Une femme pas simple : le clash (2002)


Brigitte, comme beaucoup de femmes, avait très envie de présenter son nouvel amant à ses copines. Pour ce faire, elle organise une soirée, et propose à Mickaël qu’il invite, lui aussi, ses copains les plus proches.

Le début de soirée se passe bien, mais on sent que les deux populations sont fortes éloignées. D’un côté, des femmes volubiles, mais très axées sur leur vie, les enfants et le travail. De l’autre, des mecs qui aiment s’amuser, sortir, rire, et ressemblent plus à des bad-boys qu’à des messieurs très "comme il faut".

L’apéritif dînatoire est bien plus composé de liquide que de solide, aussi l’ambiance s’échauffe de plus en plus. Et les garçons commencent à aller sur des sujets plus gras, voire, parfois, carrément sexuels.

Brigitte commence à faire la gueule, parce qu’elle voulait d’une soirée plus classique, BCBG, et là, les grosses balourdises bien grasses ne lui plaisent pas du tout. Elle essaye de recadrer la soirée, mais en vain. Surtout que son nouveau compagnon s’y met aussi. Alors, finalement, elle se laisse aller à ses habitudes, et s’alcoolise, là aussi, de plus en plus !

Ce qui devait arriver, arrive, à plus de minuit, une main aux fesses trop appuyée, met le feu aux poudres, et la soirée se termine en pugilat verbal. Tant et si bien que les amis de Mickaël décident de partir, et finissent même à le persuader d’aller avec eux.



Le lendemain matin, le téléphone de Mickaël sonne :

- Tu es content de toi ? Connard, tu m'as pourri ma soirée !

- Comment tu me parles ? C'est toi qui faisais la gueule, pas moi !

- Tu es un connard, je ne veux plus te voir !

Brigitte à la langue qui colle au palais, ce qui donne cette voix si particulière. Il semble qu'elle ait continué la soirée à picoler et que ce matin, il lui reste encore pas mal d'alcool dans le sang.

Une de perdue, dix de retrouvée, se dit Mickaël, et finalement, cette femme était un peu trop prout-prout à son goût, aussi ne s'en occupe-t-il plus, raccroche et va vaquer à ses occupations avec ses potes.



Toute la semaine, Mickaël a le téléphone qui sonne, mais il ne répond pas. Il reçoit moult messages de Brigitte, un coup le message est insultant, elle crie et traite son ex comme du poisson pourri. Une autre fois, un message le suppliant, pour lui dire qu'elle ne pouvait pas se passer de lui et qu'elle l'aimait comme une folle, bref du gros pénible. À la limite de relever de la psychiatrie.

Au bout de trois ou quatre jours, les messages insultants sont devenus de moins en moins nombreux et les pleurnicheries d'une femme amoureuse de plus en plus conséquentes.

Il arrive même, que le samedi suivant, sur le coup de quatre heures trente du matin, Brigitte vienne pleurer à la porte de l'appartement, gratter, supplier, pleurnicher. Ce qui finit par réveiller l’homme qui, ayant reconnu la femelle, ne s'en soucie pas plus que ça, remet son oreiller sur sa tête et se rendort du sommeil du juste.



Le dimanche matin, sur le coup de dix heures, toujours avec la langue qui colle au palais, deux appels. Une fois de plus, son ex-copine veut pouvoir discuter, pour recoller les morceaux.

Finalement, au troisième appel, il décroche en espérant convaincre cette femme de le laisser tranquille.

Mais Brigitte passe son temps à essayer de parlementer, pour que son bel amant revienne la voir. Un peu à bout d'arguments, l'homme finit par lui dire :

- Écoute, viens à quatorze heures, tu t'habilles en salope, pas de culotte, pas de soutif, des bas, une jupe, un chemisier et une petite veste. Tu viens, la porte sera déverrouillée.

À son arrivée dans l’appartement, la brune se jette au cou de l'homme, qui lui roule une pelle, puis, ensuite, la repousse au milieu de la pièce, lui dit de rester debout, et lui s'assoit sur le canapé.

Il commence à lui expliquer :

- Ton problème n’est pas simplement l'alcool, ton problème est, que tu es masochiste et que tu as besoin de souffrir, dans tes sentiments, pour te sentir femme. Or moi, souffrir dans les sentiments, c'est NON. Ça ne m'intéresse pas du tout d'avoir une guerre larvée, avec une femme et vivre ça, tous les jours. Donc si tu veux qu'on explore ton côté masochiste, ça ne me pose aucun souci, mais dans ce cas-là, on va en jouer à ma façon ! Là, tu te mets à poil. Pour commencer, tu vires ta jupe et ton chemisier. Moi, je sors ma cravache.

Sitôt dit, sitôt fait, la femme se retrouve en escarpins, bas, porte-jarretelle, au milieu de la pièce. Debout, les mains le long du corps.

L'homme la regarde et commence par lui ordonner :

- Les mains sur la tête, vite !

Puis, il tourne autour d'elle, avec sa cravache. Caressant les seins, les flancs, le ventre, les fesses, les cuisses, les bras, avec le cuir de l’extrémité de l’objet. Quand tout d'un coup, alors qu'il est derrière elle, elle sent une vive douleur, sur sa fesse droite. Un coup de cavage vient de tomber.

