La vierge enceinte : L’examen médical (2024)

 

Le lendemain matin, vers sept heures, les deux compères rentrent d’une soirée un peu arrosée, mais relativement calme. Paul a bien dragué une jeune salope, pour finir par la tirer dans les toilettes, mais sinon, un petit after et retour à l’appartement.

Ils trouvent les deux femmes qui dorment d’un profond sommeil, et finissent par s’assoupir sur le canapé.



Sur le coup de onze heures, les deux femmes se lèvent. Elles viennent de passer une bonne demi-heure à se caresser doucement, mais sans vouloir aller jusqu'à l’orgasme. Elles arrivent dans la pièce où les deux hommes sont assoupis sur le canapé et les embrassent, toutes les deux, chacune à leur tour.

Un petit-déjeuner sympa, où les deux messieurs racontent leur soirée en boîte. Paul donnant forces détails sur la nana qu'il a tirée. Puis, la discussion tourne sur le sexe et bientôt, sur la grossesse de Sylvie.

Une fois de plus, la jolie brune, bien sûr, affirme vouloir rester vierge jusqu'au mariage, combien même, celui-ci se ferait après l’accouchement.

À ce moment-là, Paul se souvient qu'il a un copain toubib, qui travaille à la clinique et propose à son pote, de le contacter, pour avoir un avis, réellement médical, sur la question.

- Très bonne idée ! Effectivement, l’avis d'un professionnel sera une bonne chose.

- Oui, moi ça ne me dérange pas, au contraire, j'aimerais bien aussi avoir le point de vue d'un médecin, poursuit Sylvie.



Le lundi matin, Paul passe un coup de fil à son ami toubib, pour prendre rendez-vous pour Michel et Sylvie. Plus, il contacte son pote en lui disant qu’il a obtenu un rendez-vous très rapide, pour le mercredi, en fin de journée, suivant.



Le mercredi donc, vers seize heures, Michel passe chercher sa compagne à la sortie de son école. Ensuite, il passe chez elle pour qu'elle se change. Il lui demande de ne pas mettre de culotte, ni de soutien-gorge et de mettre des bas, un joli bustier sous une robe, qui va jusqu'aux genoux.

Coquine, la belle choisit une robe qui se boutonne sur le côté, un petit peu déstructurée, dans les Mauves. Elle complète sa tenue avec un joli bustier porte-jarretelle vieux rose et des bas blancs.

- Dis-moi, habillée comme ça, tu veux faire bander les évêques ou quoi ?

La brune rigole et elle répond :

- Ah oui tiens ! C'est une bonne idée, voir la bite d'un évêque, ça doit être intéressant !

- Surtout que, comme tu es vierge, ils pourront s'imaginer le con sacré !



La clinique est de l'autre côté de la ville, mais ils ne mettent pas très longtemps à y aller. Ça va assez vite avec la voie rapide. Sur cette voie d'ailleurs, Michel demande à sa compagne de bien remonter ses genoux et de remonter sa robe, le plus possible, que les chauffeurs routiers puissent voir qu'elle n'a pas de culotte.

Après s'être garé sur le parking de la clinique, ils se présentent à l'accueil ou une fonctionnaire acariâtre leur répond du bout des lèvres dans quelle salle d'attente aller, pour voir le praticien en question.

Comme c'est de l’autre côté de l’immense bâtiment, l’homme s’adresse à sa soumise :

- Tu as vu, les infirmières sont souvent sans soutif.

- Oui, j’ai vu ça

- Alors ouvre ton décolleté et montre le plus possible, que toi aussi, tu as les seins libres.

Et la jeune femme d’exécuter l’ordre sans arrière-pensée autre, que celle de pouvoir exciter certaines personnes qui la croisent.

Ils arrivent enfin, dans la salle d’attente, qui est remplie d’une dizaine de personnes, dont plus de la moitié sont des hommes, et tous avec plus de cinquante ans.

Là encore, les regards se tournent vers la jolie jeune femme. Et quand elle s’assoit, c'est un festival ! En croisant ses jambes bien haut, elle découvre le haut de ses bas, ce qui n’est pas pour déplaire aux messieurs, qui ne savent pas toujours s’ils peuvent regarder ou non !

L'homme qui vient les accueillir quelques minutes plus tard, dans sa blouse blanche, avec son stéthoscope autour du cou, est un type très souriant, grand, costaud, très bel homme, mais qui le sait.

Michel et Sylvie suivent le toubib juste que dans son bureau. Celui-ci s'assied et leur propose de faire de même.

- Alors qu'est-ce qui vous amène ?

- Disons que c'est assez particulier, commence Michel. Ma compagne est vierge, mais elle est enceinte.

- Ah ! je vois... J'ai parfois des beurettes qui viennent avec le même souci. Elles seront vierges au mariage, mais pas inexpérimentées, car côté sodomie, elle s'y entendent, plutôt deux fois qu'une.

