La vierge enceinte : La découverte (2020)
Paul et Michel sont deux très bons copains de longue date. Tous deux dans un début de quarantaine, tous deux divorcés et bien décidés à vivre pleinement ces années de liberté retrouvée.
Tout commence par une soirée, quelque peu arrosée, lors de laquelle une singulière discussion s’entame :
– J’ai lu que le plus vieux moyen de contraception est la sodomie ! Utilisé depuis la nuit des temps.
– Oui, c’est une méthode encore beaucoup utilisée, notamment, mais pas que, dans les pays dont l’islam est la principale religion.
– J’ai été surpris aussi de lire que ça pourrait expliquer que Marie soit restée vierge jusqu’à la naissance de Jésus !
– Oui, remarque, à bien y réfléchir, l’hymen n’est pas une cloison étanche chez la femme, mais un film de peau qui ferme en partie le vagin, pas plus... Et j’imagine que du sperme versé dessus finirait par aller au fond du vagin et rentrer dans l’utérus.
– Faudrait en faire l’expérience ! Trouver une vierge et l’inonder de foutre pour voir.
– Ha, ha, ha… Je reconnais bien là, l’immonde pervers que tu es !
– Dis-moi juste, que ce genre d’expérience, ne te plairait pas pour voir !
– Ha, ha, ha…
– Ça pourrait être amusant effectivement ! Mais où trouver une vierge majeure, de nos jours ?
– En passant une annonce sur “Hourra-rue“
Et les deux hommes se mettent à rire, en continuant de siroter leur verre de whisky.
Puis, pour ce soir, le débat en reste là. D’autres sujets sont évoqués et la nuit avance.
Quelques jours plus tard, nos deux compères se retrouvent, cette fois chez Michel.
– Tu sais, ton discours sur les vierges pouvant être enceinte m’a finalement plus travaillé que je n’aurais souhaité… J’en ai même faistquelques rêves.
– Ha bon ! Et donc ?
– Hé bien, lors d’une de mes insomnies, j’ai rédigé une annonce… Tu aimerais la lire ?
– Ouais…
Sur ce, Michel se lève et va sur l’ordinateur, ouvre sa session, et affiche un fichier texte à l’écran.. Paul s’approche du bureau et lis à haute voix :
« Gentleman, la quarantaine flamboyante, propose à jeune femme vierge – mais majeure – l’exploration de sa libido naissante sans risque pour sa virginité. À base de relaxation, massages tantriques, détente, caresses… ».
- Tu penses réellement que tu auras une réponse à une annonce pareille ?
– Écoute, c’est gratuit… Et qui tente rien n’a rien.
– Tu as raison, mais je ne pense vraiment pas que tu auras une réponse quelconque à ton annonce… Enfin… Je te souhaite tout de même que ça réussisse !
Quelques jours plus tard encore, mais cette fois au téléphone, Michel appelle Paul et quand ce dernier répond, lui annonce :
– Ça y est !
– Ça y est, quoi ?
– J’ai rencontré Sylvie, une jeune nana de vingt-deux ans qui veut découvrir sa sensualité tout en douceur.
– Ha bon ! ... Jamais, je n’aurais cru…
– Je t’avoue que je suis le premier surpris… Moi non plus, je n’y croyais pas !
– Alors, raconte ! Comment ça s’est passé ?
– Première rencontre dans un café de la ville, je l’ai invité au bar de l’univers, place de la mairie… Le courant est passé très vite, puis nous avons marché un peu en ville, il faisait doux en ce début d’automne… On a beaucoup parlé, de tout, de rien, de sexe sans conséquence, elle m’a longuement expliqué que pour elle, être vierge au mariage était d’une importance capitale… Par la suite, elle m’a dit aussi qu’elle voulait tout de même connaître le plaisir et qu’elle était très intéressée par les massages tantriques, les caresses, ce genre de choses… Et puis, elle m’a promis de me revoir, ce sera demain soir, normalement.
– D’accord, mon ami.
