La vierge enceinte : La nuit de la création (2020)
Sylvie, se réveille vers dix-huit heures, Michel est déjà debout et l’attend devant son ordinateur.
– Mon enculée a bien dormi ?
– Oui mon Maître adoré, merci !
– Et une petite soirée avec Paul, ça te dit ?
– Oui, si tu as décidé, je ferai ce que tu me demanderas de faire, avec lui ou avec d’autres, j’ai compris que tu ne cherchais que mon bien, que mon plaisir, donc je te laisse tout organiser !
– Non seulement tu es une bonne enculée ! Mais de plus, tu es une bonne soumise, à ce que je comprends !
La jeune femme se rend compte que ses propos peuvent très bien l’impliquer dans des choses importantes et la mener fort loin. Cependant, elle se sent en confiance avec cet homme, pourtant elle le connaît encore peu, depuis peu de temps, mais elle sent confusément qu’elle ne prend, finalement, pas trop de risques.
Les deux complices prennent une douche, puis s’habillent pour sortir chercher les derniers ingrédients pour le repas du soir. Sylvie en profite pour passer à son petit appartement pour se changer.
Dans la petite chambre attenante à la grande pièce qui sert de salon et de salle à manger, la jeune femme sort une robe et des sous-vêtements un peu osés pour les montrer à son nouvel amant.
– Je ne pensais pas que les jeunes femmes d’aujourd’hui aimaient à porter des bas et des porte-jarretelles !
– Si, j’adore ce côté "vintage", et je sais que les hommes aiment aussi beaucoup !
– Ha ! Tu reconnais donc aimer allumer les hommes !
– J’ai honte… Mais oui, j’aime allumer ce feu dans les yeux des hommes !
– Alors, je vais prendre plaisir à t’exhiber…
Sur ce, Sylvie ajuste ses sous-vêtements et, quand elle veut passer la culotte par-dessus les bas, Michel intervient :
– Non ! Tu n’as pas besoin de culotte, une bonne enculée soumise se doit d’avoir toujours la salle de jeux et les toilettes disponibles.
Sans un mot, la jolie brune repose la culotte en fines dentelles et commence à passer son soutien-gorge.
– De la même façon, autant que tu aies les nichons à disposition des gens que je te désignerai.
Pour la deuxième fois, la jeune femme rouvre son tiroir et range le vêtement superflu. Ensuite, elle passe sa robe en l’enfilant par les pieds, doucement, comme dans une sorte de strip-tease inversé. Escarpins vernis, l’imperméable beige, un petit parapluie, sait-on jamais et les voilà repartis.
Dans la supérette près de chez Michel, ils s’arrêtent pour prendre le pain et encore quelques ingrédients.
Là, le maître ouvre en grand l’imperméable de la belle et baisse le haut de la robe de manière à en extirper les seins.
À ce moment-là, Sylvie découvre une nouvelle sensation, certes, elle tremble légèrement de crainte d’être vue, mais en même temps, elle est excitée par le fait d’être ainsi exhibée et elle est réconfortée quand son amant lui prend la main.
L’homme la promène à travers quelques rayons, jusqu’à ce que la jeune femme commence à être plus décontractée. Là, il lui glisse à l’oreille :
– Écarte un peu tes jambes, s’il te plaît !
La brune s’exécute, puis reste comme pétrifiée.
L’amant porte une main à la chatte offerte sous la robe, insère délicatement un doigt sur la vulve qui ruisselle pratiquement de cyprine. Puis, ressortant son doigt, souffle à sa compagne :
– Tu es trempée, si maintenant, tu essayais de me dire que cette petite exhibition ne t’avait pas plu, j’en conclurai tout de suite que tu es une menteuse ! Ha, ha, ha…
– Ho oui, j’adore ! Mais en même temps, je suis totalement angoissée que l’on puisse me voir… Ou me reconnaître !
– C’est bien de l’avouer, mon enculée.
Sur ces bonnes paroles, l’homme remonte la robe de manière à ne laisser voir maintenant que le début de la belle poitrine opulente. Et ils finissent leurs courses.
Vingt heures, arrivée de Paul, apéritif, repas et ensuite, on passe au salon. Là, Sylvie et Paul s’installent dans le canapé, sans se toucher, mais sans non plus être trop éloignés l’un de l’autre.
Michel, quant à lui, s’est installé dans son fauteuil en cuir sur roulettes qui trône habituellement devant l’ordinateur, posé sur le secrétaire. De là, il peut voir les cuisses, gainées de nylon, de la belle.
