Les tribulations de Béatrice : La soirée en boite (2013)
Béatrice vient de fêter son cinquantième anniversaire, il y a tout juste une semaine. Cette femme d'un mètre soixante-huit, aux cheveux courts méchés blonds et châtains, passe encore pour jolie, malgré son ventre un peu trop rond et ses fesses un peu trop plates. Mais Béatrice est une femme qui sait se vêtir, pour masquer ses imperfections et mettre en valeur sa poitrine généreuse, qui a encore fière allure. De plus, bien souvent, ses grands yeux marrons allument le feu, dans le regard des hommes qu'elle croise, et ça, pour Béatrice, c'est un plaisir dont elle veut jouir le plus longtemps possible.
Évidement, Richard, son mari, n'apprécie pas bien que son épouse ait ce regard allumeur. Et il vit mal, les petits jeux de séductions de sa femme. A cinquante-trois ans, avec un peu d'embonpoint, il sait pertinemment qu'il n'a plus le physique d'un play-boy, mais il aime encore sortir avec sa femme, dans les night-clubs, se pavaner à ses côtés, le samedi après-midi en ville ou le dimanche, dans les ruelles chaudes de la ville.
La vie pourrait, presque, être idyllique, les revenus d'une secrétaire et d'un technicien qui, sans être faramineux, restent très corrects, un pavillon en périphérie de la ville, avec un intérieur coquet sans être excessif, de quoi partir en vacances, quelques amis pour les soirées d'hiver, bref, une vie somme toute confortable. Surtout que leurs deux enfants sont pratiquement élevés, l'aîné est déjà parti de la maison, et seul le cadet a encore sa chambre dans la maison, mais il ne l'occupe que rarement, étant étudiant dans une autre ville.
Mais ce que Richard déteste, c'est lorsque son épouse commence à abuser de l'apéritif. Ce qu'il hait, c'est lorsqu'elle devient agressive, allumeuse, provocante. Bien sur Béatrice met toujours ça sur le compte de l'alcool et va souvent jusqu'à s'excuser les lendemains, mais Richard ne peut refréner ses souvenirs, surtout que lui boit bien moins, et, de toute façon, supporte mieux l'alcool.
Depuis quelques années déjà, certaines soirées, au lieu d'être calmes et enjouées, se finissent plutôt mal. Est-ce un besoin impérieux de se rassurer sur sa féminité et son pouvoir de séduction qui pousse cette femme, au look plutôt bourgeois, à, littéralement, draguer en boîte sous les yeux de son mari ? Est-ce un fantasme particulier qui l'amène à séduire des Nord-Africains ou des noirs ? Est-ce la peur d'une forme de monotonie dans sa vie qui dirige Béatrice vers ce côté glauque qui est à l'opposé de ce qu'elle a choisi de vivre ?
Toujours est-il que Richard, blessé par les excès de son épouse, supporte de plus en plus mal les frasques de Béatrice. Lors de la dernière sortie, il a même fini par rentrer à pied, laissant sa femme se débrouiller pour gérer une situation périlleuse, qu'elle avait tout de même, créée.
Bien sur, le lendemain de cette soirée, fut aussi très animé. Béatrice éprouva de la honte pour sa conduite, surtout qu'elle n'avait plus aucun souvenir entre le moment, où son époux était parti, et le lendemain matin dans le lit. Bien évidement, elle avait demandé pardon et avait même promis que cela ne se reproduirait plus.
Or, ce samedi soir là, après un dîner en tête-à-tête dans un petit restaurant chinois, le couple décide d'aller faire un tour dans la vieille ville. Après avoir pris un cocktail dans un bar feutré, l'alcool semble commencer à exciter Béatrice, qui implore son mari de finir la soirée en boîte.
L'homme, après avoir fait promettre à son épouse de bien se tenir, fini par accepter, au terme d'une longue négociation.
La soirée commence doucement, encore assez peu de clients, et Béatrice profite de la piste vide pour danser sur les airs de sa jeunesse, qui reviennent à la mode en force. Richard s'ennuie quelque peu, mais de toute façon, la musique l'empêcherait de pouvoir discuter, donc il se contente de regarder sa femme se trémousser et il ne fait pas attention aux mouvements dans le club.
Quatre arabes viennent de rentrer et se sont installés à la table juste derrière le couple. L'un d'entre eux, visiblement attiré par la femme blonde, qui danse sur la piste, se place au bord de la piste et observe en souriant les déhanchements, qui font virevolter la jupe courte, montrant ainsi les longues jambes gaînées de nylon.
Béatrice s'aperçoit qu'elle a attiré l'attention de ce bel arabe et commence à en ajouter encore, par des gestes plus coulés et sensuels. Bientôt, elle lui adresse un grand sourire. L'homme vient alors danser à côté d'elle, en cherchant visiblement un contact plus charnel. Et, tout en lui posant doucement la main sur l'épaule, il lui dit d'une voix forte pour surmonter le volume de la musique !
- Bonjour vous... Vous dansez toujours aussi bien...
- On se connaît ?
- Je vous vois de temps en temps, ici, avec votre mari...
Les deux personnages continuent à danser sous les yeux de Richard, qui commence à ne pas apprécier la hardiesse de cet inconnu, surtout quand il voit l'homme prendre les hanches de son épouse, pour la faire se trémousser, de façon encore plus lascive, et que cette dernière se laisse faire.
Le serveur vient détourner l'attention de Richard et celui-ci commande deux whisky-coca. Puis, il reprend l'observation de sa femme et voit celle-ci venir vers leur table en tenant l'homme par la main !
