La vierge enceinte : Avec une fille (2024)

 

La relation s'étoffe de plus en plus. Sylvie est de plus en plus soumise, également, et accepte un tas de choses.

Bien sûr, elle est offerte lors de soirée, mais son maître lui parle aussi de découvrir l'amour avec des femmes, ou avec des chiens et encore d'un tas de choses, mais qu'elle ne pourra faire que lorsqu’elle, elle aura perdu sa virginité.

La belle, elle, a le secret espoir que ce son maître finisse par devenir son mari. Car elle a envie, réellement, de vivre avec lui, alors que, pour le moment, ils ont encore chacun, leur appartement.

Deux mois après leur rencontre, la belle se met à avoir des nausées le matin, quelques douleurs pelviennes, ainsi que l’aménorrhée et ses seins qui lui semblent tendus et sont bien plus sensibles. Autant de signes qui annoncent une bonne nouvelle, en général.

Ça l’inquiète quelque peu et elle en parle à son amant. Michel lui impose de faire un test de grossesse. Et là, surprise, et alors qu'elle est encore vierge, la belle comprend qu'elle est enceinte. Elle se dit qu’elle paye son envie de voir le foutre couler, et se remémore qu’elle en a eu dans la chatte, lors de certaines soirées particulièrement prenantes.

S’ensuit de longues discussions entre elles et son amant et maître. Elle est très partagée entre l'envie de garder l'enfant à venir et l'envie d'avorter, car seule, elle ne veut pas assumer un enfant.

Michel, quant à lui, est plutôt dans l'expectative, il a déjà deux enfants et se voit mal, à plus de quarante ans, revenir dans les couches. Sans compter qu’il sait qu'une femme, une fois qu'elle a accouchée, n'est plus très drôle d'un point de vue sexuel.

D'autre part, il se pose un certain nombre de questions, à savoir, comme elle est vierge, comment ça pourrait se passer au niveau de l'accouchement ? Une femme vierge, qui serait déflorée en même temps qu'elle sort l'enfant, lui paraît être une idée très bizarre. Même si, quelque part, le phénomène se serait déjà produit, il y a deux mille ans.

Il se dit qu'il va falloir en discuter avec des toubibs et avoir plusieurs avis sur la question. Car, à sa connaissance, la bible reste très évasive sur le sujet de la mise au monde de l’enfant Jésus ! Ha ces curés ! Toujours prompt à donner des leçons et à dire ce qu’il faut faire, mais les vrais sujets leur échappent à chaque fois !

Tous ces questionnements ne faisant pas avancer les choses et devant rester un tantinet en suspens le temps de la réflexion, Michel décide de mettre son projet sur l'homosexualité féminine au point.

Il se souvient que son pote Paul, lui a parlé d'une de ses ex, qu’il revoit d'ailleurs très souvent, qui est une grosse salope, mais qui est aussi à moitié lesbienne. Il parle donc de ce projet avec lui, un repas est organisé pour tous les quatre.



Michel a prévenu sa soumise du repas avec son pote et une amie. La jeune femme, connaissant déjà bien Paul, pense que les ébats seront de l’ordre de la partie carré et qu’elle aura une complice, pour pouvoir souffler entre deux orgasmes intenses.

Cette fois, c'est la sonnette de la porte d’entrée qui retentit. Visiblement les visiteurs ont trouvé la porte, du bas, en fer, ouverte.

Paul roule directement une pelle à la jolie brune, tandis que Michel et Marie se font quatre bises. Puis, le maître des lieux présente :

- Voici Marie, une amie libertine, ex-copine de mon pote, mais je crois qu’elle est encore amoureuse. Cela dit, nous passons de très bonnes soirées à faire des cochonneries !

Et se retournant vers sa soumise, annonce :

- Et Sylvie, ma soumise, une jeune femme vierge, et qui veut le rester, mais une sodomite, hors pair !

- Ha bon ! s’étonne la blonde mature en regardant de près cette jeune pouliche brune.

- Oui, j’espère que tu ne vas pas trouver ça trop tarte !

- Non, très étonnant, mais pas tarte. Une démarche iconoclaste, tout au plus.

- Oui, je sais, ce n'est quand même pas une démarche tout à fait classique. Cela dit, ces Messieurs m'ont fait voir comment avoir du plaisir, tout en gardant ma virginité. J'espère que ça ne te choque pas.

