Les tribulations de Béatrice : Monsieur Roger (2013)

 

Cette fois, la pauvre Béatrice est effrayée. Bien sûr, elle sait parfaitement que cette situation actuelle est la résultante de ses turpitudes. Elle sait qu'elle paye en ce moment, tout le mal qu'elle a pu faire, à son époux, mais là, de rester debout, nue, les yeux bandés et les mains menottées, devant ce monsieur qu'elle ne connaît pas, et qu'elle ne peut même pas voir, lui fait atrocement peur et lui donne la chair de poule.

Elle sent l'homme rôder autour d'elle, elle comprend qu'il la détaille, l'observe, et cela la rend encore plus mal à l'aise. C'est perdue dans se pensées, qu'elle entend subitement :

- Écartez vos jambes, que je puisse voir votre moule en détail.

La sensation est bizarre, cet homme utilise une formulation plutôt polie, en la vouvoyant, mais il utilise aussi des mots très crus, voire argotiques. La blonde se demande bien, qui peut être ce monsieur. Sa voix indique qu'il a dépassé la soixantaine, mais le ton et les mots utilisés feraient plutôt croire, à quelqu'un de plus jeune. Toutefois, elle ne se fait aucune image de son physique.

Voyant que la femelle ne bouge pas à son commandement, Roger, une cravache à la main, prend un peu de recul et assène un grand coup du bois de la cravache sur les cuisses serrées de la femme.

- Aie ! Mais ça ne va pas, non !

- Taisez-vous, je vous paye, donc vous exécutez les ordres, quand ils vous sont donnés. Écartez vos jambes maintenant.

Cette fois, Béatrice n'attend pas une seconde avant de suivre les instructions. Elle soulève légèrement sa jambe droite et la repousse plus loin de vingt centimètres.

- Penchez-vous en avant.

À nouveau, ne voulant pas prendre le risque de recevoir un autre coup de cravache, la femme exécute et se penche en avant, mais sans garder le dos bien droit.

- Le dos bien tendu ! Ordonne sèchement Roger.

Béatrice se redresse un peu pour que son dos soit le plus droit possible. Cette position lui est difficile à tenir, avec les mains dans le dos.

L'homme s'approche et laisse traîner le bout en cuir de sa cravache, sur les fesses trop plates de la pauvre femme, qui frémit à ce contact. Puis, il laisse le cuir s'insinuer entre les cuisses de la blonde, pour venir finir par flatter la vulve entrouverte, par la position adoptée.

La blonde frissonne de plus en plus malgré la température très correcte de la pièce. Elle n'ose pas bouger, sentant confusément qu'elle a plus de risques à bouger, qu'à rester en place, bien sagement.

Roger continue son inspection visuelle et tactile par cuir interposé. Il passe maintenant, entre les fesses, pour s'attarder sur la pastille brune de l'anus, encore tout ouvert par le traitement, qu'il a subi dans la voiture. Puis, d'un ton presque anodin, l'homme dit :

- J'ai eu tout le loisir de voir, en détail, votre prestation cinématographique. J'ai particulièrement apprécié les dialogues, vous semblez être une adepte de la sodomie sauvage, et je dois reconnaître que j'ai été quelque peu impressionné, par la taille du plug qu'Ahmed vous a fait porter.

À ce discours, des images de la folle soirée remontent à la mémoire de Béatrice. Elle se souvient de la déchirure qu'elle a ressentie à l'introduction, de l'énorme jouet, mais aussi, de la honte qu'elle éprouve tous les soirs, lorsque son propre mari lui fait porter, l'engin pour dormir.

Roger joue avec le sphincter distendu et le titille du bout de sa cravache, avec une maîtrise parfaite de ses mouvements. De là où il est, il sent l'odeur, très particulière, du préservatif, dont s'est servi Moustapha, quelques minutes auparavant. Il demande donc :

- Vous seriez-vous fait sodomiser, avant d'arriver, par hasard ?

La pauvre femme ne sait pas trop quoi répondre, elle réfléchit quelques secondes, avant de répondre d'une voix mal assurée :

- Non...

L'homme retire prestement sa cravache en arrière et donne un grand coup sur les fesses, à sa portée, cette fois non plus avec le cuir, mais avec le bois de l'ustensile.

- Aie !

Puis, la voix toujours posée, l'homme enchaîne encore :

- J'ai horreur des salopes menteuses, je répète ma question, vous êtes-vous fait enculer, en venant tout à l'heure, ou non ?

- Oui...

Roger prend à nouveau son élan et donne un nouveau coup, cette fois plus durement encore, sur les fesses plates.

- Aie ! Vous me faites mal !

- Oui qui ? Demande l'homme sans prendre en compte la remarque de la blonde.

- Oui Monsieur...

- Voilà qui est mieux... Tâchez de ne pas oublier ce genre de chose, sinon vous risquez fort, de souffrir le martyre avant peu.

Cette fois, Béatrice a franchement peur. Avec ses mains entravées et le bandeau sur ses yeux, elle se sent totalement à la merci de cet homme, qui lui parait bien étrange.

Roger reprend ses caresses bizarres, avec sa cravache, puis il ordonne encore :

- Prenez vos fesses, pour les écarter du mieux que vous pouvez.

Béatrice n'attend pas pour obéir. Elle tend ses bras et prend ses fesses à pleine main, puis les écarte, de tout son possible.

Laissant le cuir traîner sur l'anus et la vulve pendant quelques instants, l'homme demande encore :

- Racontez-moi comment vous vous êtes fait enculer donc...

Se demandant où veut en arriver l'homme, et ce qu'il a envie d'entendre, la pauvre femme prend quelques secondes de réflexion, puis, ne sachant pas trop quoi dire, et se souvenant, que le retard des réponses, pouvait amener une déconvenue cuisante, elle opte pour dire franchement, ce qu'elle vient de vivre :

- Ils m'ont fait monter dans la voiture, après m'avoir posé le bandeau sur les yeux. Lorsque nous sommes partis, Ahmed m'a penchée sur ses genoux et à dit à son ami, qu'il pouvait me prendre, si le cœur lui en disait. L'autre homme m'a donc mis ses doigts dans les fesses, puis, il m'a sodomisé pendant que la voiture roulait, voilà, c'est tout.

- C'est tout qui ? Un nouveau coup de cravache vient ponctuer la question.

- Aie... C'est tout Monsieur.

Roger reprend, une fois de plus, ses caresses étranges avec sa cravache, cette fois, il passe derrière la blonde et fait passer son cuir sur la vulve. Bientôt, il s'attaque au clitoris, qu'il cajole avec dextérité, provoquant quelques petits mouvements chez Béatrice. Il demande encore :

- Vous aimez vous faire enculer un peu n'importe où, comme dans une voiture par exemple ?

- Ils m'ont forcé. Puis, la seconde d'après, sentant que la cravache quitte sa chatte, elle précise :

- Monsieur.

- Avouez, qu'ils ne vous ont forcé qu'à faire, ce dont vous rêviez secrètement !

Le vieux monsieur, qui avait commencé à retirer sa cravache, pour frapper, la replace et reprend son passage son cuir sur le clitoris.

Cette fois, la blonde, interloquée par la remarque, prend le temps de la réflexion. Si elle reconnaît bien avoir dragué Ahmed en boîte, si elle reconnaît également avoir eut envie de cet homme en elle, elle n'a encore pas fait la démarche d'aller voir, tout au fond d'elle-même, les véritables raisons qui la poussent à de tels agissements. Se doutant bien qu'elle risque un autre coup de cravache, si sa réponse ne va pas assez vite, elle s'empresse de dire :

- Non, je ne crois pas...

Cette fois-ci, Roger baisse la cravache puis donne un coup sec sur la vulve en disant, d'une voix plus forte :

- Monsieur !

