Où est donc passé L’Ostie : l’apéritif (2019)

 

Dimanche, dix heures trente, Jean finit de rédiger le récit de la messe de la veille. Il raconte aussi la fin de la soirée, alors que sa compagne était un peu bourrée, qu’elle avait voulu prendre un porto, puis un second, et avait fini par une séance de photos, dans des positions scabreuses et à la limite de l’exploit, vu son âge et son embonpoint. Elle avait même fini par porter un rosebud, en acier décoré d’un simili-diamant rouge. Jean aimait à appeler le rosebud, la bite de Robocop, et il aimait introduire la bite de Robocop dans la grosse culasse de la vieille blonde.

Maryse dort encore, son rosebud toujours bien enfiché dans son petit trou, masqué par les grosses fesses, qui recouvrent le précieux trésor. La femme dort nue. L’unique drap est repoussé sur le côté du lit, à la place de l’homme déjà debout.

Jean correspond depuis longtemps, avec un groupe de mecs, aussi vicieux et pervers que lui-même, et ces gens s’échangent idées et autres propositions, et se racontent tout ce qu’ils réussissent à faire, à vivre, à imposer. C'est donc pour ce groupe de notre homme rédige, le plus précisément possible, son récit. Il prend également un plaisir indicible, à envoyer les photos compromettantes de sa compagne bourrée, qui se montre dans des postures les plus humiliantes, et les plus scabreuses, qui soient.

Jean sait parfaitement que le curé de la paroisse, qu’il a si gentiment invité hier soir, est en fait un des piliers du groupe. Les deux hommes sont rencontrés, quelques mois auparavant, dans les couloirs sombres de la back-room d’un sex-shop. Le brave curé sait pertinemment que ses ouailles, surtout les vieilles bigotes, ne viennent jamais dans ce genre de lieu, et comme il porte une tenue assez particulière en cuir et chaîne quand il se rend au magasin, il a fort peu de risque d’être reconnu.

Christian, ce brave prêtre, avait découvert les jeux entre garçons durant le séminaire, comme bon nombre de ses congénères. Mais, sûrement plus malin que la moyenne, il avait su n’en rien laisser paraître. Affichant une attitude parfaitement neutre, une personnalité la plus lisse possible, il se tenait à l’écart de toute frasque ecclésiastique, de toute partouze parrainée par l’évêché.

De la même manière, il avait combattu ses propres envies quand il avait été le confesseur d’un couvent de jeunes nonnes, toutes plus fraîches les unes que les autres. Il s’était bien gardé de tout geste, de tout regard, sur ces belles femelles. Tout comme il avait fait finement l’imbécile quand il fut poursuivi par les assiduités de la supérieure et de sa prieuse.

Le brave homme considérait qu’une fois son ministère assuré, il pouvait vaquer à ses propres occupations. Et, s’il avait fait vœu de célibat, ce n’était pas pour autant un vœu d’abstinence. Et, durant son temps libre, le sexe était une de ses préoccupations prédominantes.

Assumant totalement une bisexualité débordante et licencieuse, il ne s’interdisait aucun des plaisirs, que la vie peut apporter dans le sexe. Et, tout naturellement, il était devenu amant, puis ami, avec ce vieux monsieur pervers encore vert, qu’était Jean.

Onze heures, Jean se lève de son siège, et, estimant qu’il était suffisamment tard, va dans la chambre réveiller sa compagne.

Cette dernière a du mal à ouvrir les yeux, très vite, elle se plaint :

- J’ai un affreux mal de tête, laisse-moi dormir !

- Tu ne te souviens plus que nous recevons le curé ce midi ?

- Ho mon Dieu ! Mais quelle heure est-il donc ?

- Onze heures, alors, grosse feignasse, tu te lèves ou tu le reçois en nuisette ?

- Je file à la douche !

Et, joignant le geste à la parole, Maryse se lève aussi vite qu’elle peut pour se rendre dans la salle de bain. Comme à son habitude, elle laisse la porte ouverte, et va directement sur la cuvette pour uriner.

- Tu te souviens de photos que nous avons faites, hier ?

- Oui, pourquoi ?

- Parce qu’elles plaisent bien à mes amis sur le net.