- Me choquer ? Non, je ne te rassure, je suis une ancienne hippie qui a vécu dans une communauté, où on faisait l'amour plus que librement. Je me suis prostitué pour cette communauté, avant de revenir dans une vie beaucoup plus classique, de petite bourgeoise, parce que mes parents ont de l'argent. Et tu vois, à quarante-cinq ans, je suis tombée amoureuse d'un petit jeune homme qui s'appelle Paul, mais qui lui, est beaucoup trop volage, pour moi.

- Ah d'accord et comment vous êtes vous rencontrés, alors.

- Durant un stage, je suis tombé tout de suite sous son charme, il faisait le pitre en cours et le soir même, j'étais dans son lit. Déjà à l'époque, mon vieux mari, me laisser la bride sur le cou.

Le repas se passe gentiment et gaiement, l'ambiance est bonne. Très vite les deux femmes sympathisent, le courant passe bien, voire très bien, entre les deux. Paul et Michel se sont mis d'accord au téléphone pour s'arranger pour laisser les deux femmes ensembles. Aussi, à un moment donné, le maître des lieux propose à son pote d'aller chercher quelques bières au Gambrinus, histoire de finir cette soirée sympathique, avec de très bonnes bières belges.

Comme son pote accepte, voici les deux hommes qui sortent de l'appartement. Ils vont prendre la voiture, pour aller à ce fameux bar, qui vend des bières, jusqu'à très tard dans la nuit.

Marie se rapproche de Sylvie, lui fait un compliment sur sa coiffure et lui dit :

- Si tu veux, je peux te coiffer avec un petit grain de folie dans ta coiffure. Ça te dirait.

La jolie brune, toujours prête à de nouvelles expériences, accepte tout de suite.

La femme mûre, après avoir fouillé dans son sac à main, sort une brosse à cheveux. Elle s’assoit les jambes très écartées, montrant ainsi le haut de ses bas, et on peut même voir, qu’elle ne porte pas de culotte. Quand elle est installée, elle fait venir à elle la jeune femme, et la fait s’asseoir entre ses cuisses. Là, elle la coiffe longuement, prend grand soin des cheveux bruns, caresse la tête de sa main libre. La complimentant sur la beauté de cette chevelure souple et soyeuse.

Entre les caresses, la brosse et les mains douces de cette femme, son souffle dans son cou et la chaleur de son ventre, qui lui chauffe le bas du dos, la belle Sylvie se retrouve, comme dans un autre monde, fait de félicités et de douceurs.

Bientôt, Marie pose la brosse et vient caresser doucement les bras et les avant-bras de la jeune femme. Puis, s’enhardit jusqu'à lui caresser les flancs et l'extérieur des cuisses. Elle la complimente :

- Tu sens bon, je ne connais pas ce parfum, mais tu as une odeur délicieuse.

- Je n'ai pas mis de parfum, c'est mon odeur naturelle.

- Comme c'est envoûtant, une odeur pareille, tu dois être une sorte de fée.

La brune est flattée de tant de compliments et de douceurs. Elle s'en trouble. Entre ce moment doux, et la violence de la nouvelle récente de sa gestation, elle perd pied totalement. Elle en est là, dans son questionnement intérieur, et, sans s’en rendre compte, elle commence à caresser doucement cette femme blonde. D’abord les avant-bras, puis les mains.

Cette fois, la quadragénaire pousse le bouchon un peu plus loin et, se décalant sur le côté, vient déposer un baiser chaud, dans le cou de la brune. Ensuite, en s'écartant de quelques millimètres, elle souffle doucement là où elle a déposé son baiser mouillé. Puis, replonge, et cette fois chatouille de sa langue, le cou embrassé.

De longs frissons parcourent le corps de la jolie jeune femme. Une fois de plus, elle découvre des choses. Une fois de plus, elle se dit qu'elle n'aurait jamais imaginé qu'une femme puisse lui donner autant de douceurs, ni qu'une femme puisse lui donner une certaine envie de plaisir. Elle se retrouve dans un état trouble et ne sait pas trop que penser de tout ça.

Comme elle s’en rend compte, Marie apprécie le trouble de la belle brune et compte bien en tirer profit.

Elle se décale encore un peu plus, prenant bien soin que sa jupe soit maintenant totalement relevée, que son sexe, sans autre tissu, soit au contact des fesses de sa nouvelle amie et vient lui prendre délicatement la nuque. Elle attire la tête de sa proie vers elle, pour enfin l'embrasser plus que tendrement.

