Une vieille chienne : premier repas découverte (2015)

 

Marc est un homme dans la force de l’âge, 48 ans, grand et costaud, dont la vie est assez douce malgré sa séparation il y a deux ans d’avec sa compagne. Celle-ci, petit à petit, en était venue à boire et à être alcoolique, et la vie avec une alcoolique est difficile.

Pour son job, Marc, se déplace beaucoup, directeur de la sous-traitance dans son entreprise, il est souvent chez les fournisseurs pour vérifier les fournitures, et est souvent aussi invité.

Cette semaine, il se doit d’aller près de Nantes pour visiter un fournisseur, et se dit que, pendant qu’il est dans le coin, il irait bien saluer son ex-belle-mère avec qui il avait gardé de bons rapports, et ce, même après sa séparation.

Au téléphone, il apprend avec stupeur que l’ex-beau-père est décédé quelques mois plus tôt, laissant la vieille femme dans une solitude assez grande puisqu’elle n’a plus de contacte avec sa fille qui, à priori, continue de s’enfoncer dans son alcoolisme à vitesse accrue.

Jeannette propose à son ex-gendre de passer dîner et de rester dormir, lui offrant la chambre d’amis où il a déjà dormi par le passé.

Et comme dans les deux semaines suivantes, il y aura un salon important à Nantes, les hôtels seront pris d’assaut, son déplacement n’ayant pas été prévu suffisamment tôt, Marc se doute des difficultés à trouver un hôtel convenable. Il accepte donc de bon cœur la proposition de la vieille dame.

C’est donc en ce début d’avril que l’homme, après une bonne journée, fort chargée chez son fournisseur, se dirige vers l’immeuble de la résidence, où se situe l’appartement de Jeannette. Se servant de son GPS, il ne perd pas de temps et se retrouve bientôt, sa valise à la main, devant la porte de l’immeuble à appuyer sur le bouton de l’interphone.

- Bonjour Jeannette, c’est Marc.

- Entrez Marc, c’est au quatrième, vous vous souvenez ?

Mais avant que l’homme ait pu répondre, la porte s’entrouvre en coupant net la communication. Il se dirige vers l’ascenseur, tire sur la poignée, l’appareil est là à attendre. À la sortie de l’ascenseur, se fiant toujours à sa mémoire, le visiteur se dirige, sans coup férir, vers la porte de son ex-belle-mère. Il appuie sur la sonnette, la porte s’ouvre.

- Entrez Marc, invite la femme en ouvrant en grand la porte et en s’effaçant discrètement.

Dès qu’il est dans l’entrée, vaste et joliment décorée, l’homme pose sa valise et embrasse la dame. Faisant un pas en arrière, il la détaille de la tête aux pieds, puis, après quelques secondes d’analyse visuelle, laisse tomber de sa voix douce :

- Hé bien ma chère ! Vous avez fait quelque chose ? Vous êtes encore plus jolie que dans mon souvenir, et Dieu sait si les souvenirs embellissent souvent les choses.

- Merci Marc ! balbutie doucement la vielle femme, puis elle enchaîne, après avoir laissé, elle aussi, son regard parcourir la silhouette de l’homme :

- Vous aussi, vous avez changé en mieux, vous avez drôlement maigri, non ?

- Oui, en fait je n’ai pas fait grand-chose, j’ai décidé de gérer mon stress au boulot et à la maison. Vous savez, seul le soir, il n’y a personne pour s’entraîner mutuellement dans l’apéritif, les vins ou les digestifs, comme ça se passait avant, un peu de sport, et le poids chute rapidement.

- Et j’imagine que le fait de ne plus avoir de stress à la maison vous a bien aid’, finalement…

- Je vous avoue que, franchement, je suis soulagé de son départ… Maintenant, je n’ai plus la hantise d’arriver à la maison en me posant la question de comment vais-je être reçu, comment va se passer la soirée, ce genre de choses.

- Ou allez la rechercher à l’hôpital psychiatrique comme vous avez déjà fait !

- Oui par exemple.

- Mais entrez donc, je vous débarrasse de votre veste

Marc tend sa veste de costume à la dame et entre dans la grande pièce, qui sert de salle à manger. Il jette un œil par la baie vitrée, la vue sur le petit square en bas est sympathique, mais sans plus. La pièce est meublée d’une grande table en chêne massif, dont les pieds sont travaillés, recouverte d’un Bulgomme beige avec des motifs de fleurs. Un bahut bas est placé à droite de l’entrée, bahut dans le même style breton visiblement que la table, avec des bibelots et une coupe à fruits posée dessus.

Sur la gauche, au mur derrière la table, un autre bahut, mais bien plus haut celui-là, toujours dans le même style. Et sur le pan de mur restant au fond de la pièce, mur dans lequel il y a aussi une grande découpe qui donne sur le petit salon, un meuble tout en hauteur servant de vitrine à toute une collection de bibelots aussi divers que variés. Là encore, de style breton rappelant les autres meubles.

Jeannette revient par le salon et invite son visiteur à s’installer sur une chaise. Elle est habillée d’une grande robe verte dont le bas semble comme déchiré. Une robe déstructurée comme disent les couturiers, des mules noires avec un petit pompon en plume dessus, des bas blancs. Elle porte plusieurs bagues à ses doigts, un collier de perles blanches autour de son cou fragile, et des boucles d’oreilles assorties au collier.

A soixante-sept ans, cette femme d’un mètre soixante-cinq pour soixante-cinq kilos a encore une silhouette assez agréable. Certes, on imagine assez facilement que ses seins ne sont plus aussi fiers qu’à vingt ans, que son cul est assez flasque, mais dans l’ensemble, elle est encore utilisable.

La femme propose à son invité de prendre l’apéritif, ce qu’il accepte bien volontiers, et très vite, voici nos deux compères assis à la table de la salle à manger, à déguster un pineau des Charentes succulent.

Un verre, puis deux, puis trois, avant de passer à table à proprement parler et d’éponger tout ça avec un bon steak et des pommes de terre sautées. Mais le tout encore arrosé de vin de bordeaux, reliques de la cave de feu l’ex-beau-père. À la fin du repas, c’est encore fromage, donnant soif de bordeaux ! et puis gâteau venant de la pâtisserie du coin, qui lui aussi donne une bonne raison de finir la deuxième bouteille de bordeaux.

Après avoir discuté essentiellement de l’enterrement du défunt, de la cérémonie, et du repas qui suivit, Jeannette, ramenant les cafés, demande à son invité :

- Marc, voulez-vous un peu de cognac, pour finir ce petit repas qui fut bien sympathique et dont je vous remercie.

