Une vieille chienne : nuit d'ivresse (2015)

 

L'homme passe un certain temps devant son ordinateur, sur le net, à mettre en ligne des photos de la vieille et surtout, à les commenter de façon salace.

Pendant cette opération, Jeannette, totalement soumise, ne dit rien. Est-ce un consentement tacite ou une grande fatigue, elle-même ne pourrait le dire, tant cette soirée fut intense, en tout domaine.

L'homme attrape la vieille femme par les cheveux et guide sa tête pour que la vieille bouche vienne au contact de la sienne, sans faire trop d'effort, ni de mouvement, puis il embrasse fougueusement la femme.

- J'ai des potes qui aimeraient bien se taper une vieille folle de bite comme toi, je pense que je vais passer quelques jours ici et monter un petit gang-bang, pour toi.

Il embrasse à nouveau la femme, lui pelote les seins de sa main libre. Puis, descend vers la grotte intime, de la dame et reprend des caresses obscènes sur le vieux clito, encore tout dur.

Jeannette recommence à respirer fortement, ensuite de plus en plus rapidement. Les caresses sur son bouton d'amour, lui procurent de longs frissons qui parcourent tout son corps.

Sentant que la femme accepte, à nouveau, ses caresses vicieuses et impudiques, l'homme, qui a compris que le baiser était aussi un puissant aphrodisiaque, pour la dame, reprend possession de la bouche de sa proie.

Après un tel déferlement de sensations, presque oubliées, ce baiser fougueux, mais attentionné, revigore quelque peu cette femme, qui perd pied de plus en plus. Mais le bonheur est de courte durée, bientôt, comme dans un rêve, elle entend :

- Tu m'as bien excitée, vieille chienne, il faut que je me vide encore les couilles, dans ton ventre de vieille salope

À nouveau, le pervers personnage embrasse fougueusement la femme, en l'emmenant doucement, mais sûrement, vers le coin salon. Là, d'un geste r du pied, il pousse les revues qui encombraient la table basse, puis, il contraint la vieille à s’asseoir sur cette table.

Elle se laisse guider, sans chercher à comprendre, l'alcool faisant son chemin et embrumant totalement son cerveau. Elle ne sait bientôt plus ce qu'elle fait chez elle, ni pourquoi elle le fait, c’est agréable de se faire embrasser, comme bien des années au paravent, et ça devient la seule chose qui compte, à cet instant.

Il commence par se pencher en avant, pour faire asseoir la vieille femelle sur la table basse et en tester la solidité, puis, se dégageant de la bouche avide, l'allonge doucement de tout son long, les fesses au bord du petit côté, de la petite table.

Le contact frais, du bois sous sa peau, donne un léger frisson, mais toujours dans un état second, elle se laisse manœuvrer, par son ancien gendre.

Marc recule, allume la lumière, et, voyant les poils gris et clairsemés de la vieille chatte, décide de prendre quelques clichés de cette chatte, avant qu'il ne la remplisse de foutre. Il retourne à l'ordinateur prendre son appareil photo.

Jeannette a le dos et la tête sur la table basse. Ses jambes, en dehors du meuble, restent droites jusqu'aux genoux, et là, les jambes sont pliées à quatre-vingt-dix degrés, pour qu'elle ait les pieds au sol. Elle ne bouge pas, seule sa respiration, assez forte, se fait entendre et fait monter et descendre son buste.

Le pervers salaud revient et fait encore quelques photos de la chatte de la vieille femme, d'abord de loin, puis de plus en plus près, pour finir par quelques gros plans, quand soudain, il ordonne :

- Remonte-tes jambes et tiens tes cuisses.

Une fois encore, la vieille femme exécute l'ordre donné, relève doucement ses jambes et vient les maintenir, en passant ses mains sous ses genoux.

Marc en profite pour écarter les cuisses le plus possible et ouvrir la vulve, offerte au regard lubrique, de son objectif, puis ceux des internautes. Encore quelques prises de vues. Ensuite, il repose son appareil sur la table de la salle à manger et revient, en déboutonnant sa braguette et annonçant :

- Allez, je vais t'en mettre une cartouche, vieille toupie…

Et joignant le geste à la parole, il s'empare des cuisses offertes, se met à genoux devant la chatte ouverte, et pointe son sexe en érection à l'entrée de la grotte féminine. Il pousse, le gland entre d'un coup.

- Oh… Jeannette ouvre les yeux et fixe ce diable d'homme, qui prend possession de son corps.