- T'emmerdes pas à commander quelque chose, Ahmed nous offre un pot à sa table... La voix de la blonde n'est pas très claire, et le fait qu'elle soit obligée de crier pratiquement, pour se faire entendre, amplifie encore la déformation dû à l'alcool.
- Bonjour... Votre femme m'a parlé de vous.
- Bonjour... Tu penses, se dit Richard dans son for intérieur, toi mon coco, tu es plutôt en train d'essayer de te faire ma femme, oui ! Mais faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il accepte l'invitation en descendant de sa chaise haute et en suivant l'homme.
La soirée avance doucement pour Richard qui voit sa femme boire les verres qui lui sont servis un peu trop vite, à son goût. Bien sûr, les quatre hommes sont très sympathiques avec lui, mais il les sent tout de même tous, très attirés par sa blonde épouse.
Béatrice a l'impression d'être au paradis. Certes, l'alcool amplifie cette sensation, mais les regards embrasés des hommes, leurs mouvements qui amènent leurs mains toujours plus près du corps désiré, leurs paroles flatteuses sont autant d'hommages qui font frissonner cette femme de cinquante ans. De plus, et bien qu'elle n'en est pas vraiment conscience, le fait qu'ils soient arabes d’origine, lui donne l'impression de vivre une sorte de conte des milles et une nuits, et lui échauffe le sang.
Les quatre hommes sont excités par cette femme, qui rit à chacune de leurs paroles, ils comprennent, très vite, qu'ils font partie des fantasmes de la belle. Chacun s'imagine avoir une opportunité avec cette femme, mais chacun sait aussi, qu'il va falloir éliminer le mari, pour aller plus loin. Néanmoins, aucun des quatre ne tient à déclencher les hostilités avec l'homme, de peur de voir la femme lui échapper.
Ahmed, celui qui a accosté la femme, en début de soirée, prends bientôt en main les opérations. Voyant que Béatrice se trémousse sur le haut tabouret, se met debout et vient prendre la blonde par la taille, en lui disant à l'oreille d'un ton sans appel :
- Viens, on va danser tous les deux…
Richard supporte de plus en plus mal cette situation. Entre les mains qu'il comprend baladeuses, des quatre mecs et l'attitude juvénile de sa femme qui se laisse draguer sous ses yeux, il commence à penser qu'elle n’est réellement qu’une vieille salope et il se rend compte que, si ce soir, elle était sortie seule, il y a longtemps qu'elle se serait laissé embrasser, par un des quatre jeunes hommes, dont le plus âgé, Ahmed, n'a pas plus de trente-cinq ans. Il suit, d'un regard assidu, l'évolution sur la piste de son épouse et de l'arabe.
Ahmed sort le grand jeu, pour étourdir cette blonde, qu'il sent chaude et prête à bien des choses ce soir. Profitant d’un rythme un tant soit peu plus rock, il entame quelques pas de danse lui permettant de laisser ses mains prendre contact, avec la majorité des parties du corps désiré. Et à chaque attouchement, il vérifie que la femme est bien réceptive à ses messages tactiles et sensuels.
Les mains qui frôlent son corps et semblent vouloir l'explorer toujours un peu plus loin, donnent des vagues de frissons qui parcourent la colonne vertébrale de Béatrice. Bientôt, elle sent une douce chaleur envahir le bas de son ventre, irradier ses reins. Elle commence à perdre pied et a de plus en plus de mal à gérer sa danse. Et à la fin du morceau, elle fait signe à son compagnon de jeu, qu'elle veut aller se reposer.
Ahmed, décidant de mettre à profit l'exaltation de la femme, qu'il a détecté, plaque sa main sur la fesse droite de sa cavalière et la laisse en place pendant le court trajet, de la piste à la table. Il sent la contraction des muscles à chaque pas, la fine dentelle de la culotte sous la robe légère, et comme cette femme ne fait aucun geste pour lui retirer la main, il comprend qu'il va falloir jouer serré, pour évincer le mari.
Béatrice s'assoit totalement troublée par la présence furtive de cette main à l'instant. Elle sait son sexe inondé et a l'impression que sa cyprine commence à envahir toute sa vulve. Elle boit une grande rasade de son verre qui ne désemplit pas. Elle sent alors la chaleur de la main gauche d'Ahmed qui vient de se poser très haut sur sa cuisse gauche, sous la table.
Le danseur est venu reprendre sa place, à droite de la blonde et à gauche de son mari. Dès son arrivée, il ne s'est assis que d'une fesse sur le grand tabouret, et a tout de suite placer sa main gauche sous la petite robe légère et sur la cuisse. Très discrètement, il commence à explorer la zone à la recherche de la chatte, qu'il aimerait mouillée.
La blonde fixe son mari, elle est encore plus troublée par la main de l'homme qui commence à s'aventurer de plus en plus près de son sexe, puis, comme prise d'une idée subite, elle annonce assez fort :
- Il faut que j'aille au petit coin...
- Si tu as besoin d'un coup de main, n'hésites pas à me demander, répond du tac au tac Ahmed suffisamment fort, pour que le mari puisse entendre.
La blonde se lève avec un grand sourire, qu'elle adresse au bel arabe, sans regarder un seul instant son époux, puis, se dirige vers les toilettes.
- Dis donc ! Tu veux un coup de main ? Richard s'adresse à l'homme sur un ton méchant d'où sa jalousie pointe.
- Oh, c'est pour rire, ta femme n'arrête pas de me parler de toi tu sais...
- Ouais... Mais cette salope danse pour allumer les mecs sur la piste.
- Oui... C'est vrai qu'elle allume un peu tout de même...
- Je trouve aussi !
- Tu sais, toutes les femmes sont des salopes finalement, quand on regarde bien, tu ne crois pas ?
