La cave : la gouine (2021-2023)

 

- Ho pardon mon Chéri ! Si tu savais comme je regrette ce maudit vendredi soir.

- Je pensais à ne pas avoir de nouvelles de toi de toute la journée, que tu avais décidé de me quitter, répond sèchement Alain.

- Ho non, mon amour, j’ai si honte de ce que j’ai fait. Et je ne sais même pas comment te demander pardon.

L’homme fait un pas en arrière, et regarde sa femme couverte de marques sur les seins, et en la retournant d’un geste vif et sûr, voyant les marques sur les fesses, s’exclame :

- Et tu as passé un bon samedi avec les deux autres salopards ? Visiblement, eux, se sont bien amusés !

- Je ne sais pas, je me suis réveillée dans une cave et me suis fait violer !

Béatrice, bien que ses souvenirs soient très confus, se garde bien de parler de la soirée avec les deux mecs qui lui semblaient pourtant bien sympas.

- Quoi ? Violée ! Mais il faut aller porter plainte tout de suite pendant que tu as encore les marques !

- Non, j’en peux plus, je veux juste dormir, et que tu me tiennes dans tes bras.

- Mais tu te rends...

- NON, je t’ai dit ! Je suis épuisée et j’ai mal !

- Tu as mal où ?

- À l’anus, surtout, mais aussi au vagin...

- Finalement, tu es puni par là où tu as péché !

- Ho ! S'il te plaît, pas toi !

- C'est vrai ! Je suis passé pour le dernier des cons, mais c'est rien par rapport à un viol !

- Pardon, mon Chéri, mais n’en parlons plus pour ce soir, je veux dormir dans tes bras.

- Je ne suis pas fatigué, je vais regarder un peu la télé, mais je t’accompagne le temps que tu t’endormes.

Si la blonde épouse s’endormit finalement comme une masse, sûrement d’ailleurs grâce à la fameuse potion magique d’Astar, le mari bafoué, lui, passa une nuit blanche devant la télé, en ressassant sans cesse ce fichu week-end et les conséquences de la bêtise de sa femme. Car maintenant, il en était sûr, cette jolie femme qu’il aimait était tout de même une connasse ! Bête à se faire embarquer et violer, méchante, telle avait été son attitude envers lui devant tout le monde. Mais, quoi qu’il en soit, le viol était un crime et il était bien décidé à la pousser jusqu’à ce qu’elle se décide de porter plainte.

Vers huit heures trente, alors qu’Alain prend un solide petit déjeuné, la blonde arrive dans la cuisine, tel un chat, sans bruit. Le petit bisou rituel, quelques banalités échangées rapidement, puis l’homme lance le sujet du moment :

- À quelle heure comptes-tu aller chez les flics pour porter plainte ?

- Ho ! Commence pas !

- Si tu tiens à laisser ces salopards en liberté, après tout...

Sur ce, l’homme se lève et sort de la pièce pour aller dans son bureau. En fait, une petite chambre d’amis où il a installé son gros bureau et son ordi. Il y a aussi un canapé convertible, et une sorte de casiers accolés au mur du fond pour y ranger les bouquins et autres babioles.

Il sent une grosse colère sourdre en lui. Déjà qu’il hait les deux connards qui ont emmené sa femme, alors que lui ne voulait que lui faire peur, en faisant semblant de partir. Mais en plus, et malgré le viol, sa stupide épouse semble refuser de porter plainte ! Est-ce vraiment un viol ? Certes les marques de coups sont là, mais après tout, bien bourrée, ne serait-ce pas sa femme qui les aurait acceptés ?

Il est un peu perdu dans ses pensées, et machinalement lance le client courrier pour lire ses e-mails. De la pub et rien d’intéressant, quand il voit un e-mail d’un inconnu, avec des pièces jointes. Prudemment, il ouvre le courrier, et, voyant que ce ne sont que des fichiers vidéos, donc sans risque, se hasarde à voir la première vidéo.

Il y voit son épouse assise par terre, menottée et enchaînée, et il entend les commentaires des hommes qui entrent dans la pièce. Et, avant de se lever pour aller chercher son épouse, il est intrigué par ce qu’il entend, comme quoi Béatrice se serait fait sur elle et serait sale ! Il sort rapidement de son bureau, la vidéo qu’il regardait sur "pause" et va rejoindre sa compagne.

