Où est donc passé L’Ostie : la cérémonie (2019)
Maryse, à plus de soixante ans, était heureuse d’avoir rencontré Jean. Un bel homme, pour ses soixante-dix ans, intéressant, de la discussion, de l’humour, et encore vert côté sexe, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Et, cerise sur le gâteau, ses copines se demandaient toutes, pourquoi elle, et pas eux !
Le seul point noir, et encore n’était-il que gris, était cette désinvolture vis-à-vis des choses de l’église et de Dieu. Son bel amant se moquait ouvertement d’elle au sujet de la sainte l’église, allant parfois même jusqu’à la traiter de bigote.
Jean, lui, avait eu une vie riche, infirmier, il avait parcouru le monde, eu de nombreuses aventures, toutes plus épicées les unes que les autres, toutes plus chaudes, plus ludiques. Et, pour ses soixante-dix ans, il venait de lever une petite jeune de dix ans de moins que lui. Bon, ce n’était pas la plus jolie des femmes qu’il avait eues, mais, bien que ronde, elle avait un certain charme.
Par contre, il était étonné qu’une vieille comme elle soit encore si prude, si innocente, si peu au faîte des choses du sexe ! Il allait falloir la dresser.
L’homme, grand amateur éclairé de photographie, avait déjà fait quelques clichés de nue de sa compagne, de son gros cul, de ses lourdes mamelles, dans des lieux et des positions assez insolites.
Cela avait toujours étonné, pour ne pas dire plus, la pauvre femme. Mais, bonne fille, elle se disait que de petites marottes ne mèneraient pas loin, et pour avoir la présence de cet homme délicieux, elle pouvait bien faire ce petit effort.
En ce samedi, fin de journée, alors que monsieur traîne un peu devant son ordinateur, à ranger ses photos, affirme-t-il, madame se prépare et se pomponne comme pour aller à un premier rendez-vous amoureux. Mais en fait, ce n’est que, pour aller à la messe de dix-neuf heures.
- Allez ! Pour une fois, et histoire d’avoir matière à discussion plus poussée sur la croyance, je t’accompagne à l’église, tu veux bien ?
Surprise, la vieille femme ne sait quoi répondre, mais elle finit tout de même à articuler :
- Oui.
- Ça te fait plaisir au moins ?
- Oui… C'est juste que je suis surprise !
- L’Ostie, tu le prends en main ou le curé te le fourre dans la bouche ?
- Je le prends en main et m’agenouille devant l’hôtel avant de le déposer sur ma langue, quelle drôle de question !
- Es-tu d’accord pour venir me l’apporter ?
- Pourquoi faire, grand Dieu ?
- Rien de grave, je te rassure.
- Et comment se fait-il que tu aies une subite envie de messe ?
- C’est le miracle de l’amour… Allez, je file à la douche me préparer.
Moins d’une heure plus tard, notre petit couple gare la voiture sur le parking de l’église et en sort pour se diriger vers l’édifice religieux. Chemin faisant, Jean redit à sa compagne :
- Je vais rester sur le dernier banc au fond, toi, tu vas à la même place que d’habitude, et surtout, tu n’oublies pas de me ramener ton Ostie.
Le début de l’office se passe tranquillement. Au moment de la communion, Jean suit méticuleusement des yeux Maryse. Il scrute le moment fatidique où elle doit engloutir le gâteau sec. Puis, il suit son parcours dans l’allée latérale opposée à sa place, et est heureux de voir qu’elle applique ses instructions à la lettre.
Il l’attend et, quand elle est à côté de lui, prête à prendre la place libre sur le banc, il la prend par la main et la guide pour l’emmener derrière la dernière colonne du fond.
- Donne. Dit-il simplement en montrant du menton le gâteau saint.
La femme, sans poser de question, donne l’Ostie.
Maintenant, tranquillement, comme s’il ne se souvenait plus du lieu où il se trouve, il remonte sa robe et descend sa culotte en coton.
Interloquée, Maryse ne dit mot et ne fait même pas un geste pour arrêter son amant. Elle se retrouve bientôt la culotte sur une cheville, la robe relevée sur son ventre, qu’elle tient, juste parce que l’homme lui en a donné l’ordre implicitement.
- Écarte-toi au maximum.
La femme toujours totalement surprise et ne pouvant pas reprendre pied, s’exécute et se retrouve bientôt, les jambes très écartées, dans une posture totalement incongrue.