– Je sais qu’on avait plus ou moins prévu d’aller boire un pot en ville et d’écluser quelques bières dans les bars chauds, mais je t’avoue que, si ça se fait, je préfère passer ma soirée avec cette jolie petite nana et voir ce que ça peut donner.
– Oui, pas de lézard, on ira écluser quelques bières mardi soir alors. Et tu me raconteras ta soirée !
Le mardi suivant, en fin de journée, nos deux acolytes se retrouvent dans un bar sympathique de la vieille ville qui, sans être bondé, est déjà largement encombré de clients de toutes sortes. Très vite, Michel met au courant son ami, que la soirée devrait se continuer avec Sylvie. Paul est ravi de faire la connaissance de cette jeune femme, qu’il voit déjà comme une proie potentielle, de ses envies de stupre.
C’est vers vingt-et-une heures que Sylvie apparaît dans le bar, les deux compères étant en pleine discussion, ils n’ont pas fait attention à l’heure et c’est donc elle qui vient bonjour à Michel, qu’elle a reconnu de l’autre bout de la salle.
Elle est vêtue d’une jolie robe qui arrive juste au-dessus du genou, en jeans, qui se ferme avec des boutons sur le devant. Les trois boutons les plus hauts n’étant pas fermés, elle arbore un joli décolleté, qui met son ample poitrine en valeur, sans pour autant être provocant, tout en retenue. Elle a les jambes nues, parfaitement lisses, et de jolis escarpins bleus assortis à sa robe.
Après les politesses d’usages et encore deux verres, chaque homme payant sa tournée, Michel propose d’aller chez lui, dans son petit deux pièces au deuxième étage, pour continuer la soirée et pouvoir s’entendre lors des discussions. Le bar étant définitivement trop bruyant.
Une petite demi-heure plus tard, voici le gentil trio qui arrive chez Michel. Il invite son ami et la jolie brune à prendre place dans le canapé à ses côtés, et finalement, la jeune femme se retrouve encerclée par les deux hommes.
La douce chaleur du petit appartement, le vieux cognac servi, l’atmosphère déjà un peu électrique, tout concourt à des discussions assez poussées sur la sensualité.
Puis, comme il faut bien que la question soit posée un jour ou l’autre, Paul demande à la jeune Sylvie pourquoi elle tient tant à rester vierge pour le mariage.
– C’est une promesse de petite fille que je me suis faite, il y a bien des années, bien avant d’avoir mes premiers émois. Mais je me suis fixée une ligne de conduite, toujours resté fidèle à ma parole, surtout aux promesses que je me suis faite.
– Oui, mais tu as voulu rencontrer Michel pour en connaître davantage sur la sensualité, et surtout sur le plaisir, si je t’ai bien compris.
– Oui, j’avoue que j’ai cru mourir la première fois que j’ai eu un orgasme en me caressant !
– C’est normal, un orgasme violent se dit aussi "la petite mort". Ajoute alors Michel, avec un sourire plein de compassion, pour cette jeune femme qui découvre la vie.
– Le problème pour une femme est d’arriver à l’orgasme. Ne parlons pas des trop nombreux mecs, qui baisent comme des lapins, pour leur unique plaisir personnel, la femme ne servant alors que de vide couilles.
– Oui, mais quand la femme tombe sur un homme généreux en plaisir, que ce soit de nature ou par amour, là, elle aura un orgasme très fort, parfois même violent !
– Et surtout, il ne faut pas oublier que le sexe, c’est avant tout dans la tête… Donc, il faut aussi se laisser aller à ses rêves, ses fantasmes, voir à libérer son imagination et penser à quelque chose de très excitant, pendant le coït !
Et pendant que les deux hommes théorisent sur le plaisir, la jolie jeune femme commence à se détendre, et à avoir des postures qui dénotent une certaine excitation.
Ce que Michel ignorait, à ce moment-là, c’était que Paul avait mis discrètement une petite pilule dans le verre de la belle Sylvie. Et que, l’excitation qui montait en elle était autant chimique que cérébrale.
– Mais toi-même, dans tes flirts avec les jeunes hommes de ton âge, tu as bien dû te rendre compte, que parfois il y a des mecs qui donnent du plaisir et parfois non… Non ?