– Au fait, Paul, as-tu vu les progrès que fait ma belle enculée ?
– Il me semble oui, pas de soutien-gorge, si mes yeux ne me trompent pas ?
– Oui ! Et mademoiselle a même montré sa crémerie dans la supérette du coin de la rue. Quelle belle progression ! Pour une vierge.
– Oui, mais je ne suis plus vierge de l’anus, ça, c’est certain !
Tous trois rient, un petit verre de cognac, quelques histoires salaces, quelques récits des aventures de Paul de ces derniers temps et l’ambiance s’échauffe copieusement.
Jusqu’au moment où, au détour d’une conversation, Michel demande à sa nouvelle soumise de se lever et de retirer sa robe et seulement sa robe.
La jeune femme se lève, se place au milieu de la pièce entre le canapé et le fauteuil de cuir et retire sa robe en la faisant glisser, doucement, et de façon tout à fait contrôlée, vers le bas.
Paul écarquille les yeux, et souffle, visiblement très excité :
– Les bas avec les escarpins, vraiment magnifiques… Viens près de moi.
En jetant un regard à son maître, pour vérifier qu’elle a bien l’aval de celui-ci, elle s’approche du canapé et vient se planter, juste devant Paul.
Ce dernier passe ses mains derrière le petit cul, bien rebondi, et attire le corps vers lui. Il hume, en connaisseur, les effluves de ce sexe, puis ordonne à la jeune femme :
– Tourne-toi… Penche-toi en avant… Écarte bien tes fesses… Encore un peu plus.
Et là, il se penche et vient honorer directement l’anneau brun, de sa langue. Il lèche, pénètre, ressort, lape, introduit à nouveau, son membre buccal dans le sombre trou, si gentiment offert. Il n’arrête que lorsque la belle commence à geindre de plaisir.
– Viens me sucer la bite, ma belle.
Pendant ce temps-là, Michel s’est mis nu. Et quand sa jeune soumise se redresse pour se retourner, il lui passe la main derrière la nuque et l’embrasse goulûment. Puis, dans un souffle :
– Tu es une brave soumise, tu vas donner du plaisir à mon ami, je compte sur toi pour que tu t’appliques.
– Oui Maître.
Et, une fois que le maître l’a lâchée, elle finit son geste et se met à genoux devant Paul, qui lui, s’est arc-bouté sur le canapé, pour faire glisser son jeans et son caleçon.
Elle prend délicatement le sexe, déjà partiellement dressé, en main. Le porte doucement à sa bouche en fixant dans les yeux l’homme avec un air mutin.
Paul soutient ce regard de catin. Il se dit : « décidément, cette jeune salope, pour une pucelle, sait tout de même bien y faire avec les mecs ! ». Le regard déluré de la belle lui redonne encore plus de vigueur et il a l’impression que son sexe va exploser à force de bander de la sorte.
Sylvie joue avec le sexe qu’elle a en bouche, sa langue s’amuse du méat, ses dents frôlent parfois la tendre peau ou la grosse veine bleue. De temps à autre, et alors qu’elle a la queue la plus enfoncée possible dans son doux gosier, elle sort sa langue pour aller flatter les couilles.
Paul sent qu’à ce rythme-là, la soirée va être courte, très courte, et ce n’est pas du tout son intention ! Aussi, repoussant gentiment la belle en arrière, il annonce :
– Attends, je vais te montrer une position plus acrobatique, je suis sûr que Michel ne t’a pas encore prise comme ça !
Tout en parlant, l’homme se lève et aide sa suceuse à se mettre debout. Puis il la guide pour qu’elle se mette finalement par terre, dos au sol, les jambes sur le canapé. Puis, il repousse les jambes de manière à ce qu’elle soit cul-par-dessus-tête.
– Je suis sûr que mon pote ne t’a pas encore prise de la sorte, attention, je vais venir !
Et, retirant prestement son jeans et son caleçon en même temps, il vient se mettre debout de part et d’autre de ce cul offert, plie les jambes, guide sa bite raide vers le bas et l’applique contre le sphincter.
La jeune femme maintient ses reins avec ses mains, ses coudes sont au sol aussi, c’est un peu la figure de la chandelle, qu’elle fait faire parfois à ses élèves, pendant les cours de gymnastique. Puis, d’un coup, elle sent qu’un corps étranger pénètre son être par le haut. La sensation est étrange, légèrement douloureuse, mais très vite ce sont des ondes de plaisir, qui parcourent son ventre.