- Eh bien, c'est le cas également de ma compagne. C'est une sodomite invétérée, mais qui tient à rester vierge pour le mariage.

- Très bien, pour commencer, nous allons regarder, un peu, ce qui se passe là-dedans. Mademoiselle, puisque vous n'êtes pas mariée, sinon vous ne seriez plus vierge, veuillez vous dévêtir, disons enlever la robe et la culotte suffira.

Là, le rouge monte aux joues de la jolie jeune femme. C'est la première fois, qu'elle va chez un médecin sans culotte.

Mais son amant vient tout de suite à son secours.

- Non docteur, elle ne porte pas non plus de culotte. Elle est donc toujours prête, pour une petite sodo sauvage.

Le médecin rigole, fait un clin d'œil à l'homme et aide la jeune femme à s'installer sur le fauteuil d’examens gynécologiques.

- Je vous félicite pour vos dessous ma chère, ils sont vraiment magnifiques tout en étant affriolants et relativement sages.

- Comme je vous le disais, nous n'aimons ni les culottes ni les collants, on fait en sorte que madame ait toujours le sexe aéré.

- Vous avez raison, ça évite de sentir le renfermé et finalement c'est beaucoup plus simple et plus hygiénique.

Puis, le médecin écarte délicatement les petites lèvres de la femme, pour y observer l'hymen.

- Oui, madame est bien vierge. À n’en pas douter, la déchirure de l'hymen ne devrait pas poser de problème particulier, si ce n'est la légère douleur que beaucoup de femmes ressente, mais rien de réellement très douloureux.

Ensuite, il règle son fauteuil d'examen d'une autre façon et explique :

- Maintenant, je vais examiner votre anus, puisqu’il semble que vous vous amusez beaucoup avec.

La brune rougit à nouveau, mais ne réponds rien.

L'homme écarte l’œil de bronze, pour bien l'ouvrir, puis glisse un doigt et fouille le colon. Un deuxième doigt et fouille encore. Un troisième doigt et cette fois, il essaie d'écarter ses doigts, pour bien distendre le muscle anal.

- Il est rare que je reçois une jeune femme, qui ne soit pas d'origine maghrébine, vierge et enceinte. Est-ce que vous m'autorisez, pour mes archives personnelles, à prendre un film de tout ça ?

- Oui, bien sûr ! En fait, c'est mon ami Paul qui m'a conseillé votre expertise. Mais il restait un petit peu évasif, quand je lui ai demandé d'où vous vous connaissiez.

- Nous nous connaissons depuis les clubs libertins et quelques parties fines, que nous avons fait chez lui et chez moi.

- D'accord, ça ne m'étonne pas de lui.

Durant ce temps-là, le toubib est parti ouvrir une grande armoire de laquelle il extirpe un appareil photo numérique et il revient, en le réglant. Une fois devant la femme, il met son appareil sur la position caméra et commence à filmer.

- Je peux filmer votre visage ?

- Oui docteur.

Le docteur tourne d’abord autour de la jeune femme, semi-allongée, sur son fauteuil. Ensuite, il s’approche de l’entre-jambe en faisant des commentaires d’ordres médicaux, compréhensible de lui uniquement. Puis, il fait un gros plan sur le sexe ouvert, et de ses doigts, de sa main libre, écarte les lèvres pour pouvoir filmer au mieux l’hymen rose qui obstrue partiellement le vagin.

Sylvie se laisse faire sans broncher, et elle y trouve même une sorte de plaisir.

Il commence à lui poser des questions :

- Alors que vous vouliez rester vierge, c'est philosophique, ça reste dans votre droit le plus strict et je ne m'intéresse pas vraiment à savoir quelles sont vos motivations. Toutefois, pouvez-vous me dire, ce qui vous a poussé à essayer la sodomie ? Parce que ça ne semble pas être dans votre culture première, je me trompe ?.

- En fait, je me caressais et je voulais découvrir des plaisirs plus intenses que la masturbation. C'est là, que j'ai rencontré Paul et Michel, qui m'ont amené doucement et gentiment à la sodomie. Et ce fut une réelle révélation pour moi.

- Très bien, ils ont commencé par vous sodomiser directement ou plutôt par faire entrer différents objets, voire des doigts ?

- Ils y ont été progressivement. D’abord, en me léchant, ils m'ont mis des doigts et quand j'étais prête à avoir un orgasme, ils m'ont pénétré et je n'ai eu aucune douleur.

- Parfait, vous êtes fort belle et sachez que sous la blouse du médecin, il y a un homme qui n'est pas insensible à vos charmes. Qui plus est, j’adore la sodomie et m’y entends plutôt bien.