Et une fois encore, Sylvie se surprend à rendre le baiser à cette femme qui pourrait être sa mère. Ses idées se bousculent dans son cerveau. Pourquoi accepter les caresses et les baisers de cette femme, pourquoi être attirée et embrasser à son tour une autre femme, elle qui ne s’est jamais posé de question sur l’homosexualité.

La blonde profite de ce baiser pour venir caresser plus intimement le corps de la jeune femme. Elle commence par l'intérieur des cuisses, puis remonte doucement jusqu'à la vulve. Ces caresses sont douces, pas du tout appuyées.

La brune, soupirant d’aise, se laisse caresser et porter par les vagues d'un plaisir imminent, qui semble l'emmener dans des contrées inconnues.

La femme mûre, que l'instant excite énormément, a toujours adoré dévergonder les petites jeunes timides et amener à l'homosexualité, des petites nanas, qui n'en avez aucune idée. Là, elle s'attaque maintenant à caresser la vulve de la jeune femme, comme seules les femmes savent faire.

Très vite, la jolie brune se laisse aller et perd le contrôle, si tant est qu'elle n’ait eu un quelconque contrôle sur les événements.

La blonde mûre en profite alors, pour lui dire au creux de l'oreille :

- Ton odeur m'excite de plus en plus, j'ai envie de ton corps.

Comme dans un rêve, Sylvie répond presque machinalement :

- Moi aussi, j'ai très envie de toi.

Marie sait pertinemment que les garçons ne vont pas passer toute la nuit au Gambrinus. Elle sait donc, qu'elle n'a pas non plus toute la nuit, pour faire de cette jeune femme timide, une lesbienne enflammée. Aussi, elle décide de passer à la vitesse supérieure en s'allongeant, sur le côté, et en attirant à elle la jeune femme.

Quel plaisir de se retrouver ainsi attirer contre une autre femme, sentir des mains qui parcourent son corps, sentir sa chatte qui est totalement inondée. Toutefois, avec le peu lucidité qu'il lui reste, elle se met sur un coude et dit :

- Attention, je suis vierge, et je veux rester, ne mets pas tes doigts dans ma chatte, s'il te plaît.

En guise de réponse, la femme mûre s'arrange pour se relever et venir s'agenouiller à côté du canapé. Là, après avoir remonté les cuisses de la belle, elle commence à lui lécher le clitoris, tout en ayant un doigt malicieux, qui vient flatter l'anus de la belle.

L'instant est magique pour Sylvie. Tout est nouveau, le fait que ce soit une femme qui lui lèche le clitoris, ajoute encore à son excitation et que cette femme sache jouer avec son trou du dimanche, ça devient réellement jouissif. Elle commence à respirer de plus en plus fort et sentir qu'arrive un orgasme à grands pas.

Connaissant, pour avoir été briefé par son ami, les petits vices de la jeune femme, alors qu'elle suce et aspire le clitoris, qu’elle le mordille aussi parfois très légèrement, elle forme une sorte de cône, avec ses trois doigts principaux et, sans aucune lubrification, commence à les enfoncer dans l'anus, qui s'ouvre pour laisser passer les nouveaux venus.

C'est plus qu'il en faut pour la jeune brune, qui a, d'un coup, un orgasme fulgurant, mais très intense. Elle crie son plaisir à sa partenaire

- C'est trop bon ! C'est trop bon.

La blonde, cherchant aller plus loin possible avec cette jeune pouliche, sans répondre explicitement, se contente d’une interjection :

- Hum, hum.

Maintenant que c'est trois doigts sont entrés dans le côlon, elle fait un gros effort pour les écarter, le plus possible, et élargir l'anus qui s'offre à elle.

Sylvie se laisse totalement faire. Elle a les mains crispées sur le tissu du canapé. Sa respiration est entièrement saccadée et ses yeux révulsés. L'orgasme la foudroie et elle voudrait que cet instant magique, perdure à jamais.

Se rendant compte de la situation, fine mouche, Marie continue à jouer du clitoris avec sa langue. Durant tout le temps, elle entre et sort ses doigts du jeune cul, pilonnant l'anus de la belle. Puis, quand elle sent qu’elle commence à redescendre du septième ciel, elle repousse encore plus les cuisses vers la tête et plonge alors sa langue dans l'anus, qu'elle vient de libérer de ses doigts. Elle fait comme si elle roulait une pelle dans ce trou.