La pauvre femme pousse un cri sous la douleur, en resserrant ses jambes instantanément et en se penchant encore plus en avant, tombant presque.

- Écartez les jambes.

D'un mouvement tremblotant, Béatrice écarte à nouveau ses jambes, sans rien dire.

- Mieux que ça... Allez !

Elle pousse encore sa jambe droite d'une bonne dizaine de centimètres.

- Le dos bien droit.

La pauvre femme fait encore cet effort et redresse son dos tout en restant penchée en avant.

- Prenez vos fesses en main et écartez-les...

Voulant éviter au maximum, le risque de la cravache, dont le dernier coup la blesse encore terriblement, Béatrice prend ses fesses en main et les écarte.

Roger prend le temps de faire doucement le tour de la femme penchée, en inspectant chaque parcelle de peau nue. Ensuite, il vient se placer à nouveau derrière la blonde et recommence à faire glisser le cuir, sur la peau. Quelques instants plus tard, il reprend :

- Bien... Je ne pense pas qu'une femme puisse faire, d'elle-même, ce que vous avez fait lors du tournage, sans que cela ne corresponde à quelque chose de profond chez elle. En convenez-vous ?

- Je ne sais pas... Monsieur ! Le dernier mot a jailli de sa bouche, au moment même, ou le cuir quittait sa peau.

- Ne pensez-vous pas, qu'une femme qui n'aurait pas envie de ce genre de partouze obscène, se serait débattu ? Aurait crié ? Aurait tenté de se soustraire à ses agresseurs ?

Une nouvelle fois, les propos de l'homme l'interpellent. Elle essaye de réfléchir et se remémore qu'elle était, effectivement, totalement excitée et qu'elle s'est laissé aller à toutes ses pulsions. Elle se dit aussi, que d'autres femmes n'auraient jamais accepté, tout ce qu'elle a accepté. Aussi, après ces quelques secondes, finit-elle par dire :

- Oui... Vous avez raison... À nouveau, le cuir, abandonnant sa peau, lui a fait presque crier :

- Monsieur !

- Bien... Nous sommes d'accord... Par contre, vous, à ce que l'on peut nettement voir, sur la cassette, vous avez été totalement consentante ! Vous avez eu beaucoup de plaisir, n'est-ce pas ?

- Oui Monsieur.

- Vous avez suivi Ahmed et ses amis, de votre plein grè, n'est-ce pas ?

- Oui Monsieur.

- Vous vous êtes laissé caresser dans la voiture pendant le trajet, n'est-ce pas ?

- Oui Monsieur.

- Et vous me dites, que vous ne croyez pas que tout cela corresponde à vos désirs intimes ! J'ai bien du mal à vous croire. Affronter la réalité et dites-moi franchement, à quoi correspondent donc vos attitudes perverses ?

Quelle torture, toutes ces questions. De plus, la pause qu'elle est contrainte d'adopter, ne lui parait pas être propice à la réflexion. Toutefois, elle est obligée de reconnaître, que ce qui lui est arrivé, est bel et bien, ce dont elle avait envie, au début, tout du moins. Mais trop orgueilleuse pour l'admettre devant autrui, elle cherche une excuse à ses actes, et finit par dire :

- En fait, j'étais saoul...

Roger retire sa cravache en arrière et commence à se déplacer sur le côté droit de la blonde quand il entend :

- Monsieur...

- Fallait y penser plus tôt, petite salope !

Et, joignant le geste à la parole, il lève sa cravache et l'abat violemment, pour la troisième fois, sur les fesses plates, en visant entre les deux grandes marques rouges, qu'elle porte déjà.

- Aie !

Sous cette nouvelle morsure de la cravache, Béatrice se recroqueville sur elle-même, en pliant ses genoux.

- Debout ! Ma chère, je compte bien vous apprendre à ne pas me manquer de respect... Alors, si vous voulez pouvoir vous asseoir dans les jours à venir, tâchez de ne plus oublier de dire Monsieur, quand vous me répondez, est-ce compris ?

- Oui Monsieur...

- Bien... Reprenez donc votre position et continuons.

Avec bien du mal, la pauvre femme se remet debout, puis se penche en avant. Sans que l'homme n'est quoi que ce soit à dire, elle prend ses fesses à pleine main et les écarte.

- Bien, vous étiez saoul donc... Voilà bien une drôle d'excuse, ma foi... Estimez-vous que l'alcool vous fasse faire des choses, contre votre propre volonté ?

- Oui Monsieur.

- Tient donc ! Autrement dit, l'alcool décide. Et vous, vous exécutez, c'est bien cela ?

- En quelque sorte Monsieur... oui...

- Et qui décide alors de boire de l'alcool ?

Il devient évident pour Béatrice, que l'homme n'est pas prêt à croire à ses excuses. D'ailleurs, à bien y réfléchir, elle n'y croit pas non plus outre mesure. Et, bien qu'elle ne sache pas trop quoi répondre, pour se sortir de cette impasse, elle sent que l'homme attend sa réponse, aux petites tapes du cuir contre sa fesse. Prise de court, elle finit par dire benoîtement :

- Moi Monsieur.

- Bien... Donc, vous admettez que vous buvez. Question suivante : Avez-vous conscience que vous faites n'importe quoi, lorsque vous avez bu ?

- Oui Monsieur.

- Bien... Dans ce cas, pourquoi buvez-vous, puisque vous savez que vous allez faire n'importe quoi ensuite ?

Là encore, la question est délicate et Béatrice voit très bien le piège, qui est en train de se refermer sur elle. Mais elle ne veut pas lâcher le morceau, car elle se doute bien, que toutes ces questions ont un but. Que ce but n'est pas forcément quelque chose de bien pour elle. Elle cherche désespérément une réponse, qui ne la piège pas totalement, quand elle commence à sentir à nouveau les petits coups pressés sur sa fesse. Dans la précipitation, elle ne peut que répondre :

- Je ne sais pas Monsieur.

- Allons, allons ! Vous pouvez tout me dire... Alors ?

- Je ne sais vraiment pas, Monsieur, je vous assure.

- Bien, alors je vais vous aider un petit peu...

Et pour bien faire comprendre à la pauvre femme, ce qu'il attend d'elle, il arrête de la caresser avec le cuir, prend un pas de recul, porte le bout de l'ustensile à la hauteur des genoux de la blonde, et frappe un coup fort dans l'entre-jambe en tâchant, encore, de toucher le clitoris.

Un cri déchire la pièce. Cette fois la pauvre Béatrice pleure, car le coup lui a vraiment fait un mal de chien, elle voudrait se rebiffer, mais se sentant totalement piégée par l'affreux homme, elle préfère se taire.

La cravache vient d'atterrir sur son bouton d'amour qui commençait, malheureusement, à s'ériger sous les caresses précédentes. Mais là, gonflé de sang comme il était, elle a l'impression que quelqu'un, vient de lui mettre un fer rouge dans la chatte. La douleur est si vive qu'elle se laisse tomber à genoux sur le sol.

- Reprenons la pose, si vous le voulez bien, ma chère, ordonne encore Roger d'une voix neutre.

Avec beaucoup de mal, la blonde se relève doucement. Elle essaye d'écarter les jambes, mais la douleur au niveau de son sexe est telle, qu'elle n'y arrive pas.

- Les jambes écartées !

Faisant un terrible effort, elle finit par réussir à écarter les jambes, certes moins que l'instant d'avant.

- Bien... Maintenant, je pense que vous commencez à comprendre, que si vos réponses sont par trop évasives, ou tronquées, vous risquez de le regretter amèrement, vous me comprenez cette fois ?

- Oui Monsieur.

- Je reprends donc ma question, après ce petit intermède : Pourquoi buvez-vous, puisque vous savez que vous faites n'importe quoi, de votre corps, après ?

