La cave : le mac (2021)

 

Nos deux complices discutent pour savoir comment se débarrasser de cette connasse blonde, totalement bourrée, qui va, à coup sûr, leur faire des histoires à son réveil. Voire porter plainte, on n’est jamais à l’abri de rien avec de tels engins.

Il vient une idée à Denis, appeler à l’aide, son copain Astar.

- Attends, je vais laisser un texto à Astar pour savoir s’il pourrait nous dépanner.

- À Astar ! Moi, je trouve que ce mec est très malsain, voire dangereux.

- Oui, mais si ça peut nous éviter quelques soucis avec cette connasse, c'est bon à prendre.

- Ouais, mais la gamine, aussi conne soit-elle, risque fort de trinquer quelque chose de bien !

- Ça lui apprendra peut-être à rester tranquille avec son mec.

Sur ce, Denis reprend son smartphone posé près du canapé où la blonde dort en ronflant légèrement, puis tape son message.

Presque instantanément, une réponse arrive. Le correspondant demande à être appelé.

Denis compose le numéro de Astar

- Salut Astar, toi non plus, tu ne dors pas ?

- Ben non ! Sinon, je ne t’aurais pas répondu, je ne suis pas encore somnambule ! Quel est ton problème ?

- Disons qu’on a choppé une bonne petite salope, qu’on l’a sauté dans les grandes largeurs, et qu’on ne voudrait pas qu’elle note l’adresse à son réveil, tu peux faire quelque chose pour moi ?

- Ouais, on a tiré deux putes avec une bande de potes, de la bonne croqueuse de pognon, mais, côté prestations de salopes, très moyen, alors je ne suis pas contre me taper de la salope sauvage.

- OK, tu te rappelles mon adresse ?

- Ouais, t’inquiète, je prends la route et suis chez toi dans vingt, vingt-cinq minutes.

Quand Denis coupe la communication, il jette un œil à Béatrice, vautrée sur le canapé, puis il dit encore à son ami :

- D’accord, elle est choucarde, mais va savoir si au réveil, elle ne va pas courir directement chez les keufs, pour porter plainte, pour viol ou je ne sais quoi !

- Oui… Michel est songeur, puis, après quelques instants de silence, il poursuit : Tu as raison, vu son comportement avec son propre mari, il y a de gros risques, qu’elle nous fasse des histoires.

- Allez, on va tout de même arroser ta première culotte volée à la barbe du cocu !

Une petite demi-heure plus tard, coup de klaxon bref. En quelques secondes, Astar est descendu de sa voiture et sonne à la porte d’entrée, Denis va le chercher.

En entrant dans la pièce, Astar jette un regard sur la blonde, et, tout en saluant Michel, il demande :

- C'est ça, votre salope sauvage, qui vous fait peur ?

- C'est pas qu’elle nous fasse peur...

- STOP ! Coupe sèchement le nouveau venu. Sinon, vous n’auriez pas appelé Tonton Astar au secours ! Bref… Pas besoin de l’emballer, ça va être pour consommer sur place. Racontez-moi plutôt comment vous avez ramassé cette serpillière à foutre ?

Denis raconte brièvement leur soirée, la boîte, le scandale que faisait la blonde, la culotte, la sortie de boîte et tout le raffut, le mari qui se barre et la fameuse partie de cul à trois qui a eut lieu une petite heure auparavant.

Tout en écoutant, Astar, qui s’est rapproché de la blonde, déboutonne sa braguette. Tirant par les pieds la jeune femme qui n’a toujours aucune réaction, il la place, les reins, sur l’accoudoir, lui écarte les jambes, et la prend directement, d’un grand coup de bite dans l’anus.

Béatrice entrouvre les yeux, commence à peine à balbutier quelques borborygmes, que l’homme commence à la limer ferment et de plus en plus rapidement. Et en guise de réponse, annonce :

- Tu vas être bien avec moi, jolie salope, je vais te dresser, tu vas adorer.

Les deux amis restent sans voix et regardent ce diable de Marocain enculer sauvagement la pétasse dont ils ont abusé auparavant.