À ce moment, Michel demande clairement au praticien :

- Vous avez envie de l’enculer, c'est ça ?

- Je l'aurais dit en terme moins cru, mais oui.

- Si elle est d'accord, je n'y vois aucun inconvénient, bien au contraire.

Puis se tournant vers sa compagne, il lui dit :

- Ainsi, tu payeras ta consultation en nature, n'est-ce pas docteur ?

- Oui, tout à fait, c'est plus sympa que de passer par la carte vitale, non ?

Le médecin s'agenouille devant les cuisses de la jeune femme et commence à la gamahucher. En même temps qu'il lèche toute la vulve, il pose sa main droite sur le monde Vénus et titille délicatement le clitoris avec son pouce.

Michel, décidé à ne pas en rester là, est venu se positionner à côté de la tête de sa compagne, a ouvert sa braguette et présente sa bite à la bouche amie.

Sylvie prend la pine de son amant en bouche et commence à le sucer doucement en lui tripotant les couilles.

Le vicieux praticien, quant à lui, est passé de la vulve à l'arrière-train et lèche tout l'anus d'une langue experte.

La belle ferme les yeux et se laisse aller au plaisir. Que c'est bon une langue sur son trou de balle, pense-t-elle. Et elle se remémore encore les premiers émois qu'elle a eus avec son amant, de cette caresse si particulière.

Maintenant, le bon docteur durcit sa langue, en fait un petit vit et pénètre doucement, mais sûrement, l'anus qui sent l'oignon.

- Il sent vraiment très bons, ce trou de balle, s'exclame le toubib quand il a fini de le fouiller avec sa menteuse.

- Oui ! Elle a ceci de particulier, d’avoir un trou du cul qui sent extrêmement bon.

- Vous êtes des cochons tous les deux !

Et le praticien, cessant ses caresses sur le clitoris, vient amener son pouce humide contre la rosette et appuie doucement, pour le faire rentrer. Quand il a inséré totalement son doigt, de sa main libre, il défait sa blouse, puis sa braguette, puis sa ceinture, laisse glisser son pantalon au sol, fait quelques mouvements des hanches, pour faire glisser son caleçon et amène sa queue, déjà en érection au niveau de l’anus. Dans le même geste, il retire son pouce et fait entrer sa bite dure, chaude, longue et assez large, dans l’étroit conduit féminin.

- Ça rentre comme dans du beurre : S’exclame-t-il en allant le plus loin possible avec sa bite.

- Oumpf ! Fait la jeune femme, qui, si elle s’attendait à une visite de ce côté-là, est toutefois surprise de la longueur et de l’épaisseur de l’engin qui l’encule.

Sentant que les lèvres se contractent autour de sa queue, Michel fait un clin d'œil au praticien et, s'adressant à sa soumise, lui dit :

- Ça t'en bouche un coin !

La belle a un petit rictus, mais très vite, elle reprend sa pipe avec précaution, tout en appréciant grandement, ce beau sexe qui lui vrille les intestins.

- Toi, tu es vraiment une bonne enculée, qu'annonce le vicieux toubib.

- Oui, j'aime ça, j'adore me faire enculer.

Bien qu'adepte des clubs libertins et grand connaisseur des femmes, le médecin a cependant une conscience professionnelle qui lui dit de se dépêcher un peu, que d'autres patients patientent (ils sont faits pour ça, finalement). Aussi, sentant que son plaisir va exploser, il s'adresse encore à la jeune brune :

- Je peux jouir dans ton cul ou tu préfères dans la bouche.

- Viens-lui jouir dans la bouche, elle adore le sperme, indique joyeusement Michel.

Sylvie a une petite interjection, qui explique au bon docteur, qu'il a le feu vert.

Aussi, il ressort de cet anus, contemple sa queue toute propre et vient la glisser dans la bouche de la jeune femme. Car l'amant s'est reculé, pour lui laisser la place. Là, il jouit bruyamment et décharge son flot de foutre chaud dans la bouche tiède de sa patiente. Puis en guise d’explication, il annonce :

- Je suis désolé, mais j'ai d'autres personnes à recevoir et je ne voudrais pas les faire attendre, outre mesure.

- Pas de souci, de toute façon en sortant, on va se mettre dans un petit coin de la clinique et ma belle va me finir, annonce, sûr de lui, Michel.

Une fois tout le monde rhabillé correctement, le toubib les raccompagne à la porte et leur indique un couloir à emprunter pour sortir, qui n'est pas habituel et où il y a peu de monde, mais quelques recoins qui pourraient faire affaire.

Le couple empreinte donc le couloir indiqué et effectivement, il se pointe devant un cabinet de toilette pour handicapés, entre dedans.

Là, Michel défait son pantalon, le laisse tomber sur ses chevilles, attend que sa belle se soit assise sur le couvercle de la lunette et il lui présente sa pine.

