Une journée de travail fort chargée : l’erreur (2005)
Il est près de treize heures, quand la porte d'entrée du bâtiment s'ouvre en faisant tinter le carillon électronique. La femme toujours nue, ou presque, sort alors de son cauchemar éveillé, comme si la foudre venait de la frapper. Elle se dresse sur ses longues jambes et, sans réfléchir, par un réflexe automatique, se dirige vers son bureau, pour accueillir le visiteur.
En sortant machinalement du bureau du directeur, elle croit mourir en voyant Monsieur Raguet, qui est là, debout devant l'accueil, stoïque, comme à l'accoutumée.
- Mais que faites-vous donc dans cette tenue, grands dieux ! Couvrez-vous, c'est indécent !
À ce moment seulement, Julie s'aperçoit de sa tenue. Elle est là, les bras ballants, la veste ouverte, qui ne cache rien de sa poitrine, les fesses à l'air, uniquement vêtue de ses bas. Elle se remet encore à pleurer, en enfouissant sa tête entre ses mains, et a bien du mal à balbutier :
- Mais, je vous croyais en prison, Monsieur !
- En prison ! Et pourquoi donc ?
- Mais, c'est votre remplaçant qui...
- Un remplaçant ? Expliquez-vous, je ne comprends rien. Mais, que vous arrive-t-il, tout d'un coup, Julie ?
- Mais, un homme est venu, ce matin en m'expliquant, que vous aviez perdu votre travail, et que, pire encore, vous aviez été arrêté, pour malversation !
- Comment ! Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire ? J'étais simplement en réunion à Paris, comme prévu, mais cette réunion a été annulée au dernier moment !
- Mais alors, vous faites toujours partie de la maison ?
- Mais bien sûr ! Pourquoi en serait-il autrement, je vous prie ?
Il est intéressant de noter que, bien que la secrétaire ne s'en rende pas compte, vu l'état dans lequel elle est, l'homme ne semble pas si surpris que ça, de trouver sa collaboratrice nue et en pleurs. Et que tout en discutant, il la détaille, d'un regard avide et envieux.
- C'est comme je vous le dis, Monsieur, ce matin, il y avait un nouveau directeur, dans votre bureau, Monsieur !
- Et vous avez le nom de ce type ?
- Heu... Non ! Tiens, c'est vrai, je ne lui ai pas demandé !
- Votre histoire est assez bizarre, convenez-en. Et que croyez-vous que je puisse penser quand, rentrant à l'improviste, je vous vois nue, décoiffée, visiblement vous ne vous êtes pas embêtée, ce matin !
C'en est trop pour la pauvre femme brune, elle sent bien que son vrai patron ne la croit pas, et elle comprend surtout, qu'elle s'est fait berner, par cet imposteur. C'en est vraiment trop cette fois, elle se jette aux pieds de son chef, en lui demandant pardon.
- Oui ! Et si ce fameux homme a subtilisé des documents ? hum... Je fais comment moi, dans ce cas ?
- Pardon, pardon Monsieur...
- Pardon ! C'est bien beau tout ça ! Mais vous méritez vraiment une punition ! Vous vous rendez compte, qu'il a pu voler des documents terriblement importants, voir des documents, qui peuvent mettre notre entreprise en péril ? Hein...
La pauvre secrétaire ne sait plus rien faire que de pleurer, à chaudes larmes, sur les chaussures de son responsable, en balbutiant tout le temps :
- Pardon...
- Et tout ça parce que vous n'êtes qu'une femelle en chaleur, peu vous importe notre société, du moment que vous jouissez comme une truie, tout va bien ! Hein...
Il marque une pause dans son discours pour regarder encore ce superbe corps à ses pieds, puis reprend d'un ton monstrueux :
- Venez avec moi, vous méritez une bonne correction, et je vais vous la donner, tout de suite.
Disant cela, il se baisse, l'attrape par le bras et la relève. Ensuite, Jean-Pierre la conduit dans son bureau, où sont encore restées, la jupe et le chemisier qui traînent par terre.