Jean l’aide à se pencher en avant, puis, quand il estime la position correcte, sans ménagement, il ouvre les lèvres et commence à fouiller le vagin qui se remplit très vite de cyprine.
- Tu vas pouvoir te vanter d’avoir un con-sacré, lâche l’homme, à voix basse, avec un sourire étrangement malicieux.
Puis il s’applique à positionner le gâteau tout au fond du vagin, contre le col de l’utérus.
Maryse éprouve une sensation étrange, il n’y a rien de douloureux dans son vagin, ces doigts qui s’agitent sont même plutôt très agréables, mais le fait de mêler ainsi, et pour la première fois de sa vie, le sexuel et le sacré, lui donne une sorte de vertige.
L’homme profite de ce que sa compagne ne bouge toujours pas pour sortir une seringue de sa poche. Un élastique maintient le pousseur avec le réservoir de la seringue, bouchée par le piston, dans lequel il a mis du rhum blanc à soixante degrés. En un clin d’œil, il visse le pousseur sur le piston de la seringue.
De deux doigts sûrs, il écarte les grosses fesses, et applique l’embout de la seringue qui ne porte pas d’aiguille dans l’anus ainsi accessible. Il vide d’un coup le contenu de l’ustensile dans les entrailles de la pauvre femme qui a un petit sursaut.
Maryse se demande ce qui vient de se passer, mais avant qu’elle ait pu ouvrir la bouche, elle entend :
- Allez, retourne à ta place, ma belle.
Et, tout en disant cela, Jean aide sa compagne à se redresser. La grosse culotte blanche est toujours par terre, l’homme se baisse et la ramasse pour l’enfouir dans sa poche.
Sa robe retombée, la femme a de nouveau, une nouvelle sensation étrange. Cette fois, elle a l’impression que son anus fuit et que s’écoule un liquide de ses entrailles. Elle serre les fesses du plus fort qu’elle puisse, mais elle s’imagine, tout de même, que tout le monde peut voir ses soucis et sa gêne.
Elle a une démarche que l’on pourrait qualifier de bizarre pour retourner à sa place, près de l'harmonium. Et, si les fidèles semblent tout à leur foi, son petit manège n’est pas passé tout à fait inaperçu.
Mais bientôt le rhum commence à faire son effet. La tête de la pauvre blonde lui tourne. Elle semble être un peu pompette.
Il se passe de longues minutes, durant lesquelles Maryse s’agite, petit à petit, de plus en plus.
Jean, qui suivait la scène des yeux, se rend compte que le rhum fait son œuvre. En effet, directement injecté dans le gros intestin, l’alcool passe tout de suite dans le sang.
L’homme se déplace doucement, alors que tout le monde s’est levé, pour venir se placer à côté de sa compagne. Là, une fois assis à nouveau, il remonte la robe de la pauvre femme et exhibe ses bas.
L’organiste se rend très vite compte qu’il y a un petit spectacle, pas vraiment très catholique, et ne peut plus dégager ses yeux de la lisière des bas.
Jean rit intérieurement en voyant l’homme, aux yeux exorbités, fixer les grosses cuisses gainées de nylon. Il se penche à l’oreille de sa compagne et lui intime l’ordre de retourner au fond de l’église, dès le prochain cantique entamé. Puis il se lève discrètement et retourne sur le dernier banc.
L’homme, qui est censé donner le "LA" et le départ des cantiques, toujours les yeux rivés sur les grosses cuisses de la blonde, rate le moment du début du chant.
Le curé s’aperçoit que quelque chose cloche dans la belle harmonie habituelle. Il se racle bruyamment la gorge dans son micro pour sortir le musicien de sa rêverie.
Celui-ci, surpris comme un enfant avec ses doigts dans le pot de confiture, met une petite seconde à lancer la musique du cantique, le tout sous le regard inquisiteur du brave curé.
Maryse se lève, un peu maladroitement, et se rend en titubant très légèrement au fond de l’église. Quelques regards désapprobateurs se tournent vers elle.
Jean, debout derrière la colonne du fond, attrape la femme, la met à l’abri des regards, puis lui remonte à nouveau la robe et commence à lui caresser la vulve et le clitoris. Ensuite, il la retourne, la met en position, les mains par terre, les jambes tendues, bien écartées. Là, il sort sa bite, se branle un peu de sa main droite, tout en ouvrant l’anus, des doigts de sa main gauche, qui sont tout de même très adroits.