– Si, enfin, oui… Mais mes premiers flirts n’osaient pas me caresser, et maintenant, les hommes qui veulent sortir avec moi ne comprennent pas mon désir de rester vierge, et donc me tournent le dos très vite !
Paul longe son regard dans les yeux verts de la jolie brune, puis lui prend doucement les mains en lui disant :
– Tu sais qu’il est possible de faire l’amour tout en restant vierge, je suppose ?
– Non !... Enfin, oui, avec la fellation, non ?
– Non, je pensais à la méthode orientale, la sodomie.
– Pourquoi la méthode orientale ?
– Parce que beaucoup utilisée dans les pays arabes, au Maghreb et au proche-orient… Il semblerait même que l’histoire de la vierge Marie, une femme vierge au moment de l’accouchement, puisse s’expliquer par cette pratique de la sodomie.
– Ha bon ! Pourtant, et bien que je ne sois pas très calée en anatomie, on ne peut pas tomber enceinte avec la sodomie ! D’ailleurs, ce serait une bien mauvaise méthode de contraception si tel était le cas !
– Sauf si, après la sodomie, l’homme éjacule sur le sexe de la femme, l’hymen n’est pas une cloison étanche, sinon les femmes ne pourraient avoir leurs cycles mensuels !
Sylvie a un rire dans lequel se sent son excitation et sa surprise, mais aussi un léger mal à l’aise.
Paul en profite pour caresser encore un peu plus haut le bras de la jeune femme, et lui demande d’une voix trahissant sa propre excitation :
– Donc tu ne connais pas la sodomie ?
– Ben non… J’ai l’air truffe, non ?
– Non, nous avons bien compris que tu recherches des hommes mûrs, pour apprendre et comprendre la sensualité et le plaisir. Interrompt alors Michel qui a peur, que son ami n’accapare totalement la jeune femme, qu’il a réussi à attirer dans ses filets.
Voulant battre le fer tant qu’il est chaud, Paul reprend son discours sur la sodomie, en devenant plus insistant dans ses paroles et dans ses caresses :
– Tu n’as jamais eu un petit ami qui t’a caressé les fesses en t’embrassant ?
– Non… Le sexe, oui… Le clitoris oui… Mais pas derrière !
– C’est une caresse très électrisante, car la région anale est très innervée.
Et, aussitôt, Paul entoure les épaules de la jeune femme, l’attire doucement à lui, et l’embrasse doucement. Sa langue découvre une bouche douce, fraîche, et ce délicieux goût du vieux cognac qui échauffe encore un peu plus les sens. Il en profite pour glisse une main sous la robe.
Tout d’abord, Sylvie serre les jambes, puis, très vite, goûtant le plaisir de ce baiser par un homme qui pourrait être son père, elle laisse ses jambes s’écarter doucement, comme invitant sa main inquisitrice à explorer plus loin.
L’homme se fraye un chemin vers les fesses et la chaude vallée, pour finir par venir poser son index contre le sphincter qui semble déjà tendu.
– Non… Pas là… C’est sale ! Essaye de refuser alors Sylvie en stoppant net le baiser, tout en laissant la main contre son intimité et ce doigt vagabond œuvrer.
– Laisse-toi aller, tu vas voir, non seulement ce n’est pas sale, mais en plus, c’est très doux.
Sur cette bonne parole, Paul reprend possession de cette douce bouche et continue de plus belles ses caresses sur le sphincter qui semble s’entrouvrir.
Michel fait un peu la gueule, il est sur le côté à regarder sa proie être consommée par son meilleur pote. Mais, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, il laisse son ami pour le moment et se contente de bien regarder l’évolution de la situation.
Fin stratège, Paul s’arrange bientôt pour écarter les cuisses rondes et souples et finir par avoir la jeune femme bien enfoncée dans le canapé, une jambe sur les siennes, l’autre sur les jambes de Michel. Et là, malgré le string, il explore plus profondément encore l’anus de la jeune femme en introduisant sa première phalange et en la remuant doucement à l’intérieur.