- Écoutez, je ne suis pas sûr que ce soit sérieux, mais comme je n’ai pas de route à faire, je vais me laisser tenter… Pourquoi me remerciez-vous ? c’est moi qui vous suis reconnaissant pour ce repas.

- Non, non, j’y tiens… Vous m’avez fait oublier ma solitude et ça fait du bien de pouvoir parler un peu, dommage que vous n’ayez pas l’occasion de venir plus souvent dans la région.

- Oui dommage… Et puis, bien moins d’occasions encore, puisque…

- Oui, je ne la vois plus, d’ailleurs, elle n’est même pas venue à l’enterrement de son père, c’est incroyable d’avoir une fille comme ça !

- Oui, je vous plains… Et puis, son alcoolisme n’explique pas tout !

- Oui, on se demandait, avec Pierre, si elle ne buvait pas pour se donner une excuse, en quelque sorte !

- Franchement, et sans être psy, j’avoue que je lui ai plusieurs fois dit, que l’alcool était uniquement une forme d’excuse, pour ses frasques.

- Mais maintenant, vous pouvez bien me le dire, quelles étaient ses turpitudes ?

- Quand je l’ai connue, elle sortait souvent en night-club, et elle m’a avoué qu’elle se faisait payer des pots par des tas de mecs, et qu’au bout d’un moment, elle ne savait plus où elle était…

- Et ? Bien que le ton de l’homme ne laisse rien de bon à attendre dans la suite de son discourt, la vieille dame semble très intéressée à savoir ce genre de détails. Elle finit de boire son café et remplis les deux petits verres de ce vieux cognac, qu’elle a rapporté avec elle, lors de son dernier voyage à la cuisine.

- Hé bien, elle m’a avoué que souvent, elle reprenait ses esprits dans des voitures, parfois dans un champ, à côté de la boite, vous savez, cette boite est à la sortie de la ville, dans un petit hameau…

- Oui, oui, je sais où elle se trouve.

- Parfois à l’hôtel… Parfois même avec plusieurs hommes…

- Oui… Je vois…

- Je lui ai même dit à l’époque que, saoule n’était pas le plus gros problème, au pire, elle ne goûtait pas aux joies sexuelles, mais le plus grave, c’est qu’elle ne pouvait pas gérer les mecs, ni vérifier s’ils mettaient bien une capote.

Le mot fait tressaillir la dame. Elle porte le petit verre de cognac à ses lèvres et bois une toute petite gorgée, du divin nectar.

L’homme attend quelques secondes que son hôtesse repose son verre, puis il poursuit :

- En fait, et il doit y avoir un bon-dieu pour les pochetrons ! elle a une chance inouïe de n’avoir jamais attrapé le sida ! Car avec de telles pratiques ! Cela dit, dès le début de notre relation, nous avons fait les tests d’usages.

- Vous avez bien fait ! avec une telle… grue !

- Je vous avouerai même que, son meilleur ami, vous savez, le petit homo…

- Oui, comment il s’appelle…

- Mickaël, tout le monde l’appel Mimi…

- Oui, c’est ça. Oui, je le connais, je l’ai déjà vu.

- Eh bien son meilleur ami m’a dit une fois qu’il la voyait parfois partir avec des mecs sales, voire glauques. Sans parler qu’il l’a déjà vu faire le spectacle, sur le parking de la boite, à se faire baiser sur le capot d’une voiture, par trois mecs et un petit attroupement, pour regarder autour.

À cette évocation, la vieille femme commence à se trémousser sur sa chaise comme si elle était assise sur un nid de fourmis rouges. Elle reprend son verre en main, et tout en le portant à ses lèvres, laisse tomber :

- Eh bien ! C’est encore pire que ce que nous pensions avec son père.

- J’ai bien essayé de l’aider à se comprendre, lui ai conseillé d’aller voir un psy pour comprendre ses frasques et trouver le moyen de vivre heureuse sans se mettre totalement en danger, mais vous la connaissez mieux que moi, elle sait toujours tout mieux que tout le monde, n’a besoin d’aucune aide…

- Oui ! Ça, c’est sûr ! Elle a toujours raison et ne se laisse rien dire. Si vous saviez Marc, depuis toute petite, nous avons ce problème avec elle, et ce n’est pas faute d’avoir, son père et moi, essayé toutes les méthodes ! Mais rien n’y faisait.

- Oui, j’en ai entendu aussi de drôles, sur sa jeunesse…

- Ah bon ! Racontez-moi ça s’il vous plaît.

- C’est assez délicat parce que comme on ne sait jamais où est le vrai et où elle commence à fabuler…

- N’ayez crainte, je vous dirai, racontez-moi ce qu’elle disait, sur sa jeunesse.

- Eh bien voilà, une de ses grandes excuses, quand on lui parle de ses frasques, c’est… Et là, l’homme plonge son regard dans les yeux de la dame avant de poursuivre : les frasques de sa mère !

Jeannette manque de s’étouffer. D’un seul coup, elle est devenue toute rouge, le front, les joues, mais aussi le cou et toute la poitrine dénudée, qu’on peut voir, par le décolleté.

- Pardon ? Finit-elle par balbutier plus qu’articuler.

- Je suis désolé, c’est ainsi qu’elle parle de vous, son excuse serait les frasques de sa mère !

- Mais de quoi parlait-elle donc ? La femme semble choquée, mais est-elle choquée parce que sa fille pouvait penser, voir colporter des insanités mensongères sur son compte, ou est-ce le fait que sa fille soit réellement au courant de sa vie à elle et qu’elle en parle un peu à tout le monde qui gêne le plus la vieille dame, personne ne saurait le dire à cet instant.

- Elle était explicite, sur le fait que vous ayez eu des amants

- Ah bon ! Une fois encore, la mère est outragée, mais de quoi au juste ? que sa vie passée soit étalée, ou que sa fille mente copieusement sur une vie sans faille ?

- Oui… C’est d’ailleurs ce qui la poussait à avoir des amants elle-même alors qu’elle n’était qu’une jeune mariée, car votre fille m’a avouée avoir très tôt trompé son mari.

- Ça ! Ça ne m’étonne pas vraiment…

- D’ailleurs votre fille en voulait aussi beaucoup à son père, de s’être laissé aller à ce rôle, de cocu compatissant.

- Mais ! Je n’ai jamais… Les yeux de la femme s’embrument alors, et elle reprend une petite gorgée de cognac.