La blonde est surprise de l’entrée rapide de son mari et de son air renfrogné qui jure avec celui d’il y a peu, quand il est sorti de la cuisine.

- Viens avec moi, tu vas pouvoir voir tes exploits.

Docilement, la femme, la peur au ventre tout de même, suit son mari jusqu’au bureau. Dès qu’elle est entrée, elle se voit sur l’écran.

Alain remet la vidéo en route depuis le début et Béatrice se voit avec ce diable d’homme qu’elle ne connaît d’ailleurs pas du tout, au mieux, avec la vidéo, elle apprend qu’il se nomme Astar.

Tous les deux fixent l’écran avec horreur, et, alors que l’homme est prêt à couper le film, estimant en avoir déjà assez vu avec cette première œuvre, une nouvelle notification arrive sur l’ordinateur. L’émail ne contient aucun texte, juste un numéro de téléphone. Et, comme c'est le même expéditeur que les vidéos, Alain décide d’appeler.

- Ça vous direz que vos parents, amis et collègues partagent ces vidéos qui devraient vite devenir virales dans votre entourage ?

- Que voulez-vous ? Nous ne sommes pas riches.

- Mais si ! Madame a un petit trésor à faire fructifier.

- Comment ça ? Je ne comprends pas.

- C'est simple, elle fera la pute pour moi deux fois par semaine, jusqu’à ce qu’elle ait payé sa dette.

- Mais quelle dette ?

- De tout le boulot qu’elle m’a donné, sans parler de ce qu’elle a dégueulassé dans ma douce cave pour partager de bons moments avec mes amis.

- Non ! Je ne me prostituerai jamais !

- Bon, je l’entends derrière toi, fais la taire cette connasse, je ne lui demande pas son avis.

- Donc, tu as tout ton lundi pour réfléchir. Elle ne sera pas sur le trottoir, mais avec ma femme, en appartement. Pour le reste, c'est mon affaire. Bonne journée et réfléchis bien.

Le sale type raccroche, Alain en a les bras qui tombent. Et la blonde met sa tête entre ses mains et commence à pleurer.

Au bout de plusieurs minutes, l’homme, perdu dans ses pensées, lâche d’une voix terrible :

- Et maintenant, connasse, on fait quoi ?

Béatrice ne sait plus du tout où elle en est. Après les horreurs qu’elle a vécues, elle se demande ce qui l’attend, finalement, ne vaudrait-il pas mieux porter plainte. Oui, mais contre qui, contre un numéro de téléphone ? Sûrement d’une carte prépayée. D’un émail ? envoyé depuis un site anonyme avec un peu de chance. Et si l’homme met ses menaces à exécution ?

- Visiblement, tu ne veux pas porter plainte, alors tu en payeras les conséquences, pas questions que ma famille ou mes collègues ne soient impactés, par tes conneries…

- Tu ne vas tout de même pas me laisser aller me prostituer, pour ce sale con ?

- Je préfère largement que tu payes tes conneries par là où tu as péché, que de voir ma famille ou mes amis salis. Donc plainte ou tapin, à toi de voir.

Une nouvelle notification, et un nouvel émail avec une vidéo de la blonde qui se fait sodomiser par un gros bonhomme au gland impressionnant.

- Quand je pense au cinoche que tu me fais pour la sodomie ! Là, tu as beau essayer, le mec te l’a foutu dans le fion, grave !

La blonde ne sait pas quoi répondre, surtout qu’il est bien rare que son mari chéri, parle de la sorte.

L’homme profite du silence coupable de son épouse, pour enfoncer le clou.

- Et imagine qu’il envoie des photos à ta vieille mère, à son âge, avec ses antécédents cardiaques, elle en meurt, non ?

À nouveau, Béatrice explose en pleure, plonge sa tête dans ses mains, elle voudrait mourir à cet instant.

La vidéo passe maintenant l’épisode du jeune prodige de la quéquette. Là, entre les cris de douleurs de la femme et les commentaires salaces du jeune con, on comprend tout de suite que ce n’est plus du cinéma, que la femme souffre vraiment le martyre. Et on comprend ensuite qu’elle est au bout du rouleau quand les deux lascars la tiennent pour l’assaut final du sale gosse.

