La vierge enceinte : Les embruns du plaisir (2020)
Sylvie, institutrice, peut se permettre de faire la grâce matinée en ce mercredi matin, mais pas Michel. Qui, de surcroît, a une réunion importante vers dix heures et se doit de conduire les débats. Il ne peut donc que se lever et partir au travail en laissant la jeune femme au lit à dormir tout son saoul.
Juste avant de quitter l’appartement, il vient faire un chaste baiser et demande :
– Si je prends mon après-midi, restes-tu avec moi ?
– Oui, avec grand plaisir.
Et la matinée se passe comme prévu, ou presque, pour Michel. Sylvie, quant à elle, ne se lève que vers onze heures et prend une douche. Ensuite, elle s’enroule dans le grand peignoir, de son nouvel ami, qui est bien deux fois trop grand. Puis, elle allume la télé et sirote tranquillement un café.
En rentrant, un peu avant midi trente, l’homme est un peu anxieux. Sa jeune et belle conquête est-elle finalement restée ? Est-elle sincère quand elle lui dit être amoureuse, comme cette nuit, après une longue et douce sodomie ? Aime-t-elle vraiment, autant qu’elle le dit, se faire prendre comme les femmes arabes avant leur mariage ? Autant de questions qui viennent polluer cette toute nouvelle relation, lui qui, et mis à part son épouse jadis, ne s’est jamais trop posé de question sur ses petites amies. Elles viennent, elles vont, de toute façon, il n’est jamais seul plus de quelques semaines.
Sylvie, elle, est confiante dans cette toute nouvelle aventure. D’abord, elle est heureuse de se sentir écoutée, et même comprise, ensuite les touchantes attentions de son amant la réconfortent. Et, alors même qu’elle n’a jamais eu de réels conflits avec les hommes, elle se sent en totale confiance avec ce type gentil, qui pourrait être son père. Et un père ne fait pas de mal à sa fille, c’est bien connu, en tout cas, dans son monde.
Et puis, elle sent confusément au fond d’elle une force douce, mais puissante qui la pousse à découvrir bien d’autres plaisirs, bien d’autres situations, plus dépravée les unes que les autres. Et, parallèlement, elle sait qu’elle tient absolument à rester vierge pour son mariage, quel qu’il fût, et même si elle devait se marier avec une femme. Certes, elle ne connaissait pas son avenir, mais elle voulait juste rester vierge, ça, c’était une chose établie et immuable.
Michel a fait quelques courses et prépare la table, sushis et compagnie, un peu de rosé, et la discussion va bon train, les deux protagonistes voulant se connaître l’un l’autre, car ils sont autant étrangers qu’on peut l’être, finalement.
Sylvie est bien moins la petite ingénue qu’il n’y paraît, elle se masturbe souvent et a fait déjà quelques expériences toute seule, loin des regards, en s’aidant de ce qu’elle trouvait sur le net. Mais aucune pénétration vaginale bien entendu, tout est toujours passé par l’entrée des artistes.
Michel n’est pas, uniquement, le libertin déluré et vicieux qu’il parait être, il y a aussi du libertaire dans ses convictions, du respect, de l’humanité. Et beaucoup d’humour.
En fin de repas, ils se retrouvent dans le canapé, lieu de leurs débauches passées et futures, où ils boivent un bon café. La conversation revient finalement sur le sexe.
– Et alors, maintenant, ton anus te picote encore un peu ?
– Oui, c’est fantastique, ce n’est pas douloureux, c’est agréable et, surtout, ça me fait penser en permanence au fait que, maintenant, je suis une enculée, comme tu le dis si gentiment !
– Et tes tétons ? Tu criais fort cette nuit quand, empalée sur ma queue, je te pinçais les tétons.
– Ho oui ! C’est une grande découverte pour moi… Jamais je n’aurais pensé pouvoir supporter une telle douleur… Et dire que je t’implorais de pincer toujours plus fort !