- T'as peut-être raison... Ce soir, elle se conduit vraiment comme une allumeuse !
- Ouais... Et à ta place je ne me laisserais pas humilier devant tout le monde !
Cette fois, ça y est, Richard est remonté à bloc et prêt à en découdre avec sa bourgeoise, dès qu'elle reviendra.
Béatrice arrive aux toilettes et attend que la pièce se libère, en fait, elle n'a pas réellement envie d'uriner, mais ce soir par contre, elle a une grosse envie de laisser son côté femelle en chaleur s'exprimer. Elle est venue dans l'unique but de retirer sa culotte, en espérant bien que son ardent cavalier, recommencera ses caresses, dès qu'elle sera de retour.
La porte s'ouvre, une petite femme brune sort et laisse la porte ouverte, la blonde s'engouffre dans la pièce, retire prestement sa culotte et la jette dans la petite poubelle prévue pour les protections périodiques. Puis, électrisée par son audace, elle retourne d'un pas rapide à la table.
Richard rumine sa colère et se prépare à traiter son épouse de salope dès que cette dernière aura la moindre attitude équivoque envers les quatre hommes de la table.
Béatrice fixe effrontément Ahmed avant de reprendre sa place en s'arrangeant, pour que sa courte robe, cache le moins possible la chair de ses cuisses, dont elle est généralement assez fière, et en s'assurant, que le bel arabe apprécie, tout ce qu'elle fait pour lui.
L'homme qui a parfaitement reçu le message. Il attend quelques secondes, puis se tourne vers le mari pour capturer son attention en lui proposant un toast, il en profite pour glisser à nouveau sa main gauche sur le haut de la cuisse. Sentant que la belle écarte ses jambes pour mieux l'accueillir, il va directement au contact du sexe, pensant rencontrer les contreforts de la culotte. Pendant une fraction de secondes, il affiche sa surprise, puis, se maîtrisant parfaitement, il entreprend de dégager le clitoris, de son pouce.
Comme la blonde s’avachit de plus en plus sur la table, tenaillée qu'elle est par les ondes de plaisirs émanant de son bouton d'amour, le mari, toujours sous pression et cherchant à terminer la soirée au plus tôt, en profite pour dire d'une voix autoritaire :
- Dis ! Tu ne peux pas te tenir mieux que ça !
- Ça va ! Je fais ce que je veux !
- Tu cherches quoi exactement, là ? À passer pour une traînée ?
- Si t'es pas content, t'as qu'à rentrer connard... Et sur ces mots, Béatrice se lève maladroitement, pour retourner danser.
Ahmed qui comprend tout de suite le profit qu'il peut tirer de la situation, s'empresse de dire à l'homme, blessé par les mots humiliant de sa femme :
- Laisses... C'est le whisky qui parle là...
- Attends ! Tu ne crois tout de même pas, que je vais laisser cette salope, me parler de la sorte ?
- Je crois que tu es aussi énervé qu'elle, le mieux serait que tu ailles prendre un peu l'air... T'inquiètes pas, je veille personnellement sur ta femme, il ne lui arrivera rien.
- Elle me fait tellement chier ce soir que j'ai bien envie de lui donner une petite leçon et de rentrer sans elle.
- Si tu veux, je peux la ramener dans un petit quart d'heure, histoire qu'elle comprenne... Mais tu as raison, elle mérite une leçon cette salope !
- Bon ! Je vais pisser moi. Et Richard se lève. Il n'a pas fait trois pas qu'il se rend compte qu'il a tout de même trop bu ce soir, et le trajet jusqu'aux toilettes, se révèle bien périlleux.
Ahmed suit l'homme d'un regard amusé et inquiétant. Il se dit qu'il devient impératif que l'homme s'en aille, car il a une furieuse envie de se faire cette vieille salope, qui n'arrête pas de l'allumer. Dès que le mari est entré dans les toilettes, il se tourne vers la piste pour voir où en est cette chaude blonde, sans culotte.
Béatrice, tout en dansant joyeusement, se laisse approcher par un homme assez corpulent. Bien que l'homme ne lui plaise pas du tout, elle est très heureuse de voir son pouvoir de séduction opérer avec toujours autant de force. Et que le bonhomme est les mains baladeuses, lui aussi, l'enchante totalement.
Ahmed regarde le manège de l'homme, qui a visiblement, lui aussi, un bon coup dans les carreaux. Cependant, il ne veut pas non plus laisser échapper cette proie, il a d'autres projets en tête pour elle.
Richard a un mal fou à se tenir debout, devant la cuvette. Il perd l'équilibre une seconde et est obligé de lâcher sa verge pour tendre le bras et éviter d'aller dans le mur du fond, la tête la première. Ce faisant, un pan de chemise se place dans le jet d'urine, et il finit par mouiller son pantalon. Le temps qu'il réagisse, il a une grosse marque d'humidité, sur le haut de son pantalon.
Ahmed se lève et va rejoindre la blonde sur la piste. Dès qu'il arrive derrière elle, il passe ses bras musclés autour de sa taille et danse ainsi en indiquant bien à tout le monde, et au gros homme en particulier, que cette femelle lui appartient.
Béatrice se sent comme prisonnière, cela la trouble et l'excite encore d'avantage. Maintenant, elle se laisse complètement guider par ce bel homme dont elle a une irrésistible envie. Tout en se trémoussant, elle frotte ses fesses contre le sexe de l'homme, qui est plein de promesses.
Le mari rage contre lui-même dans les toilettes. Il s'en veut d'avoir vraiment trop bu, et ressent une honte indicible qui le dessaoule quelque peu. Il n'a plus qu'une envie, se sauver en courant. Il sort du cabinet, et, rasant les murs, se dirige droit vers la sortie où, justement, le videur ouvre la porte pour laisser sortir d'autres clients. Richard en profite pour balbutier un salut rapide et sort dans la rue.