La pauvre blonde pleure toujours à chaudes larmes, autant des souvenirs de cette déchirante douleur, que de honte. Elle ne peut imaginer voir sa vieille mère visionnant de pareilles horreurs, toutefois, elle a aussi honte que si c’était en train de se produire.

- Bon, connasse, je ne supporte plus ta vue de pleurnicheuse, soit tu vas aux flics, soit demain, je t’emmène chez ce salaud, moi, tu me dégoûtes… Je fais faire un tour en ville...

- Non !!! et les pleurs redoublent.

La journée de Béatrice se passe entre larmes, souvenirs douloureux et souvenirs honteux. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle ne souffre d’aucune douleur résiduelle à proprement parler.

Et en fin d’après midi, les pleures séchées, la tempête qui sévissait dans son système nerveux se calmant, elle aurait même une douce chaleur montant de son ventre, d’une bonne petite envie de faire l’amour.

C'est à peine rentrer, sans un mot, qu’Alain reçoit encore un coup de fils.

- Le temps de la réflexion est écoulé. J’ai vu qu’elle n’a pas été chez les schmits. Donc j’attends ta pute en tenue de travail à l’arrêt de tram Jean-Jaurès, demain à neuf heures. Qu’elle soit un peu en avance, mais surtout pas en retard, j’ai pas de temps à perdre, moi !

Et le correspondant raccroche sèchement.

Cette soirée fut la plus lugubre de la vie de Béatrice. Malgré avoir essayé d’ouvrir un semblant de discussion avec son époux, rien ne venait en retour. Elle était à bout de nerf, et ne fut pas surprise que son cher et tendre ne vienne pas partager la couche nuptiale. Aussi, pour s’endormir, elle se masturba et eut quatre orgasmes fulgurants d’une intensité jamais égalée.

Le seul mot, que dit Alain à son épouse, ce mardi matin, fut :

- En route, pas question que je sois en retard à cause d’une pute.

En son for intérieur, l’homme était partagé. Et, tout en conduisant, ses pensées allaient à ce que son épouse devrait endurer. Il ne croyait pas vraiment que ce salaud aller la prostituer, mais il pensait qu’elle serait encore torturée. Et finalement, tout bien considéré, c’était bien fait pour elle.

De son côté, elle aussi silencieuse, la blonde commençait à sentir monter une forte angoisse, Ce matin, sans lui adresser la parole, son mari lui a sorti une guêpière, des bas noirs, une robe qu’elle jugeait courte et un peu trop transparente. Et quand elle avait voulu sortir une culotte et un soutien-gorge, son mari lui avait presque arraché des mains pour les remettre dans l’armoire.

- Descend, l’ordre claquait comme un coup de fouet. C'est vrai qu’elle était arrivée à l’arrêt de tram. Béatrice descend de la voiture, sans mot dire, et va se mettre à côté de l’arrêt, en regardant son époux partir, vers son travail.

À peine quelque trois minutes plus tard, une voiture s’arrête à sa hauteur, elle reconnaît tout de suite l’homme, qui l’a tend tourmenter l’avant-veille, La porte passager s’ouvre, et elle entend l’homme aboyer :

- Monte, vite !

Dès que la portière est refermée, elle voit l’homme qui lui tend une sorte de masque, comme ceux dans les avions, pour pouvoir dormir.

- Tu me mets ça sur les yeux, tu n’as pas besoin de savoir où nous allons pour le moment.

Bien que la jeune femme obtempère, l’homme ne lui fait pas confiance, et, après avoir roulé sept cents mètres environ, il s’aperçoit qu’elle a réussi à faire descendre le bandeau discrètement et qu’elle regarde la route. Une gifle violente vient tout de suite après rappeler les consignes. Puis l’homme enchaîne :

- Dernier avertissement, la prochaine fois, je m’arrête, et tu auras droit à une vraie tournée.

Le reste du voyage se fait sans autre anicroche, mais sans, non plus, que Béatrice ne puisse voir où elle est conduite. La voiture s’arrête devant une cage d’escalier.