Quand l’homme se vide dans la jolie blonde, dans un concert de jurons en arabe, il annonce :

- Bon, les gars, je vous débarrasse de ça, mais n’oubliez pas, nous sommes tous complices.

Puis, une fois son froc refermé, il empoigne la jeune femme par un bras et la bascule sur son épaule comme un sac de ciment. Et il poursuit encore :

- Allez, j’y vais, voulez-vous que je vous tienne au courant de la suite ?

- Oui, moi, je veux bien savoir, mon ami.

- OK, je te dois bien ça… À la revoyure mes amis.

Astar sort de la pièce, descend le grand escalier et allonge, sans ménagement, Béatrice sur sa banquette arrière.

Arrivé au pied de son immeuble, l’homme gare sa voiture au plus près et reprend la jeune femme sur son épaule. Il l’emmène dans sa cave. Là, il la dépose sur un matelas crasseux, puis l’attache à la chaîne qui traîne par terre au bout de laquelle il y a des menottes. Il sort son smartphone et prend quelques photos de la belle blonde encore endormie. Ensuite, il referme la porte en laissant la lumière allumée.

La cave est glauque, un matelas sale, les murs recouverts de plateaux à œufs pour l’insonoriser, une lourde porte qui rend la pièce presque étanche, un ancien soupirail muré. Quelques chaises, de-ci de-là, un vieux canapé, lui aussi, en manque de nettoyage. Quelques cendriers et pas mal de mégots de joint qui jonchent le sol.

Dans un coin, un frigo ronronne, plein de bières et de quelques bouteilles de lait Ribot. Et un grand meuble télé accueille un écran plasma moderne, deux consoles de jeux et un caméscope avec tous ses accessoires.

En rentrant dans son appartement, il se jette dans son canapé, allume la télévision et envoie des tas de textos à ses potes et complices.

Sa compagne, Jamila, sort de la chambre avec un air ahuri et commence à lui poser des questions sur ses occupations de la nuit. Mais l’homme n’en a cure, et il ordonne alors à la femme :

- Viens plutôt me sucer, si tu ne veux pas te prendre encore une volée.

Connaissant son compagnon et de la violence dont il sait faire preuve, la femme préfère obtempérer plutôt que de rentrer en conflit, surtout si son mec a passé une nuit blanche, elle sait qu’il peut partir en vrille très vite.

- Elle a bon goût ma bite, hein ma pétasse ?

- Humpf, humpf, semble acquiescer la pompeuse.

- Déguste bien, grognasse, ma bite sort du fion d’une sale Française…

Et, pour éviter que la femme se redresse, il appuie fortement sur la tête et poursuit encore :

- Vas-y, ma pute, bouffe-moi le zob, je vais te récompenser bientôt.

Jamila suce de plus en plus vite et branle le gros sexe en même temps. Elle adore cette bonne bite, mais l’idée qu’elle sorte du cul d’une blonde lui donne des haut le cœur, toutefois, elle sait qu’il lui faut chasser cette image de la tête, ce matin, elle sent qu’un rien pourrait déclencher une grosse colère chez son mec. Alors, même cette drôle d’odeur de cul, que sent la bite, elle pompe de son mieux.

Bientôt Astar jouit en tenant toujours fermement la tête de la brune sur sa queue, en disant :

- Bouffe karba, bouffe… T’es vraiment une bonne kehba !

La femme avale tout le sperme chaud sans sourciller. Puis, regardant son homme avec des yeux enamourés, le laisse reprendre son souffle avant de lui demander :

- Tu veux un café, mon Chéri ?

Pendant ce temps, bien qu’il ne fasse pas vraiment froid, la fraîcheur réveille la blonde qui a du mal à sortir de ses vapeurs d’alcool. Bientôt, elle redevient suffisamment lucide pour se rendre compte qu’elle est enchaînée. Là, elle se demande ce qui a bien pu se passer pour être ici, dans cette position. Elle se souvient vaguement de sa sortie en boîte avec son mari, d’une fâcherie stupide, puis d’être reparti avec deux inconnus rencontrés dans la soirée. Elle essaye de se concentrer pour se remémorer sa soirée.