Là, l'air frais le saisi et semble le dégriser encore un peu plus. Mais les effets de l'alcool, qui empêchent son cerveau de fonctionner normalement, sont toujours présents, et sont même plus pernicieux. Il se dit que sa salope de bonne femme n'aura qu'à se faire raccompagner par les mecs, à qui elle a tant fait les yeux doux. Et il se dirige vers la voiture.
Ahmed danse toujours de la façon la plus lascive possible, en tenant la blonde, mais il s'est tourné de telle façon qu'il peut voir le mari gênant, sortir des toilettes et partir comme un voleur. Ne sachant pas encore trop quoi penser de cette fuite, ni si elle est définitive ou juste temporelle, il décide d'avoir plus d'information et ramène la femme, toujours dans ses bras, à la table. Là, il commence à la questionner :
- Je viens de voir ton mari sortir, vous êtes garé où ?
- Oh ! Laisse-le, c'est un connard... Et Béatrice penche sa tête en tendant ses lèvres.
L'homme ne peut pas faire autrement que de l'embrasser. Il en profite pour explorer ce sexe offert, avec ses doigts gauches, mais très adroits, et presser le sein gauche à sa disposition de sa main droite, combinant pression et relâchement au rythme de son fougueux baiser. Mais, bien qu'il cherche à faire perdre la tête de cette femme en chaleur, il n'en oublie pas pour autant qu'il court des risques, si le mari revient maintenant, aussi, il cesse son baiser, pour revenir à son sujet de préoccupation, en déclarant :
- J'ai une énorme envie de toi ma jolie cochonne, mais j'aimerais être sur que ton mari est bien parti, tu es garée où s'il te plaît ?
- On s'est garé dans la rue, juste avant le club, tu sais devant le petit restaurant qui est là...
- Et tu as quoi comme voiture ma belle ?
- Une Clio blanche...
- Attends-moi là, je vais voir s’il est parti ou pas... Ahmed embrasse à nouveau fougueusement la femme, en lui malaxant durement le sein, puis se lève d'un bond, et se dirige vers la sortie.
Béatrice est maintenant sur un petit nuage. Cet homme la fait mouiller terriblement, elle se sent femelle jusqu'au bout des ongles, et elle a même apprécié lorsque l'homme lui a écrasé le sein de sa main puissante. Elle laisse son imagination vagabonder et se voit déjà dans une étreinte torride avec ce bel arabe.
Au bout de quelques minutes, Ahmed revient, il se place juste à côté de la blonde, la prend dans ses bras, pour la tourner vers lui, et lui annonce :
- Ton cocu de mari s'est barré, on va pouvoir être tranquille, et j'ai très envie de toi...
À nouveau, l'homme embrasse la blonde. Cette fois, il lui tient la nuque de sa main gauche alors que sa main droite va directement sous la robe. Là, il introduit son index et son majeur joins dans la vulve détrempée, et masse doucement le clitoris avec son pouce.
La femme se pâme. Entre l'excitation de ce baiser, les ondes de plaisirs que lui procure son clitoris et les caresses de ces doigts magiques qui fouillent son intimité, en dilatant son vagin, elle ne sait plus où elle se trouve, ne pense plus aux autres clients, et aux trois hommes attablés avec eux, et se laisse maintenant aller, comme si elle était seule, avec son nouvel amant.
Dans un souffle, arrêtant un instant son baiser, Ahmed dit à sa proie, d'un ton ne supportant aucune contradiction :
- On va chez moi... Puis, il se tourne vers ses amis et annonce, Bon ! On lève le camp…
Sans comprendre réellement ce qui se passe et en quelques minutes seulement, Béatrice se retrouve dans une voiture, assise à l'arrière entre Ahmed et Aziz. Son amant s'adresse au chauffeur en arabe et la voiture démarre. Dès qu'elle roule, Ahmed remonte la jupe de la blonde et dit, suffisamment fort, pour que tout le monde puisse entendre :
- J'adore les vieilles salopes comme toi, qui ne portent pas de culotte... Puis il l'embrasse à nouveau.
L'atmosphère étrange, l'alcool, l'excitation, tout concourt à mettre la femme dans un état second. Elle sent des mains caresser ses cuisses, son entrejambe, ses seins, mais cette langue qui fouille sa bouche lui donne tant de plaisir qu'elle se laisse faire, comme si elle n'était déjà plus, qu'un objet de désir.
Peu après, se calant contre la portière, l'homme s'arc-boute pour défaire sa braguette et glisser son pantalon sur ses genoux. Il exhibe sa grosse queue au regard fiévreux de la blonde, en jouant avec le membre dans sa main droite. De sa main gauche, il attrape la nuque de la femme, et la contraint à venir prendre en bouche le sexe déjà impressionnant, bien qu'il ne soit pas encore en pleine érection. Puis, il ordonne d'une voix dure :
- Suce-moi bien, ma petite chérie...
Sans mot dire, Béatrice s'empare, d'une bouche gourmande, de cette bite parfumée. Et, bien qu'elle fasse peu de fellation à son époux, elle se surprend à déguster cette queue, qui grossit dans sa bouche.
Aziz, qui a remarqué le manège de cette vieille salope, tout au long de la soirée, jette un regard complice à son ami, et comme ce dernier lui adresse un clin d’œil, il s'empare des fesses dénudées de la blonde et les écarte. Puis il se contorsionne sur la banquette pour venir lécher l'anus ainsi offert. Très vite, il force le sphincter avec sa langue, tirant, de ce fait, de longs râles étouffés de la blonde. Il s'aperçoit que le muscle n'offre que très peu de résistance, prouvant que cette vieille chienne a l'habitude de se faire sodomiser. Il le note mentalement et se promet d'en faire part à ses amis, tout à l'heure.
