Une vieille chienne : découverte de l'exhibition (2015-2023)

 

Marc se réveille, comme à l'accoutumée, de bonne heure. Il se lève en faisant bien attention, de ne pas réveiller la vieille, qui dort à côté, puis, nu, sort de la chambre en emportant son ordinateur et son téléphone.

Dans la cuisine, la pendule annonce sept heures trente, pas très tôt pour Marc, qui se lève bien plus tôt habituellement, mais après la folle soirée, et la nuit démente, qui en suivie, émerger est un peu plus difficile.

Un café, une bonne douche, et l'homme se sent d'attaque, il passe rapidement un coup de fils à sa secrétaire, pour lui dire de repousser son rendez-vous de l'après-midi, prétextant être en pleine prospection, dans la région. Puis, il va dans la salle à manger, installe son ordinateur, branche son téléphone, et crée très rapidement un petit blog en envoyant les textes préparer dans la nuit.

Une heure et demie plus tard, il a esquissé un petit blog amateur, avec les photos humiliantes de son ex-belle-mère, content de lui, et voyant qu'il est déjà presque dix heures, il va réveiller la vieille femme.

- Debout vieille salope, réveille-toi…

La dame ouvre les yeux avec un air hagard, les cheveux en bataille, gris et clairsemés, l’œil rougi, une coulure de salive, à la commissure des lèvres.

- Allez, ma vieille putain ! Debout feignasse, il est déjà dix heures et tu as du pain sur la planche. Joignant le geste à la parole, l'homme repousse la couette et découvre le corps nu.

- Ho ! Ça va pas recommencer, essaye de se rebeller la femme grise.

- Mais si ma vieille ! Aujourd'hui, perverse mémère devient la reine du net !

- Qu'est-ce que c'est que ces conneries encore, cette fois Jeannette est réveillée et elle tient à stopper, tout de suite, une escalade dont elle ne connaît pas l'issue, mais dont elle sait parfaitement que cela ne sera pas bon pour elle.

- Doucement mémé ! Avant de monter sur tes grands chevaux et me sortir tes grands principes, viens déjà voir ce que j'ai fait pour toi, pour que tu deviennes une vraie vedette, sur internet… Et il attrape la main de la femme et l’entraîne dans la salle à manger, devant son ordinateur resté allumé, sur la page du blog, totalement explicite.

- Mais ! C'est quoi ça encore ?

- Ton passeport pour être la reine des vieilles salopes françaises, sur internet… Regarde, il y a déjà un commentaire !

Marc s'assied devant l'écran en poussant légèrement la femme, puis, après deux clics, lit à haute voix le commentaire d'une photo où l'on voit Jeannette penchée en avant, se tenant les chevilles, avec son anus ouvert d'où s'écoule un filet de foutre et d’excréments mêlés.

- Superbe cette vieille chienne ! Sur quel site as-tu trouvé la photo, de cette connasse ? On dirait vraiment une amatrice.

- Mais…

- Super ! En quelques minutes seulement, tu deviens déjà, une salope vue cinquante fois…

Jeannette enfouie alors, son visage dans ses mains et se met à pleurer, pour la énième fois, depuis la veille.

Mais le pervers Marc ne veut pas en rester là, sentant qu'il a toujours le dessus, il poursuit :

- Maintenant, si tu n'es pas sage, si tu me trompeS, ou si tu me casses les couilles, connasse, je diffuse l'adresse de ce blog à tes enfants et tes amis.

- NONnnn… C'est un cri qui fini en plainte, le tout à travers les sanglots.

L'homme est très attentif aux réactions de la femme grise. Il scrute le moindre mouvement de ce corps secoué, pour le moment, par les sanglots. Il perçoit aussi un léger tremblement des jambes, qui lui fait penser que la vieille est dans un état de stress très important. Estimant que, pour le moment, il est temps de lui faire relâcher la pression, il ordonne, d'un ton plus conciliant :

- Va prendre une douche, tu pues le foutre et la sueur rance.

Et pour bien montrer qu'il prend la direction des opérations, il fait tourner la femme sur elle-même, pour la mettre dans le sens de la porte de la salle à manger, pour qu'elle aille vers la salle de bain. Une claque sur les fesses et la femme sort de la pièce.

Marc œuvre encore quelques minutes à son blog, puis, se rend à la salle de bain, entre dans la pièce embuée et contemple cette vieille femme, sous sa douche, sans se cacher de la propriétaire des lieux.