Michel ne veut pas rester en arrière, et donc, commence un long et doux massage du clitoris en écartant un peu les grandes lèvres de la jeune femme d’une main experte. De sa main libre, il commence à défaire, non sans difficultés, les boutons de la robe de manière à pouvoir accéder aux lourds seins ronds.
La respiration de Sylvie devient plus profonde, de petits gémissements se font entendre, tout doux, mais qui dénotent déjà les prémices d’un plaisir promis.
Les deux hommes, se connaissant très bien et ayant déjà, et à plusieurs reprises, fait des partouzes ensemble, sans parler de se refiler les copines ou les coups ratés, pour que l’autre puisse aussi, ou, tout de même, en profiter, travaillent la jeune femme au corps, dans un élan commun et une technique sûre.
Sylvie se laisse totalement aller aux mains expertes qui explorent son intimité et lui procurent des ondes de plaisir, de plus en plus fortes et intenses. Les sensations en provenance de son anus sont une pure merveille, une grande découverte, et d’une intensité qu’elle n’a jamais connue auparavant.
Les yeux mi-clos, le souffle court, bientôt, elle ne peut réprimer les premiers gémissements annonciateurs d’un orgasme.
Les deux amis, toujours très complices, se regardent mutuellement de manière à coordonner au mieux leurs efforts, pour faire jouir cette jeunette curieuse. Ils redoublent attentions, Michel massant encore plus énergiquement ce petit clitoris, devenu bien dur. Paul enfile un deuxième doigt dans l’anus, qui lui laisse maintenant le passage et joue à les bouger et les écarter au rythme, de ce qu’il ressent à travers le corps de la jeune femme, de la branlette, qu’opère son copain.
L’alcool, les discussions, et peut-être aussi la "pilule qui rend les filles gentilles", tout concourt à ce que la belle Sylvie perde la tête, et bientôt, elle jouit en criant, sous la violence de l’orgasme tant rêvé.
Les cris stridents emplissent la pièce, laissant bientôt place à une longue plainte. Et pour finir, quelques pleurs.
Michel a été contraint de retirer son doigt du clitoris à cause des soubresauts de la belle, sous la violence de l’orgasme, mais Paul, lui, a réussi à garder ses deux doigts dans le fondement, de la jolie brune.
De longues, très longues minutes s’écoulent, alors que la jeune femme reprend son souffle, petit à petit, entrecoupé de spasmes, qui font trembler tout son corps, sorte de répliques d’un séisme énorme et ravageur, d’un effroyable cataclysme.
Les deux potes sont d’une patience à toute épreuve, dans ces circonstances, et ils savent que la femme a grand besoin de pouvoir récupérer, s’ils veulent, eux aussi, avoir droit à un orgasme intense. Et, à ce moment précis, ils attendent que la belle revienne sur terre et s’exprime.
Le comble du mauvais goût étant de demander fièrement si c’était bien ! Car visiblement, et sauf pour les hommes qui ne comprennent rien aux femmes, Sylvie vient d’atteindre une richesse et une intensité dans le plaisir, encore jamais atteinte auparavant.
– Merci messieurs… Je ne pensais pas qu’un orgasme puisse être aussi violent et fort !
– Je t’avais prévenu, par l’anus, l’orgasme est encore plus fort !
– J’ai un peu honte de poser la question… Mais je ne t’ai pas sali les doigts au moins ?
– Ha, ha, ha… Je ne sais pas ! Ils sont encore dans ton joli petit cul, ma belle !
Alors qu’elle se rend compte qu’effectivement Paul est encore bien au fond de son cul avec ses doigts, elle se met à rougir et n’ose plus bouger.
L’homme retire doucement les doigts de l’antre chaud et doux. Pratiquant ce genre de caresses depuis de longues années, il sait reconnaître les ampoules rectales, pleines de matière, à celles vides, et là, aucune matière n’est entrée en contact avec ses doigts, donc il est serein et sait qu’il peut rassurer la jeune femme.
