Une journée de travail fort chargée : fin de service (2005)
La malheureuse secrétaire pleure encore un bon quart d'heure. Puis, commençant à se calmer un peu tout de même, elle recommence à cogiter sur cette folle journée, sur ce qu'elle a vécu, ce que lui a dit le fameux imposteur. Et elle se rend compte que c'est vrai, son corps aime cette violence, son cul accueille les outrages, qui lui sont faits, elle jouit dans cette ambiance plus que bizarre, où elle n'est plus qu'un objet sexuel. Et, comme on lui avait si durement fait remarquer, elle mouille, quand elle est ainsi avilie, souillée, contrainte. Et même les coups sur les fesses, bien que la brûlant sur le coup, se transforme vite en quelque chose de très agréable. Et surtout, elle tire une certaine fierté, la fierté des soumises, d’avoir enduré des choses, de plus en plus dures.
Elle pense aussi que finalement, ce monstre, mais est-ce bien un monstre, ou un homme averti qui la guide ? Ce personnage donc, a sûrement raison, qu'en fait, elle est bien plus vicieuse et esclave de ses sens, qu'elle ne voulait l'admettre jusqu'à présent. Qu'elle est folle de sexe, de perversion, d'insolite, de hard. Qu'elle aime aussi, tout compte fait, être maltraitée, être forcée à faire ce qu'elle, aime mais que la morale réprouve, elle sent que là, elle a trouvé une excuse, pour s'assumer. Ce n'est plus elle qui est vicieuse et perverse, elle est obligée de faire des choses horribles, et elle y prend un plaisir sans nom.
C'est, perdue dans toutes ses contradictions et pensées, que Julie s'aperçoit d'un coup, qu'il se fait assez tard dans l'après-midi et qu'elle n'a toujours pas déjeuné. Elle se rappelle subitement, que sa jupe et son chemisier sont restés dans le bureau du patron. Elle y va.
Elle ramasse son soutien-gorge, qui n'est plus utilisable maintenant, aussi le met-elle de côté pour le jeter chez elle. Ensuite, elle ramasse son chemisier, mais ne peut pas vraiment le fermer, car il manque les trois premiers boutons du haut. Quelle touche elle va avoir, dans les transports en communs, pas de soutif, et un décolleté digne d'une vamp d'Hollywood. Ensuite, elle met sa jupe et finit par ramasser sa veste qui, heureusement encore, lui permet de masquer un peu, le fabuleux décolleté.
Après, elle va aux toilettes, pour se passer de l'eau sur le visage, refaire son maquillage tout de même, finalement, elle quitte l'établissement, en prenant bien soin de tout fermer à clefs.
À l'arrêt de bus, elle est toujours perdue dans ses pensées et ne remarque même pas cet homme, qui est venu se coller à elle, sur sa droite.
L'homme, assez grand, bien bâti, laisse ses yeux se promener dans le décolleté, qu'il peut apercevoir. Étant plus grand que Julie, la vue en plongée, lui semble bien sympathique.
Elle est debout, droite, solidement campée sur ses belles jambes, les bras croisés comme à son habitude, quand elle attend le bus à cet endroit. Son sac à main sur l'épaule droite, tire encore un peu plus de ce côté, la veste. Si elle était moins absorbée, par ses états d'âmes, elle se rendrait bien compte que ce type louche, effrontément, sur sa poitrine.
Lui, dénué visiblement de toute gène, fixe un bon moment la naissance des seins. Il admire le velouté de la peau, il hume le parfum de cette belle créature.
Bientôt le bus arrive. Il stoppe et les deux personnes montent à l'arrière, comme tout bon abonné.
Julie s'installe sur la banquette du fond, qui est libre, à droite, près de la fenêtre. Elle regarde, les yeux dans le vague, à travers la vitre, le paysage défiler. Elle ne sent même pas, cette nouvelle présence, à ses côtés.
Bruno trouve, que cette jolie femme brune, est bien à son goût. Il la regarde, elle a les mains croisées, sur le haut de ses cuisses, cachés par la jupe du tailleur. Mais lui, en amateur éclairé, a remarqué qu'elle avait des bas, aux très légers bourrelets, qui impriment la jupe. De plus, les jarretelles marquent aussi, très légèrement, le vêtement.