Quand elle s’aperçoit de la présence de son ex-gendre, la femme mouillée s'écrie :

- Mais, vous ne me laisserez donc jamais tranquille ! Sortez…

- Non, vieille connasse, avec ce que tu as fait cette nuit, ne commences pas à jouer les femmes effarouchées ! Et je ne parle même pas, de ce que tu m'as avoué, comme saloperies sexuelles. Je reste et je vérifie que tu te laves correctement.

De longues minutes s'écoulent avant que la vieille femme ne sorte, précautionneusement, de la douche, puis, se sèche, toujours sous le regard pervers, de son ex-gendre.

Une fois sèche, elle s’apprête à utiliser la brosse à dents, quand un ordre sec tombe :

- Non, tu pues le sperme, donc tu vas aller comme ça, faire les courses, je veux du pain frais et de la viande.

- Mais… Commence à ronchonner Jeannette.

- Pas de « mais » qui tienne, tu obéis, un point c'est tout.

Sentant qu'il n'est pas le moment de se rebeller, Jeannette se coiffe et passe devant l'homme pour aller dans sa chambre pour s'habiller. Elle est suivie de près.

Dans la chambre, elle tente encore de rester seule et apostrophe l'homme :

- Mais, vous n'allez pas me coller comme ça, tout le temps !

- Bien sûr que si, j'ai pas confiance dans une vieille morue comme toi, donc tu vas t'habiller comme je vais te le dire. Pour commencer, des bas et un porte-jarretelles. Et comme rien ne vient très vite, il ajoute encore :

- Allez on se dépêche un peu.

La grise fouille dans l'armoire, qu'elle vient d'ouvrir.

L'homme ne perd rien et surveille tous les faits et gestes de la vieille d'un regard froid.

De sur un rayonnage, elle sort un porte-jarretelles, noir qui fait également office de gaine et des bas noirs assez fins.

- Allez, assise sur le lit pour enfiler tes bas, salope…

Sur ce l'homme sort prestement de la pièce et va chercher son téléphone qui lui sert d'appareil photo. Tout en marchant vers la chambre, il le met sur la fonction vidéo et commence à enregistrer. Dans la chambre, il vient se placer devant la fenêtre et filme la vieille femme qui met son deuxième bas, en faisant bien attention de ne pas le filer.

- Bien, pour attacher tes bas, tu te mettras debout.

Là encore, la femme obéit, dès qu'elle en a fini avec son deuxième bas, elle se lève et attache les bas avec les jarretelles, d'un mouvement sûr.

Marc filme la scène sans faire de commentaire sur ce qu'il fait, puis, d'un ton sec, ne supportant pas l'opposition, il demande :

- Dis-moi, tu fais très vieille pute comme ça, tu aimes être fagotée comme une pute ?

- Non.

- Ah bon ! Alors pourquoi tu as dans tes affaires tout cet attirail de putain ?

- Mais…

- Suffit ! Après ce que tu m'as avoué cette nuit, combien tu as trompé ton mari, comment tu te branlais, en sachant pertinemment, quelque part, que ta salope de fille te regardait, combien tu aimes encore te faire enculer et bouffer au foutre, ne va pas jouer les innocentes, s'il te plaît ! Allez, une jupe maintenant.

Jeannette porte ses mains sur une autre étagère et ressort une culotte.

L'homme filme toujours, mais à la vue de la culotte, il s'exclame :

- Ah non ! Pas de culotte, une truie comme toi ne porte ni culotte ni soutien-gorge !

- Mais ma poitrine ne tiendra pas !

- C'est pas un souci ça, les mecs aiment les vieilles aux nichons mous qui dégueulent sur le bide.

- Mais je vais avoir l'air de quoi moi !

- Mais de ce que tu es ! Une vieille truie en chaleur, un vieux pot à foutre pour mâle en rut ! Ce que, de toute façon, tu as toujours été, connasse !

L'homme fait bien attention que la scène soit filmée en continu et au mieux.

- Tu es vraiment méchant… Commence à grommeler la pauvre femme grise entre ses dents.

- Allez, le chemisier le plus transparent que tu possèdes, vite !

Bien décidée à résister, au moins dans les détails, Jeannette se dit qu'il va être difficile pour son ex-gendre de trouver un chemisier comme il le décrit, bien entendu, elle a ce genre de vêtement, mais dans la penderie, pas avec ses chemisiers pliés, sur l’étagère du bas.