– Oui, avec le plaisir, il se passe de drôles de choses dans nos têtes !
– J’ai vraiment aimé cette folle nuit… Je crois bien que je suis en train de tomber amoureuse !
– Chut… N’allons pas trop vite en besogne… Mais les pincements que j’infligeais à tes tétons, étaient le reflet de ceux que j’ai dans le cœur.
À ces mots, la jolie brune se jette sur l’homme, et l’embrasse d’un profond baiser langoureux, délicat et passionné.
Michel sent sa verge se dresser, bien qu’elle soit enfermée dans sa gangue de tissu. Très vite, il ouvre le peignoir dont est encore vêtue Sylvie et, après avoir attrapé les gros seins de la belle, porte le premier à ses lèvres et commence une succion terrible.
La jeune femme se mord les lèvres pour ne pas crier tout de suite, mais ses lourdes mamelles pressées, triturées, lui procurent déjà bien du plaisir, alors cette bouche suceuse qui aspire ce téton, entre douleur et plaisir, là, elle craque littéralement. Elle pose sa main sur le pantalon de l’homme et cherche à en extraire le vit qu’elle sent déjà bien gonflé.
Michel qui sent que la jeune femme est très sensible des seins, arrête bientôt sa succion, puis en la repoussant doucement lui annonce :
– Attends, je vais aller chercher quelque chose qui devrait beaucoup te plaire.
L’homme se lève et disparaît dans la chambre.
Quelques longues minutes passent, le jeune femme se demande bien de quoi il peut s’agir. Ensuite, elle entend la porte de la chambre s’ouvrir, et son amant apparaître avec un collier entre les mains.
Le collier est composé d’une chaîne en or et d’un pendentif avec des brillants, sur lequel, deux autres petites chaînes sont accrochées, chaînes qui finissent avec un petit caoutchouc noir qui traverse une drôle de minuscule boule en or.
– Quel drôle de collier ! S’exclame alors Sylvie après l’avoir détaillé pendant quelques instants.
– Viens, je vais te le mettre !
Aussitôt la jeune femme se lève et vient offrir son cou à la parure en se plaçant devant l’homme, le dos tourné.
– J’aime ta façon de te présenter ! Le dos tourné, tu offres ainsi directement ton anus au phallus de l’homme… Tu es vraiment une bonne enculée, Mon Enculée !
Placidement, Sylvie se laisse manipuler et se retrouve très vite avec le collier autour du cou, les deux petites chaînes supplémentaires pendant sur ses seins.
– Tourne-toi ma belle.
Une nouvelle fois, docilement et sans un mot, la jolie jeune femme exécute ce qu’on attend d’elle, les yeux mi-clos, elle laisse son amant et maître s’occuper d’elle.
Michel prend un temps infini pour poser les caoutchoucs sur les tétons de la jeune femme et les serrer à l’aide de la toute petite boule. Quand il a terminé, il se recule d’un pas, admire l’ensemble, puis revient pour serrer encore plus fort les tétons en ajustant les petites boules en or sur l’élastique noir.
Sylvie ne dit rien, un petit rictus aux coins des lèvres prouve qu’elle souffre un peu de la situation et de la pose de ce collier, mais elle veut souffrir pour son amant.
Cette fois, l’homme prend sa partenaire dans les bras, et, avant de l’embrasser longuement, lui glisse à l’oreille :
– C’est à toi ma belle enculée, porte-le toujours et sois mienne.
Un long et tendre moment se passe, tous deux debout dans la pièce, puis, Sylvie demande à pouvoir voir ce que donne ce collier si particulier.
– J’aime beaucoup ! J’aimerais même pouvoir le garder sous mon chemisier quand je vais au boulot, ça ne te dérange pas ?
– Non… Pas le moins du monde… Au contraire, je serais enchanté de savoir que tu portes mon présent dans la journée… Mais tu risques de ne pas pouvoir m’oublier de la journée ! Méfie-toi !
