La cave : les clients (2023)
- Tiens, aide-moi à poser une alèse avant de mettre un drap dessus, parce qu’il y a certains clients, qui sont vraiment des crados.
Une fois le clic-clac recouvert de son alèse et de son drap, Jamila se tourne vers la blonde, la prend dans ses bras et l'embrasse passionnément pendant de longues minutes.
C'est le coup de fil de Astar qui stoppe ce long câlin lesbien. La marocaine décroche et entend son mari :
- Voilà, le premier client arrive, tu n'oublies pas de former notre connasse, je veux que le mec soit super content.
En entrant dans l’appartement, le client reste interdit en voyant deux femmes. Après quelques secondes d’hésitation, il dit :
- Ah non ! Je paye pas pour deux putes. Je ne paye que pour une. Astar m'a promis que j'aurai une vraie blonde, je ne veux pas d'une bougnoule.
Jamila, pas heureuse d’être ainsi traitée, prend toutefois la parole et annonce :
- Il n’y a pas de souci, je suis juste là pour vérifier qu’elle te donne entière satisfaction, je ne compte pas.
L’homme entre alors complètement et referme la porte derrière lui.
La professionnelle s’adresse alors à sa copine :
- Tu lui demandes l'argent.
Ce que Béatrice fait d’une voix douce et mal assurée.
Le client sort trois billets de cinquante euros et les tend à la blonde.
- Merci.
La jeune femme prend les billets, et semble gênée, ne sachant trop quoi en faire.
Sa formatrice l’interpelle :
- Donne, je vais te débarrasser de ça. Demande au monsieur qu’il se déshabille.
- Ha oui ! Vous pouvez vous déshabiller et poser vos affaires sur le fauteuil.
Une fois l’homme presque nu, à l’exception de sa chemisette et de ses chaussettes, Jamila poursuit :
Maintenant, tu emmènes le monsieur dans la salle de bain, et tu lui fais sa petite toilette intime.
Obéissante, Béatrice demande alors au visiteur :
- Vous me suivez, s'il vous plaît ?
L’homme la suit dans la petite salle de bain, suivi à son tour de la belle marocaine, qui veut voir comment va s’en sortir sa jeune amie.
Finalement, elle s’en sort plutôt bien, et, faisant couler l’eau pour en avoir de la chaude, elle prend un gant de toilette et le savonne. Elle demande :
- Vous permettez ?
Et elle avance sa main vers le sexe mou et le lave consciencieusement.
L’homme se laisse faire, et une fois sa bite rincée, il demande :
- Maintenant qu'elle est propre, tu veux bien me sucer, ici et tout de suite ?
La jeune femme obéit et s'accroupit devant son client. Elle prend son sexe en bouche et commence par le suçoter lentement, de manière à le faire gonfler. Quand il est suffisamment long pour qu'elle mette aussi sa main, elle branle en même temps qu’elle suce.
- Magnifique ! Tu as déjà pas mal de métier, ton mac me disait que tu étais débutante !
- Oui, elle l’est, mais comme putain, sinon, oui, elle a déjà eu des amants et sait y faire. Précise Jamila.
- J'ai pas envie de jouir tout de suite, allez sur le lit.
La marocaine s’efface dans le couloir pour laisser passer le couple.
Une fois devant le lit, Béatrice s'allonge sur le dos.
Mais l'homme n'a pas ça en tête, il dit alors :
- Non, je veux te baiser en levrette.
Un peu perdue, la blonde reste stupéfaite, comme si elle ne savait pas ce qu’est une levrette.
- Mets-toi à quatre pattes, que je te baise en regardant ton joli cul.
Béatrice fait ce qui lui est demandé. Se retourne et se met à quatre pattes, les genoux au bord du clic-clac.
Jamila, qui a profité de ce répit, pour s’asseoir sur une chaise à proximité, regarde comment cette blonde va s’en sortir.
