La vierge enceinte : L’attachement (2020)

 

Sylvie se réveille sur le coup de quatre heures du matin, ses intestins gargouillent bruyamment, et elle a une furieuse envie de déféquer. Elle se lève en essayant d’être la plus discrète possible, mais elle réveille tout de même son homme.

Arrivée aux toilettes, elle s’assied sur la lunette, et se laisse aller à se vider. La vidange s’accompagne de pets sonores, et Sylvie se remémore les mots de Paul au sujet du "péteux".

Michel, qui s’est levé du lit tout de suite après, et aller s’emparer de son appareil photo sur son secrétaire et rejoint sa soumise dans la petite salle de bain.

- Écarte bien les cuisses, ma petite enculée, qu’on voit ta jolie chatte vierge et ton cul qui se vide.

Sylvie exécute aussitôt le geste demandé, puis se recule même un peu de manière à ce que son maître puisse faire les photos les plus explicitent possible.

Après quelques clichés, Michel, très sérieusement, demande à sa jeune et belle soumise :

- Tu me préviens quand tu as fini, tu mettras les mains sur le bord de la baignoire, les jambes bien tendues, sans t’essuyer.

- D’accord… Ça ne devrait plus trop tarder, je sens que je suis presque vide !

Et, en effet, après encore quelques pets tonitruants, qui ont la faculté de mettre le rouge aux joues de la belle brune, elle annonce qu’elle pense avoir fini.

- Parfait, alors debout et penche-toi en avant, les mains sur le rebord de la baignoire.

La belle jeune femme se lève, fait trois pas, et s’installe comme demandé, les jambes écartées, bien tendues, les mains sur le rebord froid, attendant que son maître fasse les photos souhaitées.

Plusieurs flashs illuminent la pièce. Sur les photos, on peut voir de grandes et belles jambes, souillées de coulures d’un marron clair. Mais les fesses ne permettent pas de voir l’anus à proprement parler.

- Reste penchée, mais écarte tes fesses avec tes mains… encore plus, s’il te plaît.

Cette fois, les photos permettent de voir l’anus, encore entrouvert, et le départ des coulures des jambes.

Après quelques photos bien explicites de loin jusqu’au gros plan, Michel dit à sa soumise :

- Tu peux te laver le cul, mon enculée chérie !

Toujours sans un mot, la belle se redresse et s’assied sur le rebord de la baignoire. Le froid de la faïence la saisie, puis elle ouvre le robinet et attend que l’eau soit à la température désirée.

Elle passe plusieurs fois la pomme de douche entre ses fesses et sur le haut de ses cuisses, puis nettoie les traces qui pourraient perdurer avec sa main libre. Une fois le robinet fermé, elle se remet debout et demande, de sa voix douce :

- C’est bon ?

- Oui, tu es propre, nous pouvons retourner au lit.

Et le couple retourne se coucher, en se tenant la main.



C’est vers sept heures, que Sylvie ouvre les yeux, ce vendredi matin. Elle est heureuse, vient de dormir dans les bras puissants de son maître, après une petite soirée plutôt sympa et des ébats qui se sont prolongés jusqu’à fort tôt. Sans parler de cette petite séance photo en pleine nuit, où honte et excitation se mêlaient.

Il est vrai que l’éducation de la jeune femme ne l’ouvrait pas vraiment à accepter d’avoir des vents devant un homme ! Alors, de là à se vider les boyaux sous un regard inquisiteur, il y avait un monde, qu’elle semblait pouvoir franchir avec aisance.

Michel entre dans la chambre avec une tasse de café et une tartine sur un plateau. Après un chaste baiser sur les lèvres de sa soumise, il dépose le plateau sur la couverture qui cache les jolies jambes de la belle brune.

- Je vais faire vite ce matin, j’ai une réunion à dix heures qui s’annonce assez compliquée. Mais toi, tu es en vacances, non ?

- Oui, j’ai un rendez-vous chez le coiffeur, il me semble bien que c’est la seule chose programmée aujourd’hui.

- Parfait, alors prends ton petit déjeuner.

Sur ces bonnes paroles, Sylvie se met à déguster la tartine de beurre et de miel, Puis boit son café.

Michel se contente de contempler la jeune femme, sans mot dire.

Une fois sa tasse vide, la belle demande :

- Voilà, mon brunch est pris, qu’as-tu prévu de si mystérieux que tu ne voulais pas en parler avant que je ne déjeune ?

- Lève-toi et viens te mettre devant mon bureau, mains sur le plat du meuble, jambes écartées.

Puis l’homme sort de la chambre avec le plateau pour aller le mettre dans la cuisine.