Aussi, ses doigts sortis, il les présente aux yeux de la brune en disant :
– Tu vois, rien de sale : ce n’est que du plaisir !
– J’aurais pensé que, par là, il y aurait des traces sur les doigts !
- Non, chez une personne en bonne santé, l’ampoule rectale se vide totalement. Et comme la selle doit être bien formée, aucune matière fétide ne reste dans le conduit.
– Te voici rassurée maintenant ? Appuie à brûle-pourpoint Michel.
– Oui ! J’aurais réellement eu très honte si les doigts avaient été souillés ! Là, je suis rassurée !
– Buvons un verre pour fêter ton dépucelage du cul !
– Ho ! Dis comme ça, j’ai tout de même honte d’avoir joui par les doigts d’un homme que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt !
– Franchement, le plus simple, c’est d’appeler un chat un chat !
– Oui et une enculée… Une enculée ! Précise encore Michel avec un sourire, juste avant de rire.
Les trois complices rient alors de bon cœur, la tension nerveuse retombée, Sylvie se laisse d’autant plus aller. Puis, Paul, voulant toujours enfoncer le clou au moment opportun, demande à la jeune femme d’une voix directive, mais douce :
– Donc, qu’est-ce que tu es ?
– Heuuu…
– Une enculée, précise Michel pour aider la jeune femme
– Oui, je suis une enculée !
– Très bien, heureux de connaître une nouvelle, très belle, enculée !
Ils burent encore un verre de ce vieux cognac délicieux, puis, comme un cheveu sur la soupe, Paul demande encore à Sylvie :
– Qu’est-ce que tu es ?
– Une enculée… Hi, hi, hi, hi.
– Tu aimes jouir du cul ?
– Ho oui !
– Alors viens près de moi.
L’homme attire à lui la jeune femme et commence par l’embrasser en lui flattant l’anus. Puis, estimant qu’il était temps de passer à des choses plus consistantes, il se débrouille pour se retrouver entre ses cuisses, lui relève les jambes le plus haut possible, pour pouvoir lécher l’anus toujours légèrement escamoté par le fin tissus du string.
Il ne s’arrête dans sa démarche que pour demander à nouveau :
– Qu’est-ce que tu es ?
– Une enculée !
Alors, il reprend sa caresse avec sa langue, mais cette fois, ayant tiré le string sur le côté de la fesse, décide de rentrer son appendice, dans l’anus entrouvert.
La jolie brune recommence à se pâmer, elle, qui une heure plus tôt, avait eu peur de souiller les doigts de l’homme, qui lui faisait découvrir les plaisirs anaux, n’a maintenant plus de frein et se laisse envahir le rectum, par une langue, qu’elle a eu en bouche juste auparavant.
Michel, ne voulant pas rester à la traîne, commence à ouvrir sa braguette et sortir son membre viril, déjà bien dressé. Ensuite, il s’agenouille sur la banquette et présente son vit devant la bouche de la jeune femme.
Sylvie, pour qui sucer une bite est aussi une petite nouveauté. Même si elle a déjà eu des copains qui voulaient ce genre de rapport, jusqu’à présent, elle avait toujours refusé, là encore, de peur que le sexe ne soit sale ou qu’il ait une odeur d’urine.
Mais ce soir, et alors qu’elle sent le plaisir revenir au galop, elle ouvre la bouche et laisse entrer cette jolie queue raide en elle.
Et là, aucune odeur désagréable, aucun goût de rance ou de pourri, mais un goût un peu particulier qu’elle ne pourrait pas définir. Puis, tout naturellement, elle commença à sucer cette bite rose. Bientôt, elle s’aide de sa main droite, alors que le bras gauche lui sert pour soutenir sa jambe gauche.
Ce coquin de Paul sait en jouer, de sa langue. Il explore l’entrée de la turbine à chocolat de la jeune femme, mais il en profite aussi pour masser le clitoris avec son pouce libre. Puis, se reculant de quelques centimètres, il demande benoîtement :
– Tu aimes ma belle ?
– Ho oui !… La réponse est étouffée par la queue de Michel dans la jolie bouche. Continue, je t’en prie !