- Ho non ! Tu me feras mourir de honte ! En attendant, veux-tu m’aider à retirer le rosebud ?

- Oui, pour que tu fasses ta crotte du matin, ensuite, après la douche, lavement anal, et tu recevras notre bon curé avec ton rosebud !

- Je n’oserai jamais !

- Mais si, tu vas voir ! En attendant, je vais préparer le poulet !

Et sur ces bonnes paroles, l’homme tourne les talons et va œuvrer en cuisine, comme un chef !

Lorsque Jean entend sa compagne sortir de la salle d’eau et aller dans la chambre pour s’habiller, il se lave les mains et vient rejoindre la blonde, qui a déjà commencé à étaler, ce qu’elle pense mettre, sur le lit.

- Attends, c'est quoi cette grosse culotte ?

- Mais ! C'est juste ma culotte, tu ne vas pas me dire que tu n’as jamais vu mes slips !

- Pas de culotte, aujourd’hui !

- Mais ! C'est monsieur le curé qui vient déjeuner !

- Oui, donc comme à la messe, pas de culotte… Et va me chercher la bite à Robocop, que je te décore la culasse.

- Oh ! Comment tu me parles !

- Comme à une grosse salope vicieuse qui aime se faire enculer pendant la messe !

- Mais c'est toi !

- Va me chercher ton rosebud ! Vite.

Et, alors que la femme va prestement requérir le jouet, nue, ses gros nichons ballottant lourdement au rythme de sa course, Jean en profite pour retirer du linge le gros soutien-gorge blanc à baleines renforcées.

Dès son retour dans la chambre, la blonde tend l’objet requis à son compagnon.

Aussitôt en main, Jean vérifie la propreté du rosebud, puis ordonne sèchement :

- Tourne-toi… Penche-toi en avant… Tiens tes fesses bien écartées… Allez, décontracte-toi… Avale par le cul !

Très docilement, Maryse exécute les ordres au fur et à mesure. Et à la fin, elle se retrouve avec l’anus bouché avec son rosebud.

- Bien ! Tu as maintenant la bite de Robocop solidement arrimée à ta grosse culasse, ma vieille pochtronne !

- Ho ! Que tu es dur, Chéri ! Je ne suis tout de même pas une pochtronne !

- Ha bon ! Et d’hier soir, tu peux m’en parler ? Quelques souvenirs ? Ou trop bourrée pour se rappeler quoi que ce soit ?

- Non, c'est vrai... C'est vrai que je ne me souviens plus de notre soirée ! Mais admets, tout de même, que je bois rarement !

- On en parlera plus tard, à présent habille-toi vite, et ne cherche pas ton panier à nichons, tu n’en porteras pas aujourd’hui !

- Mais ça va se voir sous le chemisier, que tu veux que je porte ?

- Et alors ! Un curé est un connaisseur en saints ! Il en a vu d’autres !

- Mais moi, ils tombent !

- Si ça arrive, on les ramassera, t’inquiète !

Sur ce, le diable d’homme se retire de la pièce et va chercher son appareil photo pour prendre quelques clichés de sa vieille en train de se vêtir.

Maryse s’habille rapidement, s’assied sur le bord du lit pour enfiler ses bas, quand elle aperçoit son compagnon prenant des photos. Elle a un serre-taille, un bas déjà monté, et est en train de passer le deuxième, son chemisier sur les épaules, mais pas encore boutonné, ce qui lui donne une drôle d’allure.

L’homme s’amuse à faire des gros plans, puis des plans larges, prendre ces lourdes mamelles qui tombent sur le ventre rond, prendre la crevasse de sa vieille chatte quand elle écarte sa jambe pour enfiler son bas.

- Arrête s'il te plaît, je ne suis pas à mon avantage là !

- Je ne fais pas des photos d’art ! Mais de cul, une bonne grosse aux gros nichons comme toi, ça plaît aux vieux vicelards !... Allez, t’occupe pas de moi, continue à t’habiller !

La femme fait contre mauvaise fortune bon cœur, elle connaît la marotte de son compagnon, et, au fond d’elle-même, sait parfaitement que ses photos voyagent bien plus loin que le simple ordinateur de la maison, mais elle refuse de voir les choses en face. Et puis, inconsciemment, ça l’excite de savoir que des messieurs la voient comme la dernière des traînées !