- Ne bouge pas et ne touche pas au bandeau.

L’homme descend de la voiture, en fait le tour, ouvre la porte à sa passagère et la guide dans le hall, jusqu’à l’ascenseur. Là, il téléphone à sa compagne, en lui disant, en arabe, de venir chercher le colis blond à l’ascenseur.

La jeune femme est poussée dans l’ascenseur avec, une nouvelle fois, ordre de ne pas toucher au bandeau. Et quand la porte s’ouvre, elle se sent agrippée par le bras et emmener dans le couloir.

- Ne joue pas la maligne avec Astar, dit la femme qui l’accompagne, avec une voix plutôt douce et compatissante.

Béatrice, sans aller à dire qu’elle se sent réconfortée, sent que cette femme pourrait être une alliée si les choses tournaient mal.

Arrivé dans l’appartement, Jamila lâche la jeune femme, et lui dit d’une voix aimable :

- Mieux vaut que tu gardes encore un peu le bandeau, c'est lui qui te le retirera.

La blonde n’a pas longtemps à attendre. Son bourreau entre quelques instants plus tard, et lui retire son bandeau.

- Je te présente ta collègue et formatrice, Jamila. Pour cette première journée, tu travailleras en tandem avec elle, quelque part ici dans cet immeuble. Tu feras ce que t’expliquera dans le détail, ma femme. Comme vous serez deux, les clients voudront que vous vous tripotiez l’une l’autre, que vous vous embrassiez, et même, parfois, que vous vous léchiez la chatte à tour de rôle, bien en évidence, que les clients puissent bien voir ce qui se passe. Bien sûr, tout ça en plus des pipes, des baises et des enculades.

Tout en expliquant cela, l’homme tourne autour de la blonde, lui tripote les nichons, lui relève la robe. Puis, sans laisser à la jeune femme le temps de répondre, il poursuit :

- Ton mec a tout compris, te voilà habillée comme il faut pour ta nouvelle fonction ! On dirait que tu connais déjà le dress-code du métier.

Puis, Astar se retourne vers sa femme et ordonne :

- Je te la descends à l’appart, toi, tu me la déniaises, dans une demi-heure, avant les premiers clients, je veux qu’elle te gouine et te bouffe l’abricot, tu sais comment faire…

Astar remet le bandeau opaque sur les yeux de la blonde qui ne dit rien et se laisse conduite comme la vache à l’abattoir. Porte d’entrée, refermée, quelques pas dans le couloir, attente devant l’ascenseur, la porte s’ouvre, elle est poussée à l’intérieur, descente lente sans accoue, ouverture de la porte, encore quelques pas dans un couloir, bruit de clefs dans une serrure, la porte s’ouvre, elle entre, la porte se referme. Elle n’en saura pas plus.

L’homme lui retire à nouveau le bandeau. La pièce est peu meublée, une table basse, mais spacieuse, un fauteuil en cuir, un autre en rotin genre "Emmanuelle", une sorte de clic-clac en position lit. Un gros meuble avec télévision, sûrement aussi caméscope et lecteur DVD, et sur le côté, une chaîne HI-Fi, deux enceintes au sol.

Sur la table basse pas loin du canapé, des capotes, du gel, des godemichets de toutes tailles et de toutes formes, des lingettes, des mouchoirs.

Pendant que Béatrice détaille son environnement, la porte s’ouvre et Jamila apparaît.

- Bon, ma femme, tu me dégrossis cette connasse, tu as une demi-heure. Et, bien sûr, l’échec n’est pas permis. Il se retourne vers la porte d’entrée, et ajoute : Ha oui, si tu fais du bon boulot, ça te permettra une deuxième journée de repos dans la semaine.

Puis l’homme sort.

- Je n’y arriverai jamais, commence à pleurnicher la blonde.

- Écoute, l’important, c'est le mental, donc essaye de penser à autre chose quand ces gros porcs vont te monter sur le ventre ou te prendre en levrette. Physiquement, nos trous peuvent endurer bien des passages, et, des clients vraiment bien montés, ça ne court pas les rues ! Au mieux, tu en as un par jour.

- En plus, je ne suis pas du tout lesbienne !