Tremblant de craintes et de douleurs mêlées, n'ayant plus le temps de finasser, Béatrice se plie, de mauvaise grâce, à ce jeu cruel de la vérité et répond :

- Je crois que je recherche effectivement l'excitation, Monsieur.

- Vous appelez cela l'excitation ! N'est-ce pas plutôt le plaisir, que vous recherchez, lors de ces soirées, ma chère ?

- Peut-être, oui... Monsieur ! Cette fois, Béatrice s'est rattrapée de justesse.

- Et comment allons-nous donc définir une femme mariée, mère de famille, qui s'alcoolise les samedis soirs, en boîte de nuit pour trouver du plaisir ? Hum ?

- Je crois que c'est ce qu'on appelle vulgairement, une salope, Monsieur.

- Je vois avec plaisir, que nous commençons à être d'accord, sur le plan sémantique, pour le moins.

- Oui Monsieur.

- Bien, comme cette définition vous convient parfaitement, je pense que vous n'aurez aucun mal, à vous considérer comme une salope ? Si ?

- Non Monsieur.

- Parfait, alors commencez donc par faire votre véritable présentation, je vous écoute.

- Béatrice, salope...

Roger, qui ne laisse plus promener, le cuir de sa cravache, sur la peau de la blonde et qui est sur le côté, lève rapidement son ustensile de torture et l'abat fortement sur les fesses.

Un nouveau cri résonne dans la grande pièce, mais cette fois, la pauvre femme, ne se replie pas sur elle-même, elle avance seulement d'un pas.

- Ce n'est pas parce que vous êtes une salope, que vous pouvez vous permettre d'oublier la politesse, à mon égard, ma chère !

- Pardon Monsieur. Finit par dire Béatrice, dans un sanglot non feint.

- Bien, reprenez donc votre présentation en détails, prénom, nom, qualificatif, profession, situation sociale.

- Béatrice Dubreuil, salope, secrétaire, mariée, deux enfants, Monsieur.

- Voilà qui est mieux ainsi. Maintenant, que vous vous acceptez en tant que salope, je vais commencer par examiner, en détail, vos trous à bites.

La pauvre femme se demande, ce que ce diable d'homme, va bien pouvoir encore inventer. Elle tremble à nouveau de crainte, car ne pouvant rien voir, elle commence à s'imaginer que l'homme va en profiter, pour lui mettre un god, et ça, c'est quelque chose qu'elle vit, très mal déjà, de la part de son mari, alors d'un inconnu !

Roger vient se placer derrière la femme penchée, qui tient toujours ses fesses écartées. Là, il avance sa main droite vers le trou du cul, encore bien ouvert, joint ses quatre doigts pour former un cône, puis les enfonce sans prévenir, directement le plus loin possible, dans le cul de la pauvre blonde.

Sous le coup de l'introduction, Béatrice pousse encore un petit cri, cette fois, plus de surprise que de douleur réelle. Déséquilibrée par la manœuvre, elle avance sa jambe droite, pour éviter de tomber en avant.

Le vieil homme ressort aussitôt ses doigts, les contemple quelques secondes, puis vient se mettre devant la blonde. Lui présentant les doigts sous le nez, il demande :

- Vous ne faites jamais de lavement avant de vous faire enculer ?

- Heu... Non, Monsieur.

- Vous avez tort, sentez-moi ça. Et, joignant le geste à la parole, il place ses doigts salis, sous le nez de la femme.

L'odeur que peut respirer Béatrice est assez désagréable. C'est un mélange d'odeur d'excréments, de lubrifiant de préservatif et de latex. Elle fait une moue de dédain et tourne la tête sur le côté, pour se soustraire à l'odeur.

- Vous sentez ! Cela serait très différent, si vous faisiez un lavement, avant de vous faire sodomiser, ma chère...

La pauvre femme commence à avoir honte. Non seulement ce démon ne lui permet pas de le voir, non seulement elle est nue devant lui, dans une position obscène et humiliante, mais en plus de tout ça, il vient maintenant lui dire comment, elle doit diligenter sa vie intime !

L'homme se déplace dans la grande pièce et se dirige vers une petite table dans un coin. Cette table est pourvue d'un spéculum de belle taille, d'un tube de vaseline, de différents godemichets et d'un plug un peu plus gros que celui de Béatrice. Il y a aussi un drôle d'appareil, avec des voyants et de petits boutons, dont deux fils sortent, pour relier deux pinces crocodiles en acier. Il y a également quelques chiffons, une petite bouteille d'huile d'olive et un verre de cuisine, près d'une bouteille d'eau.

Tout en s'emparant du tube de vaseline, qu'il ouvre délicatement, Roger s'adresse encore à la blonde :

- Bien ma chère, après ce petit conseil hygiénique, nous allons passer à des choses plus consistantes. Écartez-moi bien vos fesses, en attendant.

Béatrice fait ce que l'homme lui demande et tire sur ses fesses, pour les écarter encore d'avantage. Elle se demande bien où il est passé, car les paroles lui arrivent avec une sorte d'écho, qui lui indique la taille impressionnante de la pièce, où elle se trouve.

Très délicatement et avec des gestes précis, le vieil homme prend le spéculum et l'enduit de vaseline avant de refermer le tube et de le reposer. Une fois fait, il se tourne et repart vers la femme penchée. Tout en marchant et en enduisant totalement, les deux mâchoires de l’instrument, de la crème grasse, il annonce :

- J'ai beaucoup aimé la remarque, d’Ahmed me semble-t-il, dans le film de l'autre soirée, qui vous laissez entendre, que vous seriez bientôt prête, à être enculée par un éléphant, cela m'a beaucoup amusé... Et donné aussi quelques idées...

Mais que veut donc ce monstre ? Se demande Béatrice dont l'angoisse monte au fur et à mesure, que les minutes s'égrainent. Elle tremble de peur, mais n'ose pas bouger, tant le souvenir cuisant de la cravache, est encore présent.

- Ne bougez plus...

L'homme est venu se placer juste derrière les fesses offertes. Il pose sa main gauche sur les reins, puis applique l'outil contre le sphincter. Avant de faire pénétrer l'engin, il rassure la blonde :

- Ne craignez rien, ce ne sera pas douloureux, surtout que vous comptez parmi les femmes les plus ouvertes, que j'ai eu le loisir de rencontrer.

Béatrice, retenant sa respiration, s'attend néanmoins au pire. Elle sert les dents de toutes ses forces et essaye de se préparer à une douleur, encore inconnue.

Roger, très doucement, comme pour prouver ce qu'il vient d'annoncer, enfonce le spéculum dans le rectum à sa disposition. Une fois l'appareil totalement introduit et bien en place, il demande :

- Alors ? Avez-vous ressenti de la douleur, ma chère ?

- Non Monsieur.

- Parfait, nous allons maintenant, passer à la suite des opérations donc...

Cette fois, il commence à ouvrir les mâchoires de l'appareil, toujours très doucement, guettant en permanence le moindre signe, qui pourrait indiquer une douleur quelconque, chez la pauvre femme.

La sensation est plus qu'étrange. Non pas douloureuse, mais étrange. Entre le contact froid de l'ustensile, qui n'est pas si désagréable, la place qu'il occupe et la sensation, que procure le sphincter distendu, Béatrice s'y perd. De plus, sa positon penchée en avant et ses fesses, qu'elle tient toujours bien écartées, facilite grandement la tâche de l'appareil. Au début de l'ouverture des mâchoires, la blonde a bien quelques appréhensions, mais au fur et à mesure qu'elle se sent dilatée, une sorte de plaisir monte en elle.

- Je comprends Ahmed ! Votre capacité de dilatation est réellement impressionnante ! Vous pratiquez la sodomie depuis combien de temps ?