D’ailleurs, dans le temps, quand elle était en apprentissage, ses copines la traitaient toujours de traînée, de Marie-couche-toi-là, et c'est vrai qu’elle avait de nombreuses aventures sentimentales, et, bien entendu, sexuelles.

Son plus beau souvenir, sûrement à la base de son engouement pour les choses de l’église, encore plus que pour Dieu lui-même, avait été ce jeune curé qui leur faisait le catéchisme.

Elle avait alors à peine dix-sept ans, déjà déflorée et commençant à avoir une certaine connaissance de la sexualité, avec les garçons de son âge. Elle n’avait cessé de remonter sa jupe et son tablier, dévoilant ses bas, et sûrement aussi un petit morceau de sa chatte, car pour aller au catéchisme, elle avait décidé de retirer sa culotte, durant le trajet à pied.

Le jeune prêtre l’avait appelé à la fin de sa mission, sous un prétexte fallacieux, de ça elle avait bien conscience, et l’avait reçu dans une pièce attenante, où l’homme devenait ministre de Dieu.

Là, les choses allèrent très vite, le prêtre, excité par le spectacle de cette jeune salope, la prit dans ses bras, l’embrassa fougueusement. Et, comme elle répondait bien à ce baiser enflammé, il n’eût de cesse, que de culbuter la jeune femme sur la table, et de la sodomiser, il aurait été malvenu, que le curé de la paroisse mette enceinte, une jeune paroissienne !

Ainsi, Maryse, perdit son innocence anale ! Mais elle avait vécu un orgasme foudroyant, qui lui avait fait perdre conscience, quelques instants. Elle venait de vivre, pour la première fois, cette petite mort, dont nous parlent les poètes.

Aussi, ce monsieur de dix ans son aîné, vicieux et voyeur, allait parfaitement dans son sens profond, quand bien même, elle ne l’aurait jamais avoué ! Mais, en était-elle vraiment consciente ? Acceptait-elle être une vielle salope, qui avait beaucoup trompé son mari, avait eu bon nombre d’amants, et même d’amantes ?

Aujourd’hui, vieillesse oblige, elle sent bien, qu’elle est bien plus proche de la fin que du début, elle se rapproche de Dieu, et, peut-être pense-t-elle, racheter ses péchés ! Mais la vie a la mémoire longue.

Une grave maladie avait marqué sa chair et elle avait beaucoup grossi, et n’avait jamais perdu ces kilos de trop. Et maintenant, elle a, en quelque sorte, honte de ce corps gras et de ces, jadis, fiers nichons qui sont devenus lourds et, subissant l’apesanteur de plain fouet, qui lui tirent la peau.

Mais comme elle aimerait redevenir cette chaude salope qui donnait envie aux hommes ! Alors, un amant, même moins fringuant que ceux qu’elle a connus par le passé, qui joue avec son corps, ce n’est pas pour lui déplaire, mais il ne faudrait pas qu’elle soit contrainte à l’accepter, son image de femme pieuse est, désormais, ce qui compte le plus à ses yeux.

Jean, lui, après avoir pris toutes les photos qu’il escomptait, choisit à son tour sa tenue pour recevoir son ami curé. Il attend que sa compagne en ait fini, puis la met à la porte gentiment, mais fermement. Il pose l’appareil photo sur sa table de chevet et commence à se vêtir. Il a choisi un pantalon en toile légère, une chemisette ample. Il enfile ça prestement, sans caleçon, se disant que ça pourrait être marrant de montrer à son ami, que ce qu’il imposait à sa salope, il l’assumait lui aussi.

Une fois prêt, il ressort de la chambre et passe dans le salon, où madame s’est installée devant la télé.

- Mets-toi debout !

La blonde obéit, encore honteuse de ses frasques de la veille au soir, et, de ce fait, n’osant rien refuser.

Jean affiche un sourire satisfait. Et satisfait à plusieurs égards. D’abord, il est heureux de voir que cette vieille salope, qui joue les grenouilles de bénitier, obéisse au doigt et à l’œil, c'est un bon présage, pour la suite de la journée. Mais aussi, il aime voir cette bonne grosse dans une tenue, où l’on peut facilement voir, les lourdes mamelles qui roulent sur son gros bide.