Comprenant le stratagème, Marc s'approche de l'armoire et ouvre la grande porte devant la penderie, là, il pousse, d'un geste sûr, les différents vêtements, jusqu'à trouver un chemisier, qui lui paraît assez fin.

- Tu mets celui-là !

- Mais il est trop fin…

- Tu mets celui-là, un point c'est tout !

Ensuite, l'homme replonge dans la penderie et fouille jusqu'à trouver une jupe, mi-longue, qui doit sûrement arriver aux genoux de la vieille, mais qui semble, elle aussi, assez transparente. Sauf que là, accrocher avec la jupe, il y a un fond de jupe noir pour éviter qu'elle ne soit trop transparente justement. L'homme se saisit du cintre, sur lequel est la jupe et tend, jupe et jupon, à la vieille, en lui disant :

- Je veux que tu mettes cette jupe-là.

Elle Prend le cintre et commence à défaire le jupon foncé, puis, à le détacher et à faire un geste pour l'enfiler.

- Non pétasse ! Pas le jupon ! La jupe de traînée ! Sans jupon, qu'on voit bien que tu portes des bas, connasse !

- Mais je ne sortirai jamais, habillée comme ça !

- Mais si ! Sinon, photos et vidéos directement chez tes enfants, je pense, les connaissant, et connaissant tes difficultés avec eux du fait de ton caractère acariâtre, que ces photos feront en sorte qu'ils pourront, enfin, ne plus te voir… Tu veux tenter l'expérience, pauvre conne ?

Jeannette sait que ce diable d'homme n'a pas complètement tort, elle a toujours eu des relations difficiles avec la famille, que ce soit de son côté ou du côté de feu son mari, mais aussi avec ses propres enfants et petits enfants, elle ne voudrait pas, que cette folle soirée, soit la mèche qui mette le feu aux poudres ! Aussi, elle se dit que, plutôt que de risquer une sale affaire, mieux vaut faire ce qu'ordonne de terrible bonhomme, de toute façon, il ne restera pas ici indéfiniment, puisqu'il habite fort loin de chez elle.

- Allez, magne-toi ta vieille rondelle flétrie, pétasse, je veux te voir aller en course, mais pas dans dix ans !

Une fois encore, la pauvre femme s'exécute et obéit aux ordres. Elle passe la jupe, puis enfile ses bras dans le fin chemisier et le boutonne jusqu'en haut.

- Attends, grosse pute ! On ne ferme jamais un chemisier aussi haut, puisque tu ne veux pas écouter et faire ce que je te demande, c'est moi qui vais décider du décolleté.

Et, joignant le geste à la parole, Marc ouvre plusieurs boutons de manière à créer un décolleté très provocant, limite outrageux.

- Regarde-toi dans la glace, tu ressembles bien à une vieille pute sur le retour, c'est comme ça que je veux, que tu sortes faire les courses…. Et pas question de refermer ton chemisier ou te cacher, je vais te suivre. Tout en disant ça, l'homme filme toujours tout ce qui se passe dans la chambre.

- Allez, ouste, file dans le salon, le temps que je m'habille.

Tel un automate, la femme sort de la pièce et se rend sur le canapé du salon, sur lequel elle se laisse lourdement tomber, perdue dans ses pensées, et ne sachant plus comment s'opposer, à ce sale type.

Marc s'habille aussi vite que possible et rejoint sa proie dans le salon.

- Allez mémé, on sort… Tu ne me connais pas, en dehors de chez toi, mais moi, je te suis et te prends en photo.

- Oh non ! Pas encore…

- Mais si, vieille pétasse, on va faire un super site avec tes lourdes mamelles et ton gros cul. Allez, on y va.

L'homme enfile sa veste pendant que la femme enfile un imperméable mi-long, qu'elle veut tout de suite fermer. Mais son ex-gendre n'est pas du tout de cet avis et d'un geste précis, il lui ouvre l'imperméable et lui jette un regard qui ordonne qu'elle reste ainsi.

Le couple sort de l'appartement, la femme referme doucement la porte à clef, pendant que Marc appuis sur le bouton d'appel de l'ascenseur. La porte métallique coulisse et les deux personnes entrent dans la cabine.

Il y a là, un jeune homme, d'une petite vingtaine d'années, qui se pousse poliment dans le coin de la cabine pour laisser le plus de place possible au couple.

Jeannette rougit presque instantanément, car elle s'aperçoit, qu'elle a ses seins, sous les yeux du jeune homme, très exposés, de façon tout à fait provocante.