– Puisque c’est demandé si gentiment.
Et l’homme vient plaquer, à nouveau, sa bouche contre la rondelle, d’un joli marron clair, et en profite alors pour passer son autre pouce, sur le côté de sa bouche et l’introduire tout doucement dans l’œil de bronze, qui ne demande qu’à être visité.
– Oui ! Joue autour du gland avec ta langue, fais comme si tu embrassais quelqu’un… Joue avec ma queue, ma belle !
– Hum, hummmm.
Michel apprécie cette fellation offerte, par une bouche encore vierge de tout boute-joie. Il bande si fort qu’il commence à donner les signes avant-coureurs du lâcher de ballons. Aussi se retire-t-il prestement de cette délicieuse suceuse pour s’accroupir et embrasser à pleine bouche la demoiselle.
Paul n’est pas en reste, maintenant, il a remis son index et son majeur dans l’anus et commence un long et doux pilonnage en règle. Puis, bientôt, il glisse l’annulaire dans l’étroit boyau, avant d’accélérer ses allers-retours, tout en restant à l’écoute de ce jeune corps.
Sylvie se pâme. Elle est très fière d’avoir fait sa première pipe, et à un homme mûr, qui a apprécié, elle pense donc que sa fellation était bonne, et ça la grise d’autant plus. Et que dire de ces doigts qui jouent avec son anus. Cette fois, elle se laisse totalement aller à cette inquisition rectale, qu’elle subit avec un bonheur non feint.
Michel, estimant être le premier enfileur à ouvrir cet anus avec une vraie bite, et non des artefacts. Vient se positionner juste à côté du visage de son ami, et lui demande :
– Peux-tu me laisser la place, je vais faire découvrir à cette demoiselle un autre voyage anal, du moins un voyage anal avec un autre chariot.
– T’es très en forme côté verbe ce soir, c’est le cognac ?
– Voilà, Sylvie, je pense que tu as envie maintenant d’être enfin dépucelée de l’anus, non ?
Tout en continuant de se pâmer parce que Paul lui prodigue toujours ses caresses anales et clitoridiennes, la jeune fille s’entend répondre, comme dans un rêve, comme si une autre femme répondait à sa place :
– Oui… J’ai envie de te sentir dans mon ventre… Viens.
Sans hâte, mais poliment, Paul retire ses doigts et laisse le sphincter bien ouvert, puis il se déplace sur le côté, tout en gardant la jambe droite maintenue en l’air, de manière à être aux premières loges pour voir l’accouplement, qui se prépare à présent.
Michel vient appliquer son gland contre l’œil de bronze, qui frétille encore des assauts précédents. Ensuite, très consciencieusement, il appuie tout doucement, pour laisser le temps au sphincter de s’ouvrir, et commence à entrer son membre viril, dans le ventre de la belle brune.
Il est si patient et prend tellement bien le temps de faire les choses, qu’aucune douleur ne vient perturber, cette défloraison douce.
Cette fois, les sensations sont doubles, voir triples, non seulement Sylvie sent cette douce invasion tant rêvée et si souvent secrètement espérée, mais en plus l’idée même qu’elle se fait prendre comme une femelle, lui procure des sensations qui amplifient encore son bonheur.
Elle est totalement détendue et accueille avec joie, cette queue amie qui l’ouvre tout doucement.
Ses longues et fines jambes se mettent alors à trembler, d’abord tout doucement, puis de plus en plus fort, quand la queue de l’homme est entrée en entier.
Michel recule d’un coup sec et fait ressortir sa bite de l’anus, qui reste ouvert.
La belle brune pousse un petit cri, de surprise, pas de douleur. Ses jambes tremblent et elle est contrainte de les ressaisir pour éviter, que ses membres ne lui fassent trop mal
Puis l’homme revient au contact, et pousse, cette fois-ci, un tantinet plus énergiquement, son sexe dans l’étroit boyau. À nouveau, arrivé au fond, il ressort entièrement, son vit du sphincter.
