Où est donc passé L’Ostie : le digestif (2019-2023)
Le fameux whisky avait tenu ses promesses. Le repas fut exquis. Certes, Maryse avait été l’objet de plusieurs moqueries de la part de son amant. Il avait même, entre le plat et le fromage, poussé la plaisanterie jusqu’à raconter la soirée de la veille à l’église.
Le ministre de la foi avait, au lieu d’un digne courroux, bien rit à l’évocation de l’Ostie dans la chatte, puis du rhum en guise de lavement, même si la dose fut minime. Et avait, à cette occasion, une fois de plus, complimenté la vieille blonde d’être une bien bonne enculée. Tels étaient ses mots.
Il aimait ce moment, pour lui, c’était un peu comme une messe rose, une orgie à la romaine, mêlant sexe et bonne chair. Une bacchanale peu banale !
Autant dire que, si les deux hommes avaient passé un excellent moment, il n’en était pas de même pour la pauvre femme, qui ne savait plus à quel saint se vouer !
Sans parler qu’elle avait dû faire le service, jusqu’au fromage, elle avait pu garder son chemisier, malgré sa jupe remontée haut sur son ventre rond. Mais Jean avait exigé, pour le fromage, qu’elle soit totalement torse nue !
Et, bien sûr, elle avait encore accepté ces perversions odieuses. Elle se demandait bien, pourquoi elle acceptait tout ça, mais en même temps, ça faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas vécu de pareils jeux. Elle aimait, au fond d’elle-même, se sentir soumise. Ainsi, elle vivait mieux ses souvenirs, après tout, elle n’avait rien fait d’autre qu’obéir, et sous une contrainte, qu’elle justifierait bien, d’une façon ou d’une autre, plus tard.
Jean commençait à croire qu’il allait enfin réussir ce qu’il tentait depuis des lustres, pratiquement depuis qu’il avait connu cette femme ronde, si pieuse à l’extérieur, si cochonne en dedans ! Il souhaitait voir cette grosse gorette se faire prendre pour pouvoir faire des photos. Quand il la baisait, ça devenait difficile de faire en même temps quelques clichés, il n’avait plus vingt ans !
Le repas terminé, Jean propose :
- Et si nous allions dans le canapé, nous y serions plus à l’aise, non ?
- Très bien, je suis le mouvement, répond Christian d’un ton enjoué.
- Je vais débarrasser, essaye vainement Maryse pour se soustraire à ses pervers bourreaux.
- Non, tu restes, va t’asseoir à la même place. Ordonne alors Jean d’une voix ferme, ne tolérant aucune contradiction.
La blonde fait donc le tour de la table, toujours avec ses grosses mamelles qui dandinent mollement sur son gros ventre. Son gros cul à l’air, avec la jupe bien remontée sur le bas du ventre, lui donne une touche de vieille pute, après sa journée à trente passes.
Montre-nous donc, maintenant, ce si beau crucifix que tu as acheté à Rome, quand tu es allé voir le pape.
L’objet en travers de la petite table du salon est assez pittoresque. Loin des croix en planche de bois à section rectangulaire, elle avait acheté un crucifix de section ronde, fait de deux rondins en bois d’ébène qui lui donnait cette patine d’un noir profond. Le personnage cloué dessus était, lui aussi, très réaliste ? Et sa taille par rapport à l’ensemble donnait l’impression qu’il avait été cloué très haut sur la croix.
Le vendeur du Vatican avait assuré que ce type de croix fait de rondins était très certainement plus authentique que les croix habituelles faites de planches. Car à l’époque, de belles planches bien taillées étaient fort rares, et pour supplicier un condamné, la croix rustique, bien solide, suffisait.
Le crucifix était bien lourd, d’une cinquantaine de centimètres, le diamètre du tronc principal devait bien dépasser les trois centimètres.
Jubilant, Maryse, s’empare de l’objet de culte pour le montrer sous toutes ses facettes. Elle affiche un large sourire, une sorte de quiétude se lit sur son visage.
Maintenant que notre bon curé est confortablement installé dans le canapé, Jean, sournoisement, ordonne à sa compagne :
- Montre ton crucifix de plus près à notre bon ami !
Et pour faire bonne mesure, il pousse la pauvre femme à se pencher en avant.
Les lourdes mamelles pendent obscènement, pendant qu’elle maintient le précieux objet, au plus près de prêtre.