Un bruit de clef dans la serrure, la sort de son état de concentration extrême. Astar entre dans la pièce et fixe dans les yeux la blonde jusqu’à ce qu’elle baisse les yeux. C'est alors qui laisse tomber :

- Alors, connasse, on a bien dormi ?

- Je ne vous...

- Ta gueule, si tu veux qu’on te ramène chez toi en un seul morceau, tu as intérêt à fermer ta grande gueule de Française et d’être bien gentille avec nous.

L’homme referme la porte derrière lui, sans la verrouiller à clef.

- Mais vous n’avez pas le droit…

- Ici, le droit, c'est moi, tu piges connasse ?

- Mais...

Une grande claque sonore vient clôturer la remarque de Béatrice. La douleur est vive, la gifle cuisante, la pauvre femme se met à pleurer.

- Tu ne te rappelles pas comment tu as été offensante par rapport à ton mari ? Le scandale que tu as fait ? Tout le monde avait honte pour ton mari… Tu as de la chance qu’il ne t’ait pas répudié, ça ne se fait pas ici, cela dit, il est reparti sans toi et t’as laissé tomber comme une vieille chaussette !

- Ho non ! Et les pleurs redoublent d’intensité.

On pourrait se demander si elle pleure suite à la vive brûlure sur sa joue, ou si, ce qui serait bien plus probable, de sa situation qui semble totalement désespérée.

Astar en profite pour mettre en place le caméscope sur un tripode et le brancher. Il le raccorde sur l’écran de télévision, allume ce dernier et vise la jeune femme qui sanglote les mains sur son visage. Tout de suite après, trois coups secs à la porte.

- Ouais, entre, c'est ouvert.

Trois hommes entrent. Le premier ne doit pas avoir plus de seize ans, mais il a un visage affreux, plein de trous dans la peau comme s’il avait déjà eu la vérole. Aziz n’est pas très grand, mais semble assez carré. Le deuxième qui entre, c'est Ahmed, dans les vingt-cinq ans, grand, bien bâti, plutôt beau gosse. Et enfin Mouloud franchit la porte. Le plus âgé, dans les âges à Astar. Rondouillard, de taille moyenne, il arbore une grosse moustache et sa peau est si mate qu’on pourrait presque croire que c’est un black, mémé aurait-elle fauté dans son jeune temps ?

Tous viennent saluer le maître des lieux, puis vont voir de près la pauvre femme.

- Elle s’est chiée dessus de peur ou tu l’as enculée si fort qu’elle fuit de la boîte à crottes ?

- Je l’ai eu comme ça… Mais pas de souci, une fois que tu lui as bien pris le cul, elle te lavera la bite avec sa gueule de conne.

- Elle est vraiment pour nous ? Demande benoîtement Aziz de sa voix fragile qui contraste avec son apparence physique.

- Ouais, fils, tu pourras la tringler autant que tu veux par où tu veux. Répond Astar d’un air amusé. Puis il enchaîne : La seule chose, je ferai une jolie vidéo, sans qu’on ne puisse voir vos gueules de bandits, juste sa tronche et ses trous.

Ahmed, silencieux jusqu’à là, propose alors :

- On peut commencer les festivités ? Je m’en occupe en premier bande de salauds, vous allez tellement me l’ouvrir qu’après, je vais nager dans ses trous.

- NON ! Non... Commence à crier la blonde maintenant totalement effrayée.

Une grosse claque de Astar vient lui répondre.

- Tu peux gueuler connasse, ici les voisins ne posent jamais de question. Par contre, si tu nous casses les oreilles, on te fera fermer ton claque merde à grands coups de pains dans la tronche, tu comprends ?

La seule réponse de Béatrice est de pleurer encore plus fort qu’au début.

Sur ces belles paroles, Astar vient lui retirer les menottes et la place à quatre pattes, face au Mur.

- Vas-y, Ahmed, à toi l’honneur...