Le jeune homme baisse les yeux et fixe cette poitrine, à portée de main, avec un regard avide, mais pas troublé le moins du monde.

Lorsque l'appareil ralentit, avant de stopper, Marc s'exclame :

- Putain, Jeannette, t'es encore en train de montrer tes mamelles, à tout le monde ! Ensuite, tu t'étonnes que les messieurs viennent sonner, chez toi.

La cabine se stabilise, les portes s'ouvrent, Marc, donne l'impulsion, au couple, pour sortir. Alors que la femme reste totalement muette, abasourdie qu'elle est, de cette réflexion incroyable.

Le jeune homme reste un peu perplexe, mais avec une information de première main, il connaît l'étage de la vielle, qui semble être une « pire salope », son prénom et avec un peu de chance, il va trouver le numéro de l'appartement, sur les boites aux lettres. Il se dit que, à l'occasion, il pourrait bien être, lui aussi un, de ces messieurs, qui viennent sonner chez la vieille.

Le couple vient de passer la porte extérieure et se retrouve sur le parvis, qui sert aussi de parking.

Alors que Marc prend de la distance, Jeannette voit son voisin du dessus. Elle lui fait un petit geste de la main, et, ce faisant, laisse son imperméable s’ouvrir en grand.

L’homme répond par un autre geste de la main, et, s’apercevant que sa voisine a presque les seins à l’air, fronce les sourcils, et lance un regard noir réprobateur.

Mamie referme son imperméable tout de suite. Elle a parfaitement reçu le message de ce voisin et elle rougit instantanément.

Le vieux, comme beaucoup, joue les offusqués, alors même, qu’il est très heureux d’avoir pu voir les gros nichons de sa salope de voisine. Voisine qui, à son goût, se prend habituellement, vraiment, pour la huitième merveille du monde.

En marchant vers la boulangerie, la vieille dame, qui ne fait pas attention, que ses grandes enjambées, font un peu remonter sa jupe, découvrant ainsi le liseré des bas.

Trois jeunes racailles, assis sur un banc sur le trottoir, sifflent la vieille en la voyant passer. L’un deux se permet même de l’apostropher :

- Hé bien mémé, tu cours chez ton mec ? s’il n’est pas là, reviens-nous voir, on te montrera que même jeune, on a déjà du savoir-faire !

Marc, qui suit à une vingtaine de mètres, se régale du spectacle, et il imagine bien la stupeur de sa proie.

Bientôt, Jeannette arrive à la boulangerie. Il y a six personnes devant elle, dont deux messieurs qui discutent, et comme ils ont tourné la tête à son entrée, ils ont pu voir la tenue débraillée, et ne se gênent pas pour mater de façon ostensible.

En ressortant, Marc l’apostrophe et lui intime l’ordre d’aller à la boucherie, chercher deux biftecks.

Elle prend le chemin du retour, puisque la boucherie se trouve à ‘opposé, par rapport à son appartement. Ce faisant, elle repasse devant les racailles de cité, qui, une nouvelle fois, la siffle et lui disent :

- Tu sais que t’es bonne, mémère ! Quand tu es en manque, tu nous appelles et on vient te faire le cul, comme à une reine.

Bien entendu, mamie fait la fière et ne répond pas. Mais on peut se demander si, de telles racailles, jeunes et bien foutus, ne lui plairaient pas un peu.

Marc se marre intérieurement. Il est heureux de voir que cette vieille donzelle, si hautaine bien souvent, commence à être la risée du quartier. Une mémé habillée comme une pute, bien vulgaire, les mecs adorent, même s’ils n’osent pas l’avouer.

À la boucherie, il se passe un peu la même chose, sauf que là, le boucher, un gros bonhomme jovial, se permet de s’adresser à sa cliente, en lui demandant si elle va bien.

Paniquée, Jeannette bafouille un peu pour répondre oui, et ensuite, pour commander les deux morceaux de viande.

Durant ce temps-là, un autre client est venu se frotter contre la vieille femme. Il a les mains baladeuses, et le boucher le voit, mais ne fait aucun commentaire.

- Vous avez vu, madame, nous faisons les livraisons maintenant, si vous êtes intéressée

- Non merci, venir ici me fait sortir un peu.

La femme prend le paquet qui lui est tendu et passe à la caisse pour payer.

Le boucher, qui aurait bien aimé faire une livraison chez elle, retourne vers ses autres clients, non sans lui avoir fait un clin d’œil complice et quelque peu coquin.