Ensuite, il revient, jette un œil pour vérifier que sa soumise est bien dans la position commandée, puis ouvre un des placards sous le vasistas de la partie mansardée de la pièce. Il en sort bientôt quelques babioles, puis une caisse en plastique qui semble lourde. Il remet les autres objets dans le placard, et le referme.

Il prend alors un temps infini, ou du moins qui semble tel, à la jolie brune qui attend sagement, devant le secrétaire, pour ouvrir et sortir différents plugs, rosebuds et autres godemichets de sa boite à malices. Il les scrute et les jauge précisément, puis, laissant de côté le plus gros des rosebuds, il range tranquillement les autres jouets, dans la grande boîte en plastique, alors, il repousse celle-ci près tout près de la porte coulissante du placard.

Ensuite, il prend fermement en main le rosebud métallique et se relève. Et enfin, il s’approche du cul de sa soumise. D’une main experte, il écarte les fesses rebondies, puis joue à essayer de faire entrer l’ornement pervers, dans l’anus, pourtant volontaire.

La jeune femme fait de gros efforts pour se décontracter de manière à laisser passer l’objet, mais rien n’y fait vraiment, il semble que le bibelot soit bien trop volumineux pour une entrée à sec.

Michel arrête son jeu pervers, et annonce, tout en déposant l’impressionnant rosebud sur le secrétaire, juste sous les yeux de la belle :

Je ne vais pas forcer, je vais aller chercher un lubrifiant.

Sylvie ne bouge pas d’une oreille. Elle attend la suite des événements, tout en fixant le gros rosebud et en se demandant comment pareil objet pourrait jamais entrer en elle. Toutefois, si elle réfléchissait davantage, elle se rendrait compte que son anus vient d’être sauvagement ouvert par la bouteille de pétillant, juste la nuit d’avant !

Michel revient rapidement, il a en sa possession, un petit pot de baume du tigre, un onguent chinois qui soigne bien des maux, et là, en l’occurrence, il va servir de lubrifiant, au moins dans un tout premier temps.

En ouvrant le petit pot, une douce odeur envahit la pièce. Il plonge deux doigts dans le pot et les frotte quelques secondes sur le produit. Puis, il s’empare du jouet métallique, de sa main libre et enduit cette fois-ci l’objet. Puis il passe à la rondelle brune, qu’il enduit aussi de ce lubrifiant improvisé, et, enfin, écarte les fesses de la belle pour pouvoir introduire le bijou dans l’anus, qui cette fois, s’ouvre plus aisément, pour laisser le passage.

Sylvie adore sentir son anus s’ouvrir, doucement, et cet objet dur et froid, pour le moment, la pénétrer. Aucune douleur, juste cette légère sensation de froid au contact du métal. Puis, après une très légère brûlure de courte durée, elle sent son sphincter retenir prisonnier le bijou. Car la partie du rosebud qui reste visible est un verre taillé comme s’il s’était agi d’un émeraude de grande valeur.

Une douce odeur d’eucalyptus flotte dans l’air. Michel contemple ce cul orné de ce bijou feint. Il sait que le baume chinois va commencer par procurer une sorte de sensation de frais, puis va très vite chauffer l’intérieur des boyaux.

Effectivement, la jeune femme ressent une certaine fraîcheur dans son anus, pourtant bien échauffé ces derniers temps. La sensation lui plaît, et elle la commente à son maître :

- Qu’as-tu mis sur le jouet, ça me rafraîchit le ventre ?

- Du baume du tigre, bonne médecine chinoise.

- C’est étonnant, j’ai l’impression que maintenant ça chauffe un peu...

Puis, quelques instants plus tard, la belle renchérit :

- Oui : je confirme, ça me chauffe l’arrière-train... Ça me chauffe les intestins, maintenant, c’est vraiment chaud ! C’est limite brûlant maintenant ! Et ça me brûle la rondelle, là !

- Oui… Ça va encore empirer, mais ça se calme assez vite, par contre, cette bonne odeur d’eucalyptus te suivra toute la journée.

Michel annonce qu’il va prendre sa douche, mais avant cela, il tient à ce que sa nouvelle amie apprenne quelques rudiments de la soumission. Aussi, il la prend doucement par le bras et la guide au milieu de la petite pièce. Là il ordonne :

- Tu vas te tenir accroupie, les genoux bien écartés, pour que tu ressentes bien ton anus et la chaleur du baume. Pas un geste, tu ne penses qu’à ton anus durant le temps, que je prenne ma douche et que je me prépare.

La belle n’ose pas bouger, et concentre Son esprit sur son anus nouvellement équipé.