– La morsure de mes tétons est délicieusement douloureuse.
– Et ton anus, il te pique toujours un peu ?
– Ho oui ! Et ça aussi, c’est vraiment délicieux… Merci de tous ces plaisirs mon chéri !
– Un autre petit café ?
– Je veux bien.
Le temps que l’homme prépare deux tasses de café et la jeune femme est retournée se caler dans le canapé, le peignoir largement ouvert, offrant à la vue de son amant ses magnifiques mamelles bien lourdes et joliment ornées, ainsi que sa toison brune, pas trop fournie, qui sert de rideau à l’entrée de son petit théâtre intime.
Sans bouger, elle se concentre pour ressentir toutes les sensations de son corps.
– Tu es très belle ainsi, attends, je vais faire quelques photos.
Et Michel s’empare de son appareil, dans son secrétaire, qui est contre le mur du fond, et revient faire plusieurs photos de la belle, sous différents angles. Puis, posant son appareil sur la petite table basse, il vient se caler entre les cuisses rondes et accueillantes et commence à lécher le minou de la belle. Ensuite, il s’attaque à agacer le clitoris par petits coups de langues rapides et précis.
La belle se pâme et pousse de petits gémissements en cadence. Son clitoris lui procure de courtes décharges électriques qui mettent son cerveau en court-circuit. Il lui semble que son anus n’arrête pas de s’ouvrir et de se fermer, provoquant ainsi d’autres stimuli ravageurs.
Michel sent des mains douces et chaudes venir emprisonner tendrement sa tête et il entend :
– Quel virtuose du cunnilingus, tu fais !
– Humm… Et attends de voir ce que je fais, avec ma baguette de chef d’orchestre !
– Tu es un maître dans l’art du plaisir, mon chéri ! J’ai une folle envie de t’appeler Maître, tu veux bien ?
– Hummmm. Oui… Mon enculée… Mon apprentie salope !
Puis la jeune femme se met à crier, d’abord doucement, puis de plus en plus fort, suivant le rythme de la langue qui joue avec son clitoris, et les dents qui le mordillent parfois, mais doucement.
L’orgasme de la jeune femme ne cesse que lorsque Michel, commence à peiner à sortir sa menteuse, arrête de jouer avec le clitoris tout gonflé, rouge écarlate, vibrant comme une corde de violon.
– Respire ! Reprends ton souffle… Je ne voudrais pas que tu fasses un malaise ici. Que dirais-je aux pompiers, moi ?
Ensuite, et après avoir repris son souffle pendant quelques instants, Sylvie se penche en avant pour voler un baiser et dit doucement :
– Maître, votre enculée implore que vous veniez visiter son rectum avec votre baguette magique.
L’homme se retrouve nu en un éclair, puis, après avoir embrassé tendrement la belle, s’assied à côté d’elle et lui demande :
– Viens t’asseoir sur ma baguette magique… Viens t’empaler !
Et, comme si se mettre debout lui était difficile, la belle brune se lève et vient placer son anus, en écartant ses fesses à deux mains, juste au-dessus du vit turgescent, droit comme un I, fier comme Artaban.
Doucement, la jeune vierge s’empale sur le membre masculin qui ne plie pas. Elle descend délicatement le long de ce pieu de chair, jusqu’à se trouver assise sur les cuisses puissantes de son amant et maître.
– Ho ! C’est trop bon, Maître… J’ai envie de vous faire jouir, mon maître !
– Vas-y, amuse-toi sur ma baguette de chef d’orchestre, ma belle cantatrice… Prends bien ma bite au fond de toi, mon enculée !
Et alors, la brune commence à se démener comme une walkyrie en montant et descendant le long du membre chéri. Elle crie, hurle, ce n’est certes pas un opéra qui se joue à ce moment, mais c’est aussi sonore.
Quand la jeune femme se rend compte que son amant ne va plus tenir bien longtemps, elle implore encore :
– Maître, puis-je avoir encore votre semence dans ma bouche… Puis-je vous boire, avaler votre nectar de couilles ?