Une fois la jeune blonde en position, le client se place à genoux derrière elle et amène son sexe au bord des lèvres vaginales.
- Stop ! S’écrit alors la marocaine. Pas question de baiser sans capote ! Puis, elle s’adresse à son élève :
- Il ne faut pas oublier de leur donner une capote, sinon il te baise sans et il te remplisse la chatte. Alors là, bonjour les risques de maladies.
Elle se lève, va prendre un préservatif sur la petite table, le décachette et le tend à l’homme.
Il fait une sorte de mou. Il aurait bien aimé baiser cette blondasse à cru. Mais il connaît la procédure et sait que s’il déconne, il risque d'être blacklisté.
Le manteau de latex posé, il se remplace à la porte du vagin et d'un grand coup de rein, embroche directement la blonde.
Celle-ci, encore mouillée des ébats de ce début de matinée, avec la découverte de l'homosexualité, accueille facilement le sexe, pas très imposant, du client.
L'homme, qui tient les hanches à pleine main, en profite pour écarter les fesses avec ses pouces, ce qui lui permet de voir l’anus encore tout ouvert. Il imprime son rythme à la prostituée, sans s’occuper de savoir si elle apprécie ou pas.
Stoïquement, la blonde encaisse les coups de boutoir. Mais est-ce le lieu ou simplement les nerfs totalement anesthésiés ou ses envies assouvies après ce qu'elle a vécu, avec sa copine ? Toujours est-il, que cet homme ne lui fait ni chaud ni froid, à peine une gêne dans sa chatte, et encore.
Le bonhomme prend cette jolie blonde pour un vide couilles, et bientôt, il arrive au paroxysme de son plaisir. Il jouit dans la capote, puis il file une grande claque sur le cul à sa portée, ressort sa queue et dit :
- Ça fait du bien ! J'espère que toi aussi, tu as eu du plaisir.
- Oui oui, ça va, c'était très bien... ment joyeusement Béatrice.
L’homme se rhabille. Ensuite un petit baiser sur les lèvres de sa partenaire d’un moment, un petit signe de la main à la marocaine et il sort de l'appartement.
- Alors pas trop dur ? que demande Jamila à sa copine.
- Non, je m'attendais à pire que ça.
- Les clients sont, en général, pas trop méchants. Nos macs, ce n'est pas la même histoire. Mais un client, une fois qu'il a joui, il n'y a plus rien à attendre de lui.
La brune s'est rapprochée de la blonde, vient s'asseoir sur le bord du lit et prend sa copine par l'épaule, l'amenant à ce que cette dernière pose sa tête sur le haut de sa poitrine.
- Bien ma belle, pour ce premier client, tu t'en es très bien sortie. Normalement, on ne devrait pas avoir trop de farfelus. Nous sommes mardi et en journée, ce n'est pas la même clientèle que le week-end ou la nuit.
Les deux femmes restent ainsi, la blonde à la tête posée sur la poitrine de son amie, ses cheveux en désordre qui habillent les seins de sa copine.
La brune goutte à cette pause tranquille et apprécie le repos de sa chatte. Elle est toujours torturée entre deux sentiments, d'avoir moins de travail et de ne pas prendre ces gros porcs dans sa chatte et de laisser tout ça à cette blonde, qui n'avait encore jamais rien vécu. Mais également, elle a de plus en plus de sentiments pour cette jeune femme, qu'elle commence à apprécier.
Le téléphone sort de la torpeur les deux femmes. Un nouveau client arrive.
- C'est à peu près le même scénario, avec ce deuxième client, simplement, Béatrice, cette fois, demande directement le prix de sa prestation.
L’homme semble aimable et paye sans discuter. Il retire ses vêtements, suit docilement la blonde dans la salle de bain et se laisse laver le sexe, avec un grand sourire.
Quand elle se met sur le dos, le client voulant la prendre en missionnaire et il est prêt à la pénétrer, quand :
- Non ! Pas sans préservatif !
Et la marocaine apporte une capote, qu’elle décachette à l’instant.