À nouveau, la jeune brune recommence à sentir l'arrivée d'un autre orgasme. Très vite, elle fouette le canapé de sa tête, la tournant violemment de gauche à droite et de droite à gauche, cramponne encore plus le tissu, avec les mains, et explose dans un cri de femelle lubrique, sous les assauts de cette langue magique.

Marie, laissant la belle remettre ses cuisses comme précédemment, n'est pas décidée, du tout, à en rester là. Elle replonge, cette fois quatre doigts, dans l'anus et revient gamahucher sa nouvelle amie, de la plus belle des manières. Elle n'a de cesse que d'entendre, encore et encore, cette gentille brune exprimer son plaisir.

Connaissant bien le corps des femmes, elle sait que le plaisir risque de s'émousser, à un instant donné. Aussi, pour le moment, elle laisse sa jeune amie reprendre son souffle. Puis, quand elle s’aperçoit que la respiration est redevenue quasiment normal, elle lui demande :

- Ça va ? Tu es bien, là ?

- Oui, c'est merveilleux, jamais, je n'aurais pensé que...

- Chut, ne dis rien, laisse-toi juste aller.

Et, sur ces bonnes paroles, la femme revient embrasser à nouveau sa jolie partenaire.

Relâchant le tissu du canapé de sa main droite, elle la descend vers le sexe de cette femme, qui est encore caché sous sa jupe. Elle passe la main en dessous et vient flatter l'antre jambe, du mieux qu'elle peut, en imaginant comment elle aimerait être caressée, en pareille circonstance.

- Attends, je vais me déshabiller, ça ira mieux.

Ainsi, joignant le geste à la parole, Marie défait sa jupe en se remettant debout, la laisse glisser par terre. Déboutonne prestement son chemisier, enlève son soutien-gorge. Elle vient offrir sa gorge à la bouche gourmande de la brume

- Tette mon bébé, tette bien fort !

Sylvie ne se fait pas prier et pose ses lèvres sur le téton le plus proche d'elle. Elle commence une longue succion, tout en jouant avec sa langue, sur le bout turgescent.

- J'ai envie de tes doigts en moi. Dit alors, maligne, la blonde toute dévergondée qu’elle est.

Cette fois, la jeune brune s’enhardit et plonge ses doigts dans ce vagin chaud et détrempé. C'est la première fois qu'elle met ses doigts dans une chatte et l'idée la bouscule quelque peu.

La blonde, vicieuse, attrape le poignet de cette main qui fouille sa chatte, la plaque fortement et dit une voix étrange :

- Oui ! bouge tes doigts dans ma chatte ! Prends possession de mon corps... Fouille-moi complètement... J'ai envie de t'appartenir !

L’idée qu'une femme puisse lui appartenir, chamboule complètement cette jeune femme, qui justement, est plus du côté soumise et appartenance à quelqu'un, que d'avoir quelqu'un qui lui appartient. Toutefois, voulant faire plaisir à cette femme, qui lui a donné de si beaux orgasmes, quelques instants plus tôt, elle fait en sorte de plonger les doigts le plus loin possible. Puis, les bouge dans tous les sens.

La blonde écarte les genoux, ouvre totalement sa chatte et souffle encore à l'oreille de son amie :

- Mets toute ta main dedans, vas-y, j'adore ça.

Toujours surprise, mais toujours dans le même état d'esprit, à vouloir faire plaisir, Sylvie met ses cinq doigts en cône et les fait pénétrer dans ce vagin dégoulinant de cyprine, bouillant à souhait. La main n'a pas mal à passer l'entrée et bientôt, la jeune femme se retrouve avec sa main enfermée dans un sexe de femme. Quelle drôle de sensation, tout de même.

- Oui, comme ça, ouvre et ferme ton poing… Ça fait un bien fou à l'intérieur ! tu vas me faire jouir !

Suivant les conseils de cette femme éducatrice aux vices féminins, la jeune femme ouvre et ferme son poing, d’abord lentement, suivant le rythme de la respiration de sa partenaire, puis en accélérant, ce qui d’ailleurs, accéléré la respiration.

La blonde sent, à son tour, un orgasme monter et vient plaquer sa bouche sur la bouche de la brune. En lui soufflant, juste avant de l'embrasser :

- Je vais jouir.