L’homme voit parfaitement le malaise de la femme, il la voit rougir et fronce imperceptiblement les sourcils pour accentuer encore le malaise de la vieille. Puis, son ton devenant encore un peu plus dur, il poursuit :

- Votre fille associe d’ailleurs son état de nymphomane à, dit-elle, votre propre nymphomanie.

- Mais comment ose-t-elle…

- Elle assure pourtant que, il y a une trentaine d’années, vous étiez une vraie nymphomane…

Marc laisse les mots en suspens dans la pièce et prend délicatement son verre pour le porter à ses lèvres, à son tour. Le breuvage est réellement merveilleux, mais il n’y prête qu’une attention très secondaire, il surveille de très près l’état de son ex-belle-mère, pour essayer de comprendre la réalité, à travers ce trouble terrible, qui la torture.

La vieille femme ne sait plus trop où elle en est. Elle savait sa diablesse de fille aînée prête à bien des bassesses, mais qu’elle puisse raconter tout cela sur elle, et puis, comment était-elle au courant pour les amants, plus jeune, Jeannette a toujours fait très attention à rester discrète, du moins veut-elle le croire.

Ce diable d’homme qui assène ainsi des vérités que bien des gens auraient aimé laisser cacher, a toute son attention braquée vers la vieille femme et analyse en temps réel, le moindre mouvement, la moindre marque, le moindre changement de couleur de la peau. Puis, il continue, d’une voix encore un peu plus dure, toute en étant encore assez chaude :

- Eh bien, d’après elle, les chiens ne font pas des chats, et elle vous aurait surprise, quand elle était petite, plusieurs fois en train de vous masturber…

La femme sursaute cette fois-ci, ses yeux fuient alors et un petit tremblement s’empare alors de sa tête, dénotant ainsi la vive tempête qui s’installe sous sa crinière grise. Elle finit par dire, avec un tremblement dans les lèvres :

- Elle ne raconte pas ça, tout de même…

- Si !

- Mais, c’est monstrueux de parler de sa mère, comme ça…

- Oui ! Mais de sa part, rien ne m’étonne plus, vous savez !

- Mais comment peut-elle…

- Elle peut ! n’en doutez pas, ma chère !

- C’est pas possible…

- Si ! Elle explique, surtout les soirs quand elle est bourrée, qu’adolescente, elle vous a surprise plusieurs fois en train de vous branler dans votre lit !

À ces mots, la pauvre femme sursaute à nouveau, rougit encore plus, et d’une main tremblante, cette fois, attrape le verre de cognac et le vide d’un trait. Elle bredouille encore, mais plus pour se rassurer elle-même, que pour son interlocuteur :

- C’est pas possible…

- Malheureusement si ! Comment saurais-je sinon, que vous aimiez vous caresser dans la salle de bain ?

- Mais comment…

- Elle vous épiait très souvent, et, plutôt que de lire comme elle vous le faisait croire, elle épiait vos faits et gestes, poursuit encore l’homme, d’une voix de plus en plus dure ; menant aux reproches.

- Ne me dites pas qu’elle a raconté ça à d’autres personnes qu’à vous ? les larmes sont aux bords des yeux fatigués. D’un coup, la femme a pris dix ans et semble être bien abattue.

- Moi, je n’ai été que témoin de ses récits, ses ragots, je ne sais pas ! Mais le fait est que votre fille racontait ça, à ses amis, certes souvent quand elle commençait à être bourrée, mais je l’ai même entendu raconter ça à vos cousins, Patrick et Claire.

- Oh non…

- Je vous propose de leur demander franchement, quand vous les aurez au téléphone, pour vous rendre compte que je n’affabule pas.

- Elle raconte que j’avais des amants ? La voix est tremblante, pleurnicharde.

- Oui, et elle leur a même raconté qu’elle vous a surprise plusieurs fois à vous masturber assise sur les toilettes…

- Oh non ! Cette fois, la vieille dame se met à pleurer.

- Que voulez-vous que je vous dise…

- C’est pas possible… D’un coup, les souvenirs lui reviennent en force. Elle se remémore ce fabuleux godemiché à la forme si bizarre, que lui avait offert Gérard, un de ces amants et collègues, et combien elle aimait se servir de ce jouet, quand elle était seule, et oui, c’est vrai que, même aux toilettes parfois, elle se laissait aller à jouir, comme une dévergondée.

- Votre fille racontait, avec force détail, comment, à travers la petite lucarne haute, elle vous voyait vous agiter et prendre votre pied.

- Oh la la…

- Et elle avoue, parfois même, que pendant ce temps-là, elle en profitait pour se masturber, elle aussi.

- C’est pas possible !

- Elle a même dit une fois que, quand vous étiez au boulot, les mercredis, il lui arrivait de prendre le godemiché, que vous rangiez dans le petit tiroir de l’armoire de votre chambre, et de s’en servir !

- C’est pas vrai !

Là encore, la pauvre femme cherche surtout à se persuader, elle-même, qu’elle rêve et que tout cela n’est jamais arrivé. Mais ses souvenirs sont très présents, elle se revoit sur les toilettes, avec le jouet, à se donner du plaisir en le faisant aller et venir dans sa chatte, allant dans les petits coins, sortant luisant de cyprine, glissant merveilleusement au fond de son vagin, elle a l’impression de retrouver l’odeur douceâtre de sa mouille, quand elle se donnait du plaisir.

Et d’un coup, elle revoit aussi la pièce, les cabinets juxtaposés avec la salle de bain, et les deux petites lucarnes en partie haute, une qui donnait dans les toilettes, l’autre dans la salle de bain, et le radiateur placé juste en dessous des deux lucarnes, dans le couloir, oui ! Ce que raconte cet homme, qu’elle trouve habituellement plutôt aimable, sympathique, pour ne pas dire séduisant, est tout à fait plausible. Et tous ces détails, comment aurait-il fait pour les inventer ? comment aurait-il fait pour connaître cette maison, qu’elle et son mari ont revendu, avant que sa fille ne connaisse Marc ?

L’homme observe attentivement la vieille dame indigne. Il sait depuis longtemps, que la mère et la fille se ressemble pas mal, et éprouve un plaisir pervers à voir maintenant, cette femme tout de même assez snob, être aussi mal à l’aise. Sentant bien qu’il a touché un point encore plus sensible avec le god, il poursuit, sa voix devenant crescendo, plus dure :

- Visiblement, vous ne saviez pas que votre jouet fétiche, qui vous donnait autant de plaisir, allait aussi dans le vagin de votre fille…

- Taisez-vous… C’est dans un souffle que la vielle laisse tomber ces quelques mots.