Le bellâtre défait son pantalon jusqu’aux chevilles et vient se placer à genoux derrière le cul offert. Il place son gland contre la vulve, du mieux qu’il peut, car la pauvre femme remue pour éviter de se faire violer. Puis, d’un grand coup sec, il prend possession de ce vagin, déjà un peu humide, avec sa bite.

Béatrice ne comprend rien, elle qui avait si peur d’être déchirée parce que trop sèche, se rend compte que, non seulement son sexe n’est pas sec, et que même, elle trouverait agréable cette sensation si la peur ne venait pas lui couper le plaisir. Ça fait longtemps, qu’elle rêve de se faire prendre comme ça, à la hussarde, par un beau mauresque brun, sans tout le baratin dont s’entourent les mecs, qu’elle a eus jusqu’à présent.

Ahmed donne une bonne série de coups de lime bien profonds, à chaque fois qu’il touche le col, la pauvre femme ne peut que crier, mais crier de plaisir et l’homme s’en rend compte. Il est tellement excité qu’en relativement peu de temps, il ne peut plus se retenir en enduit toute la moule de sa sauce pour salope.

Cette fois, la bonde jouit vraiment, si bien que toute l’assistance s’en rend compte.

- Cette blondasse m’a bien fait gicler ! Bravo à toi Astar, comme d’hab tu nous trouves de la bonne viande ! Dommage qu’elle ne soit pas hallal !

Toute l’assistance rit de bon cœur. Puis, le maître des lieux, reprend la parole pour raconter les frasques de la salope blonde qu’il offre aujourd’hui.

Béatrice cache sa tête dans ses mains, au récit que fait ce diable d’homme, elle comprend ce qu’elle a fait endurer à son petit mari si gentil ! Et quand elle entend le récit de la culotte, elle se maudit elle-même !

À la fin du récit de Astar, Mouloud, qui vient déteindre son mégot de joint, déclare :

- Bon, à mon tour de punir cette saloperie, faire ça, à son mari, au bled, elle se ferait lapider, et c'est ce qu’elle mérite.

À ces mots, la blonde comprend que ces mecs ne sont pas là pour lui faire du bien, mais pour la punir par là où elle a péché. Elle redouble de sanglot, à quatre pattes, le cul en l’air offert à ses bourreaux, ses lourds seins sur le sol, sa tête entre ses mains.

Mouloud prend le temps de retirer totalement son pantalon qu’il porte sans slip, après avoir déjà retiré ses chaussures. Ensuite, d’un pas léger, il vient derrière la jeune femme, s’agenouille et, lui aussi, colle son gros gland contre la chatte déjà entrouverte à sa disposition.

- Accroche-toi à tes oreilles, grosse pute

Et d’un solide coup de rein, il s’enfonce dans cette chatte gluante, du mélange de la cyprine chaude et du jus de glaouis, de son pote et complice.

Le gros gland est passé, sûrement parce qu’elle se sent ouverte comme jamais, car si elle avait vu la monstrueuse bite, pas très longue, quoique fort honorable, pas très grosse, quoiqu’un peu au-dessus de la moyenne, mais surtout le gland vraiment gros, elle aurait pris peur, à n’en pas douter. Béatrice subit les nouveaux assauts de ce personnage, et finalement, assez vite, elle commence à crier son plaisir.

Mouloud ne prend pas de gant, il fourrage cette chatte dans tous les coins et recoins. Alors qu’il ahane, en s’arrêtant pour reprendre son souffle, il lâche :

- Elle a la chatte bouillante cette morue ! Elle va me brûler le zob !

Puis l’homme recommence ses allers-retours à un bon rythme.

Il lui semble devenir folle ! Elle jouit comme une chienne en chaleur, de se faire violer, ici, dans cet endroit glauque, qui commence à sentir la sueur et le rance ! Et pourtant, elle prend un pied gigantesque ! Folle ! Elle doit devenir folle !

Mais bientôt, l’homme ne veut plus se contenter de ce vagin glissant et bouillant. Il décide d’enculer la connasse sous lui. Il retire vivement sa queue du corps de la blonde, place son gros gland contre l’anus déjà bien entrouvert, et s’exclame :

- Sers les dents, ça va t’ouvrir en grand...

