La cave : la rencontre (2003-2021)

 

Ce samedi soir-là, Béatrice et Alain sont sortis en boîte en ville pour fêter leur premier anniversaire de mariage. C'est une idée de Béatrice, car Alain n'est pas très attiré par ce genre de lieu, surtout qu'il sait, que sa jeune et belle épouse, est très courtisée. En effet, cette grande blonde de vingt-cinq ans au sourire large et clair, que viennent appuyer de grands yeux bleus, donne plus l'impression d'une femme à la recherche de l'âme sœur, que d'une jeune mariée. De plus, cet homme de trente ans, pour y avoir passé ses longues nuits de célibataire, sait parfaitement, que les autres hommes tenteront tout et n'importe quoi, alcool aidant, pour mettre dans leur lit, cette jolie plante qu'est Béatrice.

La jeune femme, quant à elle, d'un caractère rebelle et fier, est parfois un peu trop arrogante et suscite largement les convoitises des autres hommes. Et, bien qu'elle s'en défende, sa façon de danser seule, ses sourires, les expressions qu'elle affiche souvent, sont autant de messages de détresse.

Ce soir, et sans être une nuit d'ivresse, Béatrice a déjà pas mal bu. Entre l'apéritif et le rosé au restaurant chinois, le petit cocktail dans un bar feutré et sa première consommation dans la boîte, il n'y a plus beaucoup de place pour le raisonnement.

Alain est lui moins grisé, d'abord parce que, habitué avec les copains, l'alcool n'a pas le même effet sur lui, et aussi parce que du haut de son un mètre quatre-vingts, ses soixante-dix-huit kilos lui permettent de ralentir les effets grisants. Néanmoins, déjà énervé par cet anniversaire et l'attitude un peu légère de son épouse, il sent sourdre en lui une colère, qu'il ne saurait expliquer. Et puis, les quatre réflexions désobligeantes de Béatrice, dans le bar feutré, l'ont marqué bien plus, qu'il ne voudrait bien le reconnaître.

Cela fait déjà près d'une heure que Béatrice danse au milieu de la petite piste. Beaucoup de regards sont rivés sur ce corps souple qui ondule au rythme de la musique, sur cette jupe légère qui s'envole parfois, un peu plus haut que ne le voudrait son mari, sur cette poitrine lourde et généreuse, que contient avec difficultés le soutien-gorge, que l'on aperçoit sous le chemisier.

Alain sirote son deuxième whisky-coca en attendant, avec impatience, que les heures s'égrainent. À part sa femme, peu de gens dansent, et encore, le font-ils par intermittence, alors que son épouse est comme prise de frénésie par la musique. L'ambiance même de l'endroit ne lui plaît pas, peu de couples, beaucoup de célibataires, hommes comme femmes d'ailleurs. Et puis, il trouve que les femmes présentes sont plus provocantes, que dans les boîtes qu'il a connues par le passé.

Lorsque la jolie blonde vient enfin s’asseoir, sur le tabouret, près de son mari, c'est pour lui demander d'aller lui chercher un deuxième verre. Sans donner aucun signe de femme amoureuse, elle scrute tous les recoins de l'établissement, fière qu'elle est d'être, visiblement, la plus belle femme de la soirée.

Il n'est que deux heures du matin et Alain à l’âme plutôt chagrine, aussi, dans un souci d'économie, il commande directement une bouteille de whisky et revient s’asseoir près de sa compagne.

Béatrice passe ainsi sa soirée, très souvent en train de danser, allumant de plus en plus les hommes, qui se pressent autour d'elle et venant, de temps à autre, boire quelques gorgées de son verre, qui ne désemplit pas.

À quatre heures du matin, le serveur vient ramasser la bouteille d'alcool comme la charte des night-clubs le prévoit, mais celle-ci est pratiquement vide, aussi se permet-il de la finir en partageant le reste entre les deux verres.

Cette fois, la musique s’arrête et la lumière, un peu crue, s'allume, découvrant ainsi les fantômes que la pénombre habillait si bien, quelques secondes auparavant. Béatrice, bien que toujours aussi belle, parait maintenant totalement allumée et a quelques difficultés à se tenir debout, sans l'aide de la haute table ronde.

Alain, quant à lui, semble indifférent aux affres de son épouse, est perdu dans ses pensées. S'il n'était assis, il aurait certainement encore plus de mal, que sa femme, à se tenir debout.