- Ça, c'est facile…

Et, alors qu’elle lâche ces derniers mots, elle commence à dépoitrailler la jolie blonde, découvre une belle poitrine, laiteuse, aux auréoles d’un brun clair.

- Tu as de très beaux seins ! s’exclame la brune, tout en se disant, qu’ils allaient vite être mis à rude épreuve, avec les clients.

Tandis que Jamila approche sa bouche entrouverte vers le sein gauche de la blonde, cette dernière lui dit :

- Non ! Je ne pourrais jamais me faire lécher les seins, par une femme !

- C'est tout simple, ma belle, tu fermes les yeux et tu imagines que c'est ton gentil mari, qui te lèche.

- Non...

Pour toute réponse, elle sent une vive douleur sur son téton, la femme vient de la mordre !

Prenant un peu de recul, Jamila la fixe dans les yeux, et laisse tomber :

- Si, dans une demi-heure, nous n’arrivons pas à nous entendre, tu vas sacrément dérouiller, et moi aussi sûrement, alors, tu arrêtes tes jérémiades et tu apprends à bouffer de la femme !

Sur ces bonnes paroles, la brune reprend le sein gauche et baisse la tête pour venir sucer le téton.

Cette fois, Béatrice, en se calmant, se laisse aller et profite des conseils de sa collègue en pensant à un bel homme qui travaille dans le magasin, où elle va régulièrement.

Jamila s’enhardit et pousse la jeune femme à s’allonger sur le sofa, là, elle la retrousse, lui écarte les cuisses, doucement, mais fermement, et enfouit sa tête dans l’entre-jambe.

- La vache ! Tu as dû dérouiller dans la cave ! Je vais essayer de te faire passer la douleur.

- Non, ça va, j’ai plus mal…

Alors la marocaine décide d’aller visiter l’anus, qui, d’après son expérience, doit être fort distendu. Le fait est !

- Alors, ma belle, est-ce si désagréable que ça de se faire brouter,

- Non, j’avoue...

Et Jamila reprend son gamahuchage en règle, jouant de plus en plus avec le clitoris.

D’un seul coup, sans crier gare, la jeune femme est secouée d’un orgasme qu’elle n’aurait jamais cru possible ! Instinctivement, elle empoigne la tête de sa copine et la plaque sur sa vulve, pour ne pas en perdre une miette. Après quelques minutes d'une intensité féroce, elle commence à reprendre son souffle.

- Très bien ma mignonne, tu m’as fait un bel orgasme, bien puissant, à toi maintenant d’essayer de me faire partir…

- Ho non ! Déjà, j’ai honte d’avoir joui avec une femme...

- Fais pas ta mijaurée, et dis-toi bien que Astar sait reconnaître quand je jouis et quand je simule, là, pour toi, il vaut mieux que ce soit le plus réel possible.

- Mais comment faire ?

- On va commencer simplement, tu colles ta jolie bouche contre la vulve, et tu me roules une pelle dans le vagin.

Jamila aide sa copine à se relever, puis, après avoir retiré jeans et string, s’allonge devant la jeune femme et ouvre grand ses cuisses.

- Viens et applique-toi, tu sais ce que tu risques.

Comme on lui a expliqué, Béatrice s’approche du vagin, mais au moment de poser ses lèvres sur celles de la brune, elle fait un mouvement en arrière :

- Ça a vraiment une mauvaise odeur !

- Oui, ce matin Astar ne voulait pas que je me lave après qu’il m’ait copieusement rempli de foutre. Mais de toute façon, il faudra bien que tu t’habitues au goût du foutre, tu vas en déguster des tas ici ! Alors lèches et roules moi une pelle dans le vagin.

Secrètement, la prostituée est assez heureuse de rendre la monnaie de la pièce, même si la jeune femme n’y est pour rien, elle a tout de même dû sucer son homme, qui venait d’enculer cette jolie pouliche. Et, comme elle ne met pas assez de cœur à l’ouvrage, Jamila attrape les cheveux blonds, colle la bouche sur sa chatte, et ordonne :

- Allez pétasse, lèche et enfonce ta langue, tu ne vas pas en mourir.

