, le pacha déclare de sa voix tonitruante :

- Allez-y les mecs, et pas de bagarre. Il y aura du cul pour tout le monde ! N’oubliez pas, c'est votre prime, alors allez-y de bon cœur. Je vous fais confiance. Et il repart vers la passerelle.

Le premier qui rentre est un marin pas très propre, qui doit travailler en salle des machines ou fin fond d'une soute. Il pue de transpiration rance et dès qu'il est entré, il vire ses godasses et enlève pantalon et slip. Il reste la bite à l'air, debout au milieu de la carrée et essaie d'embrasser Flavia.

Bien qu’habituée à ce genre de gros porc, la jeune femme fait tout pour éviter le baiser, mais n'y parvient pas. Sa copine, qui voit le truc, se jette presque au niveau des genoux de l'homme et prend son sexe odorant dans la bouche pour le sucer.

L'homme se dit que c'est vraiment Noël ! Deux pédales qu'il le suce, la marmar* a vraiment de beaux jours devant elle.

Flavia se soucie que son client ne mette pas trop de temps à jouir.

Le marin, les couilles pleines de plusieurs semaines, lui remplit la bouche d'un sperme au gentil goût de noisette. Si la queue ne sent pas bon, au moins le sperme est agréable.

Alors qu'il se recule et récupère slip et pantalon, il annonce très fort :

- Au suivant, les potes

le deuxième gars qui rentre, n’est pas beaucoup plus propre. Dès qu'il est dans la piaule, il regarde la jeune Flavia et lui dit :

- À quatre pattes sur le paddock, sale pute. Puisque tu es ma prime, je veux en avoir pour mon pognon.

La jeune femme exécute l'ordre et attend, en se tenant les fesses, pour avoir son anus bien ouvert. Le gros salaud baisse un tout petit peu son froc et alors qu'il bande déjà copieusement, lui fourre au fond des boyaux, sa bite bien raide et dure.

Flavia remue son cul pour faire juter cette queue qui lui brûle le trou. Et, en bonne professionnelle, réussit à faire jouir le client assez intensément.

Une fois qu'il a fini, il claque la fesse droite de cette brune, lui laissant une belle marque de toutes les phalanges, et ajoute :

- Le capitaine est bien bon, de nous payer des putes comme toi. Il aurait peut-être pu aussi te foutre à la flotte.

Il ressort en faisant entrer le troisième larron.

Ce gars ressemble fort aux deux premiers. Lui sent vraiment beaucoup la transpiration et son marcel est loin d’être propre. Une fois à l’intérieur, il toise du regard les deux pétasses, désigne du doigt Flavia et lui dit :

- Sur la table, sur le ventre et les jambes écartées.

Habituée aux exigences des mâles, même ceux malodorants, la jeune femme s'allonge sur la table, écarte les jambes et attrape ses fesses, pour les écarter au maximum. Là encore, de manière détendre l'anus pour accueillir plus facilement la pine du client.

L'homme vient enculer la prostituée sans aucune préparation préalable. Pour lui, c'est juste un trou pour qu’il éjacule dedans. Et comme Carla est à sa portée, il l'attrape par ma nuque et la ramène au niveau de sa queue pour qu'elle puisse regarder, comment il encule sa copine. Très vite, il sent la pression monter. Il ressort son zob et l’enfourne dans la bouche de la blonde, en lui disant :

suce ma pine, sale pute… Tu vas voir, elle a le bon goût du fion de ta copine.



* marine marchande



Et il éjacule en de longs jets dans la bouche chaude, de la jeune femme.

La belle a un haut le cœur, c'est vrai que la pine sent le rance et le cul défoncé de son amie. Elle essaye de penser à autre chose pour faire passer le goût, c'est alors qu’elle se retourne vers le meuble où sont rangés leurs affaires, elle l’ouvre et prend la bouteille d’alcool, qu’elle débouche et s’envoie une bonne rasade. Quand elle repose la bouteille, en se retournant, elle voit sa complice qui a les larmes aux yeux.

Le quatrième client qui est encore dans la coursive et regarde à travers la porte ce que fait son pote, en se tripotant à travers l’étoffe de son pantalon, hurle dans la piaule :

Ouais ! Bravo ! Tu es toujours un gros porc ! Tartine-lui bien les amygdales... J'espère que ta pine sent bien la merde !