Ce dernier fixe, d’un regard froid, son hôtesse dans les yeux, tant et si bien que le visage féminin s’empourpre quelque peu. Aussitôt Christian s’empresse de dire :
- Vous avez un regard malsain sur ce saint objet, ma fille !
Et, joignant le geste à la parole, il plonge son bras en avant jusqu’à ce que sa main emprisonne la vulve, et là, il enfonce un doigt dans la chatte détrempée. Il ajoute alors :
- Vous sentez, votre vagin est inondé d’envie malsaine !
- Tu es vraiment une chaudasse ! Penche-toi plus encore… Écarte les pattes, espèce de truie lubrique… Mieux que ça !
La pauvre vieille blonde se retrouve alors fortement penchée en avant, les jambes largement écartées, les petites lèvres distendues et la vulve ouverte. Ses mamelles pendent, tirant sur la peau en creusant de petits sillons.
Comprenant au quart de tour ce que son vicieux pote a envie de faire, Christian s’empare du crucifix, sentant au passage le poids de l’engin. Puis, il le tend d’un geste auguste. Et ajoute d’une voix forte :
- Voici l’obscure objet du désir, de ta compagne, Jean !
- Merci, Christian.
Alors, s’adressant à sa compagne, en appuyant sur ses reins pour la maintenir, il lui annonce :
- Puisque cet objet t’excite, je vais te le mettre dans ta vieille chatte de vieille salope !
- Ho non ! Pas ça !
Et Maryse tente de se redresser, mais la tentative est vaine. Elle est en équilibre sur ses grosses cuisses et la main chaude de son compagnon lui interdit tout mouvement de redressement du buste.
Jean, ne s’occupant pas des mouvements désordonnés de sa compagne pour éviter de prendre le crucifix dans son réceptacle à vits, passe le bout de l’objet entre les lèvres.
- Non, Jean, c'est un sacrilège.
- Mais non, tu vas avoir du bois sain, dans la chatte, tu as déjà du fer doux, dans ton cul
- Oui ma fille, ne vous inquiétez pas, je prierai pour la paix de votre âme.
Sans la prévenir, d'un seul coup, Jean enfonce le crucifix dans la chatte entrouverte et détrempée, jusqu'au pied du crucifié.
- Ouf ! S'écrit la pauvre vieille.
De toute façon, si la pénétration a été assez brutale, la sensation est maintenant plutôt douce.
- Nous ne ferons pas comme dans L'Exorciste, te dire que Jésus te baise, ma belle, dit Jean avec un large sourire
Le brave curé ne dit mot, mais sourit intérieurement, à toutes ces remarques en relations avec son ministère.
- Tiens, s'il te plaît, aide-moi, nous allons la foutre sur le canapé, cette grosse truie.
Le prêtre ne se fait pas prier, c'est la moindre des choses pour un abbé. Il se lève pour la prendre par un bras. L'idée de la retourner et d’aider son ami à la poser sur le canapé, tout en lui gardant toujours le crucifix à moitié dans la chatte, excite terriblement ce brave homme.
- Comprenez-vous, ma fille, pourquoi nous disons que Jésus est amour ?
La mémé est, maintenant, vautrée sur le canapé. Le souffle court, une angoisse et une forte excitation, mêlées.
Son compagnon lui plie la patte droite sur l’assise du canapé, contre le dossier. La jambe gauche en dehors du canapé, le pied par terre. La vulve est bien ouverte. Là, il s’assoit entre les cuisses et commence à faire aller et venir ce crucifix, dans le vagin, de plus en plus accueillant.
La mémé, les yeux délibérément fermés, pour ne pas voir ce qui arrive, gémit à cette pseudo-masturbation. Elle en rêvait, son mec l’a fait !
Le prêtre n'en perd pas une miette. Ensuite, il s’attelle à ouvrir totalement le chemisier. Enfin, il s'occupe du clitoris, avec un doigt malicieux.
La vieille blonde ne peut pas se retenir de jouir. Elle a un orgasme foudroyant, ses jambes tremblent diablement. Ses gros seins mous ressemblent à du pudding anglais, durant un tremblement de terre.
Mais, les deux hommes n'ont pas décidé de la laisser tranquille. Le pervers prêtre lui bricole toujours le clitoris, avec passion ! Et maintenant, Jean pousse le crucifix un peu plus loin, de manière à ce que le petit personnage cloué dessus, soit enfoui dans la boîte à gosses, jusqu'à la moitié du corps.