Béatrice est aux anges ! C'est la première fois, que quelqu'un la sodomise avec la langue, et elle trouve cela divin. Et puis, la brusquerie de cet homme, qui lui tient les fesses, n'est pas pour lui déplaire, elle découvre que ce manque de manière ou de savoir-vivre, dont n'use absolument pas son mari, est une chose des plus excitantes.
Bientôt la voiture ralentie, tourne à gauche et entre dans la cour d'un petit pavillon à la périphérie de la ville. Le conducteur stoppe le moteur et questionne :
- Voilà Ahmed, nous sommes arrivés chez toi, tu nous offres un pot pour finir la soirée ?
- Oui, oui, venez, on va jeter un sort à ma bouteille de whisky... Puis, il baisse son regard sur la blonde, qui le suce toujours et lui dit :
- Allez viens, on va prendre un pot et après, je te fais grimper aux rideaux, ma belle...
Toujours dans un état second, Béatrice se redresse et laisse son compagnon sortir de la voiture, puis, à son tour, elle sort en réajustant sa petite robe bleue.
L'homme attrape le bas de la robe de sa conquête et lui remonte, haut sur le ventre, dégageant ainsi sa chatte rasée. Avant que la pauvre femme ne puisse réagir, il lui ordonne :
- Reste comme ça, que mes potes puissent voir ta jolie moule lisse.
Puis, il lui prend la main et l'entraîne dans la maison, pendant que les trois autres hommes sortent de la voiture et suivent le couple.
Tout va trop vite pour la blonde, qui se laisse faire. Bien sûr, de marcher ainsi la chatte à l'air est encore une nouveauté très excitante, mais elle a un peu honte, également, d'être ainsi exposée, aux regards des autres mâles.
Les trois hommes observent, en détail, les fesses plates qui se dandinent devant eux.
Ahmed déverrouille la porte et fait pénétrer sa proie dans le salon. Là, attendant que ses amis arrivent, eux aussi, il la prend dans ses bras, se tourne de façon à être face au canapé, et l'embrasse à nouveau furieusement, tout en frottant sa bite gonflée de désir, mais toujours enfermée dans son écrin de toile, contre la chatte nue et lisse. Très vite et avec habileté, il fait glisser les bretelles de la robe, sur les frêles épaules.
Béatrice est terriblement excitée, elle sent son sexe mouillé abondamment, un léger frisson parcourt ses jambes, mais le fait que cet homme cherche à lui dénuder la poitrine, si vite et devant ses copains la gène, elle commence à protester doucement en dégageant sa bouche :
- Non... Attends...
- Chut... Répond l'homme tout en continuant à descendre les bretelles, sur les bras de la blonde, faisant ainsi apparaître les deux seins, qui tombent tout de même un peu, et dont les tétons pointent en direction opposée. Puis il plaque à nouveau sa bouche, sur celle de la femme, et reprend son baiser avec encore plus de fougue.
Les trois acolytes entrent dans le salon et vont s'installer sur le canapé sans perdre une miette du spectacle qui leur est offert.
Lorsqu'il voit que ses copains sont confortablement installés et qu'ils fixent leur attention sur le cul de la blonde, Ahmed, il dégage sa bouche et fait tourner la pauvre femme, sur elle-même, pour l'exhiber en pleine lumière, à ses amis, en annonçant :
- Voilà les vieilles salopes comme je les aime, pas de soutif, pas de slip, toujours prête à être prise, comme des chiennes qu'elles sont...
Est-ce l'alcool, le lieu, l'atmosphère ou l'excitation des mots crus, Béatrice ne pourrait le dire, toujours est-il, qu'elle est totalement fière d'être le sujet de tous les regards. Elle dévisage orgueilleusement, un à un, les visages de ces trois hommes, plus jeunes encore que son amant.
Ahmed se penche légèrement en avant, attrape la cuisse gauche de la blonde, la tire à lui en la remontant, en laissant la blonde sur une jambe, puis il ordonne encore :
- Écarte... Ensuite, tournant les yeux vers ses amis, il ajoute :
- Elle a une jolie chatte bien rasée, cette vieille truie non ? Il prononce quelques mots en arabe, puis fini par dire :
- Vous pouvez venir toucher, je vous la prête...
- Mais... Commence à se plaindre Béatrice très surprise de l'attitude bizarre de l'homme, avant qu'elle ne soit coupée dans son élan.
- Laisse-toi faire, on va te faire jouir comme une reine des milles et une nuits, ma salope.
Tout en maintenant toujours la jambe relevée, Ahmed embrasse à nouveau la blonde, en lui passant sa main libre dans les cheveux.
De longs frissons de volupté passent dans le dos de Béatrice, qui ferme les yeux et se laisse pénétrer la bouche, par cette langue énervée, qui fouille en elle. Ses seins tremblent légèrement et les tétons se dressent comme pour réclamer leur dose de caresses. Bien que sa position ne soit pas très confortable, elle se rend compte, qu'elle adore finalement être exhibée dans ces postures obscènes, et elle mouille, lui semble-t-il, comme jamais
auparavant. Bientôt, elle sent une goutte de cyprine qui s'échappe de son sexe détrempé et commence à couler le long de sa jambe droite.
Aziz, qui a déjà eu l'occasion de goûter au cul de la blonde, se décide à intervenir et se lève tranquillement. Il fait les trois pas qui le séparent du couple, puis s'agenouille et vient plaquer sa bouche sur la chatte offerte qui suinte. Très habilement, il titille le clitoris avec sa langue tout en passant son majeur droit, du sexe à l'anus.