L'homme enfonce son peu de chair en érection, le plus loin possible, mais doucement et lentement. Comme il voit que la vieille femelle sourit béatement, il lui dit :

- T'aimes ça, te faire piner, vieille morue… Et il accélère alors son mouvement, pour entamer un rapide va-et-vient.

Très vite, mamie commence à couiner, à se pâmer, entre l'alcool ingurgité, la soirée plus que déstabilisante, et cette "baise à la hussarde" dont elle subit les assauts, là, elle lâche totalement prise.

- Putain ! Que tu as la chatte large ! Je vais pouvoir faire mes trente minutes de sport à te limer, avant de te remplir vieux pot à foutre…

L'homme devient grossier et espère une réaction de la mémé, mais il ne semble pas que cette dernière, pourtant très "grande gueule" habituellement, ne dise mot, et, c'est bien connu, qui ne dit mot, consent !

Jeannette se laisse limer la chatte par ce bel étalon, la queue qui entre et sort en permanence à différents rythmes dans son corps lui donne un plaisir fou, qu'elle aurait presque oublié.

Pris par la tournure de la soirée, par l'alcool, même s’il en a moins bu que la vieille, commencent à faire sentir, des effets secondaires. L'homme, excité, se laisse aller à ses plus bas instincts et lime, cette vieille chatte, sans se poser aucune question, ni sur les conséquences, ni sur ce que la vieille pourrait ressentir ou même espérer.

La femme commence à jouir en poussant de longues plaintes, puis, ces plaintes se transforment en petits cris, de plus en plus aigus.

Marc se tape une mémé, rien que l'idée l'excite terriblement. Il est là, à genoux sur une petite carpette marocaine en laine, les chevilles de la femme sur ses épaules, ses mains tenant les chevilles, à limer une chatte plus vieille que lui de plus de vingt ans, aux poils gris, et il se régale des sensations et émotions qu'il en tire.

Maintenant Jeannette commence à vraiment faire du bruit, elle jouit en criant de plus en plus fort, peu lui importe, à cet instant, ce que les voisins pourraient entendre. Là, elle est juste à sa jouissance qu'elle sent tourner en orgasme, dans les instants à suivre.

Sentant pertinemment que sa partenaire du moment va jouir et atteindre l'orgasme, l'homme n'y met que plus d'énergie encore et de maîtrise de lui-même, du moins le, croit-il, car en guise de maîtrise, son plaisir monte inexorablement et va bientôt éclater, sans qu'il ne puisse, justement, plus rien contrôler ni maîtriser.

Jeannette jouit maintenant très bruyamment, non seulement elle jouit et pousse des sons incompréhensible, mais elle commence aussi maintenant à pousser des "oui", "vas-y", "continue"... Totalement intelligibles, eux !

- T'aimes ça… Elle est bonne ma bite ! Hein vieille salope, dis-le, que tu aimes te faire baiser… Dis-le, qu'à ton âge, tu aimes encore te faire ouvrir la moule, à coup de bites, vas-y morue, exprime-toi…

Marc aussi, crie à son tour, emporter par la puissance sexuelle du moment et par son excitation, à baiser son ex-belle-mère. De plus, c'est un peu comme s’il prenait une sorte de revanche sur son ex-compagne, ce qui ajoute encore à son excitation.

- Viens… Donne-moi tout… Cette fois, la vieille commence à exprimer son désir de façon claire.

Puis, elle part dans un long cri rauque et puissant, qui démontre son orgasme.

- Haaaaa… Salope ! Tu me fais jouir morue…

Et l'homme, ne pouvant plus résister à son propre orgasme, lâche son foutre chaud, en agrippant les vieilles cuisses flasques et en collant son pubis contre la vieille moule. Sa bite est totalement entrée dans le corps de la femme et il décharge de longs jets puissants, qui vont s'écraser contre le fond de la matrice féminine. Puis, il s’écroule, et son ventre vient au contact du ventre de la grise.

Jeannette a bien du mal à reprendre son souffle, tant l'orgasme a été puissant et dévastateur. De plus, le poids de l'homme, sur son corps usé, l’empêche de respirer totalement librement. Mais, après un tel orage, rester un peu avec le contact d'une autre peau sur la sienne, est un plaisir, qui prolonge le plaisir.

Après de longues minutes ainsi assemblé, Marc décide de se reprendre et il se relève assez péniblement, il est ankylosé et donc son corps ne répond pas aussi vite, qu'il le voudrait. Il se rhabille à peu près et regarde de haut, cette vieille salope allongée, telle une baleine échouée sur une plage.