- Montre-moi ton œil de bronze !

Une fois encore, la femme obtempère, se retourne, se penche en avant, et remonte sa jupe bien haut, dévoilant ses grosses cuisses grasses, son gros cul, et au milieu, le jouet-bijou.

- Bien, la bite de Robocop est bien arrimée à ta grosse culasse !

- Mais tu ne dis pas ça devant monsieur le curé !

- Si t’es sage… Allez, file mettre la table !

Midi quarante-cinq, la sonnette de l’appartement retentit. Jean et Maryse, pour tuer le temps, s’étaient installés devant la télé, à regarder distraitement un jeu stupide. Sortant d’une sorte de veille hypnotique, Jean donne un léger coup de coude à sa compagne et lui intime l’ordre d’aller ouvrir. Puis, il se lève à la suite et suit la blonde pour pouvoir voir l’effet qu’elle aura sur le jeune curé.

Maryse ouvre la porte, elle n’a plus conscience de sa tenue, plongée comme elle l’était dans l’écran de la boite à mensonges. Et, après deux tours de clefs, elle ouvre la porte en grand :

- Bonjour Mon père !

- Bonjour ma fille !

Et l’homme, d’un rapide regard du haut en bas, examine la femme, son regard perçant essayerait de la déshabiller qu’il ne serait pas différent.

- Mais entrez donc, bafouille la blonde en s’effaçant de l’ouverture et se servant de la porte comme d’un bouclier.

L’homme entre donc d’un pas lent et digne, il continue à détailler le corps de la grosse femme, appuyant particulièrement sur la lourde poitrine très visible derrière le léger voile du chemisier.

Maryse devient rouge d’un coup, se souvenant de la tenue, que lui a imposé son amant, elle se dit instantanément, qu’elle aurait dû lui tenir tête et ne pas accepter ces vêtements, si mal adaptés à la qualité de son visiteur. Elle est aussi étonnée, que le prêtre soit venu en soutane, elle aurait juré, que ce n’était plus de mise, depuis fort longtemps ! Puis, elle entend la voix puissante de Jean, juste derrière elle :

- Bonjour mon cher Christian, comment vas-tu ? Demande-t-il en lançant sa main droite vers le visiteur.

- Bonjour Jean, ça va bien, la grand-messe du dimanche met en forme !

- Mais ! Vous vous connaissez !? S’exclame alors Maryse.

- Bien sûr, nous faisons partie du même club… Philosophique, dirons-nous… Sur le net.

- Voilà, ma fille, votre compagnon et moi échangeons, depuis des mois sur ces sujets… hautement philosophiques !

- Mais ! Jean n’est pas croyant !

- Nous autres chrétiens ne sommes pas des talibans et autres formes d’illuminés ! Rien ne m’interdit de discuter avec des personnes d’autres religions, voire sans religion, voire avec des idées totalement opposées !

- Oui, mais tout de même !

- L’homme est complexe, ma fille et les voies du seigneur impénétrables… ! Ce qui semble ressembler à cette joyeuse table que j’aperçois là-bas !

- Heuu… J’ai pas compris, mon père ?

- Depuis le temps que je suis sur le palier, votre logis semble comme les voies du seigneur ! Impénétrable.

- Ho pardon, entrez, bien sûr ! Et la vieille blonde s’efface encore un peu plus et laisse le ministre de Dieu entrer, puis, elle referme la porte derrière lui.

Jean est passé devant le groupe et accueille son ami dans la grande salle à manger, et, en lui désignant le canapé, lui propose :

- Assieds-toi, que puis-je te servir comme apéritif ?

Le druide des temps modernes s’assied confortablement, pendant que la femme rentre à son tour et que son compagnon la place juste devant le prêtre, mais sur une chaise de table, se trouvant ainsi un peu plus haute.

Jean prend une chaise à son tour. Puis, voyant que son amie essaye de croiser ses jambes sans montrer trop ses grosses cuisses, il ordonne :

- Tu le sais ! Pas les jambes croisées... Tu voudrais aller nous chercher le délicieux whisky que l’on m’a envoyé d’Écosse, s'il te plaît ?