Puis, d’un coup rapide, enfonce sa queue dans l’anus déjà entrouvert. Il lime ce gros cul pendant à peine une minute, et éjacule une bonne dose de foutre chaud qui enduit le colon. Il reste là, la queue plantée dans cet anus bouillant, durant quelques secondes, à se dire qu’il aura fallu attendre ses soixante-dix ans, pour enculer une bigote, pendant la messe !
Puis, reprenant ses esprits, et se souvenant du nouveau petit jeu auquel il a envie de jouer, il se retire et aide sa compagne à se relever.
La tête de Maryse lui tourne. Elle a maintenant une furieuse envie de jouir, son ami ne lui en ayant pas laissé le temps. Elle se sent excitée comme jamais, d’ailleurs sa chatte est tout inondée.
Le pervers pépère, une fois sa femelle debout, lui appuie sur l’épaule jusqu’à ce qu’elle se baisse pour arriver la bouche à hauteur de la queue odorante et poisseuse. Là, il enfonce, sans ménagement, son vit en forçant au passage la barrière des lèvres.
- Suce-moi la pine, espèce d’enculée.
Elle a un goût de rhum, s’étonne Maryse, mais elle n’a pas le temps de l’exprimer, que déjà son compagnon lui intime un nouvel ordre :
- Donne-moi ton portable.
La blonde, bite en bouche, fouille dans sa poche gauche et en ressort son téléphone, appareil de relativement petite taille vu la mode des grands smartphones.
À nouveau, de ses puissants bras, l’homme relève la grosse femme, puis il la penche en avant, tant et si bien qu’elle ne peut que tomber sur ses mains pour éviter le pire.
- Bouge-pas, que je te connecte !
Et d’un geste précis, mais sans douceur, il introduit le téléphone dans le vagin détrempé. Il sait parfaitement que lors de la messe ou pour les spectacles, sa femelle passe toujours l’engin en mode vibration.
Maryse ne sait plus où elle en est, cette espèce de gymnastique derrière ce pilier, cette sodomie qui la laisse sur sa faim, et maintenant sa chatte qui est remplie et qui lui donne de furieuses envies de sexe, sans parler de la tête qui tourne, rien ne va plus normalement en ce samedi soir !
Jean aide encore une fois la femme à se redresser, puis la guide pour qu’elle s’assoie, à ses côtés, sur le dernier banc.
Quand la blonde a repris un peu son souffle, mais pas tous ses esprits, elle entend encore :
- Au prochain cantique, tu retournes à ta place, près de l’harmonium.
Cinq ou six minutes plus tard, alors que tout le monde entonne un nouveau chant, Maryse se lève et se dirige, par l’allée latérale, vers la place qu’elle occupait plus tôt. Sa démarche est hésitante, son pas mal assuré.
Pour avoir une meilleure vue, Jean va se placer de l’autre côté de l’église, toujours sur le dernier banc. Là, il commence à appeler discrètement le téléphone de sa compagne, histoire de voir ses réactions.
À chaque série de vibrations, la vieille femme se trémousse sur son banc. Là encore, elle attire des regards réprobateurs de ses voisins, mais aussi le regard interloqué de l’harmoniumiste.
Même monsieur le curé s’aperçoit de l’excitation de la femme, depuis son pupitre, alors qu’il est en train de lire un passage de la Bible selon Saint-Jean.
Durant encore un petit quart d’heure que dure l’office, Jean, s’amuse comme un petit fou, avec son portable.
Maryse sursaute, trésaille, a le feu dans la culotte, mais est-ce bien le feu sacré ?
À la fin de la messe, le pervers bonhomme s’est rapproché du banc de sa compagne, et lui fait signe d’attendre que tout le monde soit sorti, pour venir la chercher et la prendre par la main.
Maryse se laisse conduire, cette fois, elle a l’œil hagard. Pour une femme qui vient du nord ! Et affiche un sourire un peu stupide. Il faut dire qu’elle vient d’avoir trois orgasmes. Le fond de sa robe montre, lui, une belle auréole. Elle se retrouve bientôt devant l’ecclésiastique, que Jean semble bien connaître, comme si c’était une vieille connaissance, malgré la différence d’âge.
Le jeune prêtre salue ses deux ouailles, et, après quelques mots échangés, accepte l’invitation à déjeuner, aussi rendez-vous est pris pour le lendemain midi.
En sortant, et étant les derniers, Jean laisse tomber la grosse culotte blanche, juste avant de franchir la lourde porte en bois.

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