Là encore, ça ne dure pas trop longtemps, moins de dix minutes. L'homme a terminé sa petite affaire, il retire la capote pleine de foutre, et la jette négligemment sur le lit, provoquant une tache au passage. Ensuite, il remet ses vêtements, et après avoir salué les deux femmes, ressort.
Béatrice se dit que cent cinquante euros pour moins d’un quart d'heure de baise, c'est tout de même, de l'argent vite et bien gagné.
Un peu plus tard, il est annoncé le troisième client, ce que ne savent pas les deux femmes, c'est que c'est un complice de Astar.
Jamila est un peu étonnée, voilà un deuxième client qu’elle n’a encore jamais vu. Habituellement, ses clients sont, de vrais habitués pour certains, mais en général, des messieurs qui sont déjà venus. Les nouveaux arrivants forment dix pour cent de sa clientèle, au grand maximum.
Au début, ça ce passe tranquillement. L'homme paye et suit la blonde dans la salle de bain, se laisse laver la pine, puis revient dans le salon.
- On est bien d’accord, la sodomie est au même prix ?
- Oui, chuchote la pauvre jeune femme.
- Alors, à quatre pattes.
Là, il vient placer son sexe contre la rondelle brune, attrape les hanches et, d'un coup de rein magistral, sodomise Béatrice directement.
La brune, trop occupée avec son téléphone, n'a pas suivi les choses de près. Elle ne s’est pas aperçue que le client ne mettait pas de capote.
La jeune prostituée pousse un cri, plus de surprise d'ailleurs, que de douleur, vu que son anus est déjà bien ouvert et n'a aucun mal à accueillir la queue, certes de belle taille, du client, mais qui n'est pas non plus monstrueuse.
L'homme lime ce cul en cherchant à aller le plus loin possible, dans les entrailles féminines. Et, ce qui devait arriver, arrive quand il ressort sa pine, elle est polluée par les excréments liquide de la pauvre blonde. Il attrape le bras de la jeune femme, la retourne vers lui sans ménagement et lui ordonne alors :
- Nettoie-moi la bite, dégueulasse que tu es !
Jamila, lève le nez de son téléphone et commence à prendre la défense de sa copine.
Mais l’homme ne l’entend pas de cette oreille, et il menace :
- Toi, tu fermes ta gueule. Sinon...
La marocaine prend la menace très au sérieux, comprenant que l'homme doit être un ami de son mari et elle connaît les amis de son mari, pour ne pas être plus fins que son bonhomme lui-même, elle se tait. La blonde, elle, ne sait que penser.
L'homme attrape les cheveux de la blonde et lui colle sa queue sale dans la bouche en lui imposant encore :
- Allez, suce, morue.
Dégoûtée par l’odeur nauséabonde de ce sexe, la femme refuse catégoriquement de sucer.
- Tu ne veux pas faire ce que je te demande ! Je vais en parler à ton mac, et viens pas te plaindre après, si tu prends une grosse branlée.
Le mec se rhabille très vite et sort de l’appartement.
Deux minutes plus tard, c'est Astar qui rentre dans la pièce en furie. Il attrape les cheveux de la blonde, la jette violemment sur le lit, retire sa ceinture des passants et fille une série de coups sur le cul et sur les cuisses, en lui disant :
- Un client à cent cinquante balles, si tu dois lécher une bite dégueulasse, c'est ton problème. De plus, si tu veux pas avoir une bite qui pue la merde, tu te fais un lavement, avant de venir bosser ! Tu as compris, connasse ?
Puis il se tourne vers sa compagne, s’approche d’elle, lui donne une grande gifle, la regarde d’un air méchant et lui dit :
- Et toi vieille pute, tu n'as pas été capable de lui dire ce qu'il fallait qu'elle fasse, dans des cas pareils ?
- Pardon Chéri, effectivement, j'étais en train de t'écrire. j’ai merdé, mais je t'assure que je vais me reprendre et que je vais bien te la dresser.