Encore des questions ! La pauvre femme commence à en avoir sérieusement assez, de toutes ces questions embarrassantes. Et puis, de quel droit, ce monstre pose-t-il toutes ces questions ? À nouveau, elle essaye de finasser, en répondant :

- Je ne sais plus exactement...

Sans mot dire, l'homme recul de deux pas, s'empare de la cravache qu'il avait posée sur la grande table, et, en allongeant le bras dans un ample mouvement, vient frapper le flanc droit de la pauvre femme qui se met à hurler.

- Je crois que je vais avoir un peu de mal, avec vous ! Mais je peux vous assurer, qu'avant demain matin, vous saurez dire en toutes occasions : "Monsieur"... Faites-moi confiance.

Après le cri, la blonde vient de tomber sur les genoux et pleure à chaudes larmes. Cette fois, le spéculum en elle se fait cruellement sentir. Elle perd son sang-froid et commence à crier :

- Enlevez-moi ça ! Au secours !

L'homme reste imperturbable pendant quelques secondes, puis il annonce, d'un ton détaché :

- Taisez-vous, sinon c'est votre amant Ahmed, qui va venir vous remettre les idées en place !

Mais, en pleine crise d'hystérie, la pauvre femme n'écoute pas le judicieux conseil et continue à crier de plus bel.

Moins de deux minutes plus tard, Roger est toujours stoïque et Béatrice toujours en pleure, quand Ahmed frappe à la lourde porte.

- Entrez, mon cher Ahmed. Si j'ai bonne mémoire, vous me proposiez d'éduquer quelque peu votre putain, je vous la confie, car j'ai à faire ailleurs pendant dix minutes. Je souhaiterais pouvoir obtenir une femme polie, en revenant, croyez-vous cela possible ?

- Je ne vous promets rien, mais je vais faire tout mon possible, bien entendu...

Le vieil homme sort de la pièce en laissant la pauvre femme à genoux, par terre, en train de pleurer et l'autre homme qui est venu, se mettre devant elle.

Dès que la porte est refermée, Ahmed se penche, attrape les cheveux et les tire vers le haut, pour forcer Béatrice à se relever. Une fois qu'elle est debout, toujours sans rien dire et la tenant par les cheveux, il la guide vers la grande table, en la soutenant, car le spéculum qu'elle porte toujours en elle, la gène dans sa marche. Là, il l'oblige à s'allonger sur le lourd plateau de bois froid et, tout en défaisant sa ceinture, annonce :

- Monsieur Roger me donne mille euros, pour pouvoir faire ce qu'il a envie avec toi cette nuit. Et toi, en bonne putain, tu vas faire exactement, ce qu'il te demande de faire.

La pauvre femme pleure de plus en plus. Elle a toujours une très vive douleur au flanc droit et n'écoute pas trop, ce qu'Ahmed peut lui dire. Elle reste bloquée sur ce qu'elle vient de vivre, les quelques minutes précédentes, quand elle entend :

- Ceci est le dernier avertissement salope…

Tout de suite après, elle sent la première morsure du synthétique de la ceinture, sur ses fesses déjà très sensibles. Ce premier coup, la fait hurler de douleur.

Consciencieusement, l'homme abat sa ceinture dix fois sur les fesses qui rougissent de plus en plus. Il ne se laisse pas distraire, par les cris de la blonde, il fait simplement en sorte, que sa ceinture arrive bien, sur la chaire un peu flasque des fesses et que ses coups ne soient pas arrêtés par les mains de la blonde, qu'elle essaye vainement, de placer pour se protéger. Une fois qu'il estime en avoir fini, d'un ton presque neutre, il demande :

- Maintenant, qu'est-ce que tu diras à Monsieur Roger ?

Entre douleur et colère, la blonde n'écoute plus. Maintenant que les coups de ceinture ont cessé, elle ne crie plus, mais pleure. Elle a l'impression d'être comme une petite fille, et son orgueil en prend un sacré coup. Et comme elle ne répond pas, un nouveau coup s'abat sur ses fesses meurtries.

- Alors salope ! Tu réponds ? Que dois-tu dire en sa présence ?

- Monsieur... pleurniche la blonde entre deux sanglots.

- Écoute-moi bien, vieille pute... Si tu ne me rapportes pas assez, je te jette... Mais je te promets que toute ta famille aura droit, à sa petite cassette "X"... Et qu'après ça, tu auras bien du mal à vivre, ça je peux te l'assurer !

Cette fois, malgré son orgueil blessé et ses douleurs, Béatrice prend la menace très au sérieux. Le rapport à sa famille, que vient d'évoquer le maître chanteur, la ramène à la réalité et lui fait se souvenir, de ce qu'elle vit déjà avec son mari. Une grosse bouffée de culpabilité remonte en elle et elle se promet, intérieurement, de faire ce qui lui est imposé. Quelques secondes de silence passent quand elle entend :

- As-tu bien compris cette fois ?

- Oui... Monsieur... Là, le mot est sorti comme par automatisme.

- Franchement, j'espère pour toi... Maintenant, je vais te remettre au milieu de la pièce et tu vas reprendre la positon, que Monsieur Roger t'a imposée.

Ahmed prend la blonde par le bras. Il l'aide à se remettre debout et la guide, toujours en la soutenant, à l'endroit où il l'avait trouvé, en entrant dans la pièce.

Béatrice suit docilement le mouvement, comme elle ne peut rien voir, quand l'homme l'arrête, elle comprend qu'elle est arrivée à destination. Aussi, soucieuse de montrer sa bonne volonté, car elle a réellement très peur des réactions de l'arabe, elle se penche en avant et reprend la pause demandée.

- Je vois que Monsieur Roger s'occupe de ton trou du cul, c'est parfait... Puis, sans rien ajouter, l'homme sort de la pièce.

La pauvre femme reste cinq bonnes minutes, dans cette positon, à réfléchir à sa condition de catin et à fulminer contre elle-même. Ah ! Si elle n'avait pas trop picolé ce maudit soir ! Ah ! Si elle ne s'était pas laissé aller à ses fantasmes ! Mais voilà, le mal était fait, et de plus, il y avait des traces de tout ça. Maintenant, elle commençait à comprendre, que les menaces d’Ahmed étaient bel et bien réelles, qu'elle risquait de se retrouver prostituée. Et là, le fantasme laisserait la place à la douloureuse réalité. C'est plongée dans ses réflexions, qu'elle entend la porte s'ouvrir à nouveau.

- Eh bien, ma chère, êtes-vous revenue à de meilleurs sentiments à mon égard, maintenant ?

- Oui Monsieur.

Roger fait le tour de la blonde, en l'examinant visuellement très attentivement. Voyant les marques larges, qui superposent ses propres marques de cravache, il demande :

- Vous avez goûté à la ceinture, me semble-t-il, non ?

- Si monsieur.

- Votre souteneur, vous a-t-il expliqué pourquoi, vous receviez la ceinture ?

- Oui Monsieur, pour que je sois obéissante avec vous, Monsieur. En disant ces quelques mots, la pauvre femme sent le rouge lui monter aux joues. Sa fierté est mal menée et elle se sent coupable, comme une petite fille, et ça, c'est quelque chose de très difficile à accepter pour elle. De petits sanglots se font encore entendre dans sa voix.

- Seulement avec moi ? Ou avec tous vos clients, ma chère ?

- Avec tous les hommes qu'il me présentera, Monsieur.

- Je dis dire, qu'avant d'avoir évoqué le souhait de vous rencontrer, Ahmed et moi avons beaucoup discuté de vous, de votre vie, de vos capacités et de l'avenir qu'il vous réservait. Je dois avouer que le fait, que vous ne soyez pas une vraie professionnelle, m'a tout de suite plu énormément, de même que vos capacités anales, dont nous allons essayer de repousser les limites, ce soir.