De sentir ces deux langues, qui la fouillent intimement, provoque des étincelles dans le cerveau surchauffé de Béatrice. Elle perd le peu de conscience, qu'elle avait encore quelques secondes avant, et s'abandonne totalement. Elle commence à pousser de petits râles qui viennent mourir dans la bouche d’Ahmed, qui n'arrête pas son baiser pour autant.
Les deux autres copains qui restent sur le canapé se regardent, et, de concert, se lèvent à leur tour et viennent auprès du trio infernal. Ali commence par tâter d'une main le sein droit de la blonde, et de l'autre, il s'amuse à pincer sans ménagement le téton érigé. Moustapha, quant à lui, reste devant Ahmed, à contempler le spectacle qui lui est offert.
Ahmed, une idée derrière la tête, décide d'arrêter son baiser et s'adresse immédiatement ensuite à son ami Moustapha, en lui tendant la jambe gauche qu'il tient toujours :
- Tiens-moi ça s'il te plaît.
Le nouvel arrivant ne se fait pas prier et s'empare de la jambe, pour la maintenir comme précédemment. Ali profite, que la pauvre femme est la bouche libre, pour venir l'embrasser à son tour.
Si elle n'était pas si saoule, très certainement qu'elle réagirait, mais dans l'état d'excitation et d'alcoolémie, où elle se trouve actuellement, Béatrice, ne se formalise, ni d'être traitée comme un objet, ni qu'un autre homme à l'haleine chargée, vienne l'embrasser. Elle se laisse faire et pousse même un petit cri étouffé, lorsqu'elle sent deux doigts s'insinuer, dans son rectum.
Ahmed sort de la pièce, pendant qu’Aziz, qui vient de glisser son majeur et son index accolé, dans le cul de la femme, commence à les pousser le plus loin possible, à l'intérieur de l'ampoule rectale. Une fois que ses doigts sont totalement introduits, il commence à les écarter pour dilater l'anus. Pendant toute cette opération, il a continué à s'occuper frénétiquement du clitoris, qu'il a toujours en bouche.
Moustapha en profite pour venir, à son tour, malaxer le sein libre de la pauvre femme, en faisant des commentaires salaces en arabe.
Ahmed revient avec son caméscope, qu'il est en train de préparer, pour filmer les ébats de ses quatre invités. Choisissant de commencer par une petite présentation, il va se placer dans le coin de la pièce, qui lui permet d'être en face de la blonde, filme pendant quelques secondes la scène, puis demande, en arabe, à son ami Ali de cesser son baiser et de tourner vers la caméra, le visage de la femme. Tout en filmant, et regardant la femme, à travers le petit moniteur de son appareil, il commence à dire d'une voix forte :
- Alors vieille salope, t'aimes ça être dans les mains d'Arabes, non ?
Béatrice, la tête guidée par la main ferme de l'homme, qui vient de l'embrasser, a un regard perdu. Elle est toujours sous l'emprise de ses sens en émoi, et elle s'entend répondre, comme si sa voix venait de quelqu'un d'autre :
- Oui...
- On va te prendre comme la vieille chienne que tu es, tu le sais ça, hein ?
- Oui...
- Viens filmer son trou du cul bien ouvert là, annonce Aziz en arrêtant un instant de s'occuper du clitoris. Puis, il reprend sa succion.
- Comme ça, tu aimes bien te faire prendre le cul, ma salope ?
- Oui...
- Tu vas voir, on va tous y passer, dans ton cul, tu vas te régaler…
Puis, Ahmed se déplace pour aller se mettre accroupi, derrière la blonde et filmer l'anus, toujours occupé par les doigts d'Aziz.
Béatrice n'est plus qu'objet de désir et terrain de jeux, pour ces grands enfants vicieux. Sa chair est palpée, malaxée, ses seins sont triturés, pincés, étirés, sa chatte et son anus sont explorés, fouillés. Et pourtant, malgré le contraste entre le bien que peut lui faire cette langue habile et le mal de ces mains qui la triturent, elle est folle de bonheur. Autant les caresses apaisantes que les pincements douloureux, sont sources de plaisirs. Et ces mots, ces mots si crus, si durs, sans aucune poésie, sans ambages, ni douceur, eh bien ces mots, eux aussi, participent à cet état d'abandon total, dans lequel elle se laisse aller.
- Écarte-lui bien le trou du cul, que je filme ça en gros plan, Aziz, dit Ahmed en cadran au plus près.
Sans répondre, l'homme fait ce que son ami attend de lui, en écartant ses doigts autant qu'il lui est possible et en les faisant lentement ressortir, ouvrant ainsi le sphincter.
- Ah salope, t'as un de ces trou du cul ! C'est un véritable appel au peuple ça ! Tu dois en avoir pris des bites, de ce côté, là ! Et comme Béatrice ne répond pas, Ahmed donne une tape sur la fesse et demande encore :
- Alors salope ! Tu réponds ? Combien de fois t'es tu faites enculer ?
- Je ne sais pas, fini par balbutier la blonde, dans un souffle.
L'homme se remet debout et recul d'un pas, tout en continuant de filmer la scène, puis il demande à ses amis :
- Allez me l'allonger sur la grande table...
Aziz retire ses doigts d'un geste brusque et se recule pour se mettre, lui aussi, debout. Ali lâche la jambe et Moustapha prend la main de la pauvre femme et la guide vers la table, de la partie salle à manger de la grande pièce. Une fois arrivé devant la table, il lâche la main, prend la femme par-dessous les bras et l'assoit sur le plateau de bois. Puis, il lui ordonne d'une voix bizarre :
- Allonge-toi, salope.