- Putain ! Vous avez dû en prendre un sacré coup, pour en oublier vos vêtements dans mon bureau. Mais vous ne pouvez donc pas vous retenir quelques heures ?
- Pardon Monsieur... Mais vous savez...
- Aller stop ! plus de simagrées, vous n'êtes qu'une chienne, je vais donc vous dresser. Mais je vous préviens, que cette histoire s'ébruite et je vous mène devant les tribunaux, croyez-moi, je ne plaisante pas.
- Mais je n'y suis pour rien, vraiment, je peux...
- Stop, taisez-vous ! Ça suffit ! Et si vous faites de la prison, imaginez-vous que ce sera fini, les coups de bites à tort et à travers, ça risque d'être dur pour vous... À cette dernière phrase, il a affiché un sourire sadique.
Julie rêve, ça ne peut être que ça, c'est un cauchemar et elle va finir par se réveiller, c'est pas possible autrement. Et d'ailleurs, son patron ne lui a jamais montré autant de méchanceté, ce ne peut être qu'un cauchemar, c'est sûr.
Mais, ce n'est pas du tout en rêve, que l'homme la place sur son fauteuil directorial, derrière son bureau. Il la fait se mettre à genoux sur le siège, les coudes sur le dossier.
Elle pleure toujours. Elle a les yeux fermés et essaye de penser plus calmement, mais elle n'y parvient pas.
Jean-Pierre défait sa ceinture dans un geste nerveux. C'est la première fois qu'il agit ainsi, de toute sa, déjà longue, carrière. Et finalement, il semble aussi mal à l'aise ; que sa secrétaire. Une fois la ceinture retirée, il en fait deux tourS autour de sa main et se prépare à battre sa collègue.
En ce moment, Julie, préférerait être morte. Elle est déjà presque morte de honte, elle est nue devant son vrai patron, elle s'est fait sodomiser et battre plus tôt par un inconnu, mais que lui arrive-t-il donc ?
- Prends ça salope, crie alors l'homme en abattant le cuir de toute sa force.
Ça claque sec. Tout de suite, une traînée rouge est inscrite sur les deux fesses rebondies.
Julie gueule alors comme une truie, qu'on égorge.
- Je vais te soigner, moi, tu vas voir, grosse pute en chaleur.
Et le deuxième coup s'abat, avec encore plus de violence. Une deuxième marque vient se superposer à la première.
La femme porte ses mains sur ses fesses, pour éviter de prendre d'autres coups.
- Retirez vos mains, vite.
- Pitié...
Un troisième coup s'abat alors sur le dos des mains qu'avait placées la jolie brune. Elle gueule encore plus fort, cette fois, elle a des grandes brûlures sur les fesses, mais aussi sur les mains. Dans un mauvais réflexe, elle retire ses mains et se redresse.
Le quatrième coup arrive très vite, mais comme elle a bougé, il touche le bas du dos.
- Bouge pas, pétasse !
À chaque coup de fouet, elle crie encore plus fort. Julie a déjà son postérieur sensibilisé, par le traitement qu'elle a reçu dans la matinée, là, c'est intenable.
Le directeur, y prenant vraiment goût, donne une bonne trentaine de coups de ceinture. Puis, ayant une nouvelle idée, ordonne :
- Debout connasse.
Enfin, c'est fini, arrive-t-elle encore à penser, malgré toutes les douleurs qu'elle ressent. Donc, elle se met debout de bonne grâce et se retourne vers son chef.
Celui-ci à un regard bien étrange. Il ordonne à nouveau, d'une voix complètement différente de celle qu'elle connaissait :
- Les mains dans le dos.
Julie exécute l'ordre assez rapidement, elle s'attend à d'autres réprimandes et est maintenant, prête à les accepter, car elle accepte le fait, qu'elle soit coupable.
Jean-Pierre donne une superbe impulsion, à sa ceinture, qui vient fouetter les seins, par en dessous.
Elle crie à nouveau et ramène ses mains sur sa poitrine.
- T'aimes ça hein ! Espèce de raclure.