- Vous imaginez ! Cet objet, bien qu’inanimé qui allait et venait dans votre sexe, qui vous donnait du plaisir, qui vous faisait jouir… et qui allait aussi dans la chatte de votre fille, faisait jouir aussi votre fille… C’est presque incestueux tout ça !

Jeannette tremble, les yeux dans la vague, elle imagine des images incestueuses où elle est en train de se branler avec sa fille, qui fait de même à côté d’elle. Elle sent la chaleur du corps de sa fille, elle sent sa transpiration, elle entend ses râles de bonheurs, toutes ces sensations lui font perdre la tête.

L’homme se rend compte, maintenant, que tout ce que racontait son ex, n’était pas que de la pure fiction d’une pauvre alcoolique, qui cherche à se rendre intéressante, mais avait bel et bien un fondement véridique. Tenant à garder l’avantage sur la vieille femme, il enfonce encore le clou, en disant :

- Sous vos grands airs, vous êtes tout de même, une sacrée salope !

La vieille cochonne ne répond plus, elle avance sa main vers la bouteille de cognac, tout doucement comme dans un rêve.

Marc s’aperçoit que son hôtesse veut boire un coup et que son verre est vide, alors, très vite, il pose sa main sur le bras de la dame et lui dit :

- Attends, je vais te servir…

Et de l’autre main, il remplit les deux verres, repose la bouteille et seulement à ce moment-là, lâche le bras de la vieille. Puis, il poursuit avec sa voix toujours dure, mais chaude :

- À la tienne, vieille salope !

- Mais je ne suis…

- Quoi ! Soixante-sept ans, c’est plus toute jeune, si ?

- Non, mais…

- Bon alors quoi ? Une nana qui se branle devant sa propre fille, t’appelles pas ça une salope ?

- C’est pas ce que je voulais dire…

- Fais pas tant de cinéma Jeannette ! Je sais que tu es une salope, et je t’affirme que tu es une salope ! D’ailleurs, je suis sûr que, encore aujourd’hui, tu te branles, quand tu commences à avoir trop chaud au ventre…

La vielle dame est estomaquée. Elle ne sait plus quoi dire, le ton, les mots, l’attitude ni hostile ni amie, de cet homme qu’elle croyait connaître, tout la déroute.

L’homme ne laisse aucun répit et recommence à questionner, en montant encore le ton :

- Alors ? À ton âge, tu continues à te tripoter la moule ? non ?

- Mais Marc…

- Pas de « mais » qui tienne, réponds vieille morue, tu te bricoles combien de fois par semaine, salope ?

- Je ne sais pas, s’entend répondre bêtement Jeannette.

- Si tu ne peux pas compter combien de fois, te branles-tu par semaine, c’est que cela doit être souvent ! Quelle morue tu fais !

C’en est trop pour ce soir, la vieille dame choquée se met à pleurer, elle pose ses coudes sur la table et enfuit son visage dans ses mains.

L’homme en profite pour se lever de sa chaise et venir s’asseoir au bout de la table, de manière à être plus près de la femme grise. Dès qu’il est installé, il passe sa main droite entre les avant-bras de son hôtesse, qui pleure toujours à chaudes larmes et prend le sein gauche en main à travers le tissu de la robe. Et il annonce :

- Sacrés nichons que tu as ! Et, tout en malaxant le sein, sans que la dame ne fasse quoi que ce soit pour retirer la main, il poursuit encore :

- Tu as dû te faire tripoter les mamelles souvent, pour qu’elles soient aussi molles, aujourd’hui…

Jeannette pleure de plus en plus et se laisse tripoter indignement, sans montrer le moindre plaisir, mais sans montrer non plus, la moindre gène. En fait, elle ne se rend plus compte, de ce qui se passe en ce moment. Elle est dans ses pensées, revoit sa fille en train de s’enfoncer son beau jouet, dans la chatte, allongée impudiquement sur le lit conjugal, lit dans lequel, il y a bien des années, elle a conçu sa maudite fille.

- Arrête de pleurnicher et bois plutôt un coup.

Comme un automate, la femme lâche son visage et, de sa main droite, vient s’emparer de son verre, qu’elle porte à ses lèvres et vide d’un trait. Une petite toux, et, les yeux rougis de larmes, se tourne vers cet homme étrange, qui lui malaxe toujours le sein gauche, pour lui demander d’une voix anxieuse :

- Mais qu’allez-vous penser de moi, Marc ?

- La même chose que tous les gens, qui connaissent tes frasques, pensent ! Que tu es une vieille salope dévergondée dont le mari est mort cocu, comme peu d’hommes l’ont été.

- Oh non…

- Comment ça non ? Tu n’as pas eu d’amants peut-être ?

- Si, mais…

- Alors salope ! coupe sèchement l’homme tout en pressant fortement le sein gauche qu’il a toujours en main. Puis, il continue :

- Et, pour une femme qui a des amants, on ne dit pas que le mari est cocu peut-être ?

- Si…

- Bon, alors arrête de faire ta mijaurée ! Regarde-toi, tu as vu comment tu t’es habillée pour m’accueillir ce soir, salope ?

- Mais…

- Suffit ! Et ce décolleté, c’est pas pour montrer tes mamelles de vieille salope, non ?

Et, tout en disant cela, le vicieux personnage plonge sa main dans le décolleté et vient prendre possessions du sein gauche, mais cette fois non plus à travers les différentes couches de tissus, mais directement en écartant et la robe et le soutien-gorge.

- Oh non…

- Mais si ! Les chiens ne font pas des chats ! Et avec ce que j’ai vu de ta fille, ce qu’elle pouvait se mettre dans la moule et le temps qu’elle passait à se branler ! J’imagine le temps qu’une vieille vicelarde comme toi a dû passer à s’astiquer la chatte, et les kilomètres de bites que tu as pris, dedans !

Est-ce le ton de la voix, les tourments qu’elle a avec sa fille, son veuvage, ou les souvenirs honteux qui resurgissent à cet instant, Jeannette ne saurait le dire, toutefois elle éclate en sanglots et enfuit à nouveau son visage dans ses mains.

L’homme s’enhardit encore et pousse la plaisanterie à lui ordonner :

- Tu vas te mettre torse nu, pour me montrer tes mamelles de vieille salope.

La vieille femme, perdant définitivement tout sens de la réalité, et un peu comme dans un rêve, sent des mains expertes s’occuper de la fermeture de sa robe se trouvant dans son dos. Bientôt, elle sent que l’homme la débraille et fait glisser le haut de sa robe, sur ses bras ronds. Puis, elle se rend compte que les mêmes mains s’occupent de la fermeture de son soutien-gorge. Ensuite, et avec soulagement, elle sent le vêtement s’ouvrir et ses seins devenir lourds. Toutefois, le sous-vêtement ne lui enserrant plus le torse, elle éprouve du plaisir à être ainsi mise à nu.

