Le douanier (2015)
Suite à une annonce passée disant que j'étais un homme mûr passif, aimant les situations insolites et les insultes et autres gros mots, je suis appelé par un homme. Au téléphone, il m'a déjà traité de vieux pédé, de gros con, en même temps qu'il m’expliquait qu'il voulait vivre un de ses fantasmes où il serait douanier et moi un type louche, du moins suspect.
Au téléphone, ses insultes tombaient à point nommé, et ça devenait fort excitant. Je décidais donc d'aller chez ce monsieur.
Habillé simplement malgré le froid, pantalon sans caleçon, polo, grosse veste. Je prends la voiture et arrive chez l'homme, un portail électrique est ouvert comme il me l'avait dit, je rentre et vais à la porte pour sonner.
La porte s'ouvre, et un homme grand et fort me fait entrer. Dès que la porte est refermée, je suis saisi par le bras et emmené devant une table en bois dont visiblement ce n'est pas la place habituelle, une chaise en bois, et l'ordre de poser mon manteau sur la table.
André, du moins est-ce le nom de son émail, porte un uniforme qui ressemble à celui des douaniers pour le néophyte que je suis. Un képi est posé sur la table et l'homme est tête nue.
- Vous savez pourquoi on vous a arrêté bien entendu…
- Non monsieur, aucune idée.
- Faites pas le malin, ça risque d’être fort désagréable pour vous sinon.
L'homme fouille dans mes poches puis repose le manteau en travers de la table. Puis, reposant le vêtement sur la table, il m'ordonne d'un ton sec :
- Allez, contre le mur, bras et jambes écartés…
Sans mot dire, je me colle au mur comme demandé.
- Non ! Les pieds à un mètre du mur, la tête contre le mur.
Je rectifie ma position, et là, j'ai droit à une palpation en règle, aucune partie de mon corps n'est épargnée, jusqu'à me tripoter la bite et les couilles à travers mon jeans. Puis je sens que l'homme palpe mon ventre avec force, comme s’il cherchait à déceler quelque chose dans mes intestins.
- Bien… Rien dans les fringues, rien dans le ventre semble-t-il, c'est donc caché ailleurs !
- Mais je ne sais pas de quoi vous parlez, monsieur, je vous assure…
- Et un vol Colombie Mexique, Mexique Antilles et Antilles métropole, ça ne vous paraît pas suspect, ça peut être ?
- heuuu… Je bafouille un « non » qui sonne faux.
- Parfait, nous allons vérifier tout de suite cela, baissez votre pantalon.
- Mais monsieur…
- Baissez-le, vous dis-je ! Ou alors, préférez-vous la garde à vue, avec de toute façon, la fouille corporelle ?
Voyant que je n'aurai pas le dernier mot, j’exécute l'ordre et baisse mon pantalon me retrouvant du même coup cul nu devant le douanier. Puis je retire prestement mes mocassins et enlève totalement mon jeans.
- Vous voyagez sans slip vous ! Remarquez, cacher votre bite ridicule de gros porc ne sert à rien…
Je rougis, me sens humilié et n'ose plus dire un mot.
- Votre gros ventre de vieux pédé sur l'assise de la chaise, les mains et les pieds au sol.
Sans broncher, je pose mon ventre sur l'assise de la chaise et les mains par terre, La position est peu confortable, mais pas plus. Je sens l'homme derrière moi qui va vers la table, un tiroir est ouvert, je pense, puis refermé, et l'homme se rapproche à nouveau.
- Écartes tes jambes gros con…
Là encore, je me sens mal, mais j'écarte mes jambes, du mieux que je peux. Puis, je sens des doigts qui m'écartent les fesses et quelque chose de froid, contre mon anus.
- On va voir, si tu planques quoi que ce soit, là-dedans.
Et joignant le geste à la parole, l'homme m'introduit quelque chose de lisse et long, dans le cul. L'objet a été lubrifié et rentre aisément, pour aller buter tout au fond. Je suis relativement serein, car avant de venir, j'ai fait un profond lavement et j'ai très peu de risque, de polluer son objet.
- Ha ! Tu as le cul propre vieux pédé ! Tu dois avoir l'habitude de te faire mettre comme une gonzesse, vieille fiote !
Et l'homme joue avec le truc qu'il m'a mis dans le cul, de longs va-et-viens pour commencer, puis il le fait aller dans les petits coins, bref ce salaud m'excite terriblement, et je bande.
- T'aimes ça, vieille tarlouze, t'aimes ça, te faire travailler le cul, hein vieux machin… Réponds, quand je te pose une question, connard !
- Oui monsieur…
- Hé bien, on n'est pas là pour ton plaisir, du con !
Et joignant le geste à la parole, il retire brutalement l'objet de mon cul et ordonne encore :
- Allez, debout et contre le mur, comme tout à l'heure, ça doit bien être caché quelque part, petit malin va !
J'ai un peu de mal à me remettre debout, car un peu ankylosé, mais je fais au plus vite et vais me remettre, les pieds à un mètre environ du mur, jambes bien écartées, et bras contre le mur. Je sens la présence de l'homme juste derrière moi, je ne sais pas ce qu'il fait, mais il s'agite. Puis, deux mains vigoureuses s'emparent de mes fesses et les écartent vivement.
L'homme introduit directement sa queue dans l'anus à sa portée et commence à limer comme un démon.
L'introduction vive est légèrement douloureuse malgré mon excitation. Mais très vite cette petite douleur s'estompe.
Le douanier, lâchant les fesses, glisse ses mains sous le polo et vient tripoter outrageusement les vieilles mamelles grasses.
- Puisque tu aimes la bite, vieux chien pervers, je vais te remplir…
S'ensuit une volée d'insultes toutes plus humiliantes les unes que les autres, et je prends un pied fantastique. Puis j'entends :
- Branle-toi, l'enculé…
Je porte ma main droite à ma bouche et la lèche copieusement, puis, la dirige sur ma queue et commence à me branler. Je me branle très peu de temps, car je sens l'homme, derrière moi, sur le point de jouir, et ça me fait jouir aussi.
Le douanier crache plusieurs jets de semence dans cet anus chaud et accueillant. Puis, une fois fini, reste quelques secondes en place, pour reprendre son souffle, et ressort aussi vite, qu'il était rentré.
- Voilà, t'es pleine, vieille tapette ! Maintenant remets ton froc et casse-toi, j'ai plus envie de voir, ta sale gueule de vieux con, VITE !
Ne sachant pas si ça fait partie du jeu ou si l'homme est sérieux, je décide de partir au plus vite, car le ton est tout de même menaçant. J'enfile mon jeans et mes mocassins rapidement, reprends ma veste sur la table et, les yeux baissés, sort de la maison pour aller, prestement, m’engouffrer dans ma voiture et partir au plus vite.
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