Savoir, de la bouche même de cet homme, qu'elle ne connaît pas, qu'elle n'a même encore jamais vu de ses yeux, que lui la connaît presque intimement, met encore la pauvre femme, plus mal à l'aise que l'instant d'avant. Tant qu'elle pensait n'être qu'un corps, qu'un numéro, qu'une prostituée anonyme, elle arrivait encore, tant bien que mal, à supporter cette odieuse soirée et ce vilain bonhomme. Mais là, elle a l'impression que le ciel lui tombe sur la tête et elle se remet à pleurer à nouveau.

L'homme affiche un grand sourire. Aux sanglots de la blonde, il comprend qu'il vient de toucher le point sensible. Aussi, très perversement, il poursuit sur sa lancée :

- Imaginez-vous que vos collègues reçoivent le film de vos ébats, avec une bande de soudards. Qu'en penseraient-ils ? Ou les amis de votre jeune fils, ou ses professeurs ?

À cette évocation, la tête de Béatrice semble éclater et elle pleure de plus bel, articulant difficilement :

- Pitié Monsieur, pitié... Je ferais tout ce que vous voudrez, mais pitié Monsieur, arrêtez de me parler de tout ça, par pitié...

- Bien... Dans ce cas, sachez que je vais vous préparer l'anus, de manière à ce que prochainement, vous puissiez vous faire facilement sodomiser, par un de mes chevaux, vous êtes d'accord ?

L'émotion est si forte pour la pauvre femme, qu'elle est maintenant prête à accepter tout et n'importe quoi, du moment que la satanée cassette en question, ne soit pas distribuée. Malheureusement, ce qu'elle ne peut pas savoir, c'est que tout ce qu'elle vit à présent, est également filmé, que tout ce qu'elle peut dire, pour essayer d'apaiser la situation, est enregistré. Donc sans savoir ce qu'il va advenir d'elle, ni ce qui se passe au juste dans la pièce, elle répond :

- Faites tout ce que vous voulez de moi, Monsieur.

Très content de lui, Roger passe derrière la femme et, tout en prenant les manettes du spéculum en main, il commente :

- Je vais commencer par vous dilater l'anus au maximum, ensuite, je vous ferai un lavement, car vous en avez visiblement bien besoin.

Et, joignant le geste à la parole, il serre de toutes ses forces les manettes, ouvrant ainsi d'un seul coup, le spéculum en grand.

- Aie !

La pauvre blonde ne peut s'empêcher de crier. Si la dilatation était très progressive au début, cette fois-ci, la sensation est brutale et pas du tout agréable. Elle a l'impression que son anus a été envahi, par un fer rougi et se redresse un peu en disant :

- Ça fait mal Monsieur, par pitié...

- Allons, allons ! Vous en avez vu d'autre, à ce que j'ai pu constater !

Et sans prévenir, il tire le spéculum en arrière et l'arrache du boyau.

- Ah... Oulala, que ça fait mal ! Crie de douleur la blonde.

Roger, un sourire sadique aux coins des lèvres, admire quelques secondes le trou du cul béant, sans se préoccuper le moins du monde, de la souffrance, que peut endurer la pauvre femme. Puis, se redressant, il annonce :

- Bien... Vous allez pouvoir vous asseoir, maintenant... Attendez que j'aille vous chercher le tabouret.

Il retourne vers la petite table, y dépose le spéculum et s'empare à nouveau du tube de vaseline qu'il débouchonne consciencieusement. Il enduit le gros plug posé, avec la crème, puis referme le petit tube et le repose. Il prend alors en main le plug, s'applique à ne laisser aucun endroit de l'objet sans lubrifiant, puis, le repose pour s'essuyer les mains avec le torchon. Une fois ses mains bien sèches, il reprend le plug par sa base et, de l'autre main, s'empare du tabouret. Il revient d'un pas tranquille près de la pauvre femme, pose le tabouret, plaque le plug dessus, au centre du siège, puis vient prendre la femme sous les bras, pour l'aider à se remettre droite en disant :

- Maintenant, je vais vous installer sur un siège avec un plug, il est important que votre anus reste bien ouvert, toute la soirée.

- Par pitié, Monsieur, arrêtez un peu, j'ai un mal de chien...

- Mais justement, nous allons en profiter pour détendre au maximum les muscles de votre sphincter, cela peut être un peu douloureux, encore quelques minutes, mais ensuite, vous serez prête à accueillir bien des choses, dans votre fondement.

Sans prendre plus en considération, les souhaits de la pauvre femme, Roger la guide sur le tabouret, jusqu'à ce qu'elle soit en contact avec le plug. Là, il se penche, vérifie que l'engin est bien en face de l'anus, puis ordonne :

- Laissez-vous faire maintenant.

Béatrice est apeurée, elle a très mal dans les jambes, car la position est totalement instable et parfaitement inconfortable. Elle se tient penchée en avant, les jambes fléchies, les fesses en arrière, le plug au bord de son anus, et elle ne veut pas s'asseoir, tant elle a peur que l'engin la déchire.

Voyant que la blonde résiste encore à s'asseoir, l'homme, un rictus malsain au coin des lèvres, se recule un peu, puis donne une grande claque sur l'épaule droite de la femme, la déséquilibrant et la faisant ainsi tomber sur le plug.

Un nouveau cri déchire le silence de la pièce. Cette fois la douleur est terrible et la pauvre blonde a l'impression de mourir. Elle tente bien, maladroitement, de s'appuyer sur ses mains pour se relever un peu, mais le plug est entré totalement dans son cul et en se relevant de quelques centimètres, elle ne fait que l'emmener en elle. Elle pleure à nouveau à chaudes larmes et le bandeau qu'elle porte, est détrempé.

- Calmez-vous un peu ! Maintenant que mon plug est en vous, si vous évitez de bouger, la douleur va s'atténuer.

Béatrice ne répond rien et se contente de se réfugier dans les larmes. La douleur s'atténue effectivement quelque peu, mais la sensation d'être déchirée, elle, reste bien présente. Elle s'assoit à nouveau, mais très doucement, d'abord elle pose sa fesse droite, puis, très délicatement, elle finit par poser sa fesse gauche.

L'homme marche doucement autour du tabouret, sans quitter la femme du regard. Après trois tours, dans un silence complet, il vient se placer devant la blonde, et prend son téton droit entre son pouce et son index gauche. Il sert violemment, arrachant une grimace de douleur au visage de la pauvre femme, tout en demandant :

- Il semble que ce soit les sexes de Nord-Africains qui vous excitent le plus, pourquoi ne vous êtes-vous pas mariée avec un arabe ma chère ?

- Je ne sais pas Monsieur... Je pense que je n'aurai pas osé avouer ce penchant à mes parents, quand j'étais jeune.

- Bien... Et vous n'avez plus vos parents aujourd'hui ?

- Si Monsieur, j'ai encore ma mère.

- Hum, hum, et si je lui présentais aujourd'hui, votre souteneur arabe ? Qu'en penserait-elle, à votre avis ?

- Je crois qu'elle serait très fâchée après moi, Monsieur. Ma mère n'aime pas du tout les étrangers Monsieur.

- Si je vous comprends bien, le plus grave n'est pas tant que vous soyez devenue une prostituée, que le fait que votre maquereau, puisse être un arabe !

- Heu ! Non Monsieur !

- Mais si ! Mais si... En fait, je pense que vous vous êtes toujours sentie putain, ou pour le moins, vous avez toujours été attirée par ce côté prostitution, ce côté glauque des choses du sexe.

- Mais non !

- Attention à être polie salope si vous ne voulez pas qu'il vous en cuise !