Il retourne dans la salle à manger et reprend son téléphone qui lui sert d'appareil photo, puis, revient faire deux photos, de Jeannette allongée et comblée.

- Allez ! Au lit mémé, il est grand temps pour toi, d'aller reprendre des forces ! Après ce que je t'ai mis !

Ensuite, il aide la vieille femme à se relever de la table basse, mais il s'aperçoit que sa chatte suinte. Lui vient alors une idée perverse et il décide de faire marcher la vieille, dans l'appartement, jusqu'à ce que le foutre coule, de sa chatte encore élargie.

- Allez mémé, on va faire un peu de marche, pour te dégriser, et qu'on puisse ensuite dormir, tranquillement.

Jeannette se laisse soutenir et guider. Là, elle ne comprend plus rien du tout, mais elle se laisse faire sans rechigner et suis du salon au vestibule, puis au couloir, puis à la salle à manger, la promenade de cette folle soirée.

Après trois tours d'appartement, Marc stoppe la grise devant la table basse du salon, lui fait mettre un pied sur cette petite table, et vérifie que la chatte suinte bien. En effet, on peut voir des coulures de foutre le long des cuisses de la vieille. Aussi, il s'empare de son téléphone pour faire des photos.

Pendant cette petite séance photos, qui dure cinq longues minutes, devant soit écarter les cuisses, soit se pencher en avant, soit se pencher en arrière, soit serrer les cuisses, et ainsi de suite, la pauvre Jeannette ne dit mot et obtempère docilement.

Le pervers personnage est excité à l'idée que, dès demain, il mettra des photos de cette vieille salope, qu'il vient de baiser sur internet. Il ne doute pas que ces photos auront un franc succès.

- Allez mémé, cette fois, au lit…

Et prenant Jeannette par la main, il l'emmène dans la chambre à coucher.

La vieille femme, déjà nue, se met au lit comme un automate.

L'homme se déshabille rapidement et s'empresse de se coucher, il prend la vieille femme dans ses bras, histoire d'avoir les seins bien en main.

- On dort un peu, et cette nuit, je vais commencer à te baiser pendant ton sommeil…

Il éteint la lumière et sombre dans un sommeil réparateur, aux rêves lubriques.



Sur le coup de trois heures du matin, Marc se réveille. Très vite, son cerveau se remet en route et ses souvenirs, de la folle soirée, reviennent. Sans bouger, il écoute la respiration de la vieille femme, qui dort toujours dans ses bras, tout va bien, elle dort profondément, semble-t-il.

Il prend quelques instants de réflexions. Difficile de croire, qu'il a pu aussi aisément baiser, son ex-belle-mère. Quelque part, lui-même n'en revient pas. Mais il se dit aussi, qu'il faut battre le fer tant qu'il est chaud, et que la situation de cette femme, soumise à ses caprices, pourrait ne pas durer éternellement.

Il se souvient avoir promis à la mémé, de la baiser pendant qu'elle dormirait, aussi, il se dit que, finalement, il aura prévenu et donc qu'il peut abuser d'elle, du moins commencer à abuser d'elle, pendant qu'elle dort encore.

Très doucement, il se défait du corps de la femme et se tourne pour prendre son téléphone cellulaire qui lui sert d'appareil photo. Il consulte les clichés qu'il a pris quelques heures auparavant, se régale des postures obscènes et humiliantes qu'il a fait prendre à la vieille, et tout cela lui redonne une érection, qu'il commence à développer avec sa main libre.

Jeannette est totalement nue, elle ronfle doucement, comme une vieille machine à vapeur bien entretenue, mais dont le poids des ans est tout de même visible.

Ses rêves sont dans le passé, ses anciens amants, ses frasques, ses turpitudes, tout se mélange dans une scène fantasmagorique effrénée.

Marc entretient une belle érection, maintenant, il repose le téléphone sur la table de chevet, se positionne contre le dos de la femelle, guide sa queue sous les draps, trouve le sphincter. De l'autre main, il mouille ses doigts de sa salive, en enduit le trou du cul qui s’entrouvre sans peine. Visiblement, la vieille se faisait enculer souvent.

Il écarte ensuite les fesses molles. Puis, d'un coup de rein doux, mais ferme, enfonce le gland directement dans l'anus de la mémé.

Aucune réaction de Jeannette.

Marc pousse le bouchon un peu plus loin et son sexe entre à moitié dans l'anus ridé.

La femme grise se réveille d'un coup, et pousse un petit cri, puis demande d'une voix, trahissant son inquiétude :

- Mais qu'est-ce que vous faites ?