Sylvie s’échine de plus en plus à ouvrir et fermer son poing, dans cette gangue de chair, jusqu'à sentir le souffle de cette femme, qui jouit dans le baiser, qu'elles partagent.

Cette fois, c'est un orgasme violent, qui secoue la femme mûre. Mais elle continue à embrasser sa nouvelle amie. Toutefois, ne contrôlons plus grand-chose, elle souffle énormément son haleine chaude, dans la bouche de sa partenaire.

Se baiser est totalement particulier, non seulement les langues guerroient de la meilleure des façons, mais en plus, les haleines se mélangent, les goûts s’échangent.

Il faut bien une petite dizaine de minutes à la femme de quarante-sept ans, pour reprendre son souffle et redescendre du septième ciel, où elle planait. Durant tout ce temps, elle a gardé la main de sa nouvelle amie dans sa chatte et elle sent, à chaque étincelle de plaisir, l'entrée de son vagin se resserrer, autour du poignet, et même son anus s'ouvrir et se fermer. Quand, finalement, elle est revenue sur terre, elle demande, d’une petite voix étouffée, à sa nouvelle compagne :

- J'aimerais avoir ta langue sur mon clitoris... J'espère que je ne t'en demande pas trop.

- Je n'ai jamais fait ça, mais je te promets une chose, c'est que je vais essayer de faire tout mon possible, pour que ça te fasse plaisir.

Leste comme un chat, la femme de presque cinquante ans retire prestement la main de son amie, de sa chatte. Puis, elle vient se mettre à cheval au-dessus de la tête de la brune. Là, d’un geste précis, elle offre sa vulve à la bouche gourmande.

Totalement étrangère, jusqu’à présent, aux us et coutumes lesbiens, la jolie brune plaque sa bouche sur ce sexe, dégoulinant de cyprine, et vient titiller, avec sa langue, le clitoris.

Très vite, à nouveau, Marie se met à chanter tout son plaisir. Et un nouvel orgasme arrive à grands pas.

Et c'est quand la blonde jouit dans la bouche de la jeune femme, que nos deux compères rentrent, avec un panier chargé de bouteilles de bières disparates.

Michel comprend très vite, que sa soumise, est en train de faire une nouvelle découverte. Et, comme il en est l'instigateur, il est très content et très fier de lui.

Quant à Paul, connaissant la sexualité, plus que débordante, de son ex-compagne, il se régale du spectacle, en se disant qu’une fois que les deux femelles se seront données du plaisir à outrance, elles auront sûrement envie de grands coups de bite.

Pendant ce temps-là, Sylvie boit le jus de femelle de sa copine, qui, elle-même n'étant pas égoïste, lui bricole le démarreur avec ses doigts.

Aussi, les deux femmes gueulent leurs plaisirs, tantôt, elles suffoquent, tantôt, elles se font jouir, comme si c'était deux complices, de longue date.

Sylvie revient enfin à elle. Après que sa copine soit descendue du canapé, elle voit son amant les maîtres qui lui sourit.

- J'espère que tu es content de moi ?

- Oui bien sûr, je suis même très fier, tu fais toujours des tas de progrès.

Le reste de la soirée se passe beaucoup plus tranquillement. Les deux femmes étant exténuées et les deux copains très excités du spectacle qu'ils ont vu.

Et, d’un coup, Marie se lève, prend la jolie brune par la main et annonce à ces messieurs :

- Nous allons nous repoudrer le nez.

Et Sylvie d'ajouter, avec un air mutin :

- Et ça peut prendre beaucoup de temps.

Finalement, les deux femmes, loin de passer à la salle de bain, se dirigent directement dans le lit et s'allongent, serrer l'une contre l'autre. À s’embrasser et à se caresser doucement.

Les deux hommes discutent encore quelque peu.

Puis, Michel se lève pour aller voir ce que font les filles. Il ne les trouve pas, bien sûr, dans la salle de bain, mais dans la chambre, toutes les deux dans le lit, enlacées, à dormir du sommeil du juste. Il revient vers son pote et explique la situation.

Ce dernier lui propose alors, comme il est sur le coup de deux heures du matin, d'aller faire un tour en boîte, des fois qu'il y aurait quelques salopes à contenter.

Avant de sortir, Michel, gribouille un petit mot, qu’il laisse en évidence sur la table de la cuisine, expliquant qu’ils sont partis guincher.

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