Le retour est plus calme, peu de monde dans la rue, et en arrivant au pied de l’immeuble, alors que Jeannette est rejointe par son ex-gendre, elle se retrouve tout à côté, du couple du deuxième, qu’elle connaît vaguement. Elle se fend d’un grand bonjour, auquel les personnes qui ont pourtant à peu près son âge répondent, tout en la regardant bizarrement.

Quand l’ascenseur arrive, tous montent dans la cabine, et dès que les portes sont refermées, Marc ouvre l’imperméable de sa proie et dit assez bas, mais suffisamment fort pour que le couple puisse entendre :

- Tes seins sont réellement merveilleux.

Et tout de suite la femme referme son imper et toise celui qui pourrait passer pour son amant.

La porte de la cabine s’ouvre, sans parler le couple sort, en regardant méchamment leur voisine, puis, dès que la cabine repart, Jeannette gronde :

- Mais vous êtes fou ! Je suis connue ici !

- Justement, c'est ce qui m’amuse…

- Espèce de salaud !

Une fois rentré dans l'appartement, alors que Jeannette a été ranger les steaks dans le frigo, a posé le pain sur la table. Marc la prend par la main et l'emmène dans la salle de bain, en lui disant :

- Maintenant, tu prends ta douche.

La vieille, qui commence à être habitué aux imbécilités, de son ex-gendre, se déshabille devant lui. Une fois nue, entre sous la douche. Quand elle a fini, l'homme lui tend un peignoir, en lui disant :

- Suis-moi. Il la ramène dans la cuisine et là, sort une bouteille d'un litre et demi d'eau de source et lui ordonne :

- On va prendre deux minutes, mais tu vas me boire, toute la bouteille.

Ne comprenant pas, ce qui lui passe encore par la tête, la femme obtempère, et en un quart d'heure, avale le litre et demi d'eau.

L'homme devient affable et discute un petit peu avec elle, de ce qu'elle a vécu dans la rue devant les racailles :

- Tu vois ce que vivait ta fille, elle était toujours habillée comme une pute et à chaque fois, qu'elle passait devant des groupes de jeunes, ou des mecs, un peu louches, elle se faisait apostropher comme ça. mais elle, ça l'excitait ! Et toi ça t'a excité un peu ?

- Ben non, certainement pas !

- Allons, allons, même pas un petit peu ? De beaux jeunes hommes comme ça, bien bâtis, sûrement avec un gros kiki.

- Non mais, ça va pas, non !

- Et le boucher ? J'ai vu qu’il t'avait bien détaillé, je ne suis pas certain, qu'il avait envie de te découper, mais il t'emballerait bien.

- Tout ça, ce sont vos histoires. Ça vous fait plaisir de le croire, mais il n'en est rien pour moi, voilà.

- Très bien, et maintenant, tu n’as pas une petite envie de pisser ?

- Oui justement, j'allais dire que je dois aller aux toilettes. Et tout en disant cela, elle se commence à se lever.

- Non, non, tu vas te retenir. Je vais d'abord te raser la chatte. Ça la fout mal, une chatte avec des poils gris. Ça ne te rajeunit pas du tout, ma pauvre vieille.

Il attrape Jeannette par la main et va l'installer dans le fauteuil, qu'il a déjà occupé, la veille.

Ensuite, il va dans la salle de bain, récupère un rasoir jetable et une bombe de mousse à raser, qu'il avait vu traîner sur une étagère. Il revient, fait écarter les cuisses de la femme, pour avoir son sexe bien en évidence. Une fois qu’elle est installée comme il l’entend, il passe de la mousse à raser sur le pubis et sur les côtés des lèvres. Après, dans un geste précis, il rase toute la partie préparée. Quand il a terminé, il annonce :

- Attends-moi, je vais faire quelques photos de ta petite chatte rajeunie.

Il va prendre son téléphone et revient pour faire des photos. Mais il prend un temps infini, ce qui n'est pas pour arranger les affaires de mamie, qui commence à avoir sérieusement, envie d’uriner. Quand il termine enfin, sa séance photo, il lui indique :

- Bon, je vais mettre ces photos-là, maintenant, sur le net. Reste dans cette position-là.

Oui, mais j'ai envie d’uriner, moi !

- Tu restes dans cette position-là, c'est tout ! Tu te retiens un peu, tu es quand même une grande fille, non, à ton âge.