Deux hommes passent et viennent féliciter la jolie blonde pour cette soirée. Ils ne semblent pas méchants aux yeux de Béatrice, qui est flattée des compliments, qu'ils lui font, mais est-elle bien en état de se rendre compte ?

Le premier, Michel, affiche un grand sourire, mais laisse sa main caresser le haut de la cuisse de la jeune femme, à travers l'étoffe de sa jupe. Le second, Denis, essaye d'entamer une pseudo-conversation avec Alain, en le complimentant sur son épouse, de façon à détourner son attention.

La jeune femme, excitée par l'alcool et le déroulement de la soirée, se laisse faire et va même jusqu'à faire un petit sourire complice, à son peloteur.

Denis, en fin tacticien des soirées tardives, en profite pour faire monter la température de l'homme, en lui demandant, presque naturellement :

- On pourrait faire un gang-bang avec ta salope, à ton avis ?

Malgré l'état d'ébriété avancé du mari, celui-ci se rebiffe et finit par bredouiller de façon à peine intelligible :

- Mais tu prends ma femme pour une pute ou quoi ?

- Non, bien sûr, mais elle me paraît taillée pour l'aventure... Et de la manière dont elle danse, je parie que c'est une sacrée chaude au lit, non ?… Elle est libertine ?

Béatrice capte la conversation à travers le brouillard éthylique dont son esprit est nimbé, et cela semble la faire sourire de plus bel.

- Tu vois mon ami, ajoute encore Denis en posant sa main droite sur l'épaule gauche du mari, ta femme n'a pas l'air d'être trop contre l'idée, en tout cas...

Michel s'enhardit et passe sa main directement sous la jupe et palpe, en connaisseur, le haut de la cuisse nue, la dentelle du bas, puis commence à s'attaquer à la culotte.

Alain ne sait plus s’il doit être jaloux de ces deux mecs qui sont venus à sa table, ou s’il doit être en colère après l'attitude assez provocante de sa femme, il finit par balbutier :

- Ouais, je sais, elle a fait très salope toute la soirée, mais elle n'est pas comme ça habituellement.

- Mais peut-être que ce soir, elle a envie de quelque chose de plus corsé, tu ne serais pas contre qu'on s'occupe d'elle à trois, si ? Demande, comme si de rien n'était, ce coquin de Denis.

Michel, ne rencontrant aucune résistance de la part de la jeune femme, attrape fermement la culotte sur le côté de la hanche et se presse contre la belle pour lui susurrer :

- Hum... Si tu savais comme j'ai envie de te voler ta petite culotte… Je suis sûr que la dentelle est magnifique...

- T'es pas chiche... Chuchote la jolie blonde sans tourner les yeux et fixant son mari.

L'époux est totalement accaparé par le plus jeune des deux hommes et ne se rend pas compte, du petit manège de sa femme.

Michel, fixant le mari pour être sûr d'avoir le champ libre, descend d'une main habile la fine culotte de sa complice jusqu'à mi-cuisses. Puis, prestement, il se baisse, caché du mari par la table, et fait glisser le petit morceau de tissu jusqu'aux chevilles, très vite, il attrape la fine cheville droite de sa complice et lui imprime un léger élan pour qu'elle lève le pied. Dès que la culotte est dégagée de la première jambe, il fait de même avec le pied gauche. Il se redresse ensuite très vite tout en glissant la culotte convoitée, dans la poche gauche de son pantalon.

La jeune femme se dandine d'une jambe sur l'autre, tout en restant accoudée à la table ronde, elle fixe maintenant Denis, avec ses grands yeux, qui en disent long sur son désir réveillé, par ce qu'elle vient d'oser à l'instant.

Denis, tout en discutant avec le mari et en lui racontant un peu n'importe quoi, jette, de temps à autre, un coup d’œil, vers la jolie blonde.

Michel se penche discrètement à l'oreille de la jeune femme et lui dit dans un souffle :

- Merci ma jolie salope…

Les verres se vident peu à peu, tout comme la boîte, que les gens quittent les uns après les autres. Michel et Denis se décident à partir, eux aussi, et saluent le mari d'une poignée de main, et la jeune femme, d'une série de bises bien trop près des lèvres, mais cette dernière, emportée par l'alcool, se laisse faire, visiblement émue de tels hommages.