- Comme promis ma salope, je te prends le cul, pendant ton sommeil, tu vas voir comme c'est bon…

- Mais ! Marc ! Je ne vous permets pas…

- Ta gueule connasse ! Après ce que tu m'as avoué et ce que tu as fait hier soir, tu ne vas pas commencer à faire la mijaurée !

Et sans attendre une réponse quelconque, l'homme se met à limer le vieux cul en commençant par entrer son membre tout au fond, puis le retirant brutalement, le faisant sortir de sa gangue de chair. Puis l'introduisant à nouveau en écartant, fermement, les fesses fripées.

La vieille femme se laisse finalement faire, les mots durs lui ont rappelé la soirée de la veille et son comportement, qu'elle ne comprend pas. Mais pour le moment, elle est heureuse de sentir des ondes de plaisir parcourir son corps, car elle a toujours adoré la sodomie, et là, ce diable d'homme, s'y entend !

- Une vieille enculée comme toi est un vrai bonheur, dit Marc, le souffle court, tout à sa sodomie et à son plaisir.

Jeannette commence à râler de plaisir, sous les assauts de cette queue presque magique et les sensations, que lui procurent son sphincter.

- Tu la sens bien dans ton pot, salope ?

- Hum, hum… Fait la femme en guise de réponse.

- Dis-le que tu es une enculée !

- Oui… gémit-elle doucement.

- Dis-le que tu es une vieille enculée, allez salope, dis-le !

- Je suis une enculée, pousse timidement Jeannette entre deux râles de plaisir.

- Mieux que ça ! Je suis UNE VIEILLE ENCULÉE ! Cette fois, l'homme crie son ordre.

- hummmm… Un grognement qui veut dire, sûrement, non.

- Dis-le que tu es UNE VIEILLE ENCULÉE. Et l'homme stoppe alors ses mouvements.

- Encore, gémit la perverse mamie...

- Alors dis-moi, que tu es une vieille enculée !

- Je suis une vieille enculée…

L'homme reprend alors ses mouvements de va-et-vient, puis il dit encore :

- Plus fort, crie-le, que tu es une vieille enculée…

- Je suis une vieille enculée, crie la femme, mais certainement, encore pas assez fort.

- Plus fort, te dis-je !

- Je suis une vieille enculée, cette fois Jeannette le crie à plein poumon, puis elle reprend ses râles de plaisirs.

- C'est bien connasse ! Ainsi tout l'immeuble va savoir, que tu es une vieille putain, qui se fait encore enculer, à passer soixante-dix ans.

La perverse mémé ne répond pas, elle commence à jouir et à ne plus rien vouloir savoir du monde extérieur.

- Tu es trop bonne mémé ! Attends, je vais te prendre autrement, sinon je vais encore jouir trop vite, dans ton vieux pot à foutre…

Et, sortant sa queue de l'anus outragé, il repousse le drap et la petite couverture qui les recouvraient jusqu'à présent, saute en bas du lit, fait le tour, attrape les poignets de la vieille femme et la tire en dehors du lit.

Elle se laisse faire docilement et se lève sans broncher.

- À genoux devant ton cierge, ma salope.

La femme s'agenouille doucement et attend la suite des événements, sans sourciller.

L'homme s'agenouille à son tour et vient plaquer sa queue raide contre l'anus, cette fois, sans écarter les fesses, il emmanche l'anus, sans autre forme de procès.

Un cri de stupeur et de douleur transperce la pièce, l'introduction de la sorte est douloureuse, et la vieille se rebiffe :

- Ça fait mal…

- Alors prends tes miches en main et écarte…

Sans demander son reste, la vieille femme pose sa tête sur le lit et prend ses fesses à pleines mains, puis les écarte, le mieux qu'elle peut.

L'homme lime ce vieux fion, sans s'occuper de sa partenaire. Pour s'exciter encore d'avantage, il commence à raconter :

- Je vais mettre tes photos sur le net, tu vas devenir une reine… Tes petits enfants pourront un jour dire, ma mémé était une vieille putain…

Seuls des râles répondent à ce monologue.

- Tu es large comme une bouche de métro, vieille salope que tu es… Tu dois encore te faire enculer souvent, pouffiasse… Ça m'excite à mort, d'enculer une mémé comme toi…

Les uniques réponses, que l'homme ne puisse recevoir, sont des râles et des grognements de femelle en chaleur. Jeannette est sur le point de jouir.

- Je vais te remplir le cul mémé, tu vas voir, tu vas te sentir pleine de foutre, comme au bon vieux temps.