- Oui, mais je ne peux pas me retenir d'uriner, comme ça, tout le temps que vous bricolez sur Internet.

- C'est pas mon problème, tu restes assise à côté de moi, je veux te voir en permanence.

Et elle commence à bouger dans tous les sens, se livre à une espèce de danse de Saint-Guy, tout en restant vautrée sur le fauteuil.

L'homme prend tout son temps pour défaire son ordinateur, le relier à son téléphone, télécharger ses photos, aller sur internet. Tant et si bien, qu’à un moment, Jeannette se lève pour aller aux toilettes.

L'homme se lève d’un bond et vient l’attraper, tout de suite. Il l'oblige à se rasseoir sur le fauteuil. Il la toise du regard et lui ordonne à nouveau :

- Tu ne bouges pas tant, que je ne t'ai pas autorisé, à aller aux chiottes

Mais, ce qui devait arriver, arrive. La pauvre femme, ne maîtrisant plus aussi bien que jadis, son sphincter urinaire, d'un coup, un filet d'urine coule de son sexe lisse.

- Grosse salope, tu es en train de te pisser dessus ! Attends, je vais faire encore quelques photos.

Et l'homme prend tout son temps, pour déconnecter, son appareil de l'ordinateur, et venir prendre quelques photos. Surtout que le mince filet du début, est devenu un peu plus important, qui coule et qui mouille le bord du fauteuil en velours.

- C'est bien, laisse-toi aller, pisse-toi dessus, c'est pas grave, au contraire, ça fait de belles photos.

Finalement, la mémé se pisse dessus complètement, ne pouvant plus du tout se retenir. Elle se remet à pleurer.

L'homme prend tout ça en photo, bien entendu. Ensuite, il retourne sur son ordinateur, reconnecte son téléphone et diffuse de nouvelles photos, d'une mamie incontinente

Il prend un peu de temps pour créer une adresse email et mettre sur le site les photos, où il présente Jeannette. Un petit texte qui propose de faire une séance de webcam, avec un vrai amateur de vieilles salopes.

Mais il ne veut pas perdre trop de temps et en attendant, reprend mémé par la main, l'a fait s'asseoir sur une sorte de banc en bois, qui sert le plus souvent de repose-pied.

La vieille femme pleure toujours autant, mais ne se rebiffe pas et elle se laisse entraîner dans les délires de cet homme vicieux.

Là, il l'a fait se pencher en avant, attache les poignées avec une cordelette au pied avant du fauteuil. Il prend alors quelques photos des nichons mous, qui pendent en avant, de façon obscène.

Entre deux gros sanglots, la pauvre femme demande :

- Vous aimez me torturer !

- Oui…

L’homme défait la cordelette et l’aide à se rasseoir, plus conventionnellement. En attendant que l'annonce, qu'il a passé, produise son effet et qu'il reçoive un coup de fil, il commence à demander :

- Tu es croyante ?

- Oui, bien sûr, pas vous peut-être ?

- Si, si, mais moi, je sais que ton mari, qui est là-haut, te regarde. Et je ne suis pas sûr, qu'en apprenant aujourd'hui, combien tu l'as trompé, qu'il soit très heureux. Pas plus que de te voir en train de te faire tripoter, par ton ancien gendre, que tu allumais si souvent. Tu imagines ce qu'il doit penser de toi là-haut ?

- Vous êtes vraiment un salaud !

- Oui, bien sûr, et toi, tu es une vieille salope en chaleur, donc on est fait pour s'entendre, ma belle.

Une petite demi-heure se passe, quand le téléphone sonne enfin. Et, alors que Jeannette veut aller répondre, Marc la stoppe tout de suite et lui dit :

- Non, ça doit être pour moi.

Interloquée, mamie le regarde et demande :

- Comment ça ! Vous recevez vos coups de fil chez moi, maintenant !

- Eh oui, peut-être bien, et il décroche le téléphone. Effectivement, à l'autre bout du fil, un correspondant, d'un type intéressé, pour faire une webcam et voir la vieille femelle, en train de pisser.

Marc sort de la pièce et va dans le vestibule. Là, il annonce à son correspondant, que cette prestation sera payante, via PayPal. Et, il propose de faire un lavement à la bière devant la webcam.

Le correspondant est tout à fait d'accord, pour la somme de cinquante euros, l'affaire est conclue.

Un bon quart d'heure plus tard, le portable sonne cette fois. Marc a fini d'installer Jeannette sur le lit, les jambes relevées, les poignets et les chevilles attachés ensemble, ce qu'il n'a pas été sans mal, ni sans pleur, de la part de la vieille femme.