Les deux compères se retrouvent sur le trottoir et se dirigent vers la voiture de Denis d'un pas lent, Michel montre son trophée à son ami et raconte en détail comment il l'a obtenu. Ils ne sont qu'à une centaine de mètres de la boîte quand ils entendent des bruits de voix. Michel reconnaît la voix de la jolie blonde qui semble être devenue hystérique.

C'est un vrai pugilat qui se passe sur le trottoir devant la boîte maintenant. Alain traite son épouse de pute, de traînée, et lui reproche vertement sa conduite tout au long de la soirée.

Béatrice, quant à elle, commence à traiter son mari de connard, de bon à rien, et d'autres qualificatifs du même acabit. Elle se rapproche de son époux en titubant et lui donne une grande claque qui sonne dans la rue déserte.

Choqué par le geste et la violence dont fait preuve sa femme, l'homme fouille dans sa poche, sort les clefs de la voiture et les jette par terre en annonçant :

- Allez, tire-toi, rentre à la maison, connasse. Puis, il tourne les talons et remonte la rue à pied.

- Pauvre connard, tu es tout juste bon à fuir, crie Béatrice, devenant de plus en plus hystérique. Elle tente de se baisser pour ramasser les clefs, mais elle se retrouve par terre, emportée par son poids, car, dans l'état dans lequel elle est, elle ne coordonne plus ses membres.

Les deux amis ont observé toute la scène sans dire un mot, maintenant qu'ils voient la jolie blonde égaillée parterre et son mari s’éloigner d'un pas vif, quoiqu'il ne marche pas tout à fait droit, ils se regardent une seconde, puis Michel dit à son acolyte :

- Viens, on va la chercher...

- Ouais, on ne peut pas la laisser prendre le volant dans cet état.

En quelques secondes, les voilà aux côtés de la jeune femme qui a réussi à s’asseoir sur le trottoir, mais ne peut plus se relever. Denis lui tend la main et l'aide à se remettre debout.

Une fois qu'elle est enfin en position verticale, Michel la fixe dans les yeux avec un grand sourire, et lui dit ;

- Hé bien ma belle cochonne, tu en tiens une bonne ce soir !

- Ça va aller... J'ai un peu abusé, mais je ne suis pas saoul... J'ai juste envie de m'amuser... La voix est pâteuse et la langue colle au palais.

- Je crois que nous allons te ramener chez toi, ce serait plus raisonnable.

- Non, j'ai envie de m'amuser, on va chez qui pour boire un pot ?

Cette fois, Michel fronce les sourcils, et, en fixant froidement la jeune femme, lui annonce durement :

- Attention, nous sommes deux gros cochons, et si nous te ramenons, ce ne sera pas pour enfiler des perles...

- Hi hi hi... Deux hommes virils pour moi toute seule, ça va me changer de mon bon à rien...

- Allez, on va chez moi, décide Denis en prenant la jolie blonde par la main et en l'attirant vers sa voiture.

Pendant le voyage, la jeune femme commence à s'endormir, bercée par la douce chaleur et le bruit du moteur. Elle est dans un demi-sommeil et revoit l'altercation avec son mari. Une haine sourde monte contre ce dernier, dans l'état dans lequel elle se trouve, elle a l'impression de rater sa vie en restant avec cet homme. Et elle est très excitée d'avoir suivi ces deux inconnus.

Bientôt la voiture s’arrête devant la grille d'une propriété. L'endroit est plutôt désert à cette heure et aucun luminaire n'éclaire la zone. Michel descend de la voiture et ouvre les grilles, la voiture entre et stoppe le temps que l'homme referme consciencieusement les deux lourds battants, puis il remonte dans la voiture.

La demeure se trouve très en retrait de la route, au milieu d'un parc boisé, et bien qu'elle ne soit qu'à un kilomètre de la ville, on pourrait se croire en pleine campagne. Le véhicule s’arrête devant un escalier monumental. Denis coupe le moteur et se retourne vers le siège arrière où dort maintenant Béatrice.

Michel sort de la voiture et ouvre la portière arrière et réveille doucement la jeune femme. Quand elle finit par ouvrir les yeux, il lui propose :

- Viens, on est arrivé, on va se prendre un petit café pour commencer, ça te dit ?

- On est déjà arrivé ?