Les sensations sont étranges, elle ne sait plus si elle a envie de se faire prendre doucement, ou plus violemment ! Son esprit est embué par l’instant magique de sa défloraison anale, peut-être un peu aussi par l’alcool, voir aussi par les effets euphorisants de la pilule de Paul !
À nouveau, Michel se recule prestement, laissant l’anus béant qui, une fois de plus, commence à un mouvement de fermeture, mais stoppe bien vite, laissant le passage ouvert.
Un nouveau petit cri, puis, comme dans un rêve, la belle demande :
– Prends-moi plus fort, perce-moi le ventre, envahis-moi, je t’en supplie !
L’homme ne se fait pas prier outre mesure et, cette fois, entre violemment dans le cul de cette jolie salope brune, qui réclame si fort sa présence. Et là, il commence à limer ce fion de façon ample. D’abord assez doucement, faisant glisser son membre de toute sa longueur dans l’étroit boyau, qui dégage une légère odeur de ménagerie, sans être fétide. Puis en accélérant, se laissant, lui aussi, guider par ses hormones et son envie de stupre et de vice. Il adore la sodomie, et ne peut s’empêcher de gueuler bestialement :
– Putain, tu es une bonne enculée toi !
Sylvie, pour qui les sensations sont toutes nouvelles, ne sait pas trop comment faire pour accompagner les mouvements de son amant du moment. Aussi, elle se laisse aller, perd bientôt toutes notions de temps et d’espace. Elle a l’impression de ne plus être qu’un trou au service du plaisir des hommes.
Maintenant, Michel est presque vautré sur le ventre de la brune, sa queue profondément plantée dans l’anus et il lime comme un démon. Il en profite pour l’embrasser.
La jolie brune râle de bonheur, les ondes de plaisirs qui proviennent de son anus parcourent tout son grand corps légèrement rond, ses gros seins ballottent au rythme des coups de queue.
De sa main libre, Paul, ne voulant pas être en reste, s’occupe maintenant du téton à sa portée et le pince en cadence avec les allées et venues de son pote dans ce rectum tout neuf.
C’est divin, Sylvie se sent catin, salope, putain et, bientôt, elle jouit comme une traînée, heureuse d’être souillée. Jamais personne n’était entré en elle, et donc surtout pas de ce côté-là, empruntant ce chemin honteux et sale, pourtant, toutes ces idées, ajoutent encore à son orgasme.
Michel ne peut plus se contrôler, de voir cette vierge qu’il vient de déflorer analement jouir de son sexe, jouir de ses coups de reins, jouir de ses performances sexuelles, il commence à grogner, sentant monter du fond de ses entrailles, la lave puissante et bouillonnante de son plaisir.
Puis, il explose dans un concert de jurons, se répand dans ces jeunes intestins encore par trop inexpérimenté. Il grogne en lâchant les ballons et en remplissant de son plaisir ce cul rebondit qui soubresaute.
– Te voilà une bonne enculée bien engluée, ma belle, prends tout mon bon jus de couilles, il est tout pour toi ma salope !
– Haaaa… C’est trop bon… Je vais mourir… Tu m’ouvres le ventre !
Puis, elle part dans une longue plainte qui finit plusieurs dizaines de secondes plus tard en sanglots.
Les deux hommes reprennent leur souffle, Michel s’est laissé tomber à genoux devant le canapé, ses puissantes jambes de sportif tremblent encore et il ne sait pas comment calmer cela.
Paul relâche tout doucement la jambe de la jeune femme.
Sylvie finit par se retrouver avachie dans le sofa, les jambes et les bras pendant, comme sans vie. La poitrine qui se soulève et retombe pour lui permettre d’aspirer un volume d’air important, jamais auparavant, elle n’avait ressenti un tel manque d’oxygène, même après les pires efforts sportifs.
Son anus brûle ! Pas d’un feu violent, mais comme si un vilain lutin tenait une chandelle dessous et laissait la brûlure mordre les chairs doucement, presque tendrement. Une fois qu’elle a repris un peu son souffle, elle annonce :
– J’ai le cul en feu ! Ça me pique, ça me brûle… Et pourtant j’adore ça ! Je deviens folle ou quoi ?