La pauvre secrétaire laisse son esprit vagabonder. Elle ne sait pas si elle est bien ou mal, si elle doit s'assumer, dans le rôle qu'on lui a dévoilé ce matin, ou si elle doit se battre, contre elle-même et sa propre nature. En ce moment, elle ne fait plus attention à l'image, qu'elle donne d'elle, et est pratiquement avachie, sur le siège de Skaï. Son sac est négligemment coincé entre elle et la vitre, dénudant presque son épaule.
Le type s'enhardit un peu, au bout de quelques minutes de voyage, en se tournant vers sa voisine. Ne voyant aucune réaction, il décide alors de voir de plus près cette si jolie poitrine, qui semble bien libre de toute entrave. De sa main gauche, il s'empare du revers de la veste et le décolle de la peau, en regardant franchement, à cet endroit.
Une autre fois, Julie aurait giflé cet individu, sans autre forme de procès. Mais cet après-midi, dans l'état où elle se trouve, avec toutes les idées qui lui encombrent le cerveau, et tous ces concepts nouveaux, qu'elle vient d'apercevoir sur elle-même, elle ne réagit pas vraiment. C'est tout juste si elle a un petit mouvement d'épaule gauche, qui voudrait décourager son voisin. Mais elle laisse son regard filer, sur le paysage.
Bruno écarte alors, encore un peu plus, le tissu de la peau et dit très doucement :
- Magnifiques vos seins, vraiment, de toute beauté !
Ces paroles semblent la faire tout de même sortir de sa léthargie. Elle se retourne vers l'homme et bafouille, très surprise tout de même :
- Je ne vous permets pas, Monsieur !
- Mais c'est un compliment, Madame, dit-il encore en affichant un large sourire.
Et Julie se retourne vers l'extérieur, sans avoir repoussé cette main, qui maintient toujours le revers de la veste.
Bruno comprend à ce moment, que cette jolie brunette est une cochonne de première, aussi continue-t-il encore, toujours d'une voix douce et avec un grand sourire :
- J'ai remarqué que vous aviez des bas, ils ont l'air très jolis aussi d'ailleurs...
La femme n'a toujours pas de réaction, apparemment.
- Je suis prêt à parier que vous êtes une sacrée coquine, non ?
- Monsieur, s'il vous plaît... Dit-elle d'une petite voix, sans se retourner.
Bruno lâche un instant le revers, mais c'est pour mieux continuer, en plaçant sa main sur la cuisse, près de lui. Après quelques secondes comme ça, estimant qu'il est en bonne voie, il ajoute :
- Dites, vous me donnez votre culotte ?
- Je n'en porte pas...
- Super ! J'adore les femmes coquines, qui poussent le jeu en dehors du domicile, comme vous le faites.
Le ton enjoué employé, apaise un peu les tourments de Julie. Elle se tourne vers son voisin, et dans un élan, assez difficile à décrire, lui sourit gentiment, sans arrière-pensée.
Ce beau sourire met le feu à l'homme. Se sentant compris, il se penche et glisse à l'oreille, tout doucement :
- J'adore les femmes très vicieuses... Puis, prenant du poil de la bête, il glisse sa main sous la jupe et la relève, tout en caressant la cuisse, doucement. Il murmure encore : Ne m'en voulez pas, mais c'est plus fort que moi, il faut que j'aille vérifier, que vous n'avez vraiment pas de culotte...
La caresse est agréable, surtout que, juste avant de ressentir la main de son voisin, elle revivait les cuisants souvenirs de la ceinture sur ses seins, encore un peu douloureux. Sans pour autant montrer une véritable envie, que tout cela cesse, elle articule difficilement :
- En voilà des manières...
- Chut... laissez-vous faire, je ne veux que votre bien...
La main arrive maintenant, tout en haut des cuisses et Bruno peut donc vérifier, que cette salope ne ment absolument pas, elle ne porte pas de culotte, pas le moindre petit string, rien.
La présence de cette chaude main, la réconforte à cet instant. Quelle différence, avec ce qu'elle vient de vivre, elle se laisse aller aux caresses.
- Pas désagréable n'est-ce pas... Poursuis encore le type aux mains agiles en flattant les grandes lèvres d'un doigt inquisiteur, mais doux.
Elle ne répond pas, mais son corps répond pour elle. Elle écarte ses belles cuisses pour laisser plus de place à cette main visiteuse et gracieuse. Elle se cambre même, tout doucement, dans un long mouvement lent.
- Ça vous plaît, hein...
Julie ne fait que soupirer légèrement, pour acquiescer.