D'un seul coup, sous la force de l'orgasme, c'est comme si Jeannette se réveillait, elle gueule :

- Oui… Vas-y… Remplis-moi, salaud…

- T'aimes ça la bite, hein morue…

- Oui…

- Alors prends ça… Encore ça… L'homme assène de grands coups de reins, qui bloque les hanches contre le lit en bois massif, qui lui ne bouge pas d'un millimètre.

- Oui… remplis-moi...

- Je vais t’inonder ton cul, de sperme, ma connasse !

L'orgasme est encore plus fort que celui de la veille. La femme pousse un énorme cri, qui se transforme petit à petit en râle puissant.

Marc Jouit aussi et laisse son foutre se répandre dans les intestins de la vieille femme. Il s'affale sur le dos de sa partenaire. Pendant de longues minutes, il reste là, sans bouger, son support vivant ne bougeant, d'ailleurs, pas plus. Quand il a repris son souffle, il annonce :

- Allez mémé, mets-toi debout et on va faire un petit tour d'appartement.

Sur ces mots, l'homme se redresse, puis se met debout et aide la femme à se mettre debout. Il lui prend la main avant qu'elle n'ait plus faire quoi que ce soit, et l’emmène, à sa suite pour sortir de la chambre. Vestibule, couloir, petit tour par la cuisine, pour prendre un verre d'eau pour Marc, retour dans le couloir, salle à manger, salon, vestibule…

Jeannette suit mécaniquement ce diable d'homme, qu’elle aurait pu croire, hier encore, connaître, et qui aujourd'hui, se révèle être un parfait salaud. « Mais que veut-il bien dire », pense-t-elle, « en disant que je vais être la reine du net ? ». Une certaine angoisse commence à monter à ce sujet, car hier soir, alors qu'elle était bourrée, elle se rappelle que son ancien gendre a bien pris des photos et a bien branché son ordinateur.

- Allez, un peu de gym mémé, saute sur place maintenant, ordonne Marc alors qu'il s'est arrêté dans le vestibule, assez spacieux pour ce genre d'activité. Et il commence lui-même à sautiller d'un pied sur l'autre, en entraînant la vieille femme.

Sans comprendre, et perdue dans ses pensées angoissantes, la femme grise se laisse faire et commence à sautiller sur place, d'une jambe sur l'autre.

Après une grosse minute de ce traitement, l’homme stoppe et interpelle sa partenaire :

- Stop ! Maintenant, tu te penches en avant, jambes écartées, tu essayes d’attraper tes chevilles avec tes mains.

La pauvre femme se plie aux exigences de cet odieux homme, et, encore assez souple, elle arrive à attraper ses chevilles avec ses mains.

L'homme passe derrière elle, et sans aucun ménagement, écarte les fesses de la vieille, et vérifie que, de son anus, coule bien le foutre, maintenant.

- Bouge pas… Et immédiatement Marc rentre dans la chambre et prend son téléphone. Il revient et fait encore quelques photos de ce vieil anus, qui suinte le sperme.

- Visiblement, je t'ai trop rempli ma salope… Ton cul déborde de foutre, tu n'es plus étanche à ton âge ?

Jeannette ne répond rien, elle n'entend même pas les remarques désobligeantes, qui lui sont faites. Elle reste dans la même position, à attendre, elle ne sait quoi.

- Alors ? C'est l'âge qui fait que tu n'es plus étanche, ou tu as toujours eu des fuites du cul, une fois bien enculée ?

- Je ne comprends pas…

- Plus jeune, tu étais étanche du cul ou pas ?

- Je… Je… Bafouille la vieille femme en se relevant.

- Bouge-pas, tu vas avoir du foutre plein les cuisses connasse ! Alors, plus jeune, tu avais déjà des fuites du cul ?

- Heuuu… Je ne sais pas !

- Comment ça tu ne sais pas ! Tu ne sais pas si après une bonne sodo, tu salissais tes culottes ou non ?

- Heuuu…

- Oui ou non ? Tempête Marc, commençant à s'impatienter des tergiversations de son ex-belle-mère.

- Oui... Enfin, je ne sais plus !

- Et ton cocu de mari, ne voyait pas les traces dans tes culottes ?

- Heuuu…

- Mais je te pose des questions simples, tout de même ! Ou alors l'alcool et la bite t'ont rendu, totalement conne ?

- Non mais dis donc… Un début de rébellion. Et en même temps, elle se redresse et se remet totalement debout.

- Commence pas à faire ta femme du monde ! Tu as trompé ton mari pendant des années, tu te fais enculer par ton gendre ! Tu es aussi pute que ta fille ! Si ça se trouve, tu as tapiné, comme elle d'ailleurs ?