Paul, fatigue tout de même assez vite dans cette position, surtout que ce sont ses genoux qui font tout le travail d’aller-retour. De plus, excité d’avoir osé cette position, il ne tarde pas à jouir, en ressortant sa bite et en se branlant par-dessus le corps et la chatte de la jeune femme. Puis, pris d’une envie subite, il finit de se vider les couilles entre les grandes lèvres de la belle.
– NON ! Pas dans ma chatte !
– Non, non… Se reprend tout de suite Paul, penaud. Non, je ne vais pas te prendre par la chatte !
Mais déjà, la jeune femme change de position et de place, avant de se relever rapidement. Elle se sent toute poisseuse. Certes, elle a bien mouillé et, dans la position qu’elle avait, elle gardait sa cyprine qui ne pouvait s’écouler, mais là, elle a l’impression que du foutre chaud s’insinue dans son vagin. Elle se sent toute gluante. Mais en même temps, cette sensation lui plaît fortement.
– Déconne pas, Paul ! Nous avons promis à Sylvie…
– Oui ! Excuse-moi, mais de toute façon, je ne voulais pas lui prendre son pucelage, pas comme ça.
– C’est heureux encore ! Un gentleman doit avoir une parole et une seule !
– Oui, mais là, j‘ai plein de sperme sur la vulve… C’est étonnant comme sensation.
Le trio se calme un peu en se recalant, tous les trois, dans le siège, La jolie brune trônant entre les deux hommes, pratiquement nue, les deux hommes, l’étant totalement, maintenant.
De longues minutes passent, Michel a mis un fond musical qui apaise les sens. Mais, au bout d’un moment, les deux hommes qui jouent distraitement avec le jeune corps recommencent à bander, pas encore de façon ostentatoire, mais déjà leurs sexes se redressent doucement.
Les mains de Sylvie entrent en action. De sa place, elle a la position idéale pour pouvoir branler ses deux amants. Aussi, elle commence à jouer avec les sexes, doucement, tranquillement, sereinement, presque comme si de rien n’était !
– Tu as vraiment les mains douces !
– Oui, c’est parce que j’utilise "pec-six-troncs" pour faire la vaisselle, plaisante-t-elle en prenant la voix nasillarde de la femme dans la publicité.
– Si toutes les femmes, qui utilisent ce produit, branlent aussi bien, je pense que je vais passer mes soirées, dans le rayon produits ménagers des grandes surfaces, moi !
En attrapant la nuque de sa soumise, Michel la fait venir à lui et l’embrasse goulûment, tout en lui chuchotant :
– Ne t’occupe pas de ses conneries, branle-nous délicatement comme ça, et fais durer le plaisir !
Puis, Michel, toujours très avenant avec ses hôtes, pousse la jeune femme à se tourner vers Paul et à l’embrasser comme du bon pain.
Très vite, la jolie brune se prend au jeu et, d’elle-même, change de bouche régulièrement pour dispenser ses tendres et doux baisers, délicatement brûlants.
Il n’en faut pas vraiment plus pour que les deux hommes se retrouvent avec l’étendard fièrement élevé !
Et c’est Michel qui se lève le premier pour aller gamahucher la belle. À genoux devant le canapé, entre les cuisses rondes de la gironde, il s’emploie à lui donner un nouvel orgasme. La vulve est à nouveau totalement dégoulinante de mouille douce, tiède et luisante. L’homme s’en délecte le plus longuement possible.
Mais, bientôt, la jeune femme lâche le sexe qu’elle tenait encore, sans bouger, pour venir s’emparer de la tête de son amant et se laisser aller à un orgasme épuisant et totalement silencieux, pour une fois.
Paul n’est pas en reste, il caresse les lourds seins qui sont secoués par les soubresauts de la belle.
Michel attend encore quelques minutes que Sylvie reprenne son souffle, après avoir arrêté de jouer de la langue. Puis, se masturbant tout doucement, histoire d’entretenir cette solide érection, il annonce à sa soumise :
– Je vais te prendre, ton anus est encore bien entrouvert, alors ce sera un coup droit au but !
La jeune femme, entre deux eaux, se laisse remonter les jambes. Quand le mouvement stoppe, elle sent l’invasion de son fondement par une queue raide. Bientôt, elle est bercée par le va-et-vient incessant de son maître dans son rectum.
Très vite, à nouveau, elle crie son bonheur et jouit.
Paul s’est mis à lui pincer les tétons, d’abord doucement, puis de plus en plus intensément.