La jeune femme essaye de s'éclaircir les idées en sortant doucement de la voiture, mais seule la haine pour son mari lui revient en mémoire. Dans cet état d'esprit et alors que l'alcool agit encore comme stimulant, elle se dit qu'elle a bien fait de suivre ces deux beaux mecs et qu'elle est prête à faire l'expérience de choses bien plus existantes, que celles qui jalonnent sa vie de jeune épouse bien tranquille.

Dès que la jeune femme est sortie de la voiture, les deux hommes l'encadrent et la supportent pour l'aider à monter l'escalier, puis entre dans la demeure.

Le hall d'entrée est assez sobrement décoré, un vieux tableau, un grand miroir et un portemanteau perroquet. Trois portes et un escalier donnent sur le reste de la maison.

Denis lâche la jolie blonde et s'empresse d'ouvrir la porte face à l'entrée qui donne sur un grand salon. En invitant les deux personnes dans un grand geste théâtral, il demande à Béatrice :

- Café ? Ou on continue au whisky ?

- Allez ! Soyons fous, whisky mon brave...

Michel, tenant toujours la jeune femme par le bras, fronce les sourcils et demande d'une voix dure :

- Mais comment tu t'adresses au maître de ces lieux toi, dis donc ?

Prise de court, la pauvre balbutie quelques excuses en disant :

- C'est pour rire… Je ne voulais pas...

- Tâches de montrer un peu plus de déférence à mon ami, ou nous allons finir par croire ton imbécile de mari quand il dit que tu n'es qu'une petite traînée !

Plus que les propos encore, le ton dur et sec, la voix qui résonne dans la grande pièce et la pression subite sur son bras, dégrise tout d'un coup la jolie blonde, qui commence à se demander ce qui lui a pris, de suivre ces deux inconnus.

Denis invite tout le monde à prendre place dans le canapé ou les fauteuils. Michel dépose sans ménagement la jeune femme sur le fauteuil juste en face du canapé et va s'installer tranquillement pendant que son ami apporte les verres et un vieux whisky écossais, de plus de douze ans d'âge. Il répartit les trois verres larges et commence à verser le breuvage.

- Alors comme ça, tu as eu un trophée en boîte ce soir ? Demande Denis, sachant parfaitement de quoi il en retourne.

- Oui, une jolie salope m’a offert sa culotte… Tu te souviens, Béatrice ?

Les yeux écarquillés, la blonde se remémore rapidement la scène, puis, de la même voix pâteuse, répond :

- Ha oui ! C’était trop rigolo… Sous les yeux de l’autre con !

- Raconte-moi ça Michel, demande encore le maître des lieux.

- En fait, ça c’est passé assez vite, pendant que tu discutais avec le mari de madame. Après avoir passé ma main sous la jupe de notre amie très coquine, j’ai tâté le haut des bas, puis la cuisse nue, et enfin, j’ai attrapé la dentelle de la petite culotte… Tu me connais, gentleman jusqu’au bout des doigts, j’ai demandé à la belle si je pouvais lui voler sa culotte. Comme elle a accepté, j’ai fait glisser la fine dentelle jusqu’à mi-cuisse, et là, comme son mari ne regardait pas dans ma direction, je me suis accroupi et j’ai fini sous la table… Fallait voir ses mignonnes petites chevilles se soulever pour me laisser retirer le beau petit trophée !

Et, sur ce, Michel plonge sa main dans sa poche, et en ressort l’objet volé, un peu comme un prestidigitateur sort un lapin de son chapeau.

- Mais alors, Béatrice, tu ne portes plus de culotte pour le moment !

- Non !

- Tu nous montres le petit trésor que protégeait cette petite culotte ?

Dans un mouvement lent et doux, la blonde se lève de son fauteuil, avance au milieu de la pièce en titubant légèrement, puis, fixant les deux hommes dans les yeux alternativement, elle soulève lentement sa jupe.

- Tu ne nous mettrais pas un peu de musique, s'il te plaît, Denis ?

- Oui ! Bien sûr.

Mais avant de se lever, l’homme, les yeux fixés sur le pubis lisse de la blonde, prend une profonde aspiration. Puis, debout, il se dirige vers le coin de la pièce où se trouve la chaîne HI-FI. Il met un morceau doux et suave, et se retourne vers la jolie femme et lui dit :

- Ne voudrais-tu pas nous faire un petit strip-tease, par hasard ?