De plus, sentir maintenant ses seins bien pris en main et tripotés, comme elle aime tant, et comme durant toute sa vie, elle a aimé. Elle se laisse aller, et l’alcool qu’elle a consommé durant la soirée n’est pas pour rien dans cette excitation, qui monte de plus en plus, à mesure que ses mamelles sont malaxées. Elle sent maintenant cette chaleur lourde, qui monte de son ventre et commence à lui inonder le vagin.

Tout en détaillant du regard les lourds seins, les auréoles larges, les tétons encore assez droits, et la peau légèrement fripée qui attache le tout à la gorge, Marc, toujours entreprenant, mais manifestement de plus en plus excité, poursuit :

- Oui… Les mecs ont dû se régaler avec de telles mamelles !

Jeannette se laisse faire sans résistance. Toutefois, un léger tremblement de ses mains trahit la tempête, qui explose sous sa crinière grise.

L’homme, bien plus jeune et bien plus aguerrit, que la vieille dame, sait qu’il faut rapidement prendre possession de sa proie et lui imposer sa volonté, pendant qu’elle se perd dans ses pensées. Aussi, d’un geste sûr, quoi qu’un peu brusque, il se lève et vient aider la femme à se lever à son tour en lui ordonnant d’une voix qui devient de plus en plus dure :

- Debout salope, tu vas me montrer cette chatte, qui a tant miaulé…

Et, joignant le geste à la parole, il défait totalement, la fermeture du dos de la robe et fait glisser le fin tissu, sur le sol. Très vite ensuite, il entreprend de faire glisser, à son tour le jupon, puis la grosse culotte en coton blanc. Il prend soin à laisser en place, les bas autofixants qui marquent le haut des cuisses, de la vieille. Puis, la faisant se tourner vers lui, il enchaîne :

- T’es une vraie grise à ce que je vois…. Mais tu ferais plus jeune avec la motte rasée… Bouge pas d’un pouce, ma salope !

L’homme recul de trois pas, s’immobilise et détaille du regard de haut en bas la vieille femme, nue devant lui.

Jeannette a les yeux baissés, elle pleure toujours, mais maintenant par petits hoquets, qui lui soulèvent la poitrine, dans un mouvement obscène et fait trembler, à chaque fois, quelques instants, ses seins gélatineux.

- Ne bouge pas… Où as-tu mis ma veste ?

- Dans l’entrée… Répond mécaniquement la femme, entre deux sanglots.

Marc sort rapidement de la pièce, pour aller dans le couloir, qui sert de vestibule, cherche sa veste quelques secondes, et, tout en prenant dans celle-ci son téléphone portable, ordonne d’une voix toujours aussi forte et dure :

- Tu ne bouges surtout pas, ma salope !

Puis il revient dans la salle à manger, cherche la meilleure place, se positionne, déverrouille son téléphone et choisie la fonction « appareil photo », prend tout de suite deux clichés.

La vieille semble sortir de sa léthargie, au bruit caractéristique de la prise de vue, mais avant qu’elle n’ait eu le temps de dire, quoi que ce soit, elle entend :

- Très bien, tu fais bonne vieille pute comme ça, tu vas maintenant mettre tes mains sur ta tête.

Sans un mot, comme subjuguée par les ordres, la femme grise porte ses mains à sa tête et croise les doigts avant de venir reposer, sur le haut du crâne, ses mains.

- Les coudes bien en arrière, que ça fasse bien ressortir tes mamelles… Allez… Mieux que ça !

Une fois de plus, Jeannette exécute l’ordre et fait de son mieux pour mettre ses bras vers l’arrière, de son corps. Dans cette position, la peau flasque de ses bras est un peu plus tendue, toutefois, le mouvement ne remonte que très peu ses seins.

Un... Deux… Trois flashs avec ce bruit si caractéristique, Marc s’applique à prendre les meilleures photos possibles, car il a une petite idée derrière la tête. Il ordonne à nouveau :

- Écarte tes jambes, que l’on puisse bien voir ta moule, de vieille salope.

Une fois de plus, la pauvre vieille dame se remet à pleurer, toutefois elle garde la pause avec ses mains sur la tête, mais n’écarte pas ses jambes assez vite, aussi, elle entend à nouveau :

- Alors, tu t’écartes, pouffiasse !

Ses pleurs redoublent, mais elle écarte ses jambes et offre ainsi sa chatte aux poils gris et longs, à la vue de son ex-gendre et à l’objectif de l’appareil.

Un… Deux… Trois… Quatre… Cinq flashs, sans que la femme ne bouge, à part ses hoquets de sanglots, qui font toujours trembler cette poitrine visqueuse et obscène.

- Bien… Caresse-toi la chatte…

Comme la dame ne réagit pas assez vite à son goût, le pervers bonhomme ajoute, avec encore plus de force dans la voix :

- Branle-toi, pouffiasse ! Tu ne comprends pas le français ?

Toujours d’une façon un peu mécanique, la dame baisse ses bras le long du corps et commence à porter sa main droite à son sexe.

- La main gauche sur la tête, je ne t’ai pas dit de l’enlever…

Le ton est toujours aussi directif et la femme grise obtempère aussitôt.

- Allez ! Branle ta vieille moule, fait la couler de plaisir…

Et Jeannette commence alors à se caresser doucement le clitoris sans entrouvrir son sexe. Elle appuie peu, mais commence une douce rotation de ses index et majeur joint sur le bouton d’amour.

Marc fait encore un pas en arrière, et recommence à prendre des photos, trois… Quatre… Puis, il se déplace doucement, pour changer le point de vue, cinq... Six…

- C’est bien, tu es une bonne salope docile, continue et n’hésite pas à te donner du plaisir… Et, alors qu’il continue à prendre des photos, il poursuit encore, mais cette fois d’une voix plus douce, plus câline :

- Retrouve les sensations que tu avais, avec ton jouet, sur les toilettes…

La vieille dame, ne pleurant plus pour le moment, prend plaisir à se masturber ainsi, devant cet homme étrange, qu’elle pensait connaître. Il doit bien s’avouer que le compagnon de sa fille lui plaisait, mais, si parfois, elle fantasmait un peu sur cet homme, dans la force de l’âge, elle s’interdisait d’aller trop loin et éviter que quoi que ce soit, ne transparaisse dans ses actes et propos, or, si l’homme agit de la sorte, c’est tout de même bien parce qu’il a compris quelques chose de profond, chez elle !

