Une femme pas simple : la révélation (2002)
En ce samedi matin, Mickaël, se réveille sur le coup de dix heures après une soirée en boîte, bien énergique.
Il se souvient que sa compagne, Brigitte, doit passer sur le coup de midi, avant d'aller déjeuner chez sa mère.
Peu de temps après onze heures, la sonnette retentit, c'est la brune qui arrive, dans une belle robe mauve, qui fait très sérieuse, peut-être même, un peu stricte.
L'homme embrasse la femme, puis l'attire dans le salon. Et là, après lui avoir remonté la robe et vu que la belle portait des bas. L'assied sur le coin de son grand bureau noir, met la culotte sur le côté et la baise, sans autre forme de procès.
Très vite, la brune s'envoie en l'air et jouit bruyamment. Est-ce le fait d'aller chez sa mère, l'excitation de porter des bas ou le fait d'être piné comme une secrétaire, sur le coin du bureau de son patron, toujours est-il, qu'elle prend un pied phénoménal.
Une fois que l'homme s'est vidé dans le vagin bouillant, il lui dit :
- Retire ta culotte, tu n’as pas besoin de ça, pour aller chez ta mère.
- Oh ! Mais, tu ne te rends pas compte...
- Mais si ! Ta mère ne va pas vérifier si tu portes une culotte ou non ! Donc arrête de me raconter des conneries, retire ta culotte et va manger chez ta mère, maintenant.
- Je pourrais revenir plus tard ?
- Oui, reviens vers seize heures, pas avant s'il te plaît, je risque d'avoir du monde.
Sur ce, Brigitte vient embrasser encore fougueusement son amant, et s’apprête à partir sans culotte, quand elle entend :
- Allez, va, ma soumise, va.
Ce soir-là, Brigitte arrive vers vingt heures. Elle est passée chez elle avant de venir et est vêtue d'un long manteau en daim, elle porte des escarpins, une jupe noire, assez moulante et des bas noirs épais, de chez Chantal Thomas.
Il est prévu un petit repas sympathique et une soirée calme, car Brigitte doit aller chercher son fils à la gare vers minuit trente.
Dès l'apéritif dans le salon, Mickaël se rend compte, que son amie a fait un gros effort en mettant des bas autofixants, mais il ne fait pas voir, qu'il s'en est aperçu, pour voir où veut en venir cette sacrée coquine. Néanmoins, le moins qu'on puisse dire, c'est que cet effort le touche, et mème l'excite.
Après deux verres, ils passent à table. Mickaël a préparé une petite salade en entrée et du poisson pour le plat de résistance, le tout arrosé d'un petit Mercurey.
Pour prendre le café, Mickaël invite son amie à revenir sur le canapé, du salon.
Il la laisse s'installer, pendant qu'il prépare les deux expressos. Il apporte bientôt les cafés et s’assoit très près de la belle. Dès qu'il est assis, il laisse ses mains se promener, sur les cuisses de la femme, qui semble s'offrir. Il a bien sûr remarqué, tout au long de la soirée, toutes les manières que faisait Brigitte, pour redescendre sa jupe, comme si cette dernière remontait toute seule, le long des fines cuisses. Pensant qu'il est temps, il commence à dire :
- C'est bien, tu as mis des bas sans que je sois obligé de te le réclamer, tu fais des progrès.
- Tu sais, je me sens très mal à l'aise avec.
- Ah bon ! Et qu'est-ce qui te rend donc, si mal à l'aise ?
- Eh bien, j'ai l'impression que tout le monde se rend compte que je
porte des bas. Et ça ne me plaît pas du tout.
- Mais pourtant, c'est bien toi qui les as mis, sans que je te le demande
expressément, non ?
- Mais, c'était juste pour te faire plaisir !
- Ça me fait plaisir, ne t'inquiète pas, mais ne viens pas me dire que tu n'aimes pas porter, ce genre de chose, là, je ne te croirai pas.
- Non, je n'aime pas, je suis vraiment mal à l'aise...
- Une soumise se doit de porter ce que son maître désir, sans s’occuper de ce qu’elle ressent, elle !
Sur cette dernière parole, Mickaël est venu tout contre la femme et commence à l'embrasser voracement, en laissant sa main droite traîner sur l'intérieur des cuisses, en remontant. Puis, dégageant un instant sa bouche de celle de sa partenaire, il lui susurre à l'oreille :
- Laisse-toi aller et ne cherche pas à te voir dans le regard des autres… Cherche seulement à ME faire plaisir.
Ses caresses deviennent de plus en plus précises. Ses doigts se faufilent sous la culotte de soie, pour venir goûter le velouté de cette peau tendre. Il prend bien garde à ne pas toucher le clitoris pour que ses caresses soient plus agaçantes qu'autres choses.
Brigitte commence à se pâmer, tout en faisant de petits mouvements de hanches pour inciter son compagnon à être plus direct et à venir lui donner ce plaisir qu'elle cherche à cet instant.
- Tu veux jouir, non.
- Oui...
- Alors tu le demandes, comme une bonne soumise doit le demander.
- Pardon ?
- Oui, tu deviens tous les jours plus soumise, aussi, je commence à t’apprendre les us et coutumes.
- Mais !
- Pas de "mais", demande-moi à avoir d plaisir.
- S'il te plaît, Mickaël, tu peux me faire jouir ?
- Voilà qui est mieux, maintenant, tu m’appelleras "maître"...
- S'il te plaît, maître, tu peux me faire jouir ?
- Parfait.
À ces mots, l’homme plonge ses doigts dans la chatte, d’abord un, puis deux, puis trois, et enfin quatre. Ses doigts commencent alors une sarabande, dans l’antre humide et chaud, qui devient bientôt dégoulinant.
Il ne faut pas plus de quelques secondes, pour que la brune prenne un pied formidable. Elle crie son bonheur et ça résonne dans tout l’appartement. Et, quand elle commence à revenir sur terre, elle entend :
- Bien, laisse-moi ta culotte.
Espérant une suite, à ce premier voyage dans les étoiles, elle retire prestement le fin vêtement de soie, puis vient câliner son homme.
- Tu as ton fils à aller chercher, chez la copine de ton ex, alors vas-y.
- Mais ! Tu n’as pas eu de plaisir !
- Je me viderai peut-être dans une salope, ce soir, je sors en boîte.
- Ha ben non !
- Stop ! Une soumise n’est pas jalouse, c'est la leçon de ce soir, allez, file, va chercher ton fils.
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