En tremblant un peu, car elle n'est vêtue que de sa robe roulée sur son ventre, Béatrice s'allonge doucement sur la table, sans que personne n'ait besoin de l'aider, les jambes dans le vide. Lorsqu'elle est allongée, elle entend la voix directive d’Ahmed lui intimer :
- Tu vas être notre pute... T'as envie d'être notre pute, hein ?
- Oui... Encore une fois c'est machinalement que la femme répond. Elle est maintenant totalement déconnectée de la réalité, et seuls ses fantasmes dirigent ses actes.
- Moustapha, place-la, qu'elle puisse nous sucer pendant qu'on va la baiser
Sans ménagement, l'homme, qui vient d'être interpellé, attrape les cheveux de la blonde et tire dessus pour qu'elle vienne se mettre au bord de la table. Dès qu'elle est en place, il défait prestement sa braguette, et sort sa queue déjà en érection, la porte à la bouche, et, appliquant une pression contre la tête, de manière que la femme ne puisse rien faire d'autre, que d'ouvrir la bouche, il ordonne :
- Vas-y, suce salope.
Aziz est arrivé entre les jambes de la blonde et vient de recommencer à lui lécher la chatte. Très vite, il passe ses bras sous les cuisses écartées et les remonte haut, sur ses épaules.
- Voilà une bonne vieille salope, qui va nous servir de vide couilles les mecs ! Annonce Ahmed tout en continuant de filmer. Cette fois, il fait un gros plan sur la queue de son pote, que la blonde suce au rythme des coups de langue, qu'elle reçoit sur son clitoris.
Ali, ne voulant pas rester en dehors du coup, vient se placer à la gauche de son ami Moustapha et sort sa queue, à son tour.
- Voilà ma salope, deux bites d'Arabe pour toi toute seule, fais-les bien bander. Le ton de la voix d’Ahmed en dit long sur sa propre excitation, néanmoins, il continue de filmer. Il va se placer de l'autre côté de la grande table et zoom de manière à faire un gros plan sur le visage de la blonde, qui vient de passer à la deuxième bite.
Enfilant prestement une capote, Moustapha se rend au bout de la table et donne une tape amicale à son complice, Aziz, en lui disant :
- Laisse-moi la place, que je la bourre bien cette pétasse mariée...
L'homme se relève et laisse sa place. Moustapha, s'emparant des cuisses de la blonde, vient placer son gros gland contre la vulve détrempée. D'un sévère coup de rein, il fait pénétrer son membre au plus profond du vagin, arrachant ainsi un cri à Béatrice, qui reste tout de même étouffé par la bite, qu'elle a en bouche.
- Vas-y mon ami, défonce-lui la chatte, à cette vieille truie salace…
Ahmed est venu se placer à côté de l'homme qui, effectivement, donne de violents coups de rein, comme s’il voulait faire pénétrer son dard, toujours plus loin.
Des paroles en arabe sont échangées, mais la pauvre Béatrice ne peut rien y comprendre. De toute façon, au point où elle en est actuellement, c'est bien la dernière de ses préoccupations, que de savoir ce qui se dit. Elle a l'impression d'être déchirée par cette énorme bite, qui va-et-vient en elle à toute vitesse, et elle a bien du mal à continuer de sucer, cette autre queue qu'elle a en bouche.
- C'est bon ça hein salope ? Une bonne grosse queue qui te remplit bien la chatte, hein pétasse ?
Comme la blonde ne répond pas à Ahmed, ce dernier vient lui pincer le téton gauche, tout en continuant à filmer, et commande encore :
- Allez, dis-le, salope, que cette bite te fait plus de bien, que celle de ton cocu de mari...
- Aie... Oui... La voix est toujours étouffée, et entrecoupée de râles sourds.
- Tu vas voir, quand Moustapha va te la mettre dans le cul...
L'homme ahane comme un beau diable, en limant à grands coups de bite le vagin, un rien trop étroit pour son membre. Mais avec la fin de soirée, l'excitation et l'alcool, qu'il a aussi consommé sans trop de modération, il finit par jouir dans la capote, dans un concert de jurons arabes.
Béatrice n'en peut plus, elle éjecte, tant bien que mal, la queue qu'elle suçait juste à l'instant encore, et part dans un orgasme fantastique, qui lui arrache de grands cris.
Moustapha souffle un peu, en gardant sa bite, qui ramollie quelque peu, bien plantée dans cette chatte distendue, le temps qu'il sente une tape sur l'épaule. C'est Ali, qui est à côté de lui et qui, préservatif mis en place, se prépare à prendre, maintenant, la blonde. Sa queue, si elle est tout de même moins volumineuse, que celle de son pote, est toutefois déjà d'un bon diamètre. Moustapha se pousse en retirant sa capote et en laissant la place. Ali prend les cuisses flasques, de la pauvre femme, les relève le plus haut possible, de manière à décoller le cul de la table, puis il applique son gland contre le sphincter, en affirmant, d'une voix menaçante :
- Moi, je vais t'enculer, vieille bâtarde...
La pauvre femme, vidée, ne réagit pas et se laisse faire. Après cet orgasme foudroyant, elle cherche à reprendre son souffle, mais a bien du mal à y parvenir.
Ahmed, voyant son pote Moustapha retirer son préservatif, plein de foutre, l'apostrophe :
- Non, attends, ne jette pas ta capote, va-lui faire boire ton jus de couilles...
Aziz, dont la bite vient d'être éjectée, de cette chaude bouche, se pousse sur le côté, pour laisser la place à son ami. Moustapha prend le menton dans sa main et force la pauvre femme à ouvrir la bouche, puis, il amène le réservoir de plastique juste au-dessus, et laisse couler son sperme dans la bouche contrainte.