Et vlan ! Il fait entrer son engin au fond des boyaux. Les bords du gland raclent les parois. Et, bien que le cul soit encore sale, l’homme se régale de cette sodomie sauvage.

Une très vive brûlure qui lui coupe instantanément l’orgasme, voilà ce que ressent Béatrice. Elle pousse un grand cri qui finit en longue plainte. Elle aurait dû bien écarter ses fesses avec ses mains, pour que le gland entre plus aisément, la douleur en fût moins vive en tout cas. Là, elle essaye d’allonger les jambes, pour se retrouver à plat ventre, mais ce diable d’homme doit connaître la manœuvre, et il la maintient fermement par la taille.

- Là, tu l’as dans le fion, grosse conne, j’espère que tu apprécies.

- Ouais, vu comment elle a gueulé, je crois que tu lui as fait un drôle d’effet, Mouloud ! S’exclame alors Astar.

Les autres membres de cette fabuleuse assemblée de salopards se marrent de bon cœur. Ils se connaissent bien et savent, pour chacun, les effets sur les nanas qu’ils amènent en tournante. Et bien peu réussissent à avaler par l’anus, le gros gland de Mouloud.

Astar ne perd pas une miette des évènements. Depuis le début des opérations, il tourne avec son caméscope pour prendre en gros plan le joli visage de la blonde, sa chatte ou son cul recevant des sexes de toutes tailles, et surtout, les réactions de la belle, il adore quand elle jouit et se régale d’avance de la déconfiture de son mari quand il lui enverra les images. Et là, avec cet énorme gland qui ouvre l’anus en grand, il est aux anges.

Béatrice pleure de douleur, cette fois, elle a un mal à l’anus terrible. Et ce diable d’homme qui passe sans cesse, son gros racloir dans son intestin, ne calme pas la douleur, ou si peu.

L’homme dodu prend tout son temps pour ramoner ce cul de blanche. Il voit bien les traces brunâtres autour du trou qu’il occupe, aussi, il se permet :

- Dis-moi, grosse pute, tu pourrais te laver le cul avant d’aller te faire enculer ! T’es toute dégueulasse !

La pauvre femme entend à peine la méchante réflexion. En plus, paraître sale devant ces odieux personnages ne la touche pas le moins du monde. Tout en pleurant des suites de cette intense brûlure, elle commence à s’apercevoir que la douleur se calme un peu.

D’un coup, sans crier gare, l’homme retire son membre de l’anus distendu et enfourne son gros racloir dans la chatte baveuse de la pétasse.

Surprise, la blonde pousse un cri, puis très vite, les ondes de plaisirs parcourent son grand corps et elle est proche de la jouissance.

- Tiens ! Prends toute ma purée, sale chienne française.

Et l’homme décharge son foutre chaud, arc bouté en arrière, comme pour enfoncer le plus loin possible sa queue.

Le jus de glaouis se répand dans tout le vagin, il passe même la barrière du col de l’utérus, déjà partiellement ouvert après les grands coups de boutoir, qu’il vient de subir. Mais la bite, toute polluée qu’elle est, apporte aussi son lot de jus brunâtre.

Le bonhomme grogne de plaisir et laisse sa queue enfichée aussi loin que possible, dans ce qu’il considère comme un vide-couille. Ensuite, repue de stupre, il ressort son engin et finit par lâcher les hanches de la blonde.

La pauvre femme, encore secouée des spasmes de ses orgasmes, s’aplatit au sol comme une crêpe.

- Ho frère ! S’exclame le jeune Aziz, tu me l’as démoli ! Je ne vais même pas pouvoir en profiter !

- Pas de souci, fils, répond alors Astar en s’emparant d’une chaise et venant l’apporter juste à côté de la femelle. Aide-moi à la mettre dessus.

Les deux hommes prennent le corps de la femme par les bras, et viennent la mettre, le ventre en appui sur le dossier, la tête vers l’assise, et les jambes les plus écartées possibles.