Michel ne peut résister longtemps à cet étau de chair, bouillant, animé de contractions, plus ou moins sévères, selon les instants. Et comme il commence à crier qu’il va venir, il entend :
– Donne-moi ton sperme sur ma chatte !
Et, fou de débauche et de plaisir, Michel jute copieusement sur toute la vulve pendant de longues secondes.
Sylvie essaye de récupérer le maximum de sauce des dieux pour s’en enduire la vulve, quand elle sent son maître s’essuyer la queue sur son petit paillasson de poils qui orne le haut de son mont de vénus.
Ensuite, elle s’astique copieusement le bouton, et repart presque instantanément dans un orgasme incroyable, presque infernal.
Paul veut sa part de plaisir, aussi, il pousse son pote, mais sans violence, doucement, en soufflant :
– J’ai vraiment trop envie de son cul !
Sylvie, en plein orgasme, se laisse totalement conduire. Elle sent vaguement que ses jambes remontent bien haut au-dessus de son corps, puis à nouveau une invasion rectale.
Cette fois, la position de Paul est bien moins acrobatique et bien plus académique. La classique du nord, à genoux devant le canapé, les hanches bien en main, et en avant Guingamp !
Il lime l’étroit boyau souple, mais brûlant.
La belle jeune femme recommence à crier son plaisir. Et elle se permet même de se triturer le clitoris au rythme de la progression du phallus, de l’homme en elle.
À nouveau, il sent son volcan interne entrer en éruption, il sait l’explosion finale sur le point d’arriver, aussi, il sort sa bite de l’étroit boyau visqueux et s’astique le manche jusqu’à faire couler sa sève sur la vulve et sur les doigts, qui s’agitent toujours beaucoup, de la jolie brune.
Une nouvelle fois Sylvie crie son plaisir. Son orgasme est terriblement fort ! Entre ses doigts qui savent lui procurer les plaisirs solitaires et ces plaisirs en direct de son anus, à cela, il faut ajouter la jouissance de l’homme, elle perd toute notion du temps et de l’espace ! Même avec les yeux ouverts, à cette seconde, elle ne pourrait dire où elle se trouve.
Quand la main de la jeune femme retombe le long du sofa, Paul joue à barbouiller toute la vulve avec son foutre, se servant de son vit comme d’un pinceau.
Michel surveille de près, pas question que, qui que ce soit, déflore sa soumise sans autorisation consciente de celle-ci. Là, si on lui demandait, peut-être accepterait-elle, mais pas en conscience, sous le coup des émotions intenses.
Paul s’effondre maintenant, ses jambes le trahissent et il a bien du mal à se traîner sur le canapé.
Sylvie, quant à elle, est totalement vidée et cherche à reprendre son souffle. Puis, après quelques profondes aspirations, elle ouvre les yeux et porte à nouveau ses doigts à sa chatte pour se triturer la vulve et se badigeonner de foutre, tout son entrecuisse.
– Incroyable comme la sauce de bite peut m’exciter… Je n’aurais jamais cru !
– Ne me dis pas que tu as encore envie ?
– Si. Mon anus me brûle un peu, mais ça m’excite en même temps… J’ai encore envie, d’avoir le rectum envahi… Pris d’assaut !
Sur ces bonnes paroles, Michel se lève et passe dans la cuisine, puis il revient avec une bouteille de pétillant. Il retire rapidement le fils métallique qui retient le bouchon, la collerette en papier aluminium, puis débouche doucement la bouteille.
– Lève bien tes jambes !
Ensuite, Michel applique le goulot contre le sphincter, puis bascule la bouteille comme pour verser du vin dans un verre, tout en faisant pénétrer le goulot de plus en plus loin dans l’anus déjà bien ouvert.
Un petit cri de surprise s’échappe de la gorge de Sylvie. Mais elle se laisse faire, tout juste, elle porte, une fois encore, sa main à son sexe, attendant le moment propice, pour recommencer à caresser son joli bouton d’amour.
Une fois la bouteille au plus loin, dans l’anus béant, Michel commence de longs et lents allers-retours, puis il accélère de plus en plus.
Le vin se met à mousser de plus en plus, lui aussi, et sort sous pression dans le boyau de la jeune femme.
– Tu n’as jamais pris de pétillant de la sorte, j’imagine ?
– Là, tu vas comprendre pourquoi on appelle aussi ça du péteux ! S’écrie alors Paul.
– Ho ! Bande de salauds ! Que c’est bon !
Et pour montrer son plaisir à se faire ainsi ramoner le fion, elle commence à s’astiquer la motte. Sa chatte est détrempée de cyprine et de foutre qui a du mal à sécher. Plus elle s’astique, plus sa chatte semble mousser, tout comme son anus qui suinte une mousse blanchâtre.