C'est avec gourmandise que Sylvie suce son homme, elle passe longuement sa langue tout autour du gland, qu’elle a en bouche.

L’homme grogne un peu, de plaisir, mais aussi de la joie de se faire sucer dans un endroit assez insolite, tout concourt à une érection formidable.

La brune commence à astiquer le pénis, d’abord doucement, puis, scrutant les réactions de son amant, de plus en plus vite pour faire monter l’envie de jouir.

L’homme commence à avoir les jambes qui flagellent, signe annonciateur de son orgasme.

Fine mouche, la belle stoppe sa masturbation, ressort le gland de sa bouche et demande :

- Aurais-tu froid, que tu trembles un peu ?

- Salope ! Tu sais très bien à quoi est dû ce frisson !

- Ha c'est ça ! Alors, je continue… Et elle happe à nouveau le gland, puis, très vite, recommence sa caresse tout au long du pénis.

- Tu es vraiment devenue une experte de la pipe ! Une vraie fée !

- Oui, la fellation, je suppose ?

Sur ces bonnes paroles, elle presse encore un peu plus le membre dur, aspire et passe sa langue dans le méat.

Cette fois, Michel ne peut résister plus longtemps, et dans un grognement sourd, il lâche les ballons et englue les amygdales de sa jeune amie.

La jolie jeune femme sert fort la queue dans sa main, elle la sent dégonfler, mais la garde en bouche, le plus longtemps possible, pour en extraire toute la sève. Elle avale avec délice ce nouveau foutre, le deuxième de l'après-midi. Bien qu'elle le connaisse, elle s'en délecte toujours autant.

L’homme la regarde jouer avec sa bite, passer sa langue autour du gland, comme pour récolter les dernières gouttes. Quand il a repris ses esprits, il s’exclame :

- Ho putain ! Une bonne pipe par une bonne enculée, dans une bonne clinique, que demander de plus !

- Une bonne sodomie ! Mais, malheureuse, tu n’es plus en état de me l’administrer !

- Tu n’en as pas eu assez, avec la grosse bite du bon docteur ?

- Si, pour le moment, mais ne crois pas que tu y échapperas ce soir !

Puis le joyeux couple se rhabille, sort des toilettes et va prendre la voiture pour rentrer à l'appartement.



En haut des escaliers, devant la porte, une surprise les attend. C'est Marie qui est assise par terre, les genoux repliés sur son ventre, qui sanglote doucement.

Tout de suite, la jolie brune se précipite au cou de son amie et lui demande :

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Ça fait longtemps que tu nous attends ?

- Oui, je suis passé chez Paul, mais il m'a mis à la porte, car il recevait une jeune pouliche.

- Bah, tu as un peu l'habitude de ça, non ?

- Oui, mais là, quand la jeune femme est arrivée, il m'a carrément traité de mémé et m'a demandé de ne plus venir l'importuner ! Quel salaud.

- Entrons, tu vas nous raconter ça.

Pendant ce temps, Michel déverrouille la porte et l’ouvre. Puis, il aide la femme mûre à se remettre sur ses jambes et l'accompagne jusque dans le salon. Il l’installe sur le sofa.

- Un café ?

- Ah, je veux bien, oui.

Et pendant que le maître de maison va faire le café dans la cuisine, l'hôtesse s'assoit à côté de son amie, lui passe un bras autour des épaules et lui demande d'une voix douce :

- Ça va aller, de toute façon, tu vas bien retourner le voir, non ?

- Je ne sais pas, je ne sais plus. J’ai vraiment été humiliée, tu sais.

- Oui, mais tu le connais, il est un peu brutal, mais il te reprend toujours.

- Je ne sais pas, je ne sais plus, franchement! Et puis, depuis que je t'ai rencontrée, il se passe quelque chose en moi, que je n'avais pas connu depuis des lustres.

Sur ce l'homme revient avec deux expressions pour les filles et un pour lui. Posant les deux expressos sur la table basse, il regarde la femme qui sanglote encore et lui dit gentiment :

- Bon, ce soir, tu dînes avec nous et tu dormiras ici. Il n’y a pas de souci. Puis s'adressant à sa compagne, il annonce :

- Occupe-toi de ta copine. Moi, je vais faire quelques courses pour nous faire un bon petit repas. C'est toujours très bon pour le moral.

Puis, il enfile son manteau, qu'il avait posé sur la table de la cuisine, et sort de l'appartement.

La blonde qui sanglote de moins en moins, regarde avec ses yeux mouillés sa nouvelle amie et lui dit :

- Je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi... Ce n'est pas bien.

Touchée par tant de sincérité et secouer par ce qu'elle vient d'apprendre, la jolie brune attire son amie à elle et l'embrasse. Elle lui roule une pelle digne des films américains.