Et voyant qu'elle a de nouveau ses mains en protection, il s'empare de son dévidoir de scotch, sur son bureau. Il laisse tomber sa ceinture et ordonne encore :
- Les mains derrière le dos, j'ai dit... Je vais te montrer qui est le maître, pouffiasse !
Sans cesser de pleurer, elle remet ses mains dans le dos.
Il joint les deux mains et entoure les poignets de ruban adhésif. Il prend cinq bonnes minutes pour faire cela, car il fait bien plus de cent tours. Ensuite, il repose l'objet, ramasse sa ceinture, la reprend comme auparavant et vient se replacer sur le côté de sa collaboratrice.
- Pensez donc que ce pourrait être les flics, qui vous infligent ce traitement...
Puis il relève le ruban de cuir et fouette, sans s'arrêter, la poitrine de la pauvre femme, pendant au moins cinq nouvelles minutes.
Heureusement que le bâtiment est désert, en se samedi, car c'est un chant tragique, fait de cris et de pleurs, que l'on peut entendre, depuis ce matin.
- Maintenant, vous allez me racontez dans le détail, tout ce qui s'est passé ce matin, dit finalement Jean-Pierre, fatigué par son exercice.
Et Julie, après encore cinq bonnes minutes passées à se calmer un peu, raconte, elle raconte en pleurant toute son aventure, tout, dans le détail. Elle a honte de tout raconter, mais le fait néanmoins. Elle ne néglige aucun détail, elle donne même ses impressions personnelles, avoue avoir joui quand elle se faisait sodomiser, avoir pris du plaisir à boire le foutre. Dans l'état où elle est, elle dit tout, sans se soucier des conséquences, tant elle est déboussolée et heureuse de pouvoir se libérer en parlant.
Jean-Pierre écoute attentivement le récit qui lui est fait. Il apprécie particulièrement les passages salaces, et surtout, les moments où sa secrétaire s'ouvre à lui, en lui dévoilant ce qu'elle a ressenti, comment elle a vécu tout ça, ce qui lui passait par la tête à ces moments-là.
Quand elle finit son histoire, l'homme se lève et annonce :
- C'est pas croyable ! Vous voulez vraiment que j'avale cette couleuvre ? tâchez de trouver mieux, la prochaine fois.
- Mais je vous jure, que ce n'est que la vérité.
- Allons, allons, un peu de sérieux. Moi, ce que je crois c'est que vous vous êtes fait prendre, comme une chienne, par un mec que vous avez rencontré il y a peu, et que ce dernier a eu envie de vous piner, dans mon bureau, oui !
- Mais non, Monsieur, je vous...
- Ça va... En attendant, c'est une très grave faute. Remerciez-moi plutôt de ne pas porter plainte, tout de suite, ça oui !
- Merci Monsieur, finit par dire Julie en baissant les yeux. Puis, toujours à demi en pleurs, elle poursuit, merci de votre gentillesse.
- Vous ressentez bien votre faute, j'espère ?
- Oui Monsieur, je suis fautive, c'est moi la seule fautive, vous avez raison.
- Parfait, alors imaginez-vous comment vous pouvez me remercier, de ne pas porter plainte.
- Heu... Je ne sais pas, Monsieur !
- Allons, un petit effort d'imagination ! Avec ce que vous venez d'inventer, comment voulez-vous que je n'ai pas le feu en ce moment ? hum...
- Oh non... Pas vous...
- Comment ça pas moi ? Là, le directeur se met vraiment en colère et poursuit : Je ne suis pas assez bien pour une pute telle que vous, peut-être ?
- Mais...
- Une pute fait ce qu'on lui demande, du moment qu'on la paye, et là, j'ai l'impression de payer fort cher, alors à vous d'être très docile, à mes caprices.
- Mais non...
- Allez, hop ! pas de mièvrerie, à quatre pattes.
- Vous n'avez pas le...
- Tais-toi chienne puante, à quatre pattes, que je t'encule comme tu aimes, en plus là, je te fais un cadeau en t'enculant, car tu viens de m'avouer, aimer ça plus que tout.