Puis, se tournant vers le curé, poursuit :

- Un douze ans d’âge qui vient de l’île de Jura, ça te convient ?

- Parfaitement, mon ami, parfaitement !

Dès que Maryse a tourné le dos, les deux mâles se font quelques clins d’œil.

Maryse va directement ouvrir le bar du living, et comme celui-ci est plutôt profond, mais assez bas, elle s’accroupit devant le meuble pour accéder à la fameuse bouteille de whisky.

L’homme d’Église observe la femme de dos, son gros cul, on voit nettement qu’elle porte des bas dans la position où elle est, avec sa jupe serrée qui marque les jarretières. Et son large dos qu’aucune attache de soutien-gorge ne vient rayer.

Très vite, la blonde revient en tenant d’une main la bouteille et de l’autre, entre ses doigts, deux verres à whisky. Elle pose l’ensemble sur la table, puis se rassoit.

- Tu ne prends rien ? Demande Jean

- Non merci, ça ne me dit rien !

- Comment ça, tu refuses de trinquer avec le ministre de ton culte… ! Va chercher le porto et un verre à pied, ne serait-ce que pour tremper tes lèvres !

- Oui ma fille, il est sain de toujours tremper ses lèvres en pareille occasion !

Sans mot dire, la belle se relève et retourne chercher le porto et un verre, mais cette fois, nul besoin de s’accroupir, se pencher en avant lui suffit.

Le bon abbé n’en perd pas une miette et admire le gros cul et les jambes gainées de nylon. Il aperçoit le bas de la jarretière.

Une fois de retour, la brave femme pose le verre et la bouteille sur la table basse. Elle s’assied, puis ose ouvrir la bouche pour demander à son confesseur :

- C'est étonnant ! Je n’aurais jamais pensé que les prêtres sortent encore en soutane !

- Mais si ma fille ! La tenue n’est pas caduque, de plus, comme vous le savez très certainement, pour porter vous-même des robes, avoir les jambes libres et aérées est des plus confortables dès qu’il fait chaud !

- Oui, et sans culotte, c'est encore plus confortable, précise alors Jean.

À ces mots, la pauvre blonde passe du blanc au rouge presque instantanément.

Son compagnon se tourne alors vers elle, la fixe dans les yeux, et ajoute :

- Allons, ma chère, ne nous dis pas que tu n’as jamais été cul nu sous une robe pour te balader !

Cette fois, la pauvre hôtesse semble s’étrangler en voulant répondre par la négative, et finit, tandis que son homme la toise du regard, pas acquiescer du bout des lèvres.

Le pervers abbé affiche un large sourire, et ajoute :

- Rassurez-vous, ma fille, ce n’est pas un péché !

Les deux hommes rient pendant quelques instants, autant du cocasse de la situation, que de la gêne de la femme. Puis, Jean ordonne, à sa concubine, de servir monsieur le curé.

Maryse se relève à nouveau, prend un verre à whisky et le pose juste devant son invité. Ensuite, elle s’empare du divin nectar, ouvre le flacon, et commence à verser très doucement juste après avoir dit :

- Vous m’arrêterez. !

C'est ce moment précis que choisi Jean pour soulever la jupe de sa compagne et profite de la vue sur le rosebud.

- Merci, c'est parfait ma fille !

La blonde repousse la main qui tient sa jupe et se redresse, furieuse.

- Quel délicieux spectacle ! S’exclame alors le curé, qui, de son point de vue, n’a pourtant pas pu voir grand-chose. Vos jarretières sont magnifiques, ma chère !

- Mais ! Un curé !

- Disons que si le restaurant nous est interdit, rien n’est dit sur la lecture du menu ou l’admiration de la devanture !

- Monsieur le curé, vous me mettez mal à l’aise !

Et instantanément la blonde rougit de plus belle.

- Allez, dis à ton confesseur, où tu te mets l’Ostie, quand tu rentres de l’office.

- Mais c'est toi qui…

- Ne vous formalisez pas, ma fille, si vous saviez ce que j’entends en confession ! Et vous n’êtes pas la seule à communier de cette façon, je vous l’assure !