La blonde, tout en se laissant embrasser, en profite pour défaire, doucement, les boutons de la robe de son amante. Elle arrive bientôt à dégager les seins, puis, arrivant vers le bas de la robe, dégage les hanches et les cuisses de la belle brune.

- J'ai trop envie de toi... Laisse-moi te lécher.

Et, joignant le geste à la parole, elle plonge sa tête entre les cuisses, pour faire un premier baiser, plutôt chaste. Ensuite, elle s'arrange pour se retrouver, très vite, à genoux entre les jambes de la jolie jeune femme. Et là, elle plaque sa bouche sur la vulve et joue de la langue dans toute la zone érogène.

Sylvie se laisse faire. Après, la sodomie et les pipes, elle goûte à ce plaisir différent, que seules les femmes savent se donner entre elles. Bientôt, elle amène ses mains au niveau de la tête de son camarade comme pour l'encourager encore.

- C'est trop bon, c'est vraiment trop bon, continue.

- Ta chatte sent bon ! Quel plaisir ! J'ai envie de te manger le clitoris.

La belle se cambre un peu plus, de manière à offrir son bouton d'amour à sa complice et elle se laisse travailler le démarreur à grands coups de langue experte. Dans un souffle, elle demande :

- Mets tes doigts dans mon cul…

La blonde s’empresse d’accéder à la demande, et plonge directement trois doigts dans l’anus encore bien ouvert.

- Oh ! C'est fou ce que tu es ouverte !

- C'est le médecin.

- Ha bon ! Lequel ?

- Le copain à Paul.

- Ha oui, je le connais, bel homme ! Très appétissant.

Maintenant, elle sent les doigts s’affairer dans son colon. La voix déformée de Marie pourrait porter à rire, si elle n’était pas si proche d’un orgasme qui s’annonce violent.

Le contre coup de son altercation avec son amant habituel, et le fait d’avoir osé avouer, à son amie, ses sentiments, rend la femme mûre comme folle, et elle s’active furieusement pour donner le plus de plaisir possible. Elle en profite pour s’astiquer, à son tour, son bouton d’amour frénétiquement.

Exciter comme elle est, Sylvie ne tarde pas à jouir et à crier fort son plaisir. L'orgasme qui la ravage est d'une intensité peu commune et elle fait des cabrioles, qui désarçonnent sa copine.

Trop c'est trop, cette fois c'est la blonde qui se met à crier son bonheur.

Les deux cantatrices feraient un malheur dans une salle de concert.

Quand la jeune brune redescend tranquillement du septième ciel, elle sourit à son amie. Elle veut la remercier, mais finalement, ses yeux s’embrument et, quelques instants plus tard, elle éclate en sanglot.

- Je suis une salope ! J'aime mon amant et je fais l’amour avec toi !

- Rassure-toi, je suis une salope aussi ! Je suis marié, j'ai un amant et maintenant, je tombe amoureuse de toi.

Les deux femmes se regardent et se mettent à pleurer à chaudes larmes. Elles s’enlacent, se serrent très fort, sans aucune connotation sexuelle.

C'est dans cet état que le maître des lieux les retrouve, quand il rentre.

- Bah alors, les filles, qu'est-ce qui vous arrive ?

À nouveau, la brune, qui s’était calmée quelque peu, éclate en sanglot et avoue à son homme.

- Je ne suis qu'une traînée, je viens de faire l'amour avec Marie, sans t’en avoir parlé au préalable.

- Mais non, il n’y a pas de souci, au contraire, ça me plaît bien que tu fasses l'amour avec les femmes.

Tout de suite, la blonde s'empresse de dire :

- C'est un peu de ma faute. Elle a voulu me consoler, et finalement, je l'ai caressée et elle a eu envie de moi.

- Il n'y a aucun souci les filles. On est tous là pour le plaisir ! La vie est suffisamment compliquée comme ça, pour ne pas en rajouter ? Donc, tant qu’on peut se faire du bien, c'est parfait.

- Tu es un amour, mon Chéri.

- De plus, comme tu es enceinte, les hormones doivent être tout chamboulés là-dedans.

Cette fois, la jeune femme se relève du canapé et se jette au cou de son amant et maître et lui susurre à l’oreille :

- Pardon, pardon, je t'aime vraiment profondément, mais je ne sais pas ce qui se passe, j'aime aussi mon amie. Je deviens folle, je suis amoureuse de deux personnes.

- Allez, ne restons pas sur une idée triste ! Je vais vous préparer un petit repas, dont vous me dirait des nouvelles.

Sylvie retourne s’asseoir à côté de sa copine, mais cette fois, les deux femmes ne sont plus aussi entrelacées, mais elles se donnent la main, c'est plus discret, comme si cette discrétion était nécessaire.