- Non mais ça va pas…

- Avec la vieille folle de bites que je découvre, rien ne m'étonnera plus maintenant ! Alors ?

- Non mais…

- Pas de simagrées, tu as fait la pute ou pas ?

- NON ! Je ne te permets pas…

- Mais tu n'as rien à permettre ou à refuser ! Vieille truie en chaleur ! Je te demande si, comme ta grosse pute de fille, tu as fait le tapin jadis, ou pas ?

- Non… Et elle enfuit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Non, je ne me suis jamais prostituée… Et elle pleure à chaudes larmes.

- Bon, allez, on retourne au lit. Et joignant le geste à la parole, Marc attrape le poignet de la vieille femme et la tire jusqu’au lit.

Une fois tous les deux allongés, et alors que la pauvre femme pense pouvoir dormir pour essayer d'oublier tout ça, le perfide ex-gendre, après s’être collé à la femelle et lui avoir pris un de ses nichons en main, reprend sur le ton de la confidence :

- Tu sais que ta fille a fait la putain ? Qu'elle recevait de vieux messieurs à la maison et qu'elle demandait du fric, pour ses services sexuels ?

- C'est ce que vous m’avez dit… Reprend-elle alors, et le vouvoiement revient naturellement.

- D’abord, elle a nié… Puis avec le témoignage des voisines et aussi celui de l'autre putain avec qui elle s'était lancée, elle a fini par avouer les faits, et avouer aussi que cela l'excitait terriblement de toucher, les billets avant de déshabiller les vieux messieurs.

- Oh, arrêtez s'il vous plaît…

- Non, non, tu vas entendre ça jusqu'au bout, après tout, tu es fautive de sa nymphomanie, tu l'as reconnu toi-même, tout à l'heure !

Jeannette se tait en se disant que, après tout, c'est la vie de sa folle de fille, et pas la sienne.

- Elle recevait ses clients sur le pas de la porte, pratiquement dans la rue donc, tu te souviens comment c'est fait, chez nous ?

- Oui…

- Eh bien, elle recevait les mecs dans le couloir, en bas et porte-jarretelles, nuisette transparente et mules aux pieds… Elle m'a même avouée, qu'elle leur demandait les sous quand ils étaient encore sur le trottoir et qu'elle glissait les billets dans ses bas, pour les faire entrer, et que le contact du papier avec sa cuisse, la faisait mouiller !

- Arrêtez, s'il vous plaît, pleurniche encore la pauvre femme, qui ne peut s’empêcher d’avoir les images de sa fille en putain, devant les yeux.

- Tu te rends compte, quand tu venais avec ton mari, les gens savaient que tu étais la mère, de la putain du quartier…

- Non… et Jeannette éclate en sanglots

- Si ! D'ailleurs une voisine m'a dit, après le départ de ta connasse de fille, qu'elle trouvait que la mère, avait aussi mauvais genre… Elle parlait de toi, là !

La pauvre vieille femme pleure doucement, sans cri ni gros sanglot, mais elle pleure vraiment, de là à savoir si elle pleure sur son malheur ou sur les malheurs et les frasques de sa fille, c'est plus difficile à savoir.

Marc, toujours avec un sein en main, écoute les pleurs de sa proie, il écoute aussi les réactions corporelles de cette femme pour voir comment et jusqu'où son discourt porte. Il la sait fatiguée, il l'imagine bien dans un état d'esprit complexe, entre les informations vraies, qu'il lui communique et ce qu'il lui a fait vivre, la veille au soir, il sait qu'elle est au bord du burn-out.

Avec la ferme intention de pervertir cette vieille salope, il poursuit :

- Ta fille, espérant certainement m'atteindre au moral, pauvre connasse qu'elle est, s'est amusée à me raconter par le menu, et par émail. Ainsi, j'ai des traces, ce qu'elle faisait avec ses clients, comment elle les mettait à l'aise, comment elle leur faisait une petite toilette avant de commencer, comment elle les suçait, commet ces vieux cochons la pelotaient ou lui mettaient des doigts partout, tous ces détails, tu veux que je te raconte un peu ?

- Non… Répond Jeannette dans une longue plainte.