La douleur arrache un sanglot à Brigitte qui commence à vouloir se rebiffer.

Mais l'homme, tout de suite, l'arête. Il lui dit :

- Tu n’as pas compris ce que je t'ai dit ! Tu veux retourner chez toi tout de suite ? et puis, tu arrêtes de me harceler, au téléphone.

Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la pauvre femme se reprend et essaie d'arrêter ses sanglots. Et là, c'est une série de quatre coups cinglants qui lui tombe sur le cul. Cette fois, elle pleure pour de bon.

- Puisque tu aimes la douleur, en voici, par contre plus question de me faire chier, d'emmerder le monde, de faire la gueule pour un oui ou pour un non ! Quand tu en sentiras le besoin, quand tu te sentiras mal ou que quelque chose ne va pas bien, c'est pas compliqué, tu demandes à ce que je sorte ma cravache, ou un autre objet du même acabit, pour te donner cette douleur qui te manque tant.

Brigitte pleure à chaudes larmes. Elle danse d'une jambe sur l'autre, tant les fesses lui brûlent.

L'homme tourne autour d'elle, vient se placer devant et lui assène quelques petits coups de cravache, sur le haut de la vulve et sur le clitoris. Là encore, la belle cherche à se rebiffer.

Ça va pas, non ? Qu'est-ce qui te prend ?

Mais tais-toi ! Tu aimes ça les coups, tu aimes ça la douleur, donc en voilà, de la douleur !

- Ah mais là, c'est pas du jeu, je prends des coups sur le clitoris !

- Ne me dis pas que ça fait mal !

- Si, un peu tout de même !

- Bien, j’en prends note.

La femme est toujours debout, les mains sur la tête. Elle a cessé sa danse de saint Guy depuis, que son clitoris a été la cible de toutes les attentions.

Lui retourne derrière la femelle, prend de l’élan et lui file une série de dix coups de cravache. Cette fois, non plus avec l'extrémité en cuir, mais bien avec toute la longueur de l'outil, qui vient zébrer les fesses. Puis, alors qu'elle pleure à chaude larme, en ayant repris sa drôle de danse. Il se tourne vers son bureau, prends son téléphone portable et fais quelques photos. Ensuite, il vient se planter devant la femme et lui montre son cul zébré, que l’on peut parfaitement voir, sur les photos, qu'il vient de faire.

Entre deux gros sanglots, la pauvre femme, aux yeux noyés de larmes, hoquette :

- Oh mon chéri, je t'en prie, ne me donne plus de coup, j’ai compris la leçon, fais-moi l'amour, mais ne me donne plus de coup.

Bien, tu peux retirer tes mains de la tête, maintenant.

Sur ce, l'homme emmène sa copine dans la chambre. Une fois dans la pièce, d’une petite voix, la brune demande :

- Puis-je enlever mes bas et le porte-jarretelles, ils me gênent ?

- Non, tu restes habillé comme une pute, c'est comme ça que je t'aime.

L'homme ouvre le lit et pousse sa compagne dedans. Là, il commence à lui lécher la chatte en lui mettant un doigt dans l’anus, jusqu'à ce que cette dernière, commence à donner des signes d'orgasme. Il s'arrête net et ordonne :

- Tourne-toi.

Puis, il recommence. Mais cette fois, il lui fait une feuille de rose en glissant deux doigts dans le vagin, doigts qui gesticulent à toute vitesse, à l’intérieur, dans tous les sens, sans oublier les petits coins.

- J'en peux plus, s’exclame la femme entre deux cris de plaisir.

- Mets-toi à quatre pattes, je veux usiner ton trou du dimanche.

La belle ne se fait pas plus prier que ça, se met à quatre pattes, attendant que le sexe de son amant, vienne fouiller ses entrailles.

On ne se prive de rien, il retire prestement son pantalon, en gardant son t-shirt et, déjà en érection, vient plaquer son gland contre l’œil de bronze. Puis, d'un coup sec, enfonce tout son chibre, dans l'ampoule rectale de la brune.

Il lime rapidement et attend que sa compagne s'envoie vraiment en l'air, avant de jouir dans son cul. Puis, il s'écroule un peu sur le côté, regarde par en dessous la femme, toujours à quatre pattes et lui ordonne encore :

- Vas-y, branle-toi, que tu fasses ressortir tout le bon foutre, que je t'ai mis dans le fion.

Brigitte, excitée comme elle est, malgré l'orgasme qu’elle vient d’avoir, se masturbe frénétiquement et commence à jouir, une fois, deux fois, trois fois...

- Parfait, ça suffit pour aujourd'hui, maintenant, tu t'habilles et tu rentres chez toi.

- Mais comment ça ? je voulais rester avec toi !

- Non, tu rentres chez toi, tu m'as dit que tu avais ton gamin à faire manger, donc tu rentres chez toi. Tu lui donnes à manger et tu vas te coucher après. Une fois que tu seras au lit, tu m'appelles. Et pas trop tard, moi, ce soir, j'ai une sortie en boîte, avec mes potes.

Tout de même fâché d'être ainsi congédiée, Brigitte retourne dans le salon s'habiller et revient faire un bisou à son homme, avant de partir.


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