Dès les premières notes de musique, Béatrice se met à bouger doucement. Et comme on lui demande si gentiment, excitée comme elle est, elle n’a qu’une envie, danser nue ! Aussi, elle se met à se dandiner, sa jupe retombée, en commençant par défaire les boutons de son chemisier.

Alors que Denis est revenu s’installer à côté de son pote sur le canapé, les deux hommes n’ont d’yeux que pour le joli spectacle qui se déroule à quelques mètres, à peine, d’eux.

Malgré son manque visible d’équilibre, la jolie blonde se trémousse et se déshabille doucement. D’abord tombe le chemisier, puis le soutif, et enfin la jupe.

C'est ce moment que choisissent les deux types pour se lever de concert du canapé. Et, pendant que Michel vient à la rencontre de la femme nue pour la prendre dans ses bras, Denis en profite pour se mettre nu lui aussi.

Maintenant, Michel embrasse fougueusement Béatrice et l’attire doucement vers le canapé et vers son pote en attente. Une fois à côté du grand sofa, il passe le relais à Denis qui est nu et arbore déjà une fière érection.

Le brun prend la jeune femme dans ses bras puissants. L’embrasse lentement, presque tendrement, et se rend compte de l’haleine chargée d’alcool. Mais il n’en a cure, il tripote les gros seins qui tombent un tout petit peu, puis commence à prendre les fesses à pleine main.

Béatrice s’est à peine rendue compte du changement de cavalier. Ses seins malaxés tendrement, ainsi que ses fesses flattées lui procurent des picotements au creux des reins. Sa chatte s’humidifie et elle commence à ressentir une envie des plus troubles.

Pendant ce temps-là, Michel, rapidement, se dévêt à son tour. Dès qu’il est nu, jusqu’aux chaussettes retirées, il vient se coller au dos de la blonde et frotte sa queue contre les fesses rebondies. Ensuite, il pousse doucement le couple jusqu’à ce que son ami Denis soit contraint de s’asseoir, entraînant à sa suite la jeune femme.

Le sexe trempé de la jeune femme accueille d’un coup le membre dur et droit de Denis. Le pénis s’enfonce au plus profond de la matrice féminine, arrachant au passage un cri à la blonde quand il vient taper contre le col de l’utérus.

- Cette salope a pris ma bite d’un seul coup, et je t’assure qu’elle est déjà trempée !

- Je te propose que tu la limes comme tu sais si bien faire, en lui glissant des doigts dans l’anus, pour me faire le passage...

- Ça marche mon pote.

Et Denis commence de longs et rapides va-et-vient de sa belle queue dans cette chatte gluante et glissante, chaude à souhait.

Béatrice grimpe vite aux rideaux et commence à entonner un chant d’amour qui motive les deux hommes.

Très vite, alors, l’homme glisse un premier doigt dans le cul de la blonde, puis un deuxième, ensuite un troisième.

Michel ne perd pas une miette du spectacle vivant qui se déroule sous ses yeux. Il tripote son sexe pour le garder bien en forme et savoure chaque cri de la blondinette écervelée.

Bientôt, Denis, estimant que la femme est suffisamment préparée pour ce que lui et son complice projette de faire, retire ses doigts et demande à son pote :

- Allez, viens, tu lui prends le cul, on se la fait en double.

Dans son état alcoolisé, Béatrice commence par refuser, mollement, quand elle sent un gland au contact de son anus, mais les coups de reins, de son amant du moment, redoublent de puissance et elle recommence à jouir.

Michel n’a pas besoin de pousser beaucoup pour franchir l’entrée de la dame, très vite, il pousse sa bite le plus loin possible dans ce gros intestin si accueillant. Il sent le membre de son ami s’affairer dans l’autre partie de la dame.

- Putain ! Cette enculée a tout pris d’un coup ! Elle doit avoir l’habitude de se faire mettre par le cul !

- Vas-y, fais-toi plaiz… Défonce-lui le pot...

Denis empoigne les beaux gros nichons de la blonde, les presse fermement, puis, la repoussant un peu en arrière et en la regardant droit dans les yeux, lui demande :

- T’aimes ça te faire prendre par le cul, toi, non ?

La blonde, un peu dessaoulée par la douleur dans ses seins, ouvre les yeux et commence à balbutier.