- Pardon Monsieur.

- Je pense au contraire, et le petit film que vous avez tourné ne pourrait me contredire, que vous êtes sujet à vous laisser aller, à tout ce qui pourrait toucher, de près ou de loin, la prostitution, le côté glauque et malsain de la sexualité. Je pense que plus c'est sale, plus c'est excitant pour vous ! Qu'en pensez-vous ?

- Je ne sais pas trop quoi dire Monsieur... Et effectivement la pauvre femme se perd dans les méandres de ses pensées. Certes, elle se sent prisonnière de cet horrible homme, mais elle se rend compte également qu'elle est à l'origine de toutes ses turpitudes. Et que le bonhomme est perspicace.

- Bien... Je vais maintenant vous faire passer, un examen gynécologique plus poussé.

Roger retourne auprès de la petite table et choisie méticuleusement divers accessoires qu'il apporte, les uns après les autres, sur la grande table de salle à manger, qui trône au milieu de la pièce. Bientôt, il retourne vers la pauvre blonde qui grelotte de peur sur son tabouret. Là, il s'empare du téton droit de la femme et pince de toutes ses forces en lui imprimant un mouvement pour qu'elle se lève.

Béatrice se met debout, bien que son anus lui fasse un mal de chien, sans prononcer aucune parole. La peur pourrait se lire sur ses yeux, si elle n'avait pas ce bandeau, qui l'aveugle totalement. Elle ne peut rien faire d'autre que de suivre le mouvement, qui lui est imprimé, via son sein droit, pour éviter une douleur trop vite de ce côté. Mais elle a bien l'impression toutefois, que son tortionnaire la fait aller et venir dans la pièce. Mais elle ne sait pas dans quel but machiavélique.

En fieffé salaud, l'homme s'amuse à faire marcher cette pauvre femme, en souriant laconiquement, à la vue de la démarche, des plus bizarres, qu'elle a, à cause du plug bien ancré dans son fondement. Il sait pertinemment ce qu'il fait, la caméra enregistre chacun des pas maladroits. L'homme se dit que cette vidéo, sera l'un des musts, de sa collection très privée. Il continue son manège pendant trois longues minutes, durant lesquelles, Béatrice souffre en silence, mais surtout sans oser prononcer quoi que ce soit, bien trop apeurée, par ce qui pourrait alors lui arriver.

- Bon, assez marché pour le moment, vous allez vous allonger ici, dit Roger, alors qu'il vient de guider la blonde au bord de la table.

La blonde se sent prise sous les bras, par de puissantes, mains légèrement rugueuses et accompagne le mouvement, en se mettant sur la pointe des pieds. Elle pose son fessier douloureux sur la table, et se laisse allonger, toujours guidée par les mains qui viennent de prendre ses bras minces. Le bois de la table est frais, mais doux. Elle reste allongée, les bras le long du corps, pendant quelques secondes, puis entend derrière elle :

- Donnez-moi vos mains... Par ici...

Tout de suite, elle exécute l'ordre. Elle est glissée de quelques centimètres sur la table, de telle manière que le bord de la table, vienne maintenant au milieu de ses cuisses, l'obligeant aussi à remonter les guibolles, pour ne pas souffrir du porte-à-faux des jambes.

- Placez vos pieds sur la table, tonne l'homme, en revenant devant ce sexe déjà offert et ce cul si maltraité.

La femme essaye de se mettre de la façon la plus confortable possible. Ses talons sont en contact avec la table, ses genoux légèrement éloignés de manière à soulager du mieux qu'elle puisse son anus meurtri.

- Écartez les jambes, que je puisse examiner votre trou à bites d'arabes. Et en même temps que l'ordre, Roger repousse les deux jambes de ses avant-bras musclés. Pinces les grandes lèvres avec ses pouces et index, puis tire dessus pour ouvrir en grand la vulve.

Béatrice ne peut s'empêcher de pousser encore un cri, mais plus de surprise que de douleur réelle, son anus écartelé lui faisant bien plus mal que les doigts vicieux.

- Allez, pas de chiquée, pétasse, j'ai vu dans le film comment, l'énorme queue de Moustapha, est rentré en vous, on comprend tout de suite, que vous avez l'habitude des gros gabarits, comme une vieille vicelarde que vous êtes !

- Oh, je vous assure Monsieur... Pleurniche à nouveau la pauvre blonde.

- Fermez-la... Je vais vérifier que vous n'avez pas la moule pourrie, à force d'en prendre, dans le corps de toute origine, vous êtes peut-être totalement pourrie, qui sait...

De nouveaux pleurs viennent ponctuer ces insanités.

Le pervers lâche les lèvres et s'empare du spéculum qu'il vient mettre sous le nez de sa proie en lui disant :

- Tenez... Sentez... Moi, au moins, je lave les outils avant de m'en servir, que cela vous serve de leçon pour la prochaine fois ! Tâchez de vous souvenir, qu'une boîte à bites comme vous, doit toujours avoir ses trous propres et en état, pour se faire fourrer !

Puis il se dirige au bout de la table, Béatrice a ramené quelque peu ses cuisses, pour éviter de trop souffrir, mais l'homme appuie à nouveau de tout son poids sur les avant-bras, qui repoussent les cuisses vers l'extérieur.

La pauvre blonde s'attend au pire et elle se contracte. Elle se demande ce que le vieux saligaud, va bien pouvoir encore inventer, pour la faire souffrir. Une fois de plus ; la pauvre femme se maudit intérieurement, pour ses frasques et se dit qu'elle paye bien cher, une simple incartade dû à un abus de boisson.

Sans lubrifier le vagin, qui est encore assez ouvert, l'affreux homme plonge le spéculum d'un coup, directement au fond du sexe.

La belle crie et bat des jambes, comme pour repousser l'homme, car cette fois la douleur a été vive, bien qu'elle s'apaise très vite.

- Cessez de battre des jambes, ça suffit... Attrapez vos chevilles et tenez-les, pendant que je vous examine.

Ne voulant pas subir d'autres douleurs, très vite, Béatrice attrape ses chevilles et retient le poids de ses jambes, à bout de bras.

- Plus haut les pieds ! Et, tout en donnant l'ordre, l'homme lâche les poignées métalliques et agrippe violemment les mollets, pour les tirer durement vers le plafond, en les écartant. Puis, il tonne encore :

- Comme ça, bien écarté et bien haut.

La pauvre blonde est totalement perturbée ! Elle s'accroche à ses chevilles, comme si celles-ci étaient son unique refuge, se mettant ainsi totalement à la merci, de son pervers tortionnaire.

Roger attrape les manettes du spéculum qui est fiché dans le sexe de la femme blonde et les presse fermement, écartant ainsi, à l'intérieur du vagin, les mâchoires d'acier. La vulve se dilate sous l'effet.

Faisant entendre de petits couinements, la pauvre femme se laisse maintenant faire, et la dilatation de son sexe, n'est même plus si pénible. Son esprit est occupé à nouveau, par des remords au sujet de la fameuse soirée en boîte. Mais quoi qu'elle fasse maintenant, quoi qu'elle puisse regretter, elle sait qu'elle va devoir subir, encore longtemps, les conséquences de sa bêtise.

- Surtout ne bougez pas, ordonne sèchement l'homme avant de repartir vers sa petite desserte à grands pas.

Quelques bruits métalliques se font entendre, dans la pièce et ajoutent encore à l'atmosphère, déjà pesante. Puis, les pas de l'homme, qui se rapproche de la table, sur laquelle est toujours allongée Béatrice, dans une position obscène.

Le vieil homme se place en bout de table, à nouveau, entre les cuisses largement ouvertes, puis, en quelques secondes seulement, il emprisonne la cheville droite avec le poignet droit dans une paire de menotte, et l'instant d'après, fait de même avec le côté gauche.