Il allume son ordinateur, lance le programme de la webcam. En face, son correspondant fait de même. C'est un monsieur d'une cinquantaine d'années, qui s'est foutu à poil et qui se tripote un peu la bite.

Je suis super excité de voir, une vieille salope, avoir un lavement en réel.

Marc sort, un instant, pour aller dans la cuisine chercher une bière et revient.

La bière, qui était dans la cuisine, sans être au frigo, n'est pas froide, mais plutôt à température ambiante, ce qui arrange, un peu, les affaires. Marc, après avoir dévissé le bouchon de la canette, de trente-trois centilitres, s'approche du lit, pousse sur les cuisses, pour remonter le plus possible l'anus de la vieille et lui enfonce le boulot dans le postérieur.

- Aïe ! Ça fait mal !

L’homme ne tient pas compte de ces lamentations. Une fois la bouteille bien en place, il la secoue dans tous les sens, pour que la bière mousse bien.

La vieille gémit, se plaint, pleurniche, mais rien n'y fait. Et quand Marc ressort le goulot de la grosse canette, la vieille commence à sentir des grenouilles, dans son ventre, et ça fait un bruit de tuyauterie.

Marque s'adresse à son correspondant en lui disant :

- T'inquiète-pas ça va prendre, cinq ou six minutes, mais tu vas voir, le résultat est fantastique

La vieille traite son ex-gendre de tous les noms ! De salaud, de vicieux, de pervers, bref, tous les noms d'oiseaux qu'elle connaît.

Mais rien n'y fait, le bonhomme ne bronche pas. Il sait très bien ce qui va se passer.

Effectivement, au bout de cinq minutes, elle commence à avoir quelques pets moussants, comme si la mousse ressortait de son anus. Elle se tortille, les boyaux la font un peu souffrir.

Mais là, il reste de marbre. Cependant, il ne reste pas non plus, devant l'anus, qui devrait bientôt exploser.

Ça ne dure pas des heures, effectivement d'un coup la pauvre femme éjecte la bière, mais également des crottes d'excrément et elle se remet à pleurer de plus belle.

- C'est super, dit le correspondant, j'avais jamais vu ça ! Mais c'est génial, tu as vraiment de super idées.

- Ouais, merci, mais il faut dire que la vieille salope se prête, à tout et a toutes ses saloperies là.

Le pervers homme détache la vieille femme qui retrouve ses poignets et chevilles libres, et qui s’écroule sur le lit, sur le dos. Elle reprend son souffle, quand elle entend :

- Tu vas me nettoyer ta merde, vieille dégueulasse.

Et Marc la tire sans ménagement, hors du lit.

Pendant que Jeannette sort de la pièce pour aller chercher la serpillière, il se retourne auprès de son correspondant, et lui dit encore :

- Maintenant, la vieille femme de ménage, va faire la chambre, mais à poils, sous tes yeux.

Quelques minutes plus tard, mamie revient avec un balai-serpillière et un seau. Elle s’est aussi arrêtée à la salle de bain, pour enfiler son peignoir.

Marc, pas content, commence par lui arracher le seau et le balai, puis lui empoigne le col du peignoir, et le retire, d’un geste brusque, pour le jeter dans le couloir.

- À poil pour faire le ménage, ma vieille, ton client paye aussi pour te voir, faire ta chambre, nue !

- Vous êtes vraiment un odieux personnage !

- Tu ne disais pas ça, cette nuit, quand je t’enculais !

- Je ne vois pas de quoi vous parlez.

- De t’enculer, vieille toupie, et tu couinais comme une truie.

- Je ne vous permets pas !

- Allons, mémé, tu nous fais la fière parce qu’il y a du monde qui te regarde ? Fais le ménage, nettoie le sol, parce que tu as chié partout !

- Non !

Jeannette lui fille une gifle, et lui ordonne :

- Tu nettoies ta merde !

Le correspondant commence à dire :

- Elle n'écoute pas vraiment !

- Ben non, il y a des fois, elle fait un peu sa rebelle… Mais bon, le tout, c'est que je lui promette que je vais lui mette un bon coup entre les pattes arrière. Après, elle est sage.

Marc affiche un grand sourire, puis, estimant que mémé ne va pas assez vite, se tourne vers elle, et d’un ton menaçant, lui ordonne encore :

- Allez, nettoie, et plus vite que ça !