- Non mais dis donc...

Maintenant que les torses ne se touchent plus, l’homme lâche les grosses mamelles et attrape les tétons, puis les pince violemment.

- Ta gueule connasse, tu es juste une enculée, alors avoue que tu aimes te faire ouvrir ton gros cul !

Durant l’échange de politesses, Michel n’a pas perdu son temps et commence, à présent, à bien limer. C'est vrai qu’elle est loin d’être serrée, comme ces pucelles du cul, qu’il déflore analement régulièrement.

La pauvre femme ne sait plus où elle en est ! Pour la première fois de sa vie, elle accueille deux hommes en elle, elle aime cette bestialité, mais en même temps, elle aimerait que ce soit plus romantique. Pourtant, même cette vive brûlure de ses tétons lui donne du plaisir, elle mouille de plus en plus et ne contrôle, plus du tout, son grand corps de femelle.

Les deux hommes se font un clin d’œil complice, et, en même temps, accélère encore le rythme et l’amplitude des mouvements, des allers-retours. Ils se démènent tous les deux, comme s’ils avaient décidé de faire mourir la blonde de plaisir.

Là, l’alcool aidant, la blonde n’en peut plus et elle commence à gueuler :

- Ho putain ! Que c’est bon ! Salauds !

Mais comme elle ne gère plus rien de son corps, la nature reprend ses droits et la jeune femme, ne contrôlant plus ses sphincters, finit par déféquer sur le sexe, qui lui martèle l’intestin.

- Cette pute vient de me chier sur la bite !

Et l’homme retire son sexe du conduit gluant, attrape le menton de la femme, lui tord le cou et lui enfile sa queue sale dans la bouche.

- Oui, suce grosse dégueulasse ! Quand on se fait enculer, on ne chie pas sur la bite qui te fait jouir, connasse !

Ainsi menée, et dans une sorte de monde parallèle, Béatrice suce la bite polluée, sans réellement se rendre compte de ce que ces deux salauds sont en train de lui faire faire.

Denis attrape son téléphone portable et prend des gros plans de la scène. On voit parfaitement que la femme a des excréments au tour de la bouche, mais qu’elle ne s’arrête pas à ça et suce avec bonheur. L’homme prend même un petit film des plus explicites. Et il commente :

- Voici une grosse pute blonde, de celles qui sucent après la sodomie, même si la bite est pleine de merde !

- Suce, pétasse, tu vas prendre mon jus de couilles dans les amygdales !

Puis, Michel se crispe, garde la tête suceuse fermement empoignée et éjacule en courtes saccades très énergiques, sans mot dire. Il reste quelques instants comme figé, puis lance :

- La vache ! Elle m’a bien vidé, cette connasse.

De son côté, Denis, tout aussi vicieux, en profite pour ressortir sa bite de la chatte détrempée, et de l’enfoncer dans l’anus graissé par les excréments.

- Tu as raison, mon pote, elle est habituée à en prendre plein le cul !

Béatrice, totalement dépassée par les évènements, se laisse faire, même le goût âcre de sa propre merde n’arrive pas à la sortir de son semi-coma.

L’homme s’amuse à soulever la jeune femelle, puis à la laisser retomber sur sa queue dure et droite, arrachant à chaque fois un cri de la pétasse blonde. Puis, il annonce à son complice :

- Tu as raison, je vais aussi lui faire bouffer sa merde à cette connasse.

Et il agrippe les cheveux blonds, pousse Béatrice sur le côté du canapé, se lève d’un bond, et enfourne à son tour sa queue, elle aussi suintant un jus marron, d’une odeur peu ragoutante, dans cette bouche, si prompt habituellement à se rebeller, contre tout et n’importe quoi.

Elle suce, elle avale, une sorte de rêve ou de cauchemar et elle tombe lourdement sur le côté quand l’homme lui lâche les cheveux. Là, elle ne bouge plus, au bord du coma éthylique.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une heure avec Sonia (2019)

Mamie se prostitue : le mac (2024)

Au service de Monsieur (2015-2023)

Punition au sex-shop (2002)

La boite à blacks (2019)

Train de nuit 01 (2002)

Christine ou les malheurs de la maturité (2023)

La prof examinée 01 (2010)

Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2

La prof examinée 02 (2010 -2023)