Les flashs continuent. Puis, sans crier gare, l’homme pose son téléphone sur la table, vient prendre la vielle femme par la taille, et la guide pour qu’elle finisse par s’asseoir, sur le bord de la table. Là, il reprend l’appareil, fait quelques pas en arrière, et ordonne à nouveau, mais d’une voix bien plus douce que tout à l’heure :

- Vas-y, branle-toi bien…

La vieille femelle ferme maintenant les yeux et, autant ivre d’alcool que de stupre, se donne entièrement à son plaisir. Entre les moments difficiles de tout à l’heure, et le plaisir de se masturber qu’elle a toujours ressenti, et qu’elle ressent encore, malgré l’âge, le fossé est si grand que, maintenant, c’est avec autant d’intensité, qu’elle sent le plaisir monté, que tout à l’heure la honte l’envahissait.

L’homme conscient de ce qu’il réussit à faire faire à son ex-belle-mère, ou considérée comme telle, monte encore le niveau de perversité d’un cran, en disant :

- Vas-y ma salope, fais-toi jouir, comme jadis sur tes chiottes… Et il laisse alors tomber très sèchement, comme quand ta fille te regardait faire…

À cette évocation, la femme est coupée dans son élan, elle ouvre les yeux en grand, et fixe d’un regard noir ce diable d’homme.

- Allez ! Branle-toi, ça t’excite qu’on te regarde, en train de te branler, hein ! Vieille pétasse !

Cette fois, Jeannette ne sait plus quoi faire et reste pétrifiée.

- Allez, te fait pas prier, morue, bricole-toi le clito, tu aimes ça…

La femme reprend alors doucement sa masturbation, mais cette fois, comme si elle voulait se sauver à travers ce geste, comme si elle voulait fuir et que, de se donner du plaisir, lui procurer cette fuite. Bientôt, l’alcool, le lieu, la présence de cet homme, ses gestes, tout l’excite à nouveau.

L’homme prend encore trois photos, puis, estimant qu’il est temps de passer à ce que lui a envie de vivre avec la vielle dame, il glisse son appareil dans sa poche, très vite se rapproche de la femme, la prend sous les bras, et l’aide à s’allonger sur la table de la salle à manger, tout en lui disant :

- Ça doit faire un moment qu’on ne t’a pas monté sur la table, non ?

Jeannette suit le mouvement sans répondre, toute perdue dans ses pensées, qu’elle est maintenant. L’alcool aussi commence à faire effet, comme on peut le voir à ses yeux, de plus en plus vitreux. Très vite, elle se retrouve allongée impudiquement sur la lourde table en bois, directement à même le bois lisse, puisque l’homme vient de retirer, d’un geste ample, la nappe qui était souillée du repas, de ce soir.

- Vas-y mémé, branle-toi pendant que je me prépare…

Et l’homme installe une chaise devant les jambes de la femme, qui dépassent de la table et pendent dans le vide. Puis, alors que la vieille s’est remise à se caresser doucement, il s’installe sur la chaise, s’empare des jambes à la peau flétrie, et tire à lui le corps, jusqu’à avoir les fesses au bord de la table.

Jeannette a les yeux écarquillés. Cette position allongée sur la table lui rappelle sa jeunesse et des souvenirs agréables lui remontent à la mémoire. De plus, se sentir tirer ainsi, bien que la peau glissant difficilement sur le bois n’est pas une sensation agréable, le côté prise à la hussarde sur la table ne fait qu’augmenter encore son excitation. Elle a stoppé sa branlette et attend maintenant, sagement, la suite des événements.

Très doucement, ce qui tranche avec ses ordres précédents, Marc porte sa bouche vers le sexe orné de poils gris, aucune odeur désagréable, seules les effluves, d’une femme qui vient de se caresser, persistent. Il sort sa langue et commence à titiller le clitoris, de son appendice, de façon experte.

La femme gémit très vite et commence même, à se tortiller doucement, comme pour mieux s’offrir à ces caresses, qu’elle aime tant.

S’apercevant que ses coups de langue sont bien appréciés, l’homme s’enhardit et, en ouvrant le vagin à l’aide de ses pouces. Il fait descendre sa langue sur le sexe vers l’entrée de la grotte féminine, en prenant soin de lécher toute la zone érogène, dans son ensemble.

Bientôt, il sort sa langue le plus possible et vient prendre possession du vagin, en enfouissant sa langue et faisant comme s’il roulait une pelle.

La mémé se pâme. Cette fois, elle se laisse totalement aller à son plaisir, en sentant sa chatte, délicieusement envahie.

Marc ressort sa langue et revient titiller le clitoris, maintenant que la grotte est détrempée, il peut passer à ce dont il avait envie, depuis tout à l’heure, et, tout en suçant et mordillant le clitoris pour tirer le maximum d’effet sur la vieille femme, il commence à introduire dans la chatte trois doigts joins.

Jeannette bouge son cul de plus en plus, elle exprime son plaisir en gémissant, de plus en plus fort.

L’homme fait maintenant entrer le quatrième doigt, tout en continuant à faire entrer et sortir l’ensemble des doigts joins, dans cette moule qui s’ouvre toujours plus.

Bientôt, estimant la chose possible, il sort ses doigts doucement, puis, en ayant fait un cône de ses cinq doigts joins, il enfonce doucement les doigts dans ce vagin, qui suinte le plaisir à gros flot, tout en continuant à s’occuper du clitoris, avec sa langue certes, mais de plus en plus avec ses dents par petites morsures, savamment dosées.

Sa chatte s’ouvre sous les assauts de ces doigts malicieux, Jeannette pousse de petits cris, à chaque douce morsure, qui vient agacer son clitoris, quel plaisir !

Doucement, mais fermement, Marc pousse sa main dans la chatte, qui s’ouvre à son passage, si le geste est doux et précautionneux, il n’en est pas moins persistant et volontaire. L’homme surveille les réactions de la vieille dame, d’un œil expert.

Bientôt la chatte abandonne le combat et s’ouvre pour engloutir totalement, la main jusqu’au poignet.

Le diable d’homme prend possession de l’intérieur du sexe, en fermant son poing. Puis, doucement, il commence à l’ouvrir et le refermer, dans un rythme lent. Il n’arrête pas pour autant son activité, au niveau du bouton d’amour et suis des yeux l’évolution, du plaisir de la dame.