Julie éclate une fois de plus en sanglots, elle se cache la tête dans ses mains comme à l'accoutumée, une véritable autruche.
Voyant qu'elle est complètement perdue, le monstre la prend par le bras sans aucun ménagement, lui tirant encore un cri de douleur, et la jette sur le bureau.
- Serre tes cuisses, salope, allez plus vite que ça.
La femme, devenue très docile, obéit à l'instant.
- Écarte-toi les fesses !
Encore une fois, complètement soumise, elle s'exécute en prenant à pleines mains ses belles fesses rebondies et les écarte bien en grand.
- T'impatiente pas, tu vas la prendre dans ton trou du cul, ma queue, précise encore l'homme lubrique, qui a sorti son engin et bande déjà comme un âne.
Julie se dit, à cet instant, que de toute façon, après ce qu'elle a déjà subi, ce n'est plus qu'une toute petite formalité. Et c'est dans cet état d'esprit, qu'elle attend, les fesses écartées, de se faire encore défoncer le cul.
C'est sans ménagement que Jean-Pierre introduit son sexe dans l'étroit conduit. Il n'a pas lubrifié l'endroit, mais sa queue passe sans encombre, car l'anus est encore bien dilaté, par le traitement qu'il a subi, quelques heures auparavant.
Les premiers assauts de ce sexe, tout de même plus peut-être, que celui de Luc, brûlent à nouveau le sphincter. Mais cette fois, ayant subi bien d'autres outrages, la pauvre secrétaire, perdue dans ses pensées, ne se plaint même pas.
Jean-Pierre se contente de limer ce petit cul, sans trop d'originalité. De temps à autre, il ahane. Puis, sentant sa semence monter, il s'exclame :
- Oh putain, quel trou du cul tu as ! Salope va...
Maintenant la jolie et docile collaboratrice jouit à nouveau en gémissant sans arrêt. Elle s'abandonne complètement au plaisir, ce qui lui permet d'oublier ses misères.
Le pervers patron s'empare à ce moment de la pauvre femme brune, toujours par le même bras. Et, tirant de toutes ses forces sur le côté, lui fait perdre l'équilibre et la fait tomber sur le sol. La bite à la main, il vient se mettre au-dessus du visage, où se lit la stupeur, et dit, sur un ton, encore plus méchant :
- Tiens morue, je vais te doucher avec mon foutre. Regarde salope !
Et il jouit. Le foutre coule de sa queue et vient tomber, un mètre plus bas, sur le visage.
Elle en a plein partout, au bout de quinze secondes, elle a du sperme dans les yeux, qu'elle avait heureusement fermés, dans les cheveux et il y en a même, qui s'infiltre dans ses narines.
- Allez grosse truie, ramasse tout ce bon jus de couilles, avec tes doigts et suce-les ensuite.
Et encore une fois, totalement soumise, Julie exécute l'ordre qui vient de lui être intimé. Elle se sert de ses doigts, comme de petites raclettes, et ramène le foutre à sa bouche, où elle l'englouti.
Le démoniaque directeur la regarde faire et se régale du spectacle salace. Puis, ayant envie d'aller se vanter chez son ami Luc, avec qui il a monté toute l'opération, il décide de se rhabiller et dit alors, très brusquement :
- Allez, casse-toi maintenant, rentre chez toi.
- Mes vêtements, Monsieur ?
- Non, t'es qu'une pute, tu vas rentrer chez toi en pute, à poils, en espérant que tu te feras enculer encore, sur le chemin ! Et il éclate d'un grand rire sadique.
Julie va, dans cette tenue, s'asseoir à son bureau. Une fois assise, pour changer, elle se met à pleurer.
Jean-Pierre, ivre de stupre et heureux d'avoir, enfin, dressé sa jolie collaboratrice, dont il avait envie d'abuser depuis bien longtemps, sort de son antre, traverse le bureau d'accueil, sans jeter le moindre regard sur son employée et sort du bâtiment.
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