Il recommence un lent mouvement de va-et-vient, tout en tournant l’objet. Il cherche à aller dans tous les petits coins de la chatte de la mémé.
- J'en peux plus, j'en peux plus ! Vous allez me faire mourir ! s’écrit mamie, entre deux cris de plaisir.
- Oui, mais mourir de plaisir, il n'y a pas plus belle mort ! Et puis, si tu meurs, il y a le curé pour te donner l’extrême-onction.
Christian ne compte pas en rester là. Tout en continuant à tripoter le clitoris, de sa main libre, il remonte sa soutane, la prend entre les dents et attrape la tête de la vieille, pour qu'elle lui suce la queue.
Sa pine sent le sperme et la salive de mémé. Bien sucer, par réflexe, le membre reprend vie, rapidement.
Jean, toujours aussi vicieux, ressort le crucifix de la vieille chatte et le met sous son nez pour humer les effluves de la femme. Puis, il demande à son pote :
- Tu as envie de te faire plaisir, dans ce vieux pot ?
- Ah oui ! Comme digestif, ça se pose là ! Si tu me le permets, j'accepte bien volontiers.
Il ressort sa bite de la bouche chaude, arrête ses caresses sur le clitoris et viens se placer, à genoux, à la place de son ami, entre les grosses cuisses de la vieille. D’une main experte, il guide sa pine contre l’entrée du vagin, et l’enfourne d'un seul coup.
- Qu’est-ce qu’elle est chaude, cette vieille bigote !
- Oui ! La boîte à gosses est foutue. Elle est devenue grasse, mais côté cul, elle peut encore servir.
- J’adore ces vieilles salopes, qui se lâchent dans l’amour du seigneur et de leur prochain !
- Oui ! Quand on sait les prendre, il y a de quoi s’amuser.
Tout en disant cela, l’homme se déplace et vient glisser le bout du crucifix dans la bouche de sa compagne, en lui faisant des réflexions salaces.
- Tu voulais manger le corps du Christ, là, tu peux déjà le sucer, tu sens son goût ?
- Hum… hum… la vieille blonde ne peut rien articuler.
- Comme ça, tu peux apprécier le goût d'une chatte ! Si tu es sage, je t'offrirai une femme à lécher, un de ces quatre.
Mais la mémé n'entend plus rien. Elle est toute à son plaisir, d'avoir ce sexe raide, mais doux, qui lui ramone la moule. Visiblement, l'homme sait aller dans les petits coins et lui arracher de grands cris de plaisir.
- J’ai compris, pourquoi tu ne voulais pas aller en club libertin ! Tu avais des vues sur ce bon curé, oui ! Vicieuse et perverse que tu es.
Christian se marre doucement. Il baise la vieille sans brutalité, mais avec dextérité. Lui arrachant un tas de cris, jusqu'à un moment où il sent ce vagin se serrer sur sa queue.
Durant ce temps, l’hôte est sorti de la pièce pour aller à la cuisine, dont il revient très vite armé, d’une dizaine de bougies.
Maryse sent monter un nouvel orgasme, encore plus fort que précédemment. Cette fois, elle ne se retient plus, de toute façon, elle ne contrôle plus rien. Finalement, elle jouit, elle mouille et elle pisse, en même temps.
Le prêtre, tout homme qu'il est, jouit aussi. En quelques instants, il inonde vagin de son foutre chaud et crémeux.
La femme n'en peut plus. Ses jambes se remettent à trembler, de plus bel. Son gros cul tremble, donnant vie à sa cellulite. Ses nichons sont comme animés de secousses telluriques.
Comme Christian a repris un peu ses esprits, et surtout, s’efforce de se maîtriser. Il va présenter sa pine devant la bouche de sa proie.
Maryse n’a d’autre possibilité que de happer cette queue qui mollit doucement. Elle est gluante, odorante, mais c'est divin que de la sucer. L’homme lui tient solidement les cheveux, mais elle n’en a cure, elle prend encore du plaisir à sucer ce membre viril.
- Essuie, salope, tu as pissé sur ma queue, alors rend la propre, comme au premier jour.
- Oui ! Cette chienne a pissé sur le velours du canapé, s’indigne le pervers conjoint.
Et il s’assoit entre les cuisses encore tremblantes, et commence à enfoncer une première bougie, le bout le plus gros en premier.
Un grognement, dont on ne saurait dire s’il est de refus ou d’acceptation, sort de la gorge de mamie.