Alors que Béatrice pleure à chaudes larmes, le cul et les cuisses qui la brûlent, le maquereau ressort de l'appartement, en disant encore à son épouse :
- Je t'envoie encore un client, mais cette fois-ci, je ne veux pas un seul souci. Sinon, je la découpe en morceaux ! Tu as compris ? Tu lui expliques.
Pendant de longues minutes, Béatrice sanglote à chaudes larmes. On ne sait plus si elle pleure sur son sort ou si elle pleure de douleur suite aux coups qu'elle a reçus ou si c'est un mélange de tout ça. Sans parler qu’elle se rend compte que la vie avec son compagnon risque vraiment d'en pâtir.
C'est à son côté et une main sur son épaule que Jamila lui caresse doucement les cheveux, laissant la femme blonde pleurer tout son saoule. Puis, quand elle se calme enfin, la brune la retourne tout doucement et vient l'embrasser tendrement.
Voilà donc une blonde qui tremble et une brune fait tout son possible pour l’apaiser et la calmer. La marocaine caresse le corps de son amie, doucement, affectueusement. Elle passe sa main sur les seins, le ventre, les flancs, les cuisses, mais en restant très amicale, bien plus que sexuelle. Toutefois, elle sent monter une grosse envie de plaisir avec cette belle femme.
La pose est de relative courte durée. Le téléphone, à nouveau, sonne et le mac annonce à son épouse, qu'un nouveau client arrive.
Jamila a peu de temps, pour faire que sa copine ait séché ses larmes et ressemble, à nouveau, à une pute fringante, plutôt qu'une femme battue.
On sonne à la porte ? La blonde va ouvrir et laisse entrer un homme, assez jeune, grand, plutôt bien foutu, souriant.
Une fois qu’il a payé son obole, elle lui montre le fauteuil pour poser ses vêtements. Quand il est nu, elle l'emmène dans la salle de bain pour le laver.
Le client avait son sexe caché entre ses jambes, comme le font les transsexuelles, pour ne pas montrer trop tôt, qu’elles ont une bite.
Mais là, quand la jeune femme voit le sexe énorme, elle commence à avoir peur. Elle lui dit, tout en le lavant :
- Il faudra y aller avec douceur, s'il te plaît, parce que tu es drôlement imposant.
L'homme sourit et lui répond :
- T'inquiète pas, plus c'est gros, mieux ça passe !
La blonde aimerait y croire.
Quand elle est devant le lit, la jeune blonde veut se mettre sur le dos, mais le jeune homme lui dit :
- Non non, je veux te prendre en levrette.
Décidément, c'est la journée. La pute s'exécute et se place à quatre pattes sur le lit, mais cette fois, un peu plus au milieu. Elle attend, avec appréhension, que l'homme vienne la prendre.
Cette fois, Jamila s'est aperçu de la taille phénoménale du sexe de l'homme et elle se propose alors :
- Ne veux-tu pas me prendre moi, plutôt que cette blonde ?
Mais l'homme, en la regardant et bien qu'il la trouve fort jolie aussi, lui répond :
- Non, j'ai payé pour une blonde, j'ai une blonde, pas une brune.
Puis il se met sur le lit, à genoux et viens placer son sexe contre la vulve, devant l’entrée du vagin. Là, tout doucement, il pénètre la jeune femme avec grand soin.
C'est vrai que ça passe plutôt bien et Béatrice est très surprise de pouvoir accueillir un tel monstre ! cela dit, après la séance qu'elle a eu dans la cave, elle se dit que finalement, elle peut accueillir bien gros, que sa chatte est très, très souple.
L'homme la baise gentiment, sans accoue, en prenant soin d'écouter le corps de sa partenaire et un moment, il lui demande :
- Alors, ça va, ça se passe bien ?
Et là, malheureusement, la jeune femme de répondre :
- Oh oui ! C'est très agréable.