- Mais si, tu vas voir, c'est rigolo et excitant à la fois…

Il comprime le vieux nichon qu'il a en main, puis, se collant comme pour glisser une confidence à l'oreille, il poursuit d'un ton feutré :

- Elle faisait entrer son client quand il avait payé, le faisait asseoir autour de la table du salon, là où elle vous a fait manger, quand tu es venu avec ton mari. Elle leur offrait un café ou une bière, et quand elle les avait servis, elle se mettait à genoux, pour leur ouvrir le pantalon, elle leur montrait ses lourdes mamelles et elle commençait souvent, à les sucer pendant qu'ils buvaient un coup.

- Vous êtes odieux…

- Ouiiii… D'autre fois, elle commençait à se caresser pour leur montrer qu'elle avait très envie de sexe. Elle montrait ses mamelles, ensuite, exhibait impudiquement sa chatte et montrait qu'elle portait deux anneaux en or jaune, sur les petites lèvres. Ses anneaux sur les lèvres et son tatouage sur le sein gauche, au motif tribal, intriguaient bien les messieurs, qui lui posait des questions.

- Elle est tatouée, en plus !

- Oui et percée aussi, elle porte des anneaux en or sur les petites lèvres, comme une véritable esclave de la bite… Une vraie pute, quoi !

- Des anneaux aux lèvres !

- Oui, et quand elle était punie, je lui posais un petit cadenas sur les anneaux, de manière à ce qu'elle ne puisse pas se faire baiser, mais seulement enculer…

- C'est dégouttant… La pauvre femme essaye de se redresser dans le lit, mais elle est fermement maintenue par ce diable d'homme.

- Si t'es une bonne vieille salope, je t’en ferai porter, mémé…

- Mais vous êtes malade…

Mais non… Allez, écoute plutôt ce que ta putain de fille faisait, avec ses clients…

- Elle commençait à sucer ces messieurs, si le sexe sentait le frais, elle continuait, si la queue ne sentait pas bon, elle emmenait le client dans la salle de bain du premier étage, pour lui laver la bite et les fesses en même temps.

- Parfois, elle se faisait même prendre sur la table de la salle à manger en disant : « je suis aussi pute que ma mère, je me fais baiser n'importe où et n'importe comment ».

- Non, c'est pas possible, je ne vous crois pas…

- je te ferai lire les courriels, que ta morue de fille m'a envoyé, alors…

- Mais comment…

- Comment quoi vieille pétasse ? Le ton de l'homme est devenu dur, cassant, et il a encore resserré son étreinte sur la femme fatiguée.

- Mais comment ma file en est arrivée là ?

C'est très simple, je pense qu'elle a toujours eu un côté putain en elle, travailler le moins possible, faire le plus possible la fête, et elle aimait le fric, donc…

- Oui, mais ça ne correspond pas à l'éducation, que je lui ai donnée…

- Ben voyons ! En te branlant sous ses yeux ! Tu parles d'une éducation mémé !

- Non…

- Et puis ta connasse de fille a trouvé, aussi, une copine aussi putain, feignasse et menteuse qu'elle…

- Comment ça ?

- Nous avions rencontré Bruno et Véro sur un site de cul, ils étaient libertins et aimaient la baise sans capote. Lui était chauffeur routier et partis toute la semaine, sa femme seule à la maison. Les enfants étant pensionnaire. Elle était livrée à elle-même, dans la semaine.

Elle nous avait raconté avoir accepté des rapports sexuels avec son beau-père, pour que celui-ci leur donne de l'argent, pour acheter la maison, et, finalement, elle avait pris goût aux vieux messieurs. À quarante ans, elle aimait les messieurs de plus de soixante ans, jusqu'à quatre-vingt-dix ans, disait-elle. Et comme l'âge des messieurs était gage de bonne santé, elle les prenait sans préservatif, que ce soit dans la bouche, la chatte ou l'anus. Ce qui plaisait d'ailleurs beaucoup à ta pute de fille, qui n'a jamais demandé, à aucun mec, de mettre une capote.

- C'est pas possible… C'est pas possible, répète doucement Jeannette.

- Donc, les gosses en pension, le mari absent, elle faisait la pute pour vieux dans la semaine. Mais son beau-père l'ayant surpris avec un autre vieux monsieur, lui fit une crise de jalousie, et elle dut arrêter de recevoir chez elle, sous peine de voir la "source à fric", se tarir.

Aussi, elle allait à l’hôtel, mais le prix de l’hôtel en plus, faisait souvent trop cher pour ses clients. Alors, elle proposa à ta putasse de fille, de faire la pute chez nous !

- Non...

- Si, la fameuse Véro, avait aussi bien emballé ta fille qu'elle l'avait embobinée dans ses plans prostitution.

- Bientôt, tous les après-midi jusqu'à vingt heures, les deux putes recevaient à la maison, mais aussi les soirs et les nuits, durant lesquels j'étais en déplacement.