Quand elle entend le mot "mourir", Béatrice frémit de peur. Elle sait que ce diable d’homme est capable du pire, voire plus encore ! Aussi, faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, se met-elle à table et commence donc à lécher cet abricot qui sent si fort. Un peu comme une gamine lèche une glace.

Jamila ferme les yeux et se laisse un peu aller aux ondes de plaisirs qui irradie son bas ventre. Cette douce langue, agile, bien qu’inexpérimentée, commence à lui donner bien plus de plaisir qu’elle n’aurait cru ! De plus, se faire laper les babines quand son vagin est encore plein de foutre, est un plaisir rare.

- Oui, enfonce ta langue en moi, vient laper le jus de couilles de mon salopard de mari...

la jeune blonde, au bord des larmes, tente toutefois de s’appliquer au mieux. Les premiers haut-le-cœur passés, elle commence à ressentir une étrange sensation, de fouiller ainsi le sexe d’une autre femme. Et puis, le goût du foutre, même cuit dans une matrice féminine, ne la dérange pas. Ses papilles gustatives, totalement saturées, ne lui donnent plus qu’un léger goût en bouche.

- Ho oui ! Tu fais très vite des progrès, toi ! Tu vas voir, une fois que tu apprécieras, on devrait pouvoir se donner bien du plaisir devant les michetons, sans se faire défoncer !

- Oui, mais ça a quand même un goût très déplaisant.

- T'inquiètes, quand tu auras fait quatre pipes et puis qu'on se fera un petit peu de gouinage devant les clients, tu retrouveras le même goût. À force, tu vas t'y habituer

Sur ces bonnes paroles, Jamila tire à elle sa nouvelle copine et une fois qu'elle est à son niveau, lui roule une grosse pelle.

- Tu m'as vraiment bien fait jouir, je vais tomber amoureuse !

La blonde rit de mon cœur, ça permet également à ce que la tension nerveuse retombe. Puis les deux femmes s'embrassent comme deux vieilles complices lesbiennes.

- Bon, c'est pas le tout, maintenant, je vais te mettre aussi des doigts et je vais t'apprendre à prendre du gros.

La blonde ne comprend pas vraiment le sens de cette dernière phrase. Mais, elle se sent tout de même un peu plus en confiance qu'au début et même, beaucoup plus en confiance qu'au début.

Jamila redescend au niveau du sexe de la blonde, après l'avoir allongé sur le dos. Elle s’assied par terre en tailleur et commence à lui lécher le clitoris et uniquement clitoris. Tout en lui glissant deux doigts dans la chatte puis, très vite, un troisième doigt.

La jeune femme blonde s’ouvre comme un coquillage par une mer chaude.

La brune s’enhardit à mettre un quatrième doigt dans cette chatte douce et chaude. Puis à faire de longs va-et-vient, enfonçant sa main du bout des doigts jusqu'à la naissance du pouce.

- Ça va ma copine, tu supportes bien ?

Béatrice ne répond rien, mais donne tous les signes d'une femme qui prend du plaisir.

C'est bien ma salope, on va faire du bon travail ! Tu vas voir maintenant, je vais mettre le pouce en plus.

Toujours aucune réaction vocale de la part de la jeune femme qui se laisse faire gentiment, projetant même son basin en avant pour être envahie plus profondément.

Tout doucement, la professionnelle du sexe retire ses doigts. En fait un cône et met le pouce au milieu. Elle place sa main ainsi formée sur la vulve, puis pousse sur son bras pour faire passer la main entière. Une fois la bosse de la main, la partie la plus large, entrée, elle va tout au fond et elle commence à s'amuser à ouvrir la main et à fermer le poing. Elle passe un bon petit moment à ce jeu, ouvrir le poing et refermer le poing.

La sensation est des plus étonnantes. Béatrice se laisse aller au plaisir et commence à pousser de petits cris de salope sous l’orgasme.

- C'est bien, tu es une bonne chienne, s'écrit alors Jamila. On devrait faire du bon travail ! Mais là, maintenant, je ne vais pas te laisser comme ça, je vais t'emmener au septième ciel.

La blondinette n'en revient pas ! Qu'une femme lui donne autant de plaisir, tandis qu'elle pensait que, seul un homme pouvait être capable la faire décoller totalement ! elle perd conscience d'où elle est et de ce qu'elle est censé faire après.