Michel ne sait trop quoi répondre, doit-il se vider dans ce cul magnifique, où sa queue est si bien accueillie, ou dans cette belle bouche gourmande, qui le flatte si bien ?
Sylvie prend la direction des opérations et s’extirpe le mandrin de chair de son fondement. Se met à genoux devant son amant et maître, et, horrifiée, s’aperçoit qu’elle a pollué cette queue qui lui donne pourtant tant de plaisir !
– Ho Maître !
– Quoi mon enculée ?
– J’ai sali votre belle baguette avec mon horrible cul ! Je vous demande pardon !
Puis, s’approchant tout de même du membre toujours fièrement dressé, elle regarde l’homme avec des larmes dans les yeux, et annonce :
– Je suis une sale fille, pardon Maître… Je vais réparer ça tout de suite !
Et elle happe la queue gluante d’un coup. Le goût lui lève le cœur. Et, alors qu’elle se demande si elle ne va pas vomir, ce qu’elle ne voudrait surtout pas, ayant déjà suffisamment sali ce membre, qui lui a apporté tant de plaisir. Elle racle légèrement, avec ses dents le sexe pour le nettoyer au mieux et avale toute sa salive au plus vite. Plus vite c’est avalé, plus vite le goût est passé, pense-t-elle.
Michel ne sait plus quoi dire à ce moment-là. Il n’est ni attiré par les déviances sales, ni scatophage, et les odeurs de merde lui lèvent le cœur sans jamais l’exciter. Et là, cette jeune femme, jolie au demeurant, qui le veut, veut aussi laver son sexe d’un incident, somme toute assez banal, pour les adorateurs de Sodome ! Et, à son grand étonnement, il bande encore plus et finit très vite par jouir dans un grand hurlement de bonheur.
Sylvie avale maintenant le foutre, là le goût lui plaît bien mieux, mais le souvenir et les relents précédents de ses propres excréments, continuent à la dégoûter. Toutefois, elle ne veut en aucun cas décevoir cet homme, qui lui a ouvert la porte de plaisirs si forts, si intenses, si colorés. Une fois tout avalé, les yeux embués, elle supplie encore son mentor :
– Pardon Maître… Pardon !
– Mais ! Pourquoi as-tu fait ça ? Demande l’homme quelques instants plus tard, après avoir repris quelques bonnes bouffées d’air
– Parce que je vous ai sali, Maître… ! J’ai si honte de vous avoir pollué… Si vous saviez, Maître !
– Mais ! Tu as pris ma bite polluée dans ta bouche, tu aimes ce goût ?
– Ho non, Maître ! S’il vous plaît, je peux aller me laver les dents, j’ai la nausée… Mais j’ai encore plus honte de vous avoir sali, Maître !
– Va, ma bonne enculée, va te brosser les dents.
– Et n’hésite pas à prendre une brosse neuve, tu sais te servir de la brosse électrique bien sûr ?
– Oui Maître… Merci mon maître chéri… Et encore mille pardons !
– Tu es pardonnée, mon enculée, et je vais t’apprendre comment faire pour que ça ne se reproduise plus.
La jeune femme se lève alors d’un bond, et court dans la salle de bain qui se trouve dans le petit couloir donnant accès à la chambre à coucher. Là, elle trouve très vite une brosse neuve qu’elle sort de son emballage, l’enduit de dentifrice, et monte sur la partie moteur de l’ustensile, puis commence à se brosser les dents.
Par trois fois, la brosse s’arrête, annonçant ainsi les trois minutes, utiles et nécessaires, à un brossage efficace, écoulées.