Alors l'homme commence à limer de plus en plus vite et de plus en plus fort. À chaque fois qu'il avance sa pine dans cette motte, son gland tape dans le col l'utérus, ce qui arrache un cri à la jolie blonde. Là, l'homme sûr de lui, annonce :
- Je vais te faire jouir.
Et il se met à limer comme un démon.
Évidemment, la blonde gémit, puis bientôt, crie son plaisir.
Jamila regarde la scène et se dit qu'effectivement cette femme est faite pour le métier.
Quand il sent que la blonde jouit, d'un coup, il retire sa bite de la chatte et l’enfonce directement dans l’anus, d'un seul coup.
Là, c'est un grand cri de douleur que pousse Béatrice. Son anus a déjà pris gros, ces derniers temps, mais là, d'un coup, sans crier gare, et après les coups de ceinture qu'elle a pris sur le cul et sur les cuisses, la brûlure de son anis est encore amplifiée, plus que cuisante.
- Tu aimes ça, te faire enculer, hein grosse pute ?
C'est que la voix de l'homme a tout à fait changée. Et son visage est, maintenant, crispé. Le ton est mauvais, agressif, méchant. L'homme devient violent et tape dans son cul comme un damné. Puis, d'un coup, il se retire, enlève la capote, attrape les cheveux de la blonde et tire la pauvre femme pour qu’elle se retourne. Il force les lèvres et lui baise la bouche. Très vite ensuite, il jute et remplit la cavité buccale de son jus de couilles. Puis il repousse violemment la jeune femme sur le lit, et se relève.
La pauvre femme se remet à pleurer.
- C'est bon la pute, tu peux pleurer. Mais je reviendrai t'enculer jusqu'à ce que tu m’aimes et que tu puisses te faire enculer par un éléphant !
Ensuite, et tout en s’habillant, il regarde la marocaine et lui dit :
- Toi aussi, tu as envie de te faire enculer ? De te faire défoncer le cul ?
Elle ne répond rien, ne sachant pas si ce mec est un client lambda ou si lui aussi, est envoyé par son affreux Macro de mari. Elle baisse les yeux pour en par provoquer ce démon d’homme. Alors qu’il enfile sa veste, il s’adresse encore à Jamila :
- La prochaine fois, je viens pour t’éclater ton gros cul de pute.
Ensuite, tout en ouvrant la porte d’entrée, il s'adresse encore à la jeune blonde :
- Tu vois, je te l'avais bien dit, plus c'est gros, mieux ça passe.
L'homme sort de l'appartement, laissant une nouvelle fois Béatrice en pleurs.
Une fois le calme revenu dans l’habitation, et alors que la jolie blonde est allongée sur le ventre, à pleurer. La brune vient s’asseoir à côté de son amie.
Jamila commence à comprendre, que son abominable bonhomme, a préparé une sale journée, pour la nouvelle. C'est sûr, aujourd'hui, elle va voir les pires d'horreurs du métier. Ça lui rappelle ses propres débuts avec lui.
Ensuite, elle s’allonge et se colle à sa malheureuse campagne. Elle la caresse tout doucement, et d’une main lui écarte les fesses. Là, se mettant sur son coude, elle regarde l’anus béant. Et, dans un souffle, elle lui glisse à l’oreille :
- C'est incroyable ce que tu as pris ! Je n'avais jamais vu un client monté de la sorte. Si c’était moi qui l’avais pris, il m'aurait pulvérisé le cul et, certainement, fait saigner.
Elle fait un petit baiser, dans le cou, à sa portée, en soufflant doucement ensuite, sur la zone embrassée.
Béatrice a un frisson, ça la calme un peu.
- Toi, tu as de la chance, si ton anus est bien ouvert, au moins tu ne saignes pas.
Elle continue ses caresses, doucement, passant sa main chaude dans le dos et sur les flancs.
Un petit moment passe ainsi, la jeune femme se laisse aller à la douceur de ces effleurements.