- Mais ! Mais ! C'est Jean qui…

- N’ayez pas honte de vos envies ! Après tout, c'est Dieu lui-même qui vous a donné un sexe et une libido !

- Et je vais te faire une confidence, mon ami. Hier soir, pendant que je l’enculais, elle n’avait de cesse que de te voir, elle est en admiration devant toi !

- Puisque nous parlons d’admiration, remontez donc votre jolie petite jupe, que je vois ces belles jarretières que je n’ai pu apercevoir que furtivement.

- Mais ! Monsieur le curé !

- Oui ma fille, on peut être ministre de Dieu et aimer les belles choses, non ?

- Allez, pétasse, obéis donc à ton confesseur ! Tu rêvais de le voir chez toi, profites-en maintenant, fais ce qu’il te demande !

La pauvre femme, perdue entre son éducation, sa foi et ses envies, ne sait plus comment faire, et finalement, remonte sa jupe doucement. Son sexe s’est humidifié en quelques secondes, et la cyprine commence à donner du brillant à ses petites lèvres. Les grandes lèvres, étant elles, déjà distendues.

- Très joli ! Et une chatte bien lisse, sans poils disgracieux ! J’aime beaucoup !

Maryse reste interdite, et, en adepte de la sodomie, est presque changée en statue de sel ! Aussi n’a-t-elle aucun mouvement quand ça chatte se voit gratifiée d’une douce caresse.

Le prêtre, qui vient de passer sa main sur la fente et le pubis, dans un geste lent et doux, s’enhardit quelque peu et passe un doigt curieux entre les petites lèvres. Ne sentant toujours aucun refus de quelque manière que ce soit, il explore l’entrée de la grotte féminine.

Jean ne dit mot, il est enfin heureux de voir sa salope, prise en main par un autre homme, fuse-t-il curé ! Car si sa grosse compagne lui a parfois raconté ses frasques, elle a toujours, depuis qu’il la connaît, refusé une relation sexuelle débridée. Et surtout des parties fines à plusieurs.

Le prêtre s’enhardit encore, et pendant que d’une main, il visite le moule à gosses de la dame, de l’autre, il palpe la lourde poitrine, passant d’une mamelle à l’autre, et allant même jusqu’à pincer le gros téton.

Maintenant, sentir ces mains puissantes et douces à la fois, tâter ses seins, elle ferme les yeux et se laisse aller aux prémices de l’orgasme.

Notre brave abbé, bien plus au fait des choses de l’amour qu’il ne serait bienséant de penser, pousse encore le jeu un peu plus loin. Et, de la main qui s’occupe de ce con dégoulinant d’envie, passe son pouce sur le clitoris tout en continuant de farfouiller le vagin. Le résultat ne se fait pas attendre !

C’en est trop pour cette pauvre vieille ! Ses jambes commencent à trembler, et elle ne peut retenir un gémissement, qui sort du fond de sa gorge, puis va crescendo, jusqu’à finir, en un cri de plaisir caractéristique.

Quand elle cesse de râler, et alors qu’elle est toujours l’objet des attentions de ce jeune et beau curé, elle entend :

- Voilà, ma fille ! Et dites-vous que cet orgasme est un don de Dieu !

- C'est bien ma salope, tu vois que tu peux jouir des caresses d’un autre homme devant moi !

- Je… Je…

- Pour nous autres, chrétiens, la force est dans le partage, alors mettez-vous à genoux, ma fille !

Et pour faire bonne mesure, le bon curé qui vient de lâcher les mamelles et retirer ses doigts de la chatte gluante, se lève d’un bond et prend l’épaule de la femme et la guide pour qu’elle soit à genoux devant lui.

Ses jambes tremblent encore, elle sent sa chatte suinter le plaisir, mais aussi un peu d’urine couler, le long de ses cuisses parées de nylon. Un instant hors du temps, elle reste ainsi, à genoux, devant un jeune et beau curé en soutane.