Sur ce, Michel repart dans la cuisine, laissant les deux femmes très proches, les yeux rouges, mais rassurées, du moins pour la jolie brune.

Ensuite, le naturel reprenant ses droits, on commence à papoter comme deux amies.

Quand tout est prêt dans la cuisine, le maître des lieux revient et offre l'apéritif à ses deux convives. Du vin cuit pour ces dames, un whisky écossais pour monsieur. On remet ça une fois, puis on passe à table.

C'est un souper fin, fait de gambas grillées en entrées, suivi de coquilles Saint-Jacques en sauce et de fruits exotiques en dessert. À la fin, tout le monde repasse au salon, pour prendre qui un café qui un thé ou une tisane.

Les discussions vont bon train. Sujet principal : le sexe. Sujets secondaires : l'homosexualité féminine et la domination. Tout cela finit par réchauffer le sang des uns comme des autres.

Tout d'un coup, Michel se levant et en allant s'asseoir dans le fauteuil directorial devant son bureau, où se trouve son ordinateur, regarde les deux filles et leur dit :

- Et si vous me faisiez un petit strip-tease, pour commencer.

Sylvie est tout de suite partante, mais Marie est plus réticente, elle dit alors :

- Mais moi, je n'ai rien ! Je ne suis pas habillée pour ça.

- Ne fais pas ta timide, tu étais habillée pour aller voir ton amant, donc on te fait largement confiance.

Puis, le maître des lieux se tourne vers son ordinateur, très vite met une petite musique douce, avec la voix de la chanteuse de Sade, avec son fameux morceau : sweetest taboo, et se retourne vers les deux femmes :

- Allez, debout les filles, faites-moi un beau spectacle. Je vais vous enregistrer.

Là-dessus, il sort son caméscope d’un tiroir de son bureau et le met en route. Il attend que les deux femmes, qui viennent de se lever, bougent au rythme de la musique.

La voix chaude et suave de la chanteuse du groupe ne tarde pas à faire trémousser les deux femmes. D'abord la jeune brune, puis la blonde plus mûre. Les deux femmes se déhanchent doucement lascivement, en se tenant la main.

Michel commence l'enregistrement.

- Allez les filles, commencez à vous effeuiller.

C'est alors que la jolie brune prend le dessus et commence à défaire, un à un, les boutons du chemisier de son amie. Puis, elle se rapproche à se coller à sa copine, pour passer les mains entre la peau et le chemisier et aller défaire l’attache du soutien-gorge, dans le dos. C'est un soutien-gorge sans bretelle, donc elle le retire aisément. Puis, continue à danser en regardant les seins de la blonde qui remue au rythme de la musique.

Visiblement, la femme mûre est excitée. Et, à son tour, elle commence à défaire les boutons du haut de la robe de la jeune femme. L'avantage de celle-ci est qu'elle ne porte pas de sous-vêtement, ni soutien-gorge, ni culotte. Aussi, dès que la robe est suffisamment ouverte, les magnifiques seins de la brune apparaissent. On dirait une forme en gélatine qui bouge en fonction du rythme de la musique

L'homme enregistre ce qui se passe sous ses yeux et il est émerveillé quand il voit, que d'un coup, la jolie brune, prenant les joues de son amie entre ses mains, l'embrasse à pleine bouche.

Au bout d’un moment, les deux femmes se frottent les nichons.

Là-dessus, la jolie blonde reprend son action et défait les boutons, qui restent, sur la robe de la brune, la laissant pratiquement nue, à l'exception de ses bas et de ses escarpins.

Pour ne pas être en reste, la jolie brune s'attelle à défaire la jupe de la blonde, puis la laisse glisser au sol.

La femme mûre se retrouve avec un chemisier ouvert et libre. Très vite, elle retire ce vêtement et se retrouve avec son porte-jarretelle rose, ses bas blancs et ses escarpins.

L'homme, quant à lui, continue à enregistrer la soirée sur son caméscope. Il se régale d'avance, de montrer cette vidéo à son bon ami Paul.

Mais finalement, maintenant qu'elles sont quasiment nues, les deux femmes en viennent à se rapprocher et en définitive, à danser un slow.

Si l'homme n'en perd pas une miette, il ne perd pas non plus de vue, le cadrage et s'occupe de son caméscope tout en sentant une bonne érection poindre. Il laisse encore les deux femelles s'exciter, avant que de ne poser son appareil sur le bureau, faisant attention à toujours bien cadrer. Ensuite, il se lève de son fauteuil, se pousse sur le côté et se déshabille à son tour.

Sylvie s'apercevant que son amant est nu, lui fait un clin d'œil, puis lui demande gentiment :

- Viens danser avec nous.

Un slow à trois, voilà bien une danse qui n'est pas banale ! Et qu'on ne voit pas dans les dancings, ni dans les boîtes de nuit.