Une grande partie de la nuit, les dix-neuf mecs, se tapent à tour de rôle, les deux jeunes prostituées. Ils viennent pratiquement tous au moins deux fois. C'est au petit matin, le dernier client parti, qu'elles finissent par tomber dans les bras l'une de l'autre et de s'endormir. Elles ont, autant l’une que l’autre, la vallée des fesses rouges et la rondelle d’un rouge vif, limite sanguinolent.



Vers midi, le capitaine rentre dans la carrée et secoue, sans ménagement, les deux femmes, leur ordonne de faire leurs valises et revient dix minutes plus tard et les fout quasiment à la porte de son bateau.

Les deux femmes à bites brésiliennes se dirigent alors vers la gare, en prenant un taxi. Quand elle paye la course, elles comprennent tout de suite, la différence de niveau de vie entre le Brésil et la France.

Il leur reste un peu d’argent pour prendre le train et se rendre à Paris. Là, elles ont Josia comme contact, qui doit les aider.



Josia est aussi une transsexuelle, elle a trente ans et vie à Paris depuis une petite dizaine d’années. C'est une grande rousse, maigre, avec de gros seins qui n’ont pas été faits avec soin, et dont elle ne prend pas soin non plus.

Elle tapine déjà au bois de Boulogne et habite, depuis toujours, un hôtel borgne. Elle leur a réservé une chambre avec un grand lit et une douche. Elle les accueille à la descente du train, et les ramène à l’hôtel à pied. Là, les deux nouvelles peuvent déposer leurs maigres affaires et se reposer un peu. Il est prévu, que le soir même, elles commencent à se prostituer au bois de Boulogne.

L'hôtel est un proche de la gare du Nord, aucun souci pour trouver un taxi qui les emmène au bois de Boulogne. Josia fait arrêter le véhicule sur l’allée de la Reine Marguerite, pas très loin du carrefour avec l’avenue de l’hippodrome. Et elle sort prestement de la voiture et s’enfonce dans le bois sombre.

Le chauffeur dit leur offrir la course, à la condition d'avoir leurs faveurs. Les deux prostituées le pompe l'une après l'autre, jusqu'à ce que la deuxième récolte la sève du Parisien.

Dans le bois, elle retrouve leur amie Josia, qui leur explique que côté tenue, il faut qu'elle fasse des efforts. Il faut porter des bas, qu’il faut qu'elles soient presque nues.

De toute façon, en ce tout début d'été, la température est clémente. Pour ce soir, les deux nouvelles se mettent donc nues, en mettant de côté, dans un sac plastique, leurs petites affaires pour repartir plus tard.

Maintenant qu'elles sont toutes les deux nues, elles se placent à la lisière du bois, de façon à être aperçues par les automobilistes qui circulent sur l'allée. En regardant comment font les autres filles, elles plient leur bite entre les cuisses, le gland à la naissance de la raie des fesses. Ainsi, elles ressemblent totalement aux femmes.

L’avantage de la lisière du bois, c'est de pouvoir rentrer très vite à l'abri, dans le fourré, en cas de descente de flics ou pour faire un client. Pas mal d'hommes circule dans cette contre-allée piétonne, qui longe l'orée du bois et beaucoup s'arrêtent, posent des questions, tripotent les seins, tripotent la bite, tripotent les couilles.

Bref, les deux copines se sentent comme de la viande à baiser (la viande à braiser, c'est autre chose).

Après avoir fait une bonne dizaine de pipes et sept ou huit passes pour Carla, ainsi qu’une dizaine de passes, une quinzaine de pipes pour Flavia, elles s’octroient une petite pause et vont, toutes les deux un peu plus loin, dans le bois. Là, se sentant en sécurité et tranquille, elles s'enlacent et s'embrassent amoureusement.

Bientôt, Carla souffle à l’oreille de sa compagne :

- J'ai envie de toi, Flavia.

la jolie brune lui répond :

- Il faut qu'on s'habitue à parler français, tout le temps maintenant.

Carla c'est accroupie et a pris le sexe de son amie en bouche. La connaissant parfaitement, elle réalise la fellation, digne d'une professionnelle, que Flavia adore. C'est-à-dire en lui mettant son majeur dans l’anus, doucement, pas trop profond, et en caressant toute la zone intérieure de l’œil de bronze.

Flavia soupir, sa respiration devient haletante, et elle chuchote en portugais : je t’aime, je t’aime, je t’aime.

Maintenant, Carla branle, lèche, pourlèche les couilles, les soulève avec sa langue, pousse la plaisanterie jusqu’à tenir d’une main les bourses, pour pouvoir aller léchouiller l’anus.

À ce rythme, la jolie brune ne résiste pas longtemps, et elle finit par décharger une bonne petite quantité de foutre dans la bouche amie.