Michel ramone le conduit de la boite à crottes comme un beau diable. La bouteille se vide dans les intestins et le sang de la vigne, va de plus en plus loin dans le corps de la belle.
– Paul, va me chercher la grande bassine dans la baignoire, s’il te plaît !
Aussitôt, l’homme sort de la pièce et revient avec une grande bassine bleue. Il la tend à son ami.
Michel pose la bassine sous les fesses de la belle, car il s’est aperçu que du vin blanc et de l’écume tombait sur le sol. Puis, il recommence à limer ce jeune cul si accueillant, de plus en plus vite et de plus en plus loin. Il n’a de cesse que de faire crier sa belle soumise.
Ça ne prend pas beaucoup de temps, bientôt Sylvie se met à crier de nouveau. Elle rameute tout le quartier, de ses cris de plaisirs aigus, entrecoupés de sa respiration extrêmement rapide, qui en dit long, également, sur son état.
Paul s’est remis à se masturber et a maintenant une belle érection.
Michel, tout en continuant à appliquer ses va-et-vient vigoureux à la dive bouteille, se masturbe aussi de la main droite.
Bientôt, comme folle de plaisir, la belle brune s’écrie :
– Du foutre… Du foutre… Inondez-moi la vulve de votre sperme !
– Ha, tu veux du nectar de couilles, tu vas en avoir pour ton argent, pouffiasse, s’écrie Paul, alors même qu’il vient se placer au plus près de la chatte, toujours astiquée par la jolie main et qu’il décharge toute sa purée, bien plus liquide que tantôt, sur le dos de la main, toujours en mouvement.
La jeune femme retourne sa mince dextre et s’enduit toute la minette du jus chaud et visqueux. Puis se remet à se branler frénétiquement.
– Du foutre… Du foutre… J’en veux plein ma chatte !
Cette fois, et alors que Paul vient de se reculer et est parti s’asseoir dans le fauteuil directorial, c’est Michel qui, lâchant la bouteille, qui reste plantée dans l’anus de la jeune femme, vient se placer au-dessus de cette chatte toute luisante et décharge tous ses produits à faire des gosses, sur le mont de vénus.
– C’est trop bon… ! Je deviens folle… ! Encore !
Mais là, cette fois, les deux mecs qui ne sont finalement plus si jeunes que ça, donnent de sérieux signes de fatigue.
Bientôt, l’alcool absorbé, directement, par les intestins, commence à faire sentir ses effets délétères et la belle Sylvie commence à avoir la tête qui tourne.
Elle n’en finit pas de se masser la vulve dans tous les sens, à en avoir les mains poisseuses, tout comme tout le pubis, en partie rasé, et le bas du ventre.
Une fois qu’il a joui et qu’il commence à revenir sur le plancher des vaches, Michel se préoccupe de la bouteille qui est tombée dans la bassine et qui s’est vidée. Il voit également l’anus béant de sa jeune soumise, qui suinte du vin et d’écume.
Quand la respiration de la brune redevient plus calme, de temps à autre, elle a des mouvements brusques et désordonnés, qu’elle ne peut ni contenir ni gérer. La redescente est douce, mais longue.
Paul est le premier à rompre un silence léger, qui s’était doucement installé, après les derniers sursauts et les profonds soupirs de Sylvie. Il se lève, et annonce :
– Trop bien… C’était vraiment très, très bien. Merci mes amis ! Mais là, je suis vidé, j’espère avoir la force de rentrer chez moi !
Michel, qui connaît parfaitement son pote, comprends alors que celui-ci fait des appels du pied pour pouvoir dormir ici, mais il veut être au calme avec sa soumise. De plus, il ne veut pas partir trop tard demain matin, il a une grosse journée de prévue.
– Tu as raison, on ne te met pas à la porte, mais nous aussi, nous allons nous reposer.
Sur ce, finalement, Paul se rhabille et finit par partir, non sans saluer encore, de façon très appuyée, la belle brune.
Le Maître et son enculée de soumise se lèvent, pour accompagner leur ami à la porte. Une fois le départ de Paul effectif, Sylvie se jette au cou de son nouvel amant et Maître, l’embrasse amoureusement et lui susurre :
– Jamais, je n’aurais cru pouvoir jouir aussi fort ! Ou tu es un Dieu… Ou tu es un démon… Mais je ferai tout pour pouvoir continuer à te suivre, mon amour !
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