La camionnette à rené (2018)
Hier soir jeudi, un de mes enculeurs chroniques me téléphone, sur le coup de dix-sept heures, pour m'annoncer tout cru :
- J'ai les couilles pleines, si tu es dans le coin, viens me vidanger, la pute...
Il faut dire, que ce monsieur m’a déjà rencontré, deux fois même, avec ma pute de femme. Ces fois là, il était venu dans le petit appartement qu’on sous-loue pour recevoir des messieurs, que je suce et qui m’enculent, devant ma femme. Elle, elle se laisse tripoter et embrasser comme une collégienne. Et comme on demande une participation, certaines personnes, dont René donc, en profitent, pour me traiter de putes et faire comme si, avec ma femme, nous étions des prostituées.
Ces fois là, l’ambiance est tellement excitante, qu’il n’est pas rare que ma femme, bouillant d’envie, vienne sucer avec moi et qu’elle se fasse mettre aussi, soit dans la chatte, mais le plus souvent, dans le cul. Ainsi, comme nous en rions nous-même, nous sommes de bons enculés ! Et nos visiteurs sont heureux.
Et j’ai aussi répondu à ses appels, deux autres fois, ces fois là, en sex-shop, où je devais le sucer, le froc sur les chevilles, le cul à l’air, le sweat-shirt retiré, jusqu’à ce qu’il jouisse, en rametant tout le quartier. Si bien, qu’à la fin, il y a du monde pour venir voir ce qui se passe. Moi, souvent la tête enfouit dans les cuisses de René, me faisant tripoter de partout. Je me suis retrouvé, une fois, avec une grosse bite plantée dans le cul, sans autre préparation qu’un crachat sur l’anus. Ce qui avait beaucoup amusé René, surtout quand le mec m’a "fouetté" avec sa capote, qu’il avait vidé en grande partie sur mon dos.
Donc, sans aller à dire que je connaissais bien René, je savais de quoi était capable, ce diable d’homme, dans le vice et la fange.
J'explique que je suis sur la rocade et il m'indique qu'il se trouve pas loin du bois de monnaie, sur la N10. Un petit parking au bout d'un chemin forestier au lieu dit la Moineterie.
Je m'y rends, René est garé sur le petit parking, il est au volant, je me gare derrière lui et descends de ma voiture, pour monter dans sa camionnette par la porte latérale, qu'il vient d'ouvrir.
- Allez vilaine, tu vas me sucer… Comme tu sais bien le faire, grosse pute !
Tout en disant cela, il se lève de son siège conducteur et vient derrière les sièges.
- Suce-moi bien... Suce-moi aussi bien que t'es moche, grosse pédale...
Tout en me donnant cet ordre humiliant, il a défait sa braguette et a baissé slip et pantalon. Ce que j'aime avec René, c'est que sa pine sent toujours bon, il a le respect des putes, qu'il va aussi voir régulièrement, et, est toujours propre et soigné.
Je suis habillé d’un pantalon de toile légère et d’un sweat. Rien d’autre que mes chaussures, genre mocassin, que je peux mettre pieds nus. Et, comme je sais que mon amant aime tripoter, quand je le suce, je fais glisser mon pantalon, dont le cordon était déjà défait, et remonte bien haut mon sweat, découvrant ma poitrine. Je me mets à genoux devant l’homme, qui se tient debout dans cette pièce métallique et chauffée, par ce beau soleil d’avril.
Je suce avec bonheur sa queue qui gonfle, car le coquin, la soixantaine bien tassée, est encore bien vert du poireau !
- Allez grosse fiote, mets-toi en position, que je t'en mette un bon coup dans le cul...
Sachant que le monsieur a tout ce qu'il faut côté préservatif, je me retourne et me mets à quatre pattes, devant l’homme, la tête presque à l’extérieur de la camionnette. Au bruit de l'ouverture du sachet pour le préservatif, docilement, je ne bouge plus, attendant l’introduction, que je sais forte, à venir.
Très vite, je sens le gland dans sa gangue de latex contre mon anus. J’applique mon épaule contre un montant de la porte coulissante, m’empare de mes fesses à pleines mains, les écarte du mieux possible. Puis je pousse doucement mon cul, vers le ventre du monsieur.
Sa bite rentre facilement, il a craché sur mon anus en guise de lubrifiant, et de toute façon, j'avais encore l'anus ouvert d'avoir porté un plug une bonne partie de la journée, depuis mon lavement. Puisque j'avais rendez-vous à midi, avec un mec qui se disait très bisexuel, qui voulait profiter de moi, mais qui n'est pas venu.
René m’attrape par les hanches et commence à me limer franchement, brutalement même, mais sans violence.
J’avoue prendre énormément de plaisir à cet assaut. À ses grognements, je comprends qu’il me traite de salaud, de pédé, de couille molle, et bien d’autres noms d’oiseaux. Je me sens un peu comme un jouet entre les mains d’un enfant turbulent, vif, mais tout de même attentionné.
Visiblement, oui, il devait avoir les couilles trop pleines, René, en quatre ou cinq minutes, il jouit dans un flot de jurons insultants à mon endroit. Je jouis à mon tour de donner du plaisir à un homme, en bonne fiote que je suis.
J'attends que l'homme donne des signes de vouloir se retirer, avant de me retourner, de m'agenouiller et de retirer délicatement la capote, pleine de jus de couilles.
- Donne-moi le préservatif salope, m'ordonne encore René.
Je lui tends le réservoir de latex, qui contient son foutre, il fait un nœud, puis exige à nouveau :
- Retourne-toi et penche-toi en avant que je te mette la capote dans le cul, gros pédé...
Sans comprendre son envie, je m'exécute, me retourne, écarte à nouveau mes fesses avec mes mains, pour ouvrir mon anus le plus possible.
René m’introduit alors le latex dans le cul. Il met un certain temps, bien que le sphincter soit déjà bien ouvert et très assoupli. Il fourgonne avec ses doigts, les rentrants et les ressortant, en grognant encore quelque peu.
- Allez barre-toi connasse, me dit encore René en me claquant le cul. Puis, il ajoute, soit, tu t’arrêtes sur le bord de la route pour retirer ta capote et tu auras l'air vraiment con ! Soit, tu rentres chez toi avec le risque que ta femme te voit avec une capote dans le cul, comme le gros enculé que tu es... Et tu me feras des photos, avec mon jus dans la capote, sur tes nichons de grosse pédale ou accroché à ta bite.
Je garde la capote en moi jusqu'à la maison, où j'attends ma femme pour lui montrer et qu'elle me retire le préservatif en rigolant et en me demandant de lui raconter, ce que je fais dans le moindre détail.
Les mecs pensent que ma femme n'est pas au courant parce qu'eux le font en douce, moi, je suis très complice avec mon épouse, qui me raconte, également, ses rendez-vous, et moi les miens. Ce qui alimente bien aussi notre libido commune.
Trop accaparé le soir par nos contingences ménagères, je n'ai pas le temps de faire les photos, que René me demande, mais je les fais vendredi matin de très bonne heure.
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