- Attends mon jeune ami, déclare Astar en se penchant pour défaire les menottes qui entravent encore et toujours les fins poignets blancs.

Puis, comme la femme est toujours dans les vapes, l’homme se dirige vers le frigo, l’ouvre, prend une canette de bière, lui retire son opercule en revenant sur ses pas. Il secoue violemment la canette avec son pouce en guise de bouchon, puis asperge le visage de la blonde en passant sous sa tête.

La femme semble revivre et tousse pendant quelques instants. Et commence à dire :

- C'est dégueulasse...

- Ta gueule, la pute, ou je laisse mes potes te tabasser maintenant qu’ils se sentent plus légers.

La jeune femme pense illico qu’il est plus judicieux de la fermer que de se rebeller, quand bien même, elle aurait ses mains libres à nouveau.

Le jeune Aziz, tout excité qu’il est, vient s’emparer de la jeune femme. Il défait sa braguette et laisse choir son jean et son caleçon. Il se place entre les cuisses déjà écartées, tripote un instant son énorme bite, une comme peu d’acteurs de pornos peuvent arborer, la place à l’entrée du vagin, attrape à son tour les fines hanches. Et pousse comme un bœuf pour faire entrer son incroyable bâton de chair d’un coup, dans le vagin détrempé.

Béatrice hurle, elle a l’impression qu’on la déchire, que son sexe ne pourra plus jamais se refermer.

- Ouais, je sais, elle est grosse, t’as qu’à te dire que c'est comme accoucher, mais à l’envers...

L’énorme engin dilate toutes les chaires internes, et ça se voit à l’extérieur ? Le ventre de la pauvre femme est distendu. Le membre frappe à chaque fois contre le col, comme s’il essayait d’aller dans l’utérus.

- Par pitié… Essaye de dire Béatrice.

- Pas de pitié pour les connasses françaises, qui pourrissent leur mari, devant tout le monde !

Astar ne perd rien de la scène, il tourne et vire autour des deux personnages, prenant bien soin de ne jamais filmer le visage de ses complices, par contre, celui de la blonde, ça oui !

Aziz ahane comme un beau diable. Bien que très jeune, tout juste seize ans, il est pourvu comme cinq adultes au bas mot. Son sexe est énorme, le gamin bande comme un taureau et sait sauter les femmes, depuis quelques années déjà.

Ses potes "l’utilisent" pour punir des prostituées, qui font des manières sur la taille du sexe des clients, ou qui refusent la sodomie, après son passage, aucune n’a jamais voulu recommencer ses jérémiades, de peur d’avoir encore le gamin sur le ventre et de se faire déchirer, ou presque pour les plus chanceuses.

La blonde gueule de douleur et se débat de toutes les façons possibles, mais rien n’y fait, cet énorme pieu brûlant occupe tout son intérieur.

Le jeune homme sait déjà bien comment tenir les femmes quand il les prend. Là, ses deux mains tiennent fermement les hanches de sa proie, et il donne de furieux coups de reins avec un rythme soutenu, que seuls les jeunes peuvent donner, ne s’économisant pas le moins du monde. D’ailleurs, ce qui devait arriver, arrive, et voilà ce diable de gamin qui inonde la chatte affreusement ouverte de la femme.

- Tiens, morue, voilà du bon lait pour ta chatte...

Béatrice s’imagine que, comme les autres, son tortionnaire va débander et se retirer pour la laisser tranquille. Mais elle ne sent pas son ventre revenir à son état normal, au contraire, elle se sent toujours envahie par ce gros morceau de chaire, tout au plus, lui semble-t-il moins dur.

Maintenant qu’il vient d’éjaculer, Aziz reprend son souffle, mais sans ressortir de la femme, ni même la lâcher. Après quelques instants de silence, coupé seulement de la profonde respiration du jeune homme et sentant que sa bite redevient doucement dure, il demande :

- T’en veux encore, salope de Française ?

- Pitié, j’ai trop mal...

- Oui, comme ça, plains-toi, connasse, c'est ce qui excite le plus notre jeune lion. Lâche Astar.