Puis, Jamila change de place et vient se mettre à genoux entre les longues jambes blanches, puis elle annonce à sa jeune collègue :
- Je vais essayer de t’apaiser cette douleur atroce.
Et là, elle commence à lui lécher l'anus. Tout l’œil de bronze a droit au passage de la douce langue, tout en se gardant bien de passer la frontière et d'introduire sa langue dans le boyau.
Au bout d'un quart d'heure, la blonde calmée, commence à apprécier ces caresses inattendues.
La marocaine n'en est pas restée à s'occuper uniquement de l'anus, mais a également passé ses mains, sous le corps de la femme, pour caresser les seins. Puis, sentant que sa collègue va mieux, elle passe sa langue sur la fine barrière de chaire, qui sépare la chatte de l'anus. Alors, elle pince doucement les tétons, qui se raidissent.
La blonde gémit doucement, elle se laisse aller, maintenant, à ce plaisir qui lui fait du bien.
Mais, ce moment de tendresse ne dure pas très longtemps, puisque bientôt la sonnette de la porte d'entrée retentit. Un ouvrier entre, un homme dans les cinquante ans, pas trop mal foutu, pas très grand, mais assez carré. En entrant, il exige :
- Pour trois cents balles, je veux vous voir vous gouiner toutes les deux, devant moi.
- Très bien, répond Jamila, assez heureuse de cette demande.
Sans se déshabiller, il s'assoit dans le fauteuil et ordonne aux filles :
- En porte-jarretelles et je veux vous voir vous donner du plaisir, pas faire semblant.
Plus habitué à ce genre de chose que Béatrice, la marocaine se prépare rapidement et aide sa copine à se préparer aussi. Puis, elle l'allonge sur le lit et se met entre ses jambes, pour lui lécher la chatte et le titiller le clitoris, en lui donnant de petits coups de dent. Elle fait bien attention à ce que le client puisse bien voir toute la scène.
- C'est bien, vous obéissez bien, parfait !
Tout en disant cela, l'homme se déshabille et se tripote la bite. Il vient se placer à côté des filles et les encourage encore :
- Allez mesdames, on se broute le gazon maintenant, je voudrais voir la blonde en train de lécher la bougnoule.
La brune ne se fait pas prier, se met rapidement sur le dos et aide toutefois sa copine à se redresser. Puis, cette dernière vient lui lécher la vulve et clitoris.
En s'approchant encore, l'homme met la main sur la tête de la jeune blonde et appuie dessus, tant et si bien, que la jeune femme suffoque un peu, le nez dans la chatte de sa copine.
- Allez la gouine, bouffe-moi ça !
Quand il relâche la prise, l'homme recule et file une grande claque sur le cul de la blonde. Il voit bien qu'elle porte des marques de ceinture et il tape là, où la ceinture a le plus mordu, la tendre peau blanche.
- C'est bien, gouinasse, tu m’as bien fait bander, viens me sucer maintenant.
La jeune femme obéit et prend son sexe, qu'elle n'a pas lavé, en bouche.
L'homme ne met pas longtemps à jouir. Puis, il lui donne une claque dans la gueule, en lui disant :
- Maintenant va cracher mon foutre, dans le fion de cette vieille morue arabe.
La brune, ayant entendu le propos, s'est retournée et écarte ses fesses à pleines mains.
Là, bien qu’ayant avalé une petite partie du foutre, Béatrice crache sur l'anus ce mélange de salive et de sperme.
À nouveau, le pervers client, appuie la tête blonde sur le cul et ordonne encore :
- Rentre-lui ta langue dans le cul et graisse-lui l'oignon.
Pas encore tout à fait habituée aux caresses saphiques et surtout, n'ayant tout de même pas souvent léché des culs, et encore moins des culs de femme, la jeune putain fait un peu la moue. Mais, se souvenant de ce qu’un refus apporte comme représailles et de ce que ça lui a coûté, elle obéit et pénètre l'anus de sa copine, avec sa langue.