- Tu me l’as drôlement bien ouverte, annonce encore Jean.
- Ces vieilles ouailles me font toujours diablement bander, en fait.
Et, dans son élan, le vieil homme enfonce une deuxième bougie, toujours dans le même sens.
- Elle suce aussi bien que les putes que j’ai à confesse, c'est un régal.
Nouveau grognement de mamie.
Il enfonce encore deux bougies dans le vagin déjà distendu, toujours par le gros côté. Puis, ordonne à sa compagne :
- Tiens-les, le temps que je revienne.
L’homme pose les autres bougies sur le sofa, se lève, va prendre son appareil photo et flashe quelques vues bien senties. Puis, il tend son appareil à son complice, et ajoute :
- Tu peux me la prendre avec les bougies dans la moule ?
- Bien entendu, sur le net, elles seront du plus bel effet.
Et, une fois assis à nouveau, le vieil homme enfourne les autres bougies d’un geste sûr. Cette fois, il glisse les nouvelles arrivantes, le petit côté, où se trouve la mèche, en premier, et au milieu des objets déjà en place. Quand il a terminé, il s’adresse encore à son ami :
- Tu vois ce qu’elle peut prendre ! Et là, avec en plus, l’anus bien ouvert par la bite à Robocop !
Les deux hommes rigolent.
La mémé gémit à nouveau, son diable de copain lui lime maintenant le con avec les bougies, c'est encore un orgasme qui approche. Elle a en bouche cette douce queue, dont quelques gouttes de foutre, suintent encore.
- En parlant de ça, tu lui ouvres l’anus pourquoi ? Elle ne veut pas de la sodomie ?
- Si, justement, c'est pour que son trou du démon reste bien ouvert, en permanence.
- Ha ! Si son anus est aussi accueillant que sa grosse moule…
- Oui ! C'est une bonne vieille enculée.
La vieille dame se concentre sur ce sexe qu’elle peut déguster, et sur les ondes de plaisirs qui arrivent de plus en plus de son ventre. Elle ne veut pas entendre toutes les horreurs, dont elle sait son compagnon capable.
- Tu aimerais lui faire visiter Sodome ?
- Oui, mais j’ai besoin d’un petit remontant avant tout.
Avant de lâcher la poignet de bougies, le vieil homme ordonne encore :
- Tu gardes les bougies dans ta salle de jeux, mais tu peux te faire jouir, si tu veux.
Oubliant tout sens des bonnes manières, Maryse reprend le mouvement que faisait son conjoint, elle a trop envie, et même besoin, de jouir à ce moment-là. Et, c'est quand les deux messieurs sont assis à côté de la table, à la regarder se branler, que l’orgasme expose. Il est tellement intense, que son vagin se sert fortement et qu’elle expulse les bougies. Puis, la vague n’étant pas passée, elle expulse aussi le rosebud, sans s’en apercevoir dans un premier temps. Enfin, et alors qu’elle tremble de partout, elle ne sent pas son sphincter se relâcher, et elle pisse à nouveau sur le canapé.
Le jeune prêtre ayant repris un peu de force, peut-être grâce à ce délicieux breuvage irlandais, se remet debout et va près de la femme.
En même temps, il s’adresse à son ami :
- Où dis-tu lui avoir mis l’Ostie, hier ?
- Dans le vagin.
- Ha ! L'Ostie bien au fond du vagin, contre le col de l'utérus. C'est la contraception du Vatican ! Et ça donne un con sacré.
- N’est-ce pas ce que font les prélats aux nonnes, pour éviter les enfantements inappropriés ?
- Si, tout à fait.
- J’avais lu ça quelque part...
- Venez ma chère. Dit Christian en aidant la pauvre femme à se redresser puis, à se mettre debout.
Elle est hagard (du nord, pour ne pas dire qu’elle est à l’ouest). Elle se laisse faire et se retrouve sur ses jambes, jambes qui sont, d’ailleurs, assez douloureuses.
Le sulfureux curé la guide, en la tenant par la main, jusqu’à la table, sur laquelle fut servi le repas, là, choisissant le côté libre, il oblige la femme à se pencher en avant, puis appuie sur son dos jusqu’à ce qu’elle se retrouve à plat ventre sur la table, les nichons écrasés contre le bois, les pieds par terre, mais les jambes encore serrées.
- Écarte-moi tes guibolles, et prend tes fesses à pleine main.