La blonde n'a pas eu le temps de réagir, et quand elle commence à comprendre, qu'elle vient d'être menottée de façon bizarre, elle essaye bien de se débattre très faiblement, mais elle sent qu'il est trop tard. Elle essaye alors de resserrer ses jambes, mais le spéculum fiché dans son vagin, l'en dissuade rapidement.

- Les jambes écartées salope ! tonitrue le vieux sadique. Et pour marquer encore un peu plus sa volonté, il pousse à nouveau sur l'intérieur des cuisses, jusqu'à ce que la femme pousse un cri de douleur.

- Pitié... Vous me faites mal... Monsieur !

- Tais-toi pétasse ! et restes ainsi les pattes écartées... Pour une morue comme toi, ce ne doit pas être trop difficile de rester ouverte, si ?

Sans attendre une quelconque réponse, le vieil homme se dirige une fois de plus vers sa table roulante. Là, il s'empare d'un seau à champagne rempli d'eau et de glaçons, et dans lequel refroidit, depuis le début de soirée, une bouteille de vin pétillant. Puis, il retourne vers la femme allongée. Il pose sans ménagement le sceau sur le ventre de la pauvre femme, qui pousse un cri de surprise, au contact froid du métal.

C'est une sensation de brûlure, que ressent la pauvre blonde. De plus, le poids relativement élevé, de la chose qui vient d'atterrir sur son ventre, lui comprime le bas de l’abdomen, si bien que, c'est dans un réflexe qu'elle ressert, une fois de plus, ses jambes. Mais cette action n'a que l'avantage de lui faire mal à nouveau aux grandes lèvres, qui se retrouvent ainsi coincées, entre le spéculum et les cuisses.

- Aie ! Pitié... Pleurniche-t-elle bruyamment.

- Allons ! Vous n'allez tout de même pas me faire croire, qu'un petit sceau de moins de cinq kilos, vous fait souffrir le martyre !

Et sans prendre plus en compte, les jérémiades de sa proie, l'homme retire le papier doré, du goulot de la bouteille, d'un geste sûr et délicat, défait ensuite le cerclage métallique et prend fermement en main le bouchon. D'un geste lent, il s'applique à ce que le bouchon sorte doucement. Enfin la bouteille est ouverte.

Béatrice est secouée de gros sanglots. Ses jambes tremblent, elle essaye de les écarter, pour soulager les côtés de sa vulve et les lèvres blessées, par le métal froid de l'outil, mais elle ne contrôle plus totalement, ses mouvements. Le froid qui entre en elle, à travers la fine peau de son ventre, lui fait refermer les cuisses.

Très tranquillement, le vicieux personnage vient se placer entre les cuisses tremblotantes, et, sans prévenir, verse le vin pétillant et froid dans l'orifice du spéculum, jusqu'à inonder totalement le vagin de la pauvre femme, qui se débat et hurle.

Aussi paradoxale que cela paraisse, le froid qui se répand de plus en plus dans son ventre, brûle sérieusement la pauvre blonde, qui ne sait plus quoi faire pour se sortir de ce piège odieux. Entre l'inconfort de sa position, ses mains et chevilles attachées, le poids glacé sur son ventre, et le liquide froid qui envahit sa chatte, en lui procurant une très désagréable sensation, de fort picotement, elle ne sait plus où donner de la tête et faire en sorte de ne pas trop souffrir. Elle sait bien, que ses pleurs risquent, au mieux, de faire plaisir à son tortionnaire et elle voudrait avoir la force d'arrêter de pleurer. Mais elle n'y arrive plus du tout, plus rien dans son corps, ne lui obéit, semble-t-il !

- Voilà qui devrait déjà désinfecter, votre moule de putain... Sentez-vous tout le bon travail, que font les bulles dans votre matrice ?

Seuls des pleurs répondent à l'interrogation de l'homme.

- Ne m'en veuillez pas, très chère, j'aime la propreté et mets tout en œuvre pour l'obtenir, que cela vous serve de leçon. Tout en prononçant ces quelques mots, le vieil homme déverrouille le spéculum, desserre les mâchoires, enfouit dans le vagin inondé, et ressort prestement l'appareil.

À nouveau, la blonde pousse un énorme cri. Son hurlement résonne de longues secondes, dans la grande pièce. Elle ne s'en doute absolument pas, mais l'homme est en train de vérifier, si son caméscope filme correctement toute la scène. Fière de lui, il se permet d'ailleurs, un grand sourire, à l'attention des futurs spectateurs.

Roger attend tranquillement, que la blonde se calme en admirant, en fin connaisseur, les petits geysers, que fait le champagne en ressortant de la grotte féminine, au rythme saccadé des pleurs. Quand la femme commence à se calmer, l'homme pose la bouteille, au pied de la lourde table de bois. Puis récupère le seau et le dépose à son tour à côté de la bouteille.

Béatrice sent les puissantes mains de son tortionnaire, la prendre sous les fesses et elle se sent emmené dans un mouvement, à l'issue duquel elle comprend qu'elle va se retrouver les épaules et les genoux sur le bois dur, mais les fesses très en l'air. Pour éviter de nouvelles souffrances supplémentaires, la femme essaye d'aller dans le sens de la manœuvre.

- Voilà enfin, une posture digne d'une pétasse de votre espèce, s'écrit l'homme, d'un ton presque joyeux, quand il a fini par installer la blonde à sa guise.

Maintenant, la femme est sur la table, le cul en l'air, les genoux douloureusement plaqués contre le bois, ainsi que les épaules. Dans cette position, comme ses poignets sont toujours attachés aux chevilles, elle est obligée de placer sa tête sur le côté. Elle s'imagine bien, effectivement, que la position est des plus obscène, mais au point où elle en est !

- Vous rendez-vous compte, que vous avez des fuites, ma chère ? Le ton est, cette fois léger, amusé, quasiment pas moqueur.

- Quand allez-vous arrêter de me torturer... Puis, entre les deux, elle ne peut s'empêcher de laisser filer... Salaud...

- Quoi ! ai-je bien entendu ? Non seulement vous avez à nouveau perdu la politesse, mais une pute à arabes comme vous, qui ose me traiter de salaud ! Là, la voix est redevenue dure et cassante, les mots claquent dans le silence de la grande, pièce comme des coups de fouet, rendant encore plus solennelles, les paroles prononcées.

- Pardon Monsieur ! S'empresse de dire, aussitôt, la pauvre femme terrorisée par la voix puissante.

Roger n'en a cure, il se dirige une fois de plus à grands pas rapides vers sa desserte, là prend fermement en main une longue cravache très souple, et revient à la même vitesse, se placer juste derrière le cul de la pauvre femme, qui tremble et s'est remise à pleurer.

- Pour votre insolence et votre manque visible de savoir-vivre, dix coups de cravache... Le ton est dur, les dents serrées l'homme laisse un petit silence, puis, les dents encore plus serrées, finit par dire :

- Sur les cuisses...

Le premier coup, fait crier de douleur la pauvre blonde, qui n'avait déjà pas besoin de ça. Cette douleur fulgurante est telle, qu'elle ne peut plus contrôler son corps. Elle tousse et hoquette dans un même souffle, ce qui a pour effet d'expulser du vin, maintenant réchauffé, de sa chatte encore entrouverte.

Le liquide asperge le bord de la table et le sol. De petites bulles se forment à la surface des petites flaques, qui se sont formées çà et là, donnant l'impression qu'un acide attaque la matière.

- Et même pas étanche... vieille radasse... Cette fois c'est un ton de dégoût, d'ailleurs une vilaine grimace vient assombrir le visage de l'homme, qui semble d'un coup, plus vieux encore. Il assène donc un deuxième coup violent.