L’ecclésiastique s’empare des pans de sa soutane, et dans un geste théâtral soulève cette dernière jusqu’à exhiber son sexe. Car notre bon curé est, à l’image des écossais en kilt, nu sous le vêtement de son ministère. Sa queue déjà en partie dressée, de belle facture et de bonne taille. Puis, attrapant l’arrière de la tête de la blonde, la guide et lui intime :

- À vous de m’offrir du plaisir, ne ménagez pas votre peine, je suis tout à vous !

Déjà Maryse a ouvert sa bouche et happé le beau sexe. Elle joue de sa langue sur le morceau de chair fraîche, puis d’une main experte, s’empare de la hampe et commence à sucer en masturbant le sexe qui durcit et grandit à vue d’œil.

- Voilà, ma fille, c'est très bien, continuez comme ça !

- Pour ça, elle suce bien, n’est-ce pas ?

- Oui, tu as là une salope plutôt experte en pipe… ! Suce-t-elle souvent des inconnus ?

La question n’en est en fait pas vraiment une, puisque Christian connaît parfaitement le parcours de son ouaille, mais il veut juste enfoncer le clou pour que cette vieille salope ne puisse plus reculer.

- Moins de nos jours, mais je pense qu’elle a dû faire la pute pendant quelque temps, quand elle avait de gros soucis d’argent, on sent chez elle comme du métier à sucer !

- Oui… Comme ça ma fille… Continuez et vous allez communier avec moi !

Jean en profite alors pour venir remonter la jupe de sa compagne le plus haut possible. Il ne dit pas toujours tout à son ami calotin, et là, il veut lui faire la surprise de ce qu’il nomme la bite à Robocop, le beau gros rosebud que la vieille blonde porte.

L’abbé, certes habitué des bouches féminines, est très excité par cette fellation, non seulement délicieuse, mais de plus réalisée par une de ses fidèles paroissiennes, de plus, une femme âgée, pour un amateur de gérontophilie, c'est un vrai bonheur.

Ne voulant pas perdre trop de temps pour l’heure, car il ne souhaite pas avoir du retard sur l’apéritif, et confiant de sa virilité, il se laisse aller à jouir dans un grognement démoniaque, tout en tenant fermement la tête blonde contre son pubis, le temps de tout décharger au fond de la vieille gorge. Et, vers la fin de son orgasme, il lâche, déformation professionnelle et obsessionnelle obligent :

- Ceci est le sperme du Christ, pour l’alliance nouvelle et éternelle !

- Amen ! Croasse alors la vielle, d’une voix très étrange, la bouche envahie par le gros mandrin de viande palpitante et remplie de foutre tiède et onctueux.

Elle ne peut se soustraire à la force qui la plaque contre ce pubis lisse et plat. La verge qu’elle a en bouche a déversé des flots de foutre tiède et salé, avec un délicieux arrière-goût de noisette, et ça lui rappelle ses vertes années.

- Merci ma fille… C’était délicieux... Je n’oserais dire, divin !

Et, autant gentlemen que prêtre, il aide alors la femme à se relever.

Maryse tente de baisser sa jupe, car elle a maintenant la chatte à l’air, quand son homme lui intime :

- Tu gardes ta jupe comme ça, les fesses nues sur la chaise, c’est agréable, non ?

- Ho ! Jean…

- Pas de râleries désagréables, et d’ailleurs, retourne-toi !

Contre mauvaise fortune, bon cœur, la femme se retourne.

- Penche-toi en avant… Plus que ça, tes mains au niveau de tes chevilles… Voilà, à présent, écarte tes fesses en grand… c'est bien, que Christian puisse admirer ton bijou d’anus !

- Ha ! Bonne suceuse et bonne enculée aussi, alors ! S’écrie le bon curé en découvrant le rosebud.

- Ho mon père ! Je vous assure que je suis une bonne chrétienne !

- C'est vrai, Christian, d’ailleurs, elle va aller chercher le magnifique crucifix qui trône au-dessus de notre lit.

- Oui, j’y vais…

Et Maryse sort presque en courant comme une collégienne qui part chercher le cahier qui va lui éviter une punition.

- Bon, on a bien rigolé, mais si on faisait honneur à ton whisky si vanté.

- Oui ! Passons aux choses sérieuses, les gaudrioles, on se les réserve pour le dessert.

- Je pense qu’on ne devrait pas s’ennuyer au dessert !

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