Peau contre peau, bientôt les effets se font sentir, et l’homme embrasse sa compagne dans un long baiser passionné. Puis, pour qu’elle ne se sente pas hors du coup, il embrasse Marie.

Les trois langues se mélangent à présent.

L'Homme arbore, maintenant, une fièvre érection, qui donne des envies aux deux femelles.

La danse lascive se poursuit, chacune des femmes a un bras autour du corps de l'homme, et chacune, une main libre, pour tripoter le sexe chaud de l’autre.

La danse dure un long moment, chacun est en totalement conscient de l'instant magique qu'il vit.

Mais chaque chose à une fin, même les meilleures. Et, quand la musique s'arrête enfin, sans aucune concertation, les trois personnes se rendent dans la chambre et s'allongent sur le lit.



- Puisque je suis une fée et que tu aimes mes fellations, je vais m'occuper de toi, mon chéri.

Et elle se met sur les genoux, vient prendre le sexe de l'homme dans sa main. Après avoir constaté la dureté du membre, elle la met délicatement dans sa bouche.

Sa copine, ne voulant pas être en reste, vient se mettre au même niveau, mais de l'autre côté de l'homme. Elle amène sa langue près du pénis. Là, elle la passe tout du long de la queue, pendant que sa copine travaille le gland. Puis, les deux femmes n'y tenant plus, s'embrassent avec le sexe de l'homme au milieu. Les deux langues s’enroulent tout autour l'une de l'autre, mais aussi autour du nœud.

L'homme, sur le dos, a les doigts dans la chatte de la jolie blonde et son pouce dans l'anus de la jeune brune. Bientôt, il donne les signes d'une jouissance, qui arrive à grands pas. Aussi, il repousse les deux Furies gentiment et leur dit :

- Attendez les filles ! Là, vous allez me faire partir trop vite. Laquelle de vous deux, me prend en premier ?

les deux femelles s'exclament une même voix :

- Elle !

Tout le monde rit quelques instants. Mais l'instant est si intense et excitant, que très vite, le sexe revient la priorité du trio.

L'homme décide donc de prendre les choses en main et, donnant une petite claque sur les fesses de la blonde mûre, lui intime l'ordre :

À quatre pattes, tu vas avoir l'honneur de ma queue, en premier. Honneur aux invités, c'est bien connu.

C'est ainsi que la jolie blonde se décale, et se retourne, toujours à quatre pattes, sur le lit.

L'homme se met, lui, sur ses genoux. Il guide sa queue d’une main sûre, pendant que l’autre main écarte les lèvres étirées. Une fois prêt, il enfourne sa pine dans la chatte bouillante.

À ce moment-là, la brune décide de venir s'asseoir face à sa copine, les jambes écartées, puis elle s'allonge.

Marie en profite pour baisser sa tête, en se mettant sur les coudes, et vient lécher la vulve de sa copine. Pour Sylvie, c'est quelque chose de très particulier, elle voit son amant, dont elle est follement éprise, baiser la femme, dont elle tombe amoureuse. Elle sent le souffle chaud qui résonne dans sa chatte.

Se souvenant des demandes de son amie, Marie suce deux doigts en fixant la jeune femme d’un air coquin, puis enfonce les doigts, englués de salive, dans le rectum de la brune. Là, elle les fait aller et venir en cadence avec les coups de vit, qui lui vrille le bas-ventre.

Alors que Michel suit le jeu des deux femelles, et que sa pine est bien au chaud dans cette gangue de chair, qui la sert, il la ressort, écarte les fesses de sa main libre, et met le gland contre la rosette légèrement entrouverte. La vieille blague du peintre lui revient en tête, accroche-toi au pinceau, je retire l’échelle. Aussi, il la parodie et annonce :

- Accroche-toi à la chatte de Sylvie, je vais te la mettre dans le cul.

C'est une espèce de gargouillis qui répond à l'homme.

Celui-ci comprend que le passage est, non seulement libre, mais en plus, espérer.

Maintenant la blonde mûre commence à remuer son cul de haut en bas, autant qu’elle peut, à la manière d'une belle diablesse. La femme couine avec sa bouche toujours plaquée sur le sexe de la brune, ce qui donne un son très particulier.

La soirée est si chaude, que l'homme ne peut pas tenir très longtemps. Aussi, à un moment, il informe :

- Je vais jouir !

Une longue plainte, de sa partenaire, lui fait comprendre que son foutre sera le bienvenu. Il jouit dans un grognement d'ours blessé.

La jolie blonde, très, très excitée, mais qui n'a pas eu son orgasme, reste un peu sur sa faim. S’ensuit un petit quart d'heure de câlins tendres, entre les trois personnes allongées sur le dos, les deux femmes, étendues de part et d'autre de l'homme.