Jeannette, qui après avoir poussé un cri plus intense, au moment où la main est entrée dans sa chatte, recommence ses petits cris, au rythme des à-coups sur son clitoris. Elle ne sait pas ce qu’elle reçoit comme traitement, mais les ondes de plaisirs qui parcourent son corps, lui font oublier tout le reste.

C’est maintenant, qu’il a sa main totalement dans la moule de la vieille, qu’il en profite pour stopper son traitement avec ses dents, reculer un peu. Et, tout en continuant à ouvrir et fermer son poing, emprisonné dans la matrice féminine, il annonce fièrement :

- Eh bien ma salope ! pour avoir une chatte aussi large encore à ton âge, c’est que tu as dû prendre du gros calibre !

Et comme la femme continue à gémir, signe de l’arrivée prochaine d’un orgasme, l’homme se lève de la chaise, la main toujours au chaud dans le ventre de la dame, et, de sa main libre, s’empare d’une touffe de cheveux pour tirer à lui la vieille tête. Quand la femme ouvre enfin les yeux, il lui dit :

- Regarde salope, tu as toute ma main dans ta chatte de morue !

Jeannette voit sans regarder, elle prend du plaisir, et halète de plus en plus fort. Très vite, elle referme les yeux et retourne à son plaisir, qui monte et dont elle sent le point d’orgue arriver, à grands pas.

Ce diable d’homme lâche la tête de la vieille femme, revient s’asseoir, et décide alors de faire jouir sa proie. Tout en continuant à ouvrir et fermer sa main dans la moule dilatée, il produit un mouvement de va-et-vient, et, de sa main à l’air libre, vient s’emparer du clitoris pour le branler, de plus en plus énergiquement.

La vieille n’en peut plus maintenant, elle commence à crier doucement, puis très vite, elle crie de plus en plus fort.

L’homme n’a plus qu’une idée en tête, faire jouir cette vieille femme. Puis, une idée lui vient et il se dit que, si elle jouit maintenant, il aura peut-être du mal à l’exciter encore, un peu plus tard, s’il a envie de quelque chose, aussi, il décide alors que la femme est au bord du gouffre, de tout arrêter pour le moment.

Il stoppe son massage obscène du clito, et retire prestement sa main de la chaude chatte dégoulinante.

Jeannette tremble de tout son corps, maintenant que toutes les caresses ont cessées, elle est presque arrivée à jouir, mais visiblement, ce diable d’ex-gendre ne l’entend pas de cette oreille. Elle est toute ensuquée, allongée sur sa table de salle à manger, ses seins et son sexe offert à la vue, de cet homme, qui pourrait être son fils, bref, elle ne peut pas recoller les morceaux de la soirée, pour le moment.

- Alors vieille salope, c’était bon de se faire fister, comme une reine du porno, non ?

- Oui…. S’entend répondre la femme d’une voix quasiment inaudible.

- Réponds plus fort, que tes voisins l’entendent que tu es une morue !

- Oui, dit encore la femme, mais toujours assez doucement

- Plus fort !

- Oui !

Cette fois la voix est audible dans tout l’appartement, mais il semble que ça ne suffise encore pas, aussi l’homme répète mieux, à la limite de crier :

- Plus fort, salope !

- Oui…

- Encore plus fort, crie-le, que tu aimes te faire mettre, comme une chienne !

- OUI ! fini par crier la pauvre femme. Cette fois, les voisins ont dû entendre, ce qui se passe dans l’appartement

Le vicieux homme ne compte pas en rester là, il revient sur le clitoris qu’il masse à nouveau, d’abord très lentement, puis il accélère tout doucement jusqu’à voir la vieille femme devenir rouge et commencer à haleter, donnant tous les signes d’une jouissance, à venir rapidement.

Jeannette perd, à nouveau, tout sens des réalités et se laisse aller à ce massage de son bouton d’amour, qui lui procure tellement d’ondes de plaisir, dans tout son bas ventre.

Marc, de sa main libre, soulève les vieilles fesses flasques et glisse son majeur et son index, dans l’anus ainsi offert. Il lime doucement ce trou rugueux et continue à masser le clitoris de plus en plus rapidement, toujours très attentif, aux râles de la femme.

Cette fois, c’est son cul qui subit les assauts, de cet homme pervers et vicieux. La femme offre, toutefois, son cul à ces caresses obscènes, qu’elle aime aussi énormément.

Marc joint maintenant son annulaire aux deux autres doigts. Puis entre à nouveau dans le cul, le sphincter ne fait aucune difficulté à laisser passer les doigts.

- Tu as l’habitude de te faire enculer, hein, vieille salope !

Comme la femme ne répond pas, perdue qu’elle est dans son plaisir montant, de plus en plus intensément, il poursuit :

- Alors ! Dis-le, que tu es une enculée !

Jeannette ne dit toujours rien, elle n’entend presque pas les mots de son ex-gendre, elle se laisse juste aller à ces caresses, qui lui rappellent sa jeunesse, et qui lui montrent, combien le temps perdu est précieux.

- Alors ! Vas-tu m’avouer que tu es une enculée ! Vielle morue ! Cette fois l’homme parle très fort, si des voisins étaient dans le couloir, nul doute qu’ils entendraient le message de cet homme.

- Je suis une enculée, dit doucement, la voix troublée par le plaisir, la femelle au bord de la jouissance.

L’homme retire encore ses trois doigts, puis pose les cinq doigts joints contre le sphincter, et pousse fermement, pour faire entrer l’ensemble, le plus loin possible dans l’anus. Il stoppe le massage du clitoris, et se sert maintenant de sa main libre pour remonter la jambe gauche de la femme le plus haut possible, ce faisant, il ouvre encore plus l’anus, déjà bien distendu.

Jeannette grogne, autant pour montrer son mécontentement que l’homme ne l’ait pas laissé jouir, et autant pour dire que la position devient inconfortable.

Marc se remet à lui bricoler le clitoris en relâchant la jambe qu’il tenait. Cette fois, il décide d’emmener mémé au bout de son plaisir, et en quelque trois ou quatre minutes, il amène la vieille à l’orgasme.

Maintenant, Jeannette se laisse aller et jouit bruyamment. Ses râles aigus, son souffle court, feraient davantage penser à une souffrance intense, qu’à la manifestation d’un plaisir indicible, tel qu’elle est en train de le vivre.

- C’est bon ça, hein vieille morue, que demande Marc, d’une voix ne masquant plus sa propre excitation.

- Oui, souffle, entre deux râles, la vieille femelle.

- Dis-moi que tu es une vielle salope, ajoute encore l’homme, alors qu’il arrête brutalement ses caresses, laissant ainsi Jeannette en manque de la fin de son orgasme.

