Une femme pas simple : la faute des autres (2002)
Finalement, la séparation n’aura pas duré plus d’une semaine, semaine chargée d’appels de la pauvre Brigitte, en pleurant, promettant d’être une bonne soumise, si son maître ne la prostituait plus. Et acceptant finalement que ce dernier ne s’engage pas sur ce point précis.
Au téléphone, Mickaël se montre inflexible :
- J’accepte de te reprendre comme soumise, MAIS ! Je veux, que tu viennes avec ta jupe fendue, des bas, qu’on puisse voir tes bas, quand tu marcheras dans la rue. Je veux, que tu te gares sur le boulevard, et que tu viennes ensuite à pied. Bien entendu, ni soutien-gorge ni culotte.
- Il faut vraiment que je t’aime pour faire tout ça !
- Encore heureux que tu m’aimes ! Sinon, ça voudrait dire que tu es encore bien plus perverse, que tu ne veux bien te l’avouer…
- Et à quelle heure dois-je venir ?
- Vers cinq heures, ce sera très bien.
Il est environ dix-sept heures, quand la sonnette retentit. L'homme, au deuxième, demande à sa soumise de retourner dans la rue, qu'il puisse la voir, depuis sa fenêtre.
La brune va donc sur le trottoir d'en face. Là, elle voit son compagnon lui faire des signes, et elle comprend bientôt, que l’homme lui demande de relever sa jupe, pour montrer ses bas. Alors après avoir regardé à droite et à gauche, elle s’exécute et remonte sa jupe. En passant en voiture, on peut voir que la femme ne porte pas de culotte.
Entre-temps la porte s'est reverrouillée donc Brigitte est obligée de rappuyer sur la sonnette pour que son maître lui ouvre. Elle monte les escaliers rapidement et se retrouve sur le palier.
L'homme lui ouvre.
- C'est bien, tu as suivi mes directives, ta tenue me convient, entre.
- Mais ! Si la tenue ne t’avait pas convenu, qu’aurais-tu fait ?
- Je t'aurais laissé dehors...
Sentant que ce n'était pas le moment de plaisanter, elle rentre et pose sa veste sur le dos d'une chaise de la cuisine.
- C'est bien, tu vas venir avec moi, au salon, au milieu de la pièce. Mais sans jupe, ni chemisier.
Brigitte, se souvenant de la séance qu’elle a vécue quelques semaines auparavant, obéit sans sourciller, se disant bien, qu’elle pourrait intervenir sur le déroulé de la soirée.
- Les mains sur la tête. Je vais te prendre en photo.
- Oui, d'accord, mais pas de photos sur Internet.
- C'est encore moi, qui décide, il me semble.
Après une séance de photos des plus osée, durant laquelle l'homme n'a pas arrêté de demander, à sa soumise, des poses les plus extravagantes les unes que les autres. Il repose son appareil photo et décide qu'il est l'heure de l'apéritif.
L'apéritif se passe à discutailler, à parler de tout et n'importe quoi, mais pas de soumission. Jusqu'à l'heure du dîner, où les deux personnes se rendent dans la cuisine. Un repas chinois est prêt dans le frigo, il n'y a qu'à le faire réchauffer
Bien que nue, Brigitte a vite trop chaud ! Il faut dire que le rosé de Provence est exquis, et qu'elle lui a jeté un sacré sort.
Sortant de table, en laissant tout en vrac dessus. Mickaël prend sa soumise par la main et l'emmène dans la chambre, en lui disant
- J'ai envie d'une pute, tu as intérêt à assurer.
Dans la chambre, Mickaël jette la femme sur le lit, négligemment. Il défait très vite son pantalon et chemisette et vient se coller à la brune.
- Suce-moi la bite, comme une bonne pute, que tu es.
Sans faire d'histoire, Brigitte se jette sur le membre, déjà un peu raide et le fait grossir, dans sa bouche chaude.