Bruno laisse maintenant son doigt s'insinuer entre les petites lèvres et découvrir toute l'intimité de cette femelle en chaleur, qui mouille comme une fontaine.
- J'ai les doigts emplis de votre cyprine, que c'est bon... Dit-il encore, très tendrement.
Et ce coquin d'homme continue de plus belle. Son index est maintenant dans la grotte féminine, à en faire le tour, et son majeur est sur l'anus dilaté où, à plat dessus, il exerce une pression, comme pour le faire entrer perpendiculairement aux intestins.
Visiblement, cet individu sait y faire dans les caresses. Le bus est presque désert, mais le chauffeur, dans son rétroviseur, fait un immense effort pour voir ce qui se passe à l'arrière, sans, toutefois, pouvoir voir réellement quelque chose.
Maintenant, la jolie brune a les jambes bien écartées, le dos cambré, elle s'offre impudiquement aux doigts, quasiment magiques, de cet inconnu. Son souffle est court, elle miaule doucement, comme une chatte heureuse.
- T'aimes ça belle cochonne, hein !
Julie parvient tout juste à minauder un petit "oui" du bout des lèvres. Elle a maintenant, un doigt dans la chatte et un dans le cul, et elle se rend compte qu'elle adore ça. Elle repense aussi à ce matin, quand cet homme, dur et bizarre, lui disait qu'elle n'était qu'une femelle faite pour le sexe. Que sa véritable nature était, d'être une vraie chienne en chaleur, qui se fait prendre par tous les mâles qui passent. Et si c'était vrai finalement ? Et si, après tout, cet imposteur brutal, n'avait pas fini par découvrir ce, qu'elle-même, n'avait encore pas vraiment voulu accepter ? Les questions recommencent à se bousculer dans sa tête, mais les vagues de plaisir l'envahissent et elle articule encore :
- Oh salaud ! Continue...
Elle fond littéralement, sous la douceur, que lui prodigue ce diable d'homme.
- Oui... Tu es une bonne salope, vas-y, laisse-toi aller au plaisir.
Et sur ces dernières paroles, Bruno vient plaquer sa bouche sur la bouche entrouverte, de la jolie femme, et y fait pénétrer sa langue, dans un long et délicieux baiser. De sa main gauche, il va tripoter les seins gonflés, à la peau soyeuse.
Julie à l'impression qu'elle monte au paradis, surtout après cette horrible et infernale matinée. Le contraste est tel, entre ses deux bourreaux et ce délicieux coquin, qu'elle accepte de se livrer corps et âme.
- Tu me fais bander... Murmure encore, ce mutin.
Elle ne répond même pas, elle est au septième ciel, sous les doigts magiques, qui s'occupe de ses deux trous en feu.
- J'ai envie de toi tout de suite...
De toute manière, la belle brunette ne sait, maintenant, plus où elle se trouve. Elle a les yeux fermés et est parvenue à tout oublier, même qu'elle n'était que dans un bus.
- Viens sur moi...
Et Bruno relâche un peu sa nouvelle conquête, pour défaire sa braguette en un clin d'œil et sortir sa queue, toute gonflée d'envie. Puis, la prenant par les hanches, après l'avoir penchée en avant, enchaîne :
- Viens t'asseoir sur moi...
Julie se laisse guider par cet inconnu si gentil. Elle se lève un peu du siège, sent des mains lui remonter, sa jupe sur les reins, passe sa jambe gauche par-dessus les genoux de l'homme, et vient s'installer, tranquillement, sur le vit dressé.
La bite entre et le gland va directement au fond de la matrice. La moule est bouillante et pleine de jus de femelle.
Le type ne fait aucun effort pour l'introduction, ça rentre comme dans du beurre. Dès qu'il sent sa queue tout au fond, il lâche les hanches et passe ses mains sous la veste, pour venir attraper les nichons, tout gonflé du désir, de cette belle brune en chaleur. Puis, il murmure, après quelques allers et retours :
- J'aime ce côté insolite...
Mais, dans l'état où est la secrétaire, rien ne vient plus la choquer. Elle est à nouveau entièrement soumise, à ses pulsions sexuelles.
Cette fois, le chauffeur s'aperçoit du manège au fond de son bus et en oublie, presque, de s'arrêter à l'arrêt prévu. Un homme, entre deux âges, monte dans le bus.