– Le tout est de savoir si tu aimes ou non !
– Mais si ! Ça me brûle le cul, mais je voudrais que ça me brûle encore plus… Ça me pique le sphincter, mais je voudrais que ça pique encore plus… J’ai cru mourir, mais c’était divin ! Je n’en reviens pas… Tu as une quéquette magique, Michel !
L’homme est flatté, mais connaissant les femmes, il se demande tout de même si elle n’en rajoute pas un peu, certes, il l’a bien vu jouir avec force, sûrement un de ces orgasmes qu’on qualifie de dévastateur ! Mais tout de même, de là à parler de quéquette magique !
– Hé bien, mon ami ! Tu lui as tapé dans l’œil !
– Dans l’œil de bronze pour être précis ! Gros cochon, comme si toi-même, tu ne t’étais pas amusé aussi avec les beaux nibards de Sylvie !
– Ha, ha, ha… Oui ! Et là, j’ai une de ces gaules !
– Quand tu en auras deux, tu te mettras à la politique, non ?
– Ha, ha, ha… En forme, la gamine ? Demande alors Paul à Sylvie.
– Oh oui !
– Bon, alors on va commencer par du simple, suce-moi la bite ma petite chérie...
Cette fois, Sylvie ne se fait pas prier et, se redressant dans le sofa, attrape la pine de Paul qui vient de se présenter debout devant elle.
Très vite l’homme ahane bruyamment, donnant les signes des prémices de son orgasme.
L‘ambiance, cette bouche chaude et fraîche, ses lourdes mamelles jeunes si prometteuses, le spectacle vivant qui vient de se dérouler devant lui, tout concourt largement à son excitation.
Sylvie essaye différentes choses avec cette queue au goût particulier, doucereux, dans sa bouche. Elle tente tantôt de jouer de sa langue sur le gland. Tantôt d’aspirer fortement comme pour tenter recueillir la sève d’une plante étonnante. Tantôt de lécher toute la hampe. Tantôt de jouer de sa langue sur les grosses couilles légèrement poilues.
La divine pipe ne peut pas durer très longtemps, dans l’état d’excitation où se trouve Paul. Aussi, bientôt, il attrape la tête brune et lui imprime le rythme dont il a besoin. Puis il jouit dans un long meuglement à peine humain.
Le flot de foutre envahit toute sa cavité buccale, et Sylvie ne peut faire autrement que d’avaler une bonne rasade de ce sperme chaud, légèrement salé, au petit goût de noisette.
Une nouvelle fois, elle se sent salie, exploitée, souillée. L’homme a pris son plaisir sans s’occuper de celui de sa partenaire, idéalement, elle rejetterait ce genre de goujat, mais là, elle a aimé, elle se sent putain, traînée, vide couilles. Rein de glorifiant, mais pourtant, tout de si excitant !
– Putain ! Tu as dû en sucer des bites, toi !… Tu nous faisais quoi comme sketch, tout à l’heure, en disant que tu n’avais jamais sucé de queue !
– Non, je vous assure Paul ! La première fois que j’ai fait une pipe, c’était tout à l’heure, à Michel ! Vous êtes le deuxième… Je vous assure !
– Eh bien, alors tu es sacrément douée ! Tu as de l’avenir devant toi sur le trottoir ! Ha, ha, ha.
Une nouvelle fois, ce genre de propos l’aurait rebuté, il n’y a encore que quelques heures, mais là, ces mots la frappent et lui font immédiatement inonder sa chatte. Le goût en bouche, son anus qui picote encore beaucoup, et sa chatte qui transpire, lui font presque perdre connaissance, elle aimerait pouvoir se reposer maintenant.
– Vous m’avez tuée tous les deux !
– Tu te sens réellement si fatiguée que ça ? Demande alors Michel sur un ton aimable et doux.
– Oui, je suis vidée… Ou pleine… Je ne sais plus maintenant !
– Tu veux dormir ici ?
– Si ça ne dérange pas, je ne me sens pas la force de rentrer chez moi !
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