Sylvie se décide à prendre en bouche le sexe de son amant et recommence à le pomper.

Sa copine s’en émeut et lui dit :

- Attends ! Après une sodo, c'est à moi de le sucer !

- Non ne t'inquiète pas, il n’y a aucun souci et sa bite est propre.

- C'est que… Oui ! Mais on ne sait jamais !

- D'accord, mais là ça va. Et elle reprend sa pipe avec assiduité. Mais bientôt, un peu fatiguée de sucer, elle se redresse pour reprendre son souffle.

Cette fois c'est la jolie blonde qui se redresse à son tour et vient prendre le sexe de l'homme dans sa bouche. Elle le suce pendant un bon quart d'heure.

L’homme, qui a déjà joui deux fois, dans la journée, recommence toutefois à bander, l'instant étant si intensément magique.

La jolie brune se redresse et vient rouler une pelle dantesque à son amant.

Celui-ci vraiment totalement heureux, sa bite dans la bouche chaude d’une jolie blonde, sa bouche en train d'embrasser une jolie brune, que demander de plus.

À ce moment, Sylvie, prenant un tout petit peu de recul, annonce à son homme :

- J'ai envie de ton sexe en moi…

- Allez à quatre pattes. J'ai une folle envie, aussi, de te la mettre dans ton cul, ma belle.

Sylvie se retourne et se met à quatre pattes, attendant l'arrivée de son mâle.

Michel, lui, attrape les cheveux de la blonde, tire doucement dessus et l’aide à se redresser. Une fois qu’elle est sur ses genoux, il l’attire à lui et l'embrasse avec gourmandise. Puis, il lui ordonne :

- Va te faire lécher par ma chérie.

La femme mûre se déplace sur les genoux et vient se mettre, à quatre pattes, juste devant le visage de sa copine.

Pendant ce temps, l'homme est venu se mettre à genoux derrière le beau fessier de sa compagne, lui écarte les fesses et enfourne sa queue d'un coup, dans cet étroit boyau, chaud comme l'enfer (c'est normal, ça tend la bite).

La jeune brune pousse un cri, mais très vite, elle se met à bouger ses hanches, comme pour encourager encore son amant. Elle applique sa bouche entre les fesses de sa copine, sort sa langue et lui lèche l'anus amoureusement.

Cette fois, l'homme, tout à son plaisir à limer ce cul serré, cherche à se retenir le plus possible.

Pendant ce temps-là, la blonde pousse de petits cris. Elle se sent tellement proche de cette jeune femme, qu'elle commence à aimer d'un amour fou, qui lui fouille les entrailles. La rendant chienne au possible.

Sylvie sent sa chatte suinter et un liquide visqueux et chaud, couler le long de ses cuisses. Elle est excitée au plus haut point. Elle sent bientôt un orgasme dévastateur arrivé à grands pas. Elle fouille encore plus les entrailles de sa bien-aimée et se met à couiner comme une truie, qui va à l'abattoir, mais elle, de bonheur. Elle ne peut plus s'occuper du cul de sa copine, maintenant, elle jouit bruyamment.

Marie, qui a commencé à se masturber, sent également arriver l’orgasme libérateur. Elle se retourne et vient s'asseoir devant sa copine. Là, lui prenant la tête dans ses mains, l’embrasse goulûment, tout en continuant à se tripoter le clitoris furieusement.

Embrasser la femme qu'elle adore de plus en plus, alors que l'homme qu'elle aime lui offre un plaisir immense, voilà bien le seul vrai moment de félicité, se dit la jolie brune.

En voyant les deux femmes se rouler des pelles, l'homme, malgré sa journée forte chargée d'un point de vue sexuel, ne peut se retenir plus longtemps. Il plante son vit le plus loin possible, dans les entrailles de sa dulcinée. Se bloque, et avec le même grognement que tout à l'heure, jouit en de longs jets brûlants.

Les trois acolytes tombent pêle-mêle sur le lit, alors même, que Marie a également un orgasme foudroyant.

Les trois personnes respirent fortement et cherchent leur souffle. Puis, le calme revenant doucement, ils se remettent allongés, côte à côte. La brune dans les bras de son homme et la blonde devant le couple. Elle les enlace tendrement et en profite pour caresser le doux corps de son amie, mais elle ne laisse pas Michel de côté pour autant. Car elle commence à vraiment beaucoup apprécier le bonhomme. après tous ces plaisirs, le trio tombe dans les bras de Morphée.

Sylvie est maintenant follement amoureuse de son amant et Maître, et elle se rend compte qu’elle est aussi amoureuse de cette douce femme, qui pourrait être sa mère. Elle comprend que, bien loin des idées reçues sur l’amour, on peut être amoureux de deux personnes, autant de l’une que de l’autre, sans interférence, aucune.

Mais ses deux amours, le comprendront-ils ?

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