Deux jeunes filles, dehors, attendant un autre bus, n'en croient pas leurs yeux, à la vue de ce spectacle, qui se déroule dans le fond du bus. L'arrière de l'engin étant surélevé, elles comprennent tout de suite, que le mec est en train de baiser cette femme, qui semble un peu plus âgée, que lui.
Le nouveau voyageur, l'instant de surprise passé, se dirige vers l'arrière du véhicule, tout doucement.
Bruno continue à encourager Julie, de ses caresses sur les seins.
Elle est penchée en avant, elle a posé ses bras, sur le dossier, devant elle et s'aide ainsi, pour lever et baisser son cul, à un rythme assez rapide. Elle a la jupe relevée, la veste entrouverte, qui laisse apparaître ses deux beaux gros seins, qui sont en train d'être malaxés de belle manière.
Il se livre, sans pudeur, à une partie de cul, digne d'un film porno.
Le nouvel arrivant est venu, pendant ce temps-là, se placer de l'autre côté de la banquette arrière et ne perd rien du spectacle.
Bruno s'est aperçu de sa présence et lance, pas trop fort tout de même :
- Ça c'est de la salope ! Hein...
Julie, quant à elle, n'entend plus rien. Elle jouit sans vergogne, de la présence, dans sa chatte, de cette grosse bite. Elle a les yeux fermés.
Son amant lâche à nouveau les seins et vient prendre les hanches pour imprimer son propre rythme, plus soutenu cette fois.
Le voisin s'est encore approché pour mieux voir.
- Vous pouvez toucher...
Le nouveau passager laisse alors, sa main passer sous le sein gauche, de la belle brune, et, coinçant le téton entre son pouce et son index, le pince durement.
La femme râle maintenant de bonheur. Le temps semble s'être arrêté, elle a enfin l'esprit libre, et est toute dévouée au vice.
- Je vais jouir... Avoue alors Bruno d'une voix qui prouve la véracité de ses dires.
- Oui... Vas-y.... Donne-moi ton sperme...
- Oui... C'est ça... Viens boire mon jus de couilles...
Et il aide la belle Julie à revenir s'asseoir à côté de lui. Ensuite, il la prend par la nuque et lui baisse la tête sur sa queue.
Elle avale le gros mandrin et se met aussitôt à le sucer, en ahanant.
Le voisin, dont les ébats lui sont montés à la tête, a sorti, pendant ce temps, sa bite et se masturbe en regardant.
Bruno fini par jouir. Il lâche la purée dans la bouche accueillante, dans un râle qui en dit long, sur le plaisir qu'il ressent. Il maintient toujours fermement la tête de sa voisine, sur son ventre. Puis, s'apercevant du manège de son voisin, annonce :
- Attendez, elle va vous sucer aussi... Puis il guide la tête, qu'il tient toujours solidement, vers le sexe de ce nouvel arrivant, qui n'en croit pas ses oreilles. Et il ordonne gentiment : Vas-y, suce-le aussi, ma belle.
Elle est devenue complètement excitée par toute sa journée et par le foutre délicieux qu'elle vient d'avaler. Elle se laisse encore faire, passe au-dessus de son amant, les seins contre cette bite qui vient de la faire jouir, et prend cette nouvelle queue en bouche.
- Putain, qu'elle suce bien, cette salope, lâche l'homme, très excité aussi.
- M'en parlez pas, je ne la connais pas, mais pour une bonne chienne, c'est une bonne chienne !
Et pendant ce temps-là, Julie suce, suce, et suce encore. Elle aspire, caresse la pine avec sa langue, pelote les couilles en même temps, tant et si bien, que moins de trois minutes après qu'elle ait commencé, le voyageur lui déverse sa semence en bouche.
Bruno est très content de ce qui vient de se passer, il aide la belle brune à reprendre sa place et commence à remonter sa braguette.
L'inconnue rentre très vite sa bite dans son pantalon et se lève, pour aller vers la sortie du bus.
Julie est prête à recracher le sperme qu'elle a encore en bouche quand elle entend :
- Non, avale, ne recrache pas !
Soumise comme elle est maintenant, elle exécute l'ordre sans broncher en avalant tout l'épais liquide. Puis, elle essaye de se rhabiller un peu, tout de même. Et elle entend à nouveau :
- Toi, je t'emmène chez moi ! Tu viens dîner tout de suite, car tu me plais vraiment.
- Mais... Commence-t-elle à protester, quand elle est coupée.
- Pas de mais... Tu viens, je veux te connaître plus.
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