- C'est pas vrai !

- Ça, non seulement ta connasse de fille me l'a écrit, mais en plus, deux voisines et un voisin me l'ont confirmé, qu'ils voyaient des allées et venues chez moi !

- C'est pas possible… et elle recommence à sangloter.

- Elles ont donc « fait du vieux », puis, trouvant qu'elle n'avait pas assez de clients, donc pas assez de fric, ta fille a passé des annonces pour du "tout venant" !

La vieille femme pleure maintenant, déjà la veille au soir d'apprendre que sa fille aînée se prostituait, lui avait fait un choc, mais à d'apprendre les détails, lui devient franchement insupportable. Comme l'homme s'est tu quelques instants, elle chuchote, plus pour se persuader que pour discuter :

- Mais c'est pas possible, c'est un mauvais rêve, je vais me réveiller…

- Non non, reprend l'homme de sa voix cassante, puis il continue :

- Elle a donc eu des clients de tout âge, jeune comme vieux. Et bien entendu, beaucoup plus d'argent, argent qu'elle jetait d’ailleurs, par les fenêtres en boissons (un litre de whisky par jour, ça cube à la fin de la semaine), en fringues (qu'elle revendait à perte ensuite) et en restaurants avec ses copines, à qui elle voulait en mettre plein la vue et donc, qu'elle invitait régulièrement ! La grande vie quoi !

- L'argent, l'argent…

- Oui, comme tu dis, mais le pognon, c'est le moteur des putes ! Avec les petits jeunes, elle demandait cent euros pour passer un moment, et deux cents s’ils venaient la nuit. Les clients étaient fous de joie, car elle ne demandait pas de mettre la capote, comme presque toutes les putes, elle, elle se laissait remplir de foutre, à l'ancienne.

- Oh non…

- Et si !

Là, la vieille se rebiffe et recommence à pleurer, que ce n'est pas possible, que sa fille ne prendrait jamais de tels risques, avec sa santé…

- Ah ! Mais tu te rappelles tout de même, ce que je t'ai expliqué hier soir, que ta morue se faisait sauter dans les chiottes ou sur le parking des boîtes de nuit. Et quand tu sais que ses filles et son fils allaient aussi, dans la même boite…

Jeannette pleure à nouveau en pensant, non pas à la santé de sa fille, mais ne s'imaginant ses petites filles, tout juste vingt ans, voir leur mère se faire sauter, sur le capot d'une voiture, sur le parking de la boîte de nuit qu'elles fréquentent et où elles sont connues ! Et comme tout se sait dans les petites villes.

Marc relâche son emprise sur la vieille femelle allongée à ses côtés, puis il ordonne :

- Allez, maintenant, assez de bavardages, dors à présent.

L'homme ordonne à la vieille de s’endormir pendant que lui va chercher son ordinateur, son téléphone. Il reste assis dans le lit pour récupérer les photos du téléphone sur l'ordinateur et les diffuser à nouveau sur le net.

Puis, il commence à rédiger un petit texte pour créer un blog sur une vieille salope qui se nomme Jeannette. Ensuite, au bout d'une heure et demie, il referme son ordinateur et éteint la lumière pour essayer de dormir encore un peu.

Mais excité comme il est, dès qu'il se colle au dos de la vieille femme, sa queue contre les fesses fripées, il se remet à bander.

Il se relève alors, se masturbe, fait le tour du lit, et vient se placer devant le visage de la femme qui dort.

Quand il sent qu'il va jouir, il enfonce sa queue raide dans la bouche de la femelle, qui se réveille presque en sursaut, mais l'homme prévoyant lui maintient fermement la tête et il se laisse aller à jouir et à répandre son foutre, dans la douce et chaude bouche.

La vieille râle et se débat, mais elle se fait remettre en place sur un ton ferme et directif :

- Ta gueule morue, tu n'es utile qu'à ça, donner du plaisir aux mecs en rut.


Encore des pleurs de la vieille femme, mais elle a tout avalé le sperme de cet homme odieux, qui se permet tant avec elle. Cela dit, elle sait que comme l'homme dort avec elle, elle se trouve dans une position des plus délicates, comment dire ensuite qu'elle a invité cet odieux personnage, qu'elle a accepté ses avances parce qu'elle avait bu, et qu'elle l’a même, de fait certes, accepté dans son lit ! Elle se sent totalement piégée.

Marc retourne de son côté du lit pour se coucher. Une fois allongée, reprend dans ses bras la vieille femme et s'endort.

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