La bouche tout engluée de sperme, la blondinette se remet debout et vient embrasser son acolyte.

s’ensuit un long baiser entre les deux femmes à bite. Mais la pause est de courte durée, leur amie Josia les cherche et les appelle.

Elles répondent de manière à donner leur position, puis cette dernière vient les rejoindre et leur dit qu'il faut retourner au turbin. Il est bientôt une heure du matin et c'est l'heure à laquelle il est possible de faire le plus d'argent.

Les deux copines reportent donc toute leur attention et leur énergie pour les clients.

Flavia a les yeux cernés, car l'orgasme a été violent. Comme la copine voit qu'elle est un peu fatiguée, elle lui propose un rail de coke.

Celle-ci sniffe sa dose, ne voulant pas faire voir qu’elle n’en a jamais pris auparavant. Puis, toute ragaillardie, elle reprend sa place au bord du bois. La drogue la stimule fortement, et la voilà qui va au-devant des promeneurs, tous des clients potentiels, ou des voyeurs, et les aguiche. Elle n’hésite pas à porter sa main sur les braguettes et caresser les sexes à travers les tissus des différents pantalons, voire à prendre la main de l’inconnu pour la porter à ses seins.

Les promeneurs plus hardis, eux, viennent et tripotent directement les femmes, les seins, les bites, les couilles, jusqu’à enfoncer un doigt dans le cul.

Flavia, excitée par la came, se laisse pincer les tétons, embrasser, en serait même à faire une pipe devant toutes les autres putes, si un client lui demandait.

Ça amuse beaucoup sa compagne, qui entre dans la danse, et ce sont maintenant deux furies vicelardes qui jouent avec les clients. Mais ça ne plaît pas à toutes les filles.

Jusqu'à trois heures du matin, les deux femmes à bite turbinent et font du fric. Et c'est avec un joli pactole, qu'elles finissent la nuit.

Mais avant de partir, leur amie Josia vient les voir, avant qu'elles ne se rhabillent. Elle leur explique qu’il faut qu'elles payent l'emplacement. Elle dit également qu’elle paye la schnouff, et veut également qu'on la rembourse. Si bien qu’à la fin de la nuit, les deux femmes lâchent mille euros pour la place et quatre cents autres pour la coke.

Certes c'est un tiers de leurs gains, mais elles sont aussi heureuses de la somme, car elles n'ont jamais fait autant en une seule nuit.

Au Brésil, en passant sous des tas de gros porcs, qui leur faisaient mal au cul, si elles faisaient quatre cents euros, c’était le bout du monde. Là, elles ont carrément fait presque quatre mille cinq cents euros. Et maintenant, il faut retourner à l'hôtel. Les deux femmes traversent une partie du bois pour sortir sur l’avenue de l’hippodrome, où elles font de l’auto-stop.



Une voiture s'arrête, c'est un jeune homme entre vingt-deux et vingt-cinq ans, blond, sûrement assez grand, souriant qui leur propose de les ramener.

Flavia, encore très excitée par la drogue, s'assied à l'avant alors que la blonde s'installe à l'arrière. La voiture repart, il faut un gros quart d'heure pour aller jusqu'à l'hôtel.

Carla descend visiblement plus fatiguée que sa complice et lui annonce, en brésilien, qu'elle monte se coucher.

La brune, dont l’excitation ne redescend pas, décide de remercier l'homme en lui faisant une pipe.

Celui-ci lui dit qu'il n'a pas fait ça, pour avoir une pipe gratuite, mais parce que ça lui fait plaisir et ça lui a fait un peu de compagnie.

Quelque chose se passe dans le cœur de Flavia. Et, finalement, elle propose au jeune homme de la suivre. Elle monte à la chambre, sa complice n'y est pas. Elle a dû passer quelque part, pour manger un morceau. Elle referme la porte derrière elle. Saute au cou du jeune homme et l’embrasse fougueusement. Elle sent son anus appeler le plaisir

Maxime, le jeune homme est assez surpris, mais très vite, s’abandonnant furieusement aussi, au baiser, a une érection ! Il faut dire qu'elle est bien jolie cette petite brésilienne. Il lui semble d’ailleurs qu'elle ait de très beaux petits seins et un petit cul.