Elle ressent une profonde honte, honte d’avoir souillé le vit de son Maître, parce qu’elle ne doute plus, que cet homme sera son maître, son mari peut-être même, qui sait. Honte d’avoir pris en bouche cette bite dégueulasse, au goût infect, jamais, elle n’aurait imaginé faire cela, même forcée, alors encore moins d’elle-même ! Sans y être contrainte ! Honte de ne pas avoir assez de connaissance de l’anatomie, pas plus que de sa propre anatomie, de son propre corps ! Honte enfin, honte de n’avoir pas joui plus tôt, de n’avoir pas connu l’orgasme, elle se fait l’image d’une gourde, d’une cruche, d’une pauvrette qui découvre, le fil à couper le beurre !
Elle revient dans le salon, les yeux fixés au sol, alors même que Michel vient de lui servir un verre de cognac, elle aime tant ça.
L’alcool lui réchauffe le ventre, lui nettoie la bouche, et lui étourdit aussi le cœur.
– Bien, la leçon, pas de sodomie le matin au réveil avant, d’avoir été à la selle… Et pour éviter tout incident, le lavement avant chaque sodomie programmée, pour celle imprévue, ma foi, on composera !
– J’ai honte, si honte, mon Maître !
– Oublions cet incident, l’important est que tu ne sois pas malade… Qu’est-ce qui t’a pris de me sucer la bite pleine de merde ?
– Elle était polluée, mais pas pleine comme tu dis… Mais je me suis trouvée si bête, être la cause de cet incident, que j’ai voulu réparer ma faute tout de suite ! Pardonne-moi encore.
– Pas de souci, l’affaire est close, mais maintenant, je vais te montrer comment faire un lavement, ici, chez moi, avec mon matériel.
La jolie brune avale le reste de cognac, puis se lève à la suite de l’homme, direction la salle de bain.
La pièce est exiguë, au fond se trouve une baignoire sabot, à peine pratique pour prendre une douche, et seul encore. Le toilette est juste devant et à côté le lavabo. Sur le mur en face se trouve un radiateur, assez plat, mais qui prend une bonne moitié de la longueur de la pièce.
– Voici, annonce clairement Michel en sortant une canule noire de son armoire. Je dévisse la pomme de douche et la remplace par la canule. J’ouvre le robinet, pas trop fort, surtout pas trop chaud, et laisse couler jusqu’à température et débit idéal… Ensuite, tu introduis la canule doucement dans ton anus, tu fais couler un peu d’eau avant, pour lubrifier les fesses, que la canule passe facilement… Tu retiens le plus possible l’eau, en contractant ton sphincter. Tu verras, l’eau part dans les intestins, donc tu vas vite t’apercevoir que tu peux contenir bien plus d’un litre d’eau. Fais ça, assise sur les toilettes, comme ça aucun accident à craindre pour l‘expulsion… Maintenant, à toi de jouer !
– Merci Maître.
En quelques gestes précis et sûrs, voici Sylvie qui se fait un lavement anal comme une pro du pot ! Aucune gêne de faire cela devant cet homme qu’elle ne connaît pas depuis très longtemps, somme toute. Le seul moment difficile est, quand l’expulsion bruyante, des matières résonnent dans le toilette.
– Désolée, Maître.
– Aucun souci, il va falloir que tu vives avec les bruits de ton corps !
– C’est-à-dire que je n’ai pas l’habitude… D’avoir quelqu’un à côté de moi quand je suis sur le trône !
– Puisque tu me reconnais comme ton maître, à partir de maintenant, je peux tout connaître de toi, de ton corps, de tes envies et rêves, non ?
– Oui, bien sûr, Maître, je suis stupide parfois, veuillez m’en excuser !
– Bien, repasse encore un peu d’eau dans ton cul, mon enculée, et sèche-toi bien, viens me rejoindre ensuite !
Michel se dit que de faire une petite sieste ne serait pas mal venu du tout, aussi, il prend à droite au lieu d’à gauche, pour aller dans la chambre, se met nu, et se glisse dans les draps.
Très peu de temps après, la belle brune, légèrement parfumée, vient s’allonger à côté de son homme, l’embrasse et s’endort, dans ses bras, du sommeil du juste.
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