- Oui… Souffle encore doucement la femme grise.

- Dis-le que tu es une vieille salope ! Ordonne encore, avec force, le vicieux personnage.

- Je suis une salope, finit enfin, par laisser échapper la femme.

- Non, tu es UNE VIEILLE SALOPE, répète-le…

- Je suis une vieille salope, mais une fois de plus, la voix est feutrée, le son, peu audible.

- Plus fort morue ! JE-SUIS-UNE-VIELLE-SA-LO-PE ! Je veux que toute la maison l’entente. Cette fois, Marc crie et il ponctue la fin de son message, par une grande claque sur le clitoris.

- AIE !

- Allez, crie-le-moi, que tu es une vieille salope ! Et cette fois, jouant du feu et de la glace, le gendre pervers reprend son malaxage du clitoris, il s’applique pour réussir très vite à replacer son ex-belle-mère dans un état proche de l’orgasme, il ordonne une fois encore :

- Allez, crie-moi que tu es une vielle salope.

- Je suis une vieille salope, cette fois la femelle en chaleur l’a dit clairement, avec une certaine force dans sa voix, toutefois encore très aiguë, qui dénote son état d’excitation intense.

- Plus fort morue ! Ordonne encore le vicieux homme, en redoublant de vitesse dans ses caresses clitoridiennes.

- JE SUIS UNE VIEILLE SALOPE ! Cette fois la pauvre femme a vraiment crié. Dans son plaisir, elle en oublie qu’elle est chez elle, dans une tour, avec de nombreux voisins alentour qui, sauf à être totalement sourds, ne pourront pas faire autrement, que d’entendre ses confessions perverses.

Marc s'applique maintenant à faire jouir la vieille femme.

Jeannette s'éclate dans un concert de grognements. Puis, après quelques minutes, à avoir des soubresauts et autres signes de l'intensité de son plaisir, la femme place ses deux mains sur son sexe, comme pour le protéger. Elle ne sait plus où elle en est, avec ce diable d'homme et cherche son souffle, mais elle est heureuse d'avoir eut un tel orgasme. Elle se perd dans ses pensées et ne sait plus du tout comment réagir, vis-à-vis de son ex-gendre.

L'homme ne compte pas en rester là, si cette vieille chienne vient de jouir en gueulant, il estime avoir, lui aussi, le droit à son plaisir, aussi, il se déplace et vient se mettre à la hauteur de la tête de la femelle aux yeux clos maintenant. Il ouvre sa braguette et sort son sexe en pleine érection. Empoigne les cheveux gris et tire la tête à lui, jusqu'à ce que la bouche soit en contact avec son pieu de chair, là, il lance d'un ton décidé :

- Ouvre la bouche et suce-moi, vieille truie.

La pauvre femme exécute l'ordre et happe ainsi une bonne partie de la tige de chair dressée à sa portée.

- Pompe-moi ! Pompe et donne-moi autant de plaisir, que je t'en ai donné, vieille salope.

Jeannette suce au mieux cette queue, mais il semble que ça ne suffise pas, car elle sent l'emprise de cette main, qui lui tient toujours les cheveux, devenir de plus en plus ferme.

- T'es comme ta connasse de fille, toujours prête à se faire remplir la marmite à foutre, mais pas capable de faire une vraie bonne pipe, je vais me branler dans ta bouche, mémé !

Et, joignant le geste à la parole, Marc, guide la tête, de manière à ce que la bouche puisse être bien envahie, par son sexe, et il se met à limer cette vieille bouche, sans aucune considération pour la femme, en soufflant de plus en plus rapidement et de plus en plus fort.

Jeannette se laisse aller, elle respire par le nez, ne pouvant pas, par la bouche ainsi occupée, elle porte toujours les mains à son sexe et la tête lui tourne, de tout ce qui arrive ce soir.

Dans un grognement à la limite de l'humain, Marc éjacule dans la bouche de la vieille dame, sans lui permettre de pouvoir se reculer, pour mieux respirer. Les longs jets de foutre tièdes vont s'écraser contre le fond de la gorge abusée. Il se laisse aller à son plaisir, totalement ivre de stupre.

Les mains toujours sur sa vieille chatte endolorie, Jeannette, avale machinalement le sperme, de son nouvel amant, pour pouvoir mieux respirer ensuite. Ivre, elle aussi, de stupre et d'alcool, elle reste là, allongée sur la table en bois, inerte, à attendre sa délivrance sans impatience.

L’homme reprend doucement son souffle et, sa queue devenant molle et se recroquevillant, ressort son membre tout en conservant machinalement la tête de la vieille entre ses mains.

- Ah ! Ça fait du bien de se vider les couilles dans un vieux pot comme toi !

En remballant le matériel dans son pantalon et refermant sa braguette, Marc, d'une voix grave, mais détendue, annonce encore à la vieille dame :

- Bon, tu vas m'attendre pour aller au lit, maintenant, je vais mettre les photos sur internet.

Il relève sa belle-mère, la place au milieu de la pièce, lui fait mettre les mains sur la tête, comme tout à l'heure, puis ajoute encore d'un ton vicieux :

- Les coudes bien en arrière, que ça remonte un peu tes vieilles mamelles ! Là, on dirait une vieille vache pour l’abattoir ! Et, en lui passant une main dans le dos, ajoute encore :

- Redresse-toi, salope !

Jeannette se laisse faire, elle pousse comme elle peut sur ses bras décharnés, pour faire venir ses coudes sur l'arrière de son corps, et tâche de se redresser au mieux. Obéir à son gendre, lui paraît la meilleure des choses à faire pour le moment. Son esprit est encore ensuqué par le plaisir intense, qu'elle vient de vivre et qui lui laisse de longs frissons, qui parcourent tout son corps.

L'homme, qui vient de sortir de la pièce, revient avec son ordinateur et son téléphone. Il pose ses deux appareils sur la table, qui est encore chaude du corps de la mémé. Branche son téléphone et récupère les photos sur son ordinateur, puis, se sert du téléphone pour aller déposer quelques-unes des photos sur un site de mémés vicieuses. À chaque fois qu'il attend qu'une page se charge, il regarde la vieille et vérifie sa pose qu'il corrige au besoin.

Après un bon quart d'heure, et alors que la vieille dame commence à avoir mal aux bras et s'en plaint, Marc referme son ordinateur et lui annonce très sérieusement :

- Voilà, tu vas devenir une reine d'internet ! Je vais tâcher de faire de toi, la vieille la plus salope du net, tu vas voir chérie...

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