Amis de la poésie (sourions un peu)
Ode à la putain
Mais c'est donc que tu tapines,
Vile mangeuse de pines,
Tout ça pour ce grand benêt,
Qui croûte ta monnaie !
Oui j'aime me faire bien ramoner,
Et même pour la monnaie,
Je reste la plus belle salope avide
Dans laquelle on se vide
Mais à te tâter fermement le sein,
Il semble qu'on sent bien,
Toute la très bonne chaleur humide,
Encore plus que le numide !
Allons donne, et viens piner mon con,
A moins qu'en pochetron,
Tu ne préfères enfiler mon gros cul,
pour te finir bite nue.
Crache, crache, fais vomir ta queue,
je veux le jus de nœud,
Pour me souiller et me sentir pleine,
Que ça supprime ta peine.
Celle que je suis, aimable grosse catin,
Certes vénale et putain,
Travaille du cul jusqu'à ce que tu jouis
Sans que cela te souci.
Me voici pleine du doux jus de ton vit,
Mon porte-monnaie aussi,
Toi plus léger des bourses, sans tourment,
Content de cet arrangement.
Blonde des pines et blonde léchant.
Inspiré par Jean De La Fontaine
Autrefois la blonde des pines
Invita la blonde léchant,
D'une façon fort libertine,
A des reliefs excitants.
Sur un sofa tout exquis,
Le doux drap se trouva mis,
Je laisse à penser la vie
Que firent ces deux amies.
La bacchanale fut coquette,
Rien ne manquait aux catins,
Mais quelqu'un troubla la fête
Pendant qu'elles étaient en train.
A l’entrée du local,
Elles aperçurent un vit !
La bonde débile s’y empale,
Sa camarade la suit.
Le coït cesse, on se retire
Blonde, sa compagne, aussitôt :
et la pénétrée de dire :
achevons tout notre saut !
C'est assez dit la lubrique,
Demain tu viendras chez moi.
Ce n’est pas que je ne nique,
mais on m‘enfile toujours droit.
Mais rien ne vient me corrompre,
je sacrifie tout au plaisir,
Adieu donc, fi du désir
que le mâle peut interrompre.
La prière du soumis
Notre maître qui êtes au pieu
Que mon nom soit humilié
Que tes coups me saignent
Que ta volonté soit faite dans ma chair comme du fiel
Donne-nous notre orgasme quotidien
Ordonne-nous nos souffrances
Comme nous souffrons de celles qui nous ont défoncées.
Ne nous soumets pas à compassion,
Mais délivre nous du mâle
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