Au début, elle entend encore l'eau de la douche couler, mais bientôt, elle est tellement concentrée sur son anus, et sur cette chaleur qui lui vrille le fion, qu'elle se coupe du monde réel.

Michel apparaît dans la pièce, nu, mais sec. Il voit avec plaisir la brune, les yeux fermés, qui se touche doucement la chatte, visiblement très concentrée.

Là, il lui ordonne encore :

- Maintenant, astique-toi le clitoris. Je vais venir m'habiller devant toi et je veux que tu jouisses, les yeux fermés, en étant toujours très concentrée sur ton anus.

Sylvie n’attendait que ça. Elle a déjà une main qui traîne sur sa vulve, et de devoir se masturber, sous les yeux de son homme, lui procure une vive excitation.

Alors que Michel plonge son regard dans les yeux verts de cette jolie brune, il attend que la donzelle commence à se masturber.

Sylvie débute en jouant de son majeur sur son clitoris, puis passe ses doigts sur sa vulve, avant de revenir sur le clitoris. Elle s'excite et rapidement, elle en vient à avoir un orgasme, qui la renverse et elle se retrouve allongée sur le dos, les jambes toujours pliées, comme si elle était accroupie, tel un jouet qu'on aurait renversé.

- Parfait, ça va me donner du courage pour toute ma matinée, reste comme ça quelques instants, je vais faire une photo.

Puis, l'homme s’empare de son appareil photo, sur son bureau, et fait quelques photos de la belle renversée. Ensuite, il s'adresse à elle, une nouvelle fois, et lui annonce :

- De toute façon, je vais t'appeler toutes les demi-heures et te donner un petit exercice à faire.

Ensuite, gentiment, il l’aide à se relever et à venir s'asseoir sur le canapé. Il finit de s'habiller, embrasse une dernière fois sa partenaire et sort pour aller au travail.



Une grosse demi-heure après son départ, le téléphone portable de la brune sonne, elle décroche et entend la voix de son amant et maître, qui lui dit :

- Là, maintenant, tu retires le plug et tu le remets une dizaine de fois. Doucement, mais sûrement, je veux que tu te limes le cul, avec ce rosebud.

Et il raccroche sans autre explication.

La jolie brune se voulant fidèle, même en pensée, s'exécute, ressort une première fois le rosebud, avec, non pas de la difficulté, mais une certaine résistance du sphincter. puis le replonge dans son anus. Elle réitère le mouvement une dizaine de fois, comme il lui en a été ordonné. Elle commence à avoir une furieuse envie de se masturber, aussi, elle envoie un petit texto à son amant, dans lequel elle lui dit :

Maître, je viens de faire ce que vous m'avez demandé et à présent, j'ai une furieuse envie de me masturber, en aurais-je le droit ?

La réponse ne se fait pas attendre, mais elle est laconique, il s'agit d'un simple : oui.

Le deuxième appel n'est qu'un ordre, à la belle, de se masturber, le troisième également.

Ce qu’à chaque fois, la jolie brune exécute avec bonheur.

Puis, d'un coup, lors d'un appel et toujours avant qu'elle ne puisse dire quoi que ce soit, elle entend :

- Là, tu prends la règle sur mon bureau et tu te fouettes le cul, avec la règle. Au moins vingt coups. Ensuite, tu pourras te masturber.

La belle est un peu interloquée, et ne sait trop que penser, toutefois, tenant absolument à faire plaisir à son maître, elle exécute, une fois de plus, l'ordre. Elle s'applique vingt coups de règles sur les fesses. Ses fesses sont zébrées de rouge, alors elle prend quelques photos de son postérieur et les envoie à son maître. Une fois qu'elle a fait ça, elle se met à genoux devant le bureau et se masturbe. Ce coup-ci, l'orgasme est dévastateur, elle tremble de tout son corps et finit même par inonder la moquette, sous elle.

Sylvie perd un peu la notion du temps, avec ces quelques rares coups de fils, auxquels elle ne peut pas répondre, ainsi que les textos, qui sont autant d'ordres à exécuter, finalement, la matinée passe à une vitesse terrible. C'est donc un peu surprise, qu'elle entend la clé dans la serrure de la porte et qu'elle voit son amant et maître rentrer du boulot. Un peu abasourdit, elle se jette à son cou, l'embrasse effrontément.

- Pardon mon maître, je suis complètement stupide et j'ai totalement oublié que j'avais rendez-vous à douze heures trente chez ma coiffeuse.

- Pas de souci, vas-y je vais me préparer un petit en cas et je vais t'attendre.



Quelque chose a dû profondément changer dans l'attitude de cette jeune et belle femme. La coiffeuse s'en rend compte, mais n'ose pas lui faire de remarques.