Maryse obéit, comme dans un rêve, elle écarte les jambes autant qu’elle peut, et attrape ses fesses avec ses mains.
Cette fois le curé à prévu, et il a enroulé l’avant de sa soutane dans sa ceinture. Ainsi, il a la bouche libre et peut parler. Il se masturbe de la main gauche, celle du cœur, depuis qu’il s’est levé, et maintenant encore, il arbore une nouvelle belle érection.
- Écarte-moi bien tes grosses miches… ouvre-moi bien ton trou du cul…
Alors que la vieille force sur ses fesses, ouvrant ainsi son anus, déjà entrouvert, elle implore son confesseur :
- Doucement, je n’ai plus l’habitude…
- Tu verras, c'est comme le vélo, ça ne s’oublie pas…
Voyant la raie quelques peu polluée par de petites coulures brunâtres, l’homme ajoute :
- Tu as dû avoir un sacré orgasme, tout à l’heure ! Tu t’es même chié dessus !
Ensuite, il vient présenter son gland contre le muscle du rectum. Là, d’une petite pression, il le fait entrer directement dans le boyau.
- Ouf… Fait la vieille dame. Mais pour avoir porté le rosebud pendant un long moment, elle ne souffre pas de cette invasion.
- C'est bon une bite dans le cul, hein ma salope, demande alors Jean.
Comme la femme ne répond pas et garde les dents serrés, il ordonne :
- Répond à ton homme, chienne.
- Oui, c'est bon…
- Parfait, donc accroche-toi à la table, mémé...
Et, donnant des mouvements amples qui font presque ressortir son vit de l’étroit boyau, il accélère. Il ne cherche rien d’autre que de faire encore gueuler la vieille.
Certes, le passage est fait, mais la lime que lui passe désormais son bon confesseur commence à lui brûler sérieusement l’anus. Les sensations sont étranges, une brûlure, bien qu’encore supportable, et un plaisir indicible qui monte du tréfonds de ses entrailles. De plus, elle a honte de ce qu’elle fait, mais cette honte démoniaque, l’excite aussi divinement.
L’homme se met à pilonner ce gros cul à grands coups de bite. Il ne cherche rien de plus, que de faire encore, et encore, gueuler la mémé, et la faire jouir à la fin.
Les coups de boutoirs la font glisser sur la table, mais font aussi trembler la table elle-même. Son clitoris aussi vient en contact avec le bois à chaque pénétration, et bientôt, ne pouvant plus se retenir, mamie prend encore un pied magistral qu’elle signale d’un grand cri rauque.
- C'est meilleur que la messe, hein, vieille dévergondée !
- Je te l’avais dit, c'est pas le coup du siècle, pas un prix de beauté, mais il y a de quoi s’amuser, avec une vieille radasse pareille.
- Oui, tu as raison, Jean ! sacrée après-midi !
- Pour le sacré, je te fais confiance…
Sur ces bonnes paroles, le curé ressort sa queue visqueuse du fondement de l’aïeule, passe sur le côté de la table, empoigne, une fois de plus, les cheveux de la mémé, et lui plante sa queue dans la bouche.
- À ton tour de me faire jouir, ma chère.
Une fois encore, la vieille femme se retrouve avec la bite paroissiale en bouche. La main musclée qui lui tient les cheveux, lui imprime alors, un sérieux élan, pour qu’elle se fasse baiser la gueule. La pine a un goût affreux, mais dans l’état d’excitation, dans lequel elle se trouve encore, Maryse ne s’en rend pas vraiment compte.
Cette fois, ce bon curé ne se retient plus, et il se laisse aller et jute dans la bouche chaude et, plaquant le visage contre son pubis, il s’écrit :
- Le sperme du Christ !
- Amen, répond machinalement Maryse, avec la voix d’une femme qui a la bouche pleine.
- Tu es une bonne paroissienne, ma fille !
- Ouvre la bouche, qu’ordonne alors le vieil homme.
Comme par réflexe, la vieille femme s’exécute.
Jean prend alors quelques clichés de cette bouche pleine de jus de couille.
Pendant que le jeune curé remet de l’ordre dans sa tenue, notamment en ressortant les pans de sa soutane de sa ceinture, son ami en profite pour rebaudir sa compagne, pour avoir été une si bonne chienne.
Reprenant enfin son souffle, Maryse annonce à son confesseur :
- Revenez demain midi, mon père, je fais une poule au pot !
Commentaires
Enregistrer un commentaire