Flavia défait la chemisette du gars dans un geste sûr, mais très esthétique. Ensuite, très vite, s’occupe de son pantalon qu’elle retire encore avec dextérité. Et enfin, après avoir collé sa joue quelques secondes sur le tissu du caleçon, le fait glisser le long des jambes musclées. À ce moment, se remettant debout, fixe du regard son visiteur, et retire son petit haut, genre boléro, dans un geste ample, lent et doux. Pour finir, elle s’attelle à son short, toujours les yeux dans les yeux du jeune homme, le défait et le laisse choir au sol.

Maxime peut admirer une jolie bite, pas très grande, mais bien dessinée, et de magnifiques petites fesses quand la jeune femme se retourne en lui prenant la main et en l’attirant sur le lit.

Elle lui susurre à l'oreille :

- J’ai une folle envie de toi. Je veux faire l’amour dans les fesses.

L’accent est charmant, la voix est douce. Même si le français est très approximatif, le jeune homme comprend le message et répond alors :

- Moi aussi, j'ai envie de toi, ma belle.

Ainsi, très tendrement, la jeune femme allonge l'homme sur le lit. Puis, vient se mettre à cheval, au-dessus de son sexe, dans un geste, dont seules les transsexuelles savent faire. Une sorte de mélange de geste avec la douceur féminine et la fluidité masculine. Une fois en place, à deux mains, elle écarte ses fesses et s’empale doucement sur ce sexe déjà bien dur. Et quand elle l’a entièrement dans son anus, fermant les yeux, elle goûte la suave pénétration.

Maxime regarde intensément sa partenaire du moment, s’il a déjà baisé des transsexuelles dans le bois, il n’avait encore jamais fait l’amour, comme avec cette jeune beauté.

Elle prend les mains du jeune homme et les applique sur ses seins.

Le type s’amuse à pincer légèrement les tétons au rythme des allées et venues de la jeune sur son vit.

- meu amor, souffle-t-elle en portugais.

Puis, prise de frénésie, la voilà qui se met à danser avec cette queue raide dans le fion, elle ondule du bassin avec force, et se met à ameuter tout l’hôtel dans son orgasme. Ensuite, les yeux mi-clos, sans crier gare, elle met son majeur dans sa bouche et l’enduit de salive. Puis, elle le glisse dans la bouche du jeune homme.

Lui suce le doigt comme si c'était une petite queue.

Enfin, elle lui offre toute la paume de sa main à lécher.

Le jeune comprend tout de suite de quoi il s'agit.

Une fois que la paume de sa main est bien engluée de salive, elle commence à se masturber, tout en continuant à monter et descendre sur cette bite qui lui fait un bien fou. Après le tapin et les baises à la hussarde de gros porcs, ce moment lui semble être un avant-goût de paradis.

Le jeune homme arrête son mouvement de bassin, reste stoïque. Il n'ose pas bouger, de peur de casser l'instant magique. Mais peut-être est-il également très étonné par la tournure des événements. Il n’avait pas imaginé finir la soirée dans la chambre d'une prostituée qui lui offrait une baise gratuite, mieux que ça, de faire l’amour.

Flavia Se régale visiblement de cette bonne queue qui lui vrille le ventre. De plus il sait se donner du plaisir en se masturbant, bien au-delà de l’habituel, tant elle aime le faire quand ses clients lui demandent.

Bientôt, la nature reprend ses droits et le mouvement de l’anus sur la queue droite fait son œuvre. Le jeune homme grogne et explose de plaisir dans ce boyau étroit et chaud de la jolie femme à bite.

Celle-ci, à son tour, comme par mimétisme, s’approche à grands pas d’un nouvel orgasme, plus masculin, cette fois. Elle s’astique un peu plus son vit et finit par déposer son foutre tiède sur le ventre du jeune homme. Le jus de couilles, assez liquide en cette fin de nuit, coule sur les flancs du blond. Une petite quantité se loge dans le profond nombril.

À cet instant, elle plonge son index dans le trou ombilical, pour l’enduire de son foutre, et le porte à sa bouche. Elle semble apprécier son nectar.

Maxime suit la scène avec ses grands yeux. Il est heureux et détendu. Il se dit qu’il pourrait presque tomber amoureux de cette jeune femme si particulière. À ce moment précis, il la voit comme un être humain à part entière, et non plus simplement comme une machine à baise.

Flavia remet son index dans le nombril, joue à le faire tourner pour bien l’enduire, et, sans autre forme de procès, envoie son doigt dans la bouche entrouverte de cet amant du moment.

L’étonnement se lit dans le regard du garçon.

C'est à ce moment précis que la belle, se penche en avant, et vient rouler une pelle d’enfer à son visiteur, pour lui demander de rester ? Ou pour lui signifier la fin des ébats ?

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