- Mais, dit-elle en pleurant. Il me déchire le ventre !

- Fallait y penser avant de faire tes sketches en boîte et dans la rue !

- Aller, on remet ça, ma bite a encore envie de vomir dans ton bide.

Et sur ces bonnes paroles, le jeune lion, tel qu’il est décrit, recommence à fourrager la pauvre femme.

La pauvre blondinette a les jambes qui flageolent et ne tiendrait plus sa position si le jeune homme ne la tenait pas fermentent. Il lui semble que le dossier de la chaise participe à son tourment, car à chaque coup de boutoir contre le fond de sa matrice, elle sent la peau douce de son ventre racler le bois dur.

À nouveau, le gamin laisse sa bite dégueuler dans cette moule juteuse bien chaude.

Béatrice commence à vraiment sentir très fort de la chatte. Elle pense que cette fois s’en est terminé de ses tourments, mais la queue dégonfle à peine et ce salaud reste enfiché dans son vagin sans bouger.

Aziz sait que ça bite va très vite regonfler, et maintenant qu’il estime avoir bien agrandi la vulve, il se dit qu’il va être temps de la sodomie, dès que sa queue sera suffisamment raide. Et il recommence à faire des allers-retours, mais lentement au début.

La blonde n’en peut plus, elle se demande réellement quand ce maudit gosse en aura fini avec sa pauvre chatte douloureuse. Tout en pleurant, elle implore encore :

- Pitié...

- Ha ! Tu n’en peux plus dans ta chatte ? Elle te fait mal ma grosse bite ?

- Oui ! Pitié… J’en peux plus...

À force de mouvements lents dans cette chaude gangue de chaire qui la sert, la queue redevient bien dure.

- OK, je vais laisser ta chatte tranquille...

Et sur ces bonnes paroles, il ressort d’un coup sec son zob gros et dur.

À nouveau, Béatrice, crie. Cette fois, outre la douleur du passage du gros gland, la sensation de vide dans son corps est très nouvelle, mais surtout très déconcertante. Mais aussi, un peu reposante. Toutefois, elle n’a pas le temps de reprendre son souffle que déjà ce monstrueux machin lui déchire l’anus. Elle crie de plus belle.

- AIE ! Aie, aie aie !

- Ne viens pas dire que je te fais mal à la chatte, connasse !

- C’est trop gros !!! Hurle-t-elle encore.

Elle bouge dans tous les sens, tant et si bien que l’énorme queue ressort de l’anus maintenant béant. Et elle se met à pisser sous elle.

Tout en s’écartant un peu pour ne pas être éclaboussé par la pisse de la blonde, le gamin demande de l’aide à ses amis et complices.

- Quelqu'un peut venir m’aider en la tenant ?

Aussitôt Ahmed et Mouloud viennent et s’emparent des bas de la jeune femme, puis, chacun, d’une cuisse.

- Vas-y, fils, détruis-lui le cul à cette connasse. Ordonne encore Mouloud.

- Ouais, Aziz, bourre-lui l’anus, qu’elle ne puisse plus s’asseoir pendant un mois, et que je puisse filmer ça en gros plan.

Le grand gosse n’est pas intimidé le moins du monde, et il s’approche des trous de la blonde que ses complices lui tiennent. Et d’un grand coup de rein, il traverse l’anus et remplit le gros colon de toute sa queue.

À nouveau un grand cri de douleur.

- Voilà, je vais te péter le cul et tu t’en souviendras toute ta vie, surtout quand un mec t’enculera, tu auras une sensation de trop petit…

Les mecs se marrent et font des commentaires visiblement salaces dans une sorte de patois mélangeant de l’arabe avec du français.

Cette fois, Aziz se lâche totalement et bourrine comme un vrai taureau.

Les coups de marteau-pilon arrachent à chaque fois un cri à la pauvre femme qui n’a plus aucune défense et n’est plus qu’une grande douleur.