Sachant pertinemment ce qu'il veut, l'homme laisse la brune faire, jusqu'au moment où il annonce :
- À quatre pattes, que je t'encule, comme une vraie putain.
Bien entendu, cette enculée de Brigitte, qui adore la sodomie, ne se fait pas prier pour se mettre à quatre pattes et attendre, qu'un sexe viril vienne lui pourfendre l'anus.
Il s’en donne à cœur joie, Mickaël. Il sodomise sa soumise à grands coups de bite, pendant de très longues minutes. Mais il ne veut pas jouir, dans ce cul bouillant.
- Viens me sucer. Ordonne-t-il, en sortant son sexe des boyaux féminins.
En même temps, il se déplace, de manière à offrir son membre, tout gluant des effluves féminines, à la bouche de la salope.
- Suce cette pine, ma salope.
Très vite, il jouit, en tenant la tête brune entre les mains. Une fois qu'il a joui, il poursuit :
- Nettoie-moi bien la queue, et je ne veux pas qu'elle sente ton cul, je veux qu'elle soit toute propre, qu’elle brille !
Là encore, la brune obéit. Elle prend tout d’abord tout le membre, qui s’assouplit, en bouche. Puis le ressort et le lèche sous toutes les coutures. Finalement, elle commence à bien apprécier cet exercice, de pipe après la sodo, surtout que le sexe n’a pas d’odeur, ni de goût désagréable ou trop fort.
- Parfait, maintenant tu te mets sur le dos, je vais m'occuper de ton clitoris.
Mickaël se relève et va dans la salle de bain. Quelques secondes plus tard, il revient avec la brosse à dents électrique, dans la main. Il se cale entre les cuisses de sa partenaire, met en route l’engin, applique la tête vibrante et tournante, sur le clitoris.
En quelques instants, la brune s’envoie en l'air. Elle prend un pied magistral. Ça dure jusqu'au bout des trois minutes programmées dans la brosse, moment où l’appareil s'arrête avant de repartir deux secondes plus tard, et recommencer ce cycle, trois fois. Ensuite, l'homme relance la brosse et l’applique sur clitoris.
Brigitte se tortille dans tous les sens et son amant a un mal fou à rester en place et à continuer, ce qu’il est en train de faire.
- C'est trop bon !
- Belle découverte, non ?
- Oui… Mais, je vais mourir, tellement c'est bon…
- Laisse-toi aller à l’orgasme.
Et pour ajouter encore à l’instant, Mickaël joint son index et son majeur de sa main libre, et les enfonce le plus loin possible dans l’anus de la brune.
- C'est trop ! C'est trop !
- Oui, vas-y !
La femme se tortille de plus en plus et rue comme un cheval fou.
- J’en peux plus ! Pitié.
- On attend que la brosse s’arrête…
Et le supplice, vicieux et délicieux, continue encore une petite minute, puis l’appareil stoppe.
Brigitte a un mal fou à reprendre son calme, elle souffle comme une baleine, se tortille encore, mais de moins en mois.
L'homme contemple sa soumise gigoter et respirer très fort. Ensuite, il se lève et va ranger la brosse à dents. Il en profite pour aller dans la cuisine et boire un verre d'eau. Quand il revient, la belle s’est endormie.
Sur le coup de trois heures trente du matin, elle se réveille, regarde l'heure et d'un seul coup, se souvient qu'elle devait aller chercher son fils, au train, à minuit. Il rentrait de chez son père, et le pauvre garçon, d'une quinzaine d'années, devait se trouver bien seul, à la gare.
- Salaud ! Je t'avais demandé de me réveiller, je t'avais dit que je devais aller chercher mon gamin ! Maintenant, je fais comment ? Tu es vraiment salaud, tu ne penses qu'à ton plaisir !
- Comme d’hab, c'est toujours la faute des autres...
Commentaires
Enregistrer un commentaire