Sous la violence du coup et la douleur qui l'accompagne, Béatrice fait un soubresaut sur la table et pousse un long cri qui finit en plainte. Et finalement, elle se retrouve avec les jambes encore plus écartées, proche du grand écart, et une nouvelle douleur commence à faire son apparition, enflammant ses deux aines. Elle ne se rend pas compte, que son sexe suinte maintenant, abondamment.

- Se permettre de me traiter de salaud... À nouveau, l'homme fouette d'un grand coup de cravache, les deux cuisses de la femme. Puis, sans laisser le temps à la pauvre de reprendre son souffle, il assène les sept autres coups de la façon, la plus rapide et la plus violente, qu'il puisse.

Cris sur cris, Béatrice tente bien de se débattre, pour échapper aux coups qui pleuvent, sur l'arrière de ses cuisses, mais elle n'arrive à rien d'autre, qu'à se blesser les poignets et les chevilles, à cause des menottes. L'air lui manque terriblement, et elle finit dans une quinte de toux rauque. À chaque fois qu'elle tousse, elle éjecte du liquide de sa chatte et s'en inonde les cuisses.

- Voilà ce que c'est, la cigarette, dit l'homme visiblement calmé, maintenant.

- Bien, nous allons maintenant passer au lavement proprement dit.

Il prend les chevilles de Béatrice et les tire vers le haut, de manière à ce que la femme ait l’anus plus haut que le vagin.

- Restez comme ça. Sinon, ma badine n’est pas loin.

En la lâchant, il se penche et ramasse le seau froid. Il retourne, une fois de plus, à sa desserte. Là, il s’empare d’une grosse seringue de mécanicien, celle du genre qui servent pour remplir la boîte de vitesses d’huile. Il pompe l’eau glacée, et revient au cul de Béatrice.

- Ça va toujours bien, ma chère ?

La belle a envie de lui répondre, qu’il n’est qu’un fieffé salopard, mais pour une fois, elle retient sa langue, la séance de la soirée fut suffisamment difficile.

- Parfait, poursuivons.

Une fois de plus, il remonte les jambes bien haut. Là, en les lâchant, il ordonne :

- Restez comme ça, ne bougez pas.

Il amène ce qui sert d’aiguille à la seringue, mais fait bien, un bon centimètre de diamètre, devant l’anus. Enfonce cette sorte de grosse aiguille dans le fondement. Puis, doucement, appuie sur le piston pour remplir le rectum d’eau.

La sensation est tout d’abord apaisante, du moins non douloureuse. Le froid anesthésie, quelque peu, la pauvre femme.

Quand il a vidé son étrange seringue, Roger retourne poser son outil sur sa desserte en annonçant fièrement :

- Voilà, c'est fini, vous pouvez vous asseoir si vous voulez ou rester allongée, à votre guise.

- Ça y est, c'est fini, je peux m’en aller ?

- C'est fini pour ce soir, ne bougez pas, je vais chercher votre souteneur.

L’homme sort de la pièce.

Durant les quatre ou cinq premières minutes, rien ne se passe, puis la belle commence à sentir du remue-ménage dans ses boyaux. Et enfin, une furieuse envie de déféquer la prend.

Elle appelle Roger, mais seuls les murs lui répondent. Alors, elle se met à faire les cent pas dans la pièce, en serrant les fesses le plus possible. Mais rien n’y fait, le froid lui a donné des coliques, et, bien que serrant les fesses au maximum, un liquide brunâtre sort de son sphincter encore dilaté et coule le long de ses jambes.

C'est alors que revient Roger avec Ahmed. Quand il s'aperçoit, que la belle se chie dessus, et qu’elle laisse des traces par terre, Ahmed crie tout de suite :

- Tu vas tout me ramasser ! Espèce de saloperie.

Roger l'arrête et lui dit :

- Ne vous en faites pas, mon cher Ahmed, j'ai ce qu'il faut comme personnel, pour nettoyer, ça n'a pas d'importance. Par contre, je pense qu’elle mérite une sérieuse correction ! Mais plus chez moi, maintenant, car là, j'ai à faire sur d'autres sujets.

- Comme il vous plaira, Monsieur Roger.

- Ha ! Et n’oubliez pas, mon cher Ahmed, de m’appeler semaine prochaine, je la veux le samedi soir, aux écuries, nous serons quelques amis et voulons voir, mon nouveau poney Haflinger, la monter.

- Bien, Monsieur Roger.

Ahmed prend Béatrice par le bras et la ressort sans management, de la pièce, Puis bientôt de la bâtisse. Passant près de l’office, il appelle ses complices. Il jette méchamment la pauvre femme sur la banquette arrière, avant de s’engouffrer, à son tour, dans le véhicule. Ali arrive, il a eu la présence d’esprit de reprendre le manteau de la pétasse.

Quand tout le monde est prêt, la voiture, toujours conduite par Aziz, tressaille et se met en route.

Ils n'ont pas fait deux kilomètres, quand Ahmed demande à son pote qui conduit, de s'arrêter dans un petit chemin, dans le bois qui borde de la route.

Il fait nuit noire et Béatrice grelotte de peur, que vont encore inventer ces salauds ?

Une fois le véhicule immobilisé, il sort la blonde sans ménagement. La pauvre femme s’affale dans les herbes. Il défait sa ceinture et lui file une sacrée rouste.

- Je vais t’apprendre à chier partout, connasse !

Les trois autres personnages sont sortis de la voiture et assistent à la correction de la blondasse. Puis, Moustapha demande à Ahmed, de pouvoir l’enculer, avec pour seul lubrifiant, ses coliques.

- Bonne idée, fais-toi plaisir...

Les trois hommes se mettent en cercle, autour du couple. Moustapha ouvre sa braguette, sort son énorme braquemart, attrape Béatrice, la remet debout, la retourne, et l’encule brutalement en l’obligeant à se pencher en avant.

- Là, tu ne peux pas dire que je t’encule à sec !

Les trois autres se marrent de bon cœur.

Cette fois, le terrible Moustapha l’a prise sans capote, il ne lime pas longtemps, excité qu’il est, des pleurs de la créature. Il ressort sa bite, fait tourner Béatrice sur elle-même, l’oblige à s’accroupir et lui enfourne sa queue polluée dans la bouche, en lui ordonnant :

- Maintenant, tu me fais jouir, et vite, morue.

Ne pouvant se soustraire, et sous les rires et les railleries des hommes, rires qui la blessent d’autant plus, la pauvre suce et reçoit très vite, de grosses giclées de foutre en bouche.

Moustapha la lâche et la repousse, elle se retrouve à nouveau le cul par terre. Elle se penche sur le côté, et vomit.

Le reste de la route se passe avec des discussions des hommes en arabe, de temps à autre un mot français fuse, mais c'est tout ce que peut capter Béatrice.

La voiture finit par s'arrêter devant la maison. Ahmed sort et tire la blonde derrière lui, la laisse s’étaler sur le trottoir, puis remonte dans le véhicule. Ali jette le manteau par la fenêtre, et l’auto repart aussi tôt.

Richard, qui guettait le retour de son épouse, sort précipitamment. Quand il voit dans quel état de saleté se trouve sa pauvre compagne, des coulures d’excréments le long des jambes, de la terre un peu partout, des bleus et des marques de coups sur tout le corps, sans parler des rayures faites par la cravache. Il la ramasse, ramasse aussi son manteau, l’emmène sur le côté de la maison, ouvre la porte du garage, saisie le tuyau d’arrosage, et commence par la laver à grande eau.

- Pas question que notre fils te voit dans cet état !

Comme Béatrice grelotte, il lui jette son manteau sur les épaules, et la guide vers la salle de bain, en faisant bien attention que le fils de la maison soit dans sa chambre.

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