Mais bientôt, surexcité, le jeune homme crache à nouveau son venin de burnes dans ce corps devenu flasque. Puis, cette fois repu, il ressort son sexe encore bien épais, mais mou, de l’anus qui suinte un jus marron clair avec une odeur désagréable, pour ne pas dire plus.

Les deux vicelards reposent la femme par terre et vont pour aller s’asseoir dans le canapé quand Aziz leur ordonne encore :

- Marquez-lui le cul et les nichons à coups de ceinture, les gars, je reviens.

Astar sort de la pièce en enjoignant à ses complices :

- Rester là, je reviens dans dix minutes, attendez-moi.

En arrivant dans son appartement, il tombe sur sa compagne.

- Et alors ! Tu n’es pas au tapin à cette heure-ci ?

- Mais non, on est dimanche ! Tu m’as autorisé à me reposer le dimanche...

- Ouais, à surtout faire le ménage et les lessives que tu ne fais pas la semaine ! Bref, prépare-moi la potion magique.

Jamila sait qu’elle a tout intérêt à obéir, sans poser de question, toutefois, tout en sortant la théière et un petit sachet et en mettant de l’eau à bouillir, elle ne peut s’empêcher de demander :

- C'est pour la blonde ?

- Qu’est-ce que ça peut te foutre, t’es dans la police maintenant ?

- Ho pardon, Chéri, je ne voulais pas être indiscrète

Pendant ce temps, les deux mecs les plus âgés du groupe défont leur ceinture et commencent par les abattre sur le cul de la pauvre femme. Mais finalement, elle pleure et n’a pas d’autre réaction.

- Maintenant que ça infuse, vient me pomper le nœud, ma pute, faire ce petit film sur la connasse à la cave m’a tout de même bien excité.

L’homme baisse son froc en jeans qu’il porte à même la peau, puis s’affale dans le fauteuil de la pièce à vivre.

La gentille Jamila s’approche, s’agenouille et fait une bonne pipe à son homme. Elle souhaite surtout, en s’appliquant au mieux, que son mari ne fera pas durer le plaisir à outrance comme il sait parfois le faire.

Là, l’homme s’aide de sa montre pour que ça ne dure pas plus de dix minutes, le temps adéquat pour que la potion, dite magique, infuse.

- Oui ! Comme avec les clients… Et avale tout, c'est le bon sirop de corps de ton homme.

Puis, une fois que sa compagne s’est remise debout, à son tour Astar se relève, remonte son pantalon et ordonne :

- Tu me mets tout dans la thermos.

Ensuite, la bouteille isolante pleine, Astar sort de l’appartement et redescend à la cave.

Pendant ce temps-là, les deux compères salaces, ont retourné la jeune femme, et s’amusent maintenant à frapper la poitrine, c'est à celui qui fera la plus belle marque. Dans le canapé, le jeune Aziz se repose en jouant avec une des consoles.

En rentrant dans la cave, Astar exige encore :

- C'est bon les gars, on n’est pas des bêtes, on va lui donner à boire tout de même !

Et, alors que les deux pères Fouettards remettent leur ceinture en place, Astar se penche sur la blonde, lui tient la tête, et lui dit :

- Vas-y, bois un bon coup, ça te fera du bien.

Assoiffée après tant de tourments, Béatrice boit de bon cœur ce délicieux thé au goût si particulier !

Il n’est de si bonne compagnie qui ne se sépare. Aussi, dès la blonde retombée dans les vapes, les trois complices souhaitent une bonne journée à Astar, et s’en vont.

Le maître des lieux remonte chez lui, ce n’est qu’à vingt-deux heures qu’il redescend pour ramener la pauvre jeune femme devant chez elle, mais totalement nue.

La fraîcheur de la nuit réveille Béatrice en sursaut, à la lueur des lampadaires, elle reconnaît sa maison, la voiture de son mari, mais ne voit aucune lumière chez elle.

Elle sonne, aucune réponse, tambourine, toujours pas de réponse, appelle, et cette fois, c'est le vicieux voisin qui sort et lui demande ce qui se passe.

Elle a du mal à cacher son corps encore douloureux, et c'est à cet instant que sa propre voiture apparaît, avec son mari au volant.

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