- C'est bien connasse, tu deviens une bonne pute, je pense que ton mec sera très content de toi.
Puis, l'homme se rhabille et, sans seul regard pour les deux femmes, sort de l'appartement.
Jamila se retourne légèrement et fait venir, contre elle, sa nouvelle amie. Elles font un gros câlin, seins contre seins, ventre contre ventre. Mais la brune en profite pour glisser sa cuisse entre les jambes de sa partenaire, bien contre la vulve.
Tout le reste de la journée, les clients se suivent à un rythme soutenu. Une chance, il n’y a pas d’autres clients très particuliers.
Mais, toutes les demi-heures environs, un nouveau client pour baiser ou enculer la nouvelle prostituée, quand ce n'est pas pour les deux à la suite. Seuls, deux clients feront entièrement, l’heure payée.
C'est vers dix-huit heures trente, alors qu'elles s’attendent à d’autres clients, que Astar entre dans l'appartement. D’un ton ferme et directif, il demande à son épouse :
- Alors ? Combien a-t-elle fait aujourd'hui ?
La marocaine, qui garde l’argent dans le tiroir de la petite table et qui a compté toute la journée, annonce, non sans fierté :
- Mille neuf cent cinquante euros, mon Chéri.
Bon, pour une première fois… Et il s’empare de la liasse de billets, et recompte rapidement la somme. Il sort une enveloppe kraft de sa poche, et y enfourne quatre cent cinquante euro, puis d’un coup de langue magistral, referme l’enveloppe.
- Ça, c'est pour ton homme. Mais attention, je lui téléphonerai, pour être sûr qu’il a bien reçu son argent.
Elle est bonne celle-là ! Béatrice vient de passer la journée à se faire tringler, a gagné pas mal d’argent, et voici que ce salaud ne lui donne rien, juste une enveloppe pour son mari ! C'est elle qui a le cul en choux-fleurs ! Qui est crevé de tant de passes, pas son mari !
- Mais...
- Ta gueule, tu n’as rien à dire ! C'est pas une boîte à bites comme toi, qui va m’expliquer ce que je dois faire !
Se souvenant de la volée qu’elle a prise en début d’après-midi, elle se ravise et se tait.
- C'est bien, ma femme, tu as bien bossé, mais demain, tu refais du client avec elle.
- Oui, Chéri.
Puis, l’homme se retourne à nouveau vers la jeune nouvelle prostituée :
- Tu t'habilles, je te ramène chez toi.
Sans demander son reste, la belle remet ses vêtements et est prête en moins de deux minutes. Dès qu’elle est prête, la brune vient lui rouler une dernière pelle.
- Allez, on y va, magne-toi le cul, j'ai pas que ça à foutre.
Cette fois, pas de bandeau sur les yeux, elle suit l'homme, sort dans le couloir, prend l'ascenseur et sort dans la rue. Elle a l’impression que tous les gens la regardent, comme si son statut de prostituée était marqué sur son front, en lettres de feu.
Astar monte dans sa voiture et déverrouille la portière côté passager.
La blonde s'engouffre dans l’auto aussi, et les voilà partis.
Durant le voyage, à un moment, le mac, avec un air mauvais, annonce à sa nouvelle pute :
- Je veux que tu démissionnes de ton boulot et que tu viennes faire le tapin tous les jours avec Jamila. J’ai eu ton mari au téléphone, il n’est pas contre. Tu lui rapporteras quatre fois plus que ton salaire.
Elle est choquée d’apprendre que son mari s’est mis d’accord avec ce diable de mec ! En même temps, elle se dit qu’elle pourra mieux négocier avec son amour de mari, Ô combien elle se trompe !
La voiture stoppe devant le pavillon du couple, et Astar ordonne encore :
- Allez dégage maintenant, tu pues le foutre. Je t’attends demain, à dix heures à l’appartement.
Commentaires
Enregistrer un commentaire