Quand elle rentre, Sylvie est vivement attendue. Elle a à peine le temps d'enlever sa gabardine, que Michel l’allonge sur le canapé.

Là, il remonte sa jupe sans la déshabiller. Il est équipé de sa fameuse brosse à dents électrique et d’un pot, que la belle n'a pas pu bien voir. Un petit pot, dans les tons verts. Mais, dès que l'homme a ouvert le petit récipient, l'odeur caractéristique du Vicks VapoRub, lui ampli les narines. L'homme trempe la brosse dans le pot de produit odorant, puis amène la brosse sur le clitoris, la met en route et commence à un long massage avec.

Le Vicks VapoRub, à l'instar du baume du tigre, commence par donner une sensation de fraîcheur. Mais très vite, ça chauffe et de plus en plus. La belle est totalement perdue entre le plaisir que lui procure son bouton d'amour et la légère brûlure de sa vulve par le produit contre le rhume.

Content de voir sa partenaire se cabrer et bouger dans tous les sens, il comprend qu'elle a du mal à supporter les caresses sur son clitoris. Il décide de passer à autre chose, replonge la tête de la brosse dans la pommade et, cette fois, vient agacer le trou du dimanche avec la brosse à dents. Il s'attarde sur la fine partie de chair qu'il y a entre vagin et anus, puis passe tout autour de l'anus pour bien l'enduire de pommade.

Bientôt, la jolie brune n'en peut plus et demande grâce :

- Pitié, arrête... Je n'en peux plus... Ça me brûle… Ça me fait jouir en même temps !

Pour faire bonne mesure, l'homme la fixe dans les yeux et lui assène une bonne claque sur le clitoris, en disant :

- C'est bon, on va passer à autre chose, maintenant. J’espérais pouvoir prendre mon après-midi, mais je suis contraint à une réunion à dix-sept heures. Donc, je reviendrai une heure après. En attendant, pour pas que tu t'ennuies trop, je vais te passer un petit film.

Dans un premier temps, il aide sa compagne à se relever du canapé. Il voit, avec plaisir, qu'elle a encore les jambes qui flageolent. Puis, il l'installe devant son ordinateur, sur son fauteuil en cuir, en lui intimant :

- Ne bouge pas, s'il te plaît. Et ferme les yeux.

La belle fait ce qu'il lui est demandé, sachant qu'à chaque fois, qu'elle a exécuté les ordres, elle a eu une récompense insolite. Certes, des fois, c'était à la limite du douloureux, mais c'était toujours, quelque part, dans le monde du plaisir et surtout dans celui de la découverte.

Là, l'homme fouille dans ses affaires, qui sont dans le placard de la partie mansardée, et en extirpe une cordelette. Il prend un soin infini pour attacher sérieusement la belle, sur son fauteuil, de manière à ce qu'elle ne puisse pas remuer. Ou du moins, qu'elle puisse espérer bouger, pour être plus précis. Enfin, il met en route son ordinateur, sélectionne le film qu'il avait prévu pour elle. Un film qui ne parle que de sodomie d'ailleurs, le lance dans l’application ad hoc. Il embrasse la belle et repart à sa réunion.

Au début, le film laisse la femme assez indifférente. Mais, au fur et à mesure, que l’intrigue avance, ça commence à l'agacer un peu. Bientôt, ça lui donne envie de se masturber. Or, elle est entravée, aussi, elle force d'un côté, puis de l'autre, de manière à pouvoir se caresser. Mais elle n'y arrive pas vraiment. Et à tenter de se libérer, elle ne fait que resserrer les liens et être encore plus entravée. Si bien qu'à la fin du film, qui dure une bonne heure et demie, et juste avant que son amant ne rentre, elle est totalement stressée et complètement excitée.

Michel se rend compte de l'état d'excitation de sa soumise, lui-même est très excité, car il n’a pas cessé de penser à elle, tout au long de la réunion. Aussi, s’occupe-t-il de détacher la jolie brune. Dès qu'elle est libérée, il la plaque sur le plateau du bureau, lui retire, sans ménagement, le rosebud, ouvre sa braguette, sort son sexe, déjà en érection, et la sodomise.

Excitée comme elle est, la belle jouit très vite, mais aussi très fort, si bien qu’elle ne peut retenir son sphincter urinaire et finit par pisser sous elle.

Cela a pour effet d’enflammer encore plus le maître, qui ne peut se retenir et jouit dans son anus.

Quand il a repris son souffle, voyant les taches de cyprine de la matinée et d’urine actuelles, il dit :

- Je crois bien que tu vas avoir à nettoyer la moquette ! À moins que tu ne veuilles marquer ton territoire, comme une chienne ?

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