La vieille fait contre mauvaise fortune, bon cœur. Elle ramasse toutes les cochonneries par terre et nettoie. Ensuite, elle ressort de la pièce, pour aller rincer son balai et jeter l’eau de son seau.

Quand elle revient, Marc l'attrape par le bras, la fout à genoux par terre, le corps sur le lit. Là, il s’adresse à son correspondant :

- Bon, pour te faire plaisir et pour te faire voir, je vais l'enculer devant la webcam.

Mamie ne bouge plus, est-elle paralysée par la peur ? Attend-elle sa friandise ? Le sait-elle, elle-même ?

Marc, lui, ne perd pas de temps, il prend son ordinateur et vient le placer au pied du lit. Puis il s’agenouille au cul de la mémé, et là, fier de sa bite tendue, il écarte les vieilles fesses, des doigts de ses deux mains, puis guide son sexe avec son pouce, pour le mettre contre le sphincter. Il fixe son écran qui est munie de la webcam, et annonce hardiment :

- Regarde comment on encule une vieille pouffiasse.

Et, joignant le geste à la parole, il donne un sérieux coup de rein et enfonce d’un coup sa queue au fond du boyau de Jeannette.

Elle pousse un cri rauque. Elle ressent une vive brûlure à l’anus, et pleurniche :

- Ça brûle, au secours !

Mais très vite, les allers et venues, dans son arrière-train, la font haleter. Puis assez vite encore, gémir.

L’homme ne s’économise pas, est-ce pour jouer les fiers-à-bras devant son correspondant, ou est-ce simplement parce qu’il veut jouir à nouveau, Dieu seul le sait.

Maintenant, la vieille jouit, elle aussi, elle n’aurait jamais cru possible de jouir autant par l’anus, combien même, ce passage fut souvent emprunté par ses amants. Elle serre les draps dans ses mains, rendant ses doigts légèrement bleus.

Marc, dans un ultime mouvement, s’enfonce le plus loin possible dans le corps de sa partenaire. Cette fois, le compte y est, et il décharge son foutre tout au fond du rectum. Il pousse un grognement, en articulant, assez mal, avec les dents serrées :

- T’es trop bonne, vieille truie.

Et il affale son corps massif sur le dos de la femme qui tremble de tout son être sous la violence de l’orgasme.

Elle met plus d’une minute à pouvoir arrêter ses tremblements désordonnés. Jeannette a le souffle court, et ce corps lourd, sur elle, ne la dérange pas, au contraire, elle trouve cela rassurant, à ce moment-là.

Marc prend tout son temps pour se redresser et ressortir sa queue, devenue molle, de l’anus martyrisé. Il se tourne vers son ordi et demande :

- Ça t’a plu ?

- Ouais ! Super ! Je me suis branlé, je m’imaginais à ta place dans son fion !

- Attends, je vais te montrer son trou du cul, en gros plan.

Il se recule un peu sur ses cuisses, attrape l’ordinateur, et vient le placer devant l’anus béant, qui frétille encore quelque peu.

Dans un autre monde, et ayant perdu la notion du temps, la femme ne sent pas vraiment monter, de ses entrailles, un bouillonnement. Bientôt un pet, accompagné d’une mousse marron clair, sort de ce cul malmené, quelques instants plus tôt.

- Oui, pète vieille chienne, c'est naturel, pour les grosses enculées comme toi.

Ensuite, reposant son ordinateur sur le lit, il empoigne la vieille femme par les cheveux, et, en l’aidant à se tourner, la fait se redresser. Lui-même se lève d’un bond, puis offre son sexe dégonflé à la bouche soumise.

- Gobe ça, mamie, une sucette goût bière foutre !

- Tu devrais faire un sketch et la passer à la radio bière foot ! (cf : Les Robins Des Bois - Radio Bière Foot).

Les deux mecs se marrent, pendant que la mémé suce énergiquement, comme si elle voulait refaire bander son amant, bien plus jeune qu’elle.

Le correspondant reprend la parole et dit :

- Elle est vraiment top, cette vioque ! Je rêve de pouvoir me taper une vieille folle de bites comme elle !

Marc, qui ne perd pas une seconde de vue, les turpitudes qu’il veut faire vivre à sa vieille ex-belle-mère, propose alors :

- Écoute, si tu n’es pas trop loin de la Roche-sur-Yon, je te propose, pour cent balles, de venir la piner. Tu pourras lui faire ce que tu veux...

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