- Vas-y, prends ton pied ma chienne, éclate-toi, ça risque de ne pas être tous les jours aussi drôle. Mais aujourd'hui, je vais tout faire pour que tu aies envie des femmes.

Cette fois, Béatrice, est secouée violemment par un orgasme inimaginable pour elle. Elle découvre enfin ce que la "petite mort" signifie réellement.

Jamila laisse sa nouvelle amie tranquille le temps que les spasmes se terminent, puis, dans une douceur infinie, elle vient lui faire un tendre bisou et lui dit :

- Repose-toi quelques minutes, notre mac ne viendra pas avant un bon quart d’heure.

S’ensuit un long et doux câlin, que la jolie blonde ne refuse pas. Ses nerfs, mis à rude épreuve, reviennent à l’état normal, elle en est presque à s’endormir, quand la porte d’entrée s’ouvre.

- Bien, ma salope, tu as réussi à en tirer quelque chose, de cette connasse ?

- Oui, je pense qu’elle a compris, tu veux voir, j’imagine ?

- Bien entendu, je sais que tu es trop sensible et dirais n’importe quoi pour qu’elle ne se prenne pas une volée.

Tout en discutant, Jamila, toujours excitée par ce qu’elle vient de donner comme plaisir fou à sa nouvelle copine, repousse légèrement la blonde, et lui intime l’ordre de la lécher.

- Lèche-moi l’abricot et montre à mon mari la bonne gouine, que tu deviens.

Le jeune femme, comme sur une autre planète, obtempère tout de suite, elle a d’abord un peu de mal à se remettre assise, puis sur ses jambes, et enfin, elle vient s’étaler, entre les cuisses amies de la marocaine.

Tout en écartant les cuisses rondes de sa nouvelle partenaire, Béatrice plaque sa bouche sur la vulve et commence à enfourner sa langue dans la matrice surchauffée.

- Pas comme ça, les clients voudront voir ta langue jouer avec son clito.

Encore toute ensuquée de plaisir, la jolie blonde s’exécute et, après un petit mouvement en arrière, en ouvrant les douces lèvres avec deux doigts, elle sort sa langue du mieux qu’elle peut et vient titiller le bouton rose.

Jamila se laisse aller à la caresse et commence à doucement gémir de plaisir.

La jeune femme, grisée par ce nouveau pouvoir, s’enhardit à pousser sa langue le plus loin possible dans ce vagin chaud, et cherche à aller contre toutes les parois de cet antre.

C’en est de trop pour la marocaine, qui sent monter un plaisir intense du fin fond de ses entrailles. Quand elle ne peut plus se retenir, elle jouit bruyamment, et perd toute notion de temps et de lieu. Ce faisant, son sphincter urinaire se relâche et elle pisse dans la bouche de sa complice du moment.

Folle de stupre et d’excitation, Béatrice boit cette urine tiède qui sent le jasmin. Elle ne sait plus ce qu’elle vit, ni ce qu’elle fait, elle a un plaisir malsain, à faire jouir une autre femme.

L’homme goguenard se régale de ce spectacle. On a beau être mac, on n’en est pas moins homme, et deux femmes qui se donnent du plaisir, juste là, sous vos yeux, ça excite terriblement ! Et après cet interlude, et alors qu’il commence à bander, le mac ordonne à sa putain :

- Habille-moi ça pour le boulot…

Un téléphone sonne, Astar sort son portable et décroche. Une discussion en arabe, pendant que les deux femmes, revenues du pays des orgasmes et des fantasmes, se relèvent et se rhabillent.

Quand l’homme termine sa communication, avec un sourire malin, il s’adresse encore à son épouse :

- Aujourd’hui, tu restes à l’appart du dessous, avec elle, je vous envoie les clients. Tu lui montres comment gagner, mon pognon, au plus vite.

- Oui, chéri, je fais bien la former.

- Et tu ne passes pas ta journée à brouter du gazon, compris ?

- Oui, chéri, tu me connais, je suis une bonne putain, sérieuse et efficace.

- Ouais, mais aussi une gouine dévergondée !

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