Ali suit le spectacle de près et attend pour faire entrer sa large bite, dans l'étroit boyau.
- Régale-toi de ce jus d'homme, avale tout et n'en perds pas une goutte, salope. Ahmed, tout en prononçant ces mots, se concentre sur sa prise de vue et fait un gros plan du foutre, qui coule doucement de la capote pour atterrir sur la langue.
Complètement dans les vapes, elle se laisse faire et avale le foutre tiède, sans se rendre compte du volume important, que l'homme à éjaculer.
Lâchant le menton, l'homme vient presser le bout du préservatif, pour faire couler la totalité de son sperme, dans la bouche grande ouverte. Quand il a terminé, il annonce à la cantonade :
- Voilà, boîte à bites a tout bu... Puis, se penchant un peu sur elle en lui pinçant le téton droit, il ajoute encore :
- Elle est bonne ma crème, hein ?
- Hum... Ne peut que répondre Béatrice, tant elle est dans le cirage.
- Vient filmer l'entrée de ma teube dans son cul, demande Ali, qui commence à avoir une sérieuse envie d'enfiler, la salope à sa disposition.
- J'arrive, attends... Et Ahmed se déplace pour pouvoir être aux premières loges. Quand il estime être tout à fait prêt et à la bonne place, il donne son feu vert, à son copain, en arabe.
Ali pousse de tout son poids sur sa queue, qui entre dans le boyau, en arrachant un grand cri de douleur, à la pauvre femme.
Béatrice bave, sperme et salive mêlés, ressortent de sa bouche, sans qu'elle ne puisse rien contrôler, tant la douleur vient d'être fulgurante. Pour se protéger, dans un réflexe, elle se cambre et essaye de serrer son anus, de toutes ses forces.
Ahmed filme également la tête de la femme qui bave, puis revient sur la queue de son pote, qui commence à limer ce cul serré.
Ali, très fière de son membre épais, a repris le contrôle du corps de la blonde. Il a repoussé loin devant lui, les jambes maigrelettes, en les écartant du mieux qu'il peut, de manière que le trou du cul soit tout au bord de la table, et qu'il puisse faire entrer sa queue le plus loin possible dans l'étroit boyau. Maintenant, et s'assurant que son pote peut toujours bien filmer la scène, il commence à donner d'amples coups de rein, à un rythme très lent.
Bien qu'elle bave toujours, Béatrice commence à oublier la douleur première et à prendre goût, à ce sexe qui va-et-vient en elle. Elle sent sa poitrine malaxer, par des mains puissantes, et très vite, elle se retrouve avec une queue dans la bouche, c'est celle, avec le goût particulier du latex, de Moustapha, qu'elle entend vaguement lui ordonner :
- Lave-moi la bite avec ta langue, pétasse…
Aziz se masturbe, excité qu'il est du spectacle que ses amis lui offrent. Il aimerait se faire sucer par la blonde, mais il n'ose pas déranger son pote Moustapha, qu'il sait pouvoir être violent parfois.
Ahmed s'éclate à filmer cette vieille salope, qui n'est plus qu'un simple jouet sexuel, entre leurs mains. Il remarque que la chatte, toujours entrouverte, suinte encore beaucoup et décide d'y mettre ses doigts. Il libère sa main gauche et, pendant que la blonde râle sous les assauts, de cette bite qui lui ramone le cul, fait entrer trois doigts dans le sexe détrempé, qui pénètre sans aucune difficulté.
Ali fait une réflexion salace en arabe à son copain, puis, s'adresse à la blonde :
- T'as vu, bâtarde de truie, t'as tous les trous d'occupés !
Les obscénités qu'elle perçoit et ces doigts qui semblent lui déchirer le ventre, amènent Béatrice au bord d'un nouvel orgasme. Ne pouvant plus se contrôler, elle recrache la grosse queue, qu'elle a en bouche, et se met à pousser des cris violents en tournant sa tête dans tous les sens.
- Tu prends ton pied hein ! Vieille salope... Dit Moustapha, en s'emparant des deux tétons et en tirant fortement dessus.
- Regardez, lance Ahmed à la cantonade, elle a une bite dans le cul et trois doigts dans la moule, et je peux encore en mettre un de plus ! Ce qu'il fait aussitôt.
Le sphincter de la blonde se sert, de plus en plus, à mesure que sa chatte est dilatée par les doigts. Béatrice gueule de plus bel. Ali, sentant qu'il ne va pas tarder à exploser lui aussi, se met à ruer comme un beau diable. Et, ce qui devait arriver, arriva, il jute dans le cul bouillant de la pétasse, dans sa capote bien entendu.
Ahmed, voyant son ami Moustapha se reculer, de la table, en emportant le préservatif usagé, presque plein, a subitement une idée. Il interpelle son pote :
- Ne jette pas ta capote ! on lui fera bouffer après...
La tête bougeant de droite à gauche, le regard absent, Béatrice jouit dans un concert de cris. Son ventre explose, la brûle, mais elle jouit encore plus fort.
Ali jouit à son tour en râlant et s'exclamant :
- Qu'est-ce qu'elle est bonne cette vieille pute ! Tu sens mon foutre salope ?
- Hum, hum...
- Elle le sent et elle va même y goûter. Vas-lui vider ta capote dans la gueule à cette morue, ordonne Ahmed à l'homme.
Aziz vient prendre la place qui vient de se libérer entre les jambes de la blonde et enfile un préservatif.
Ahmed retire ses doigts dégoulinant de cyprine et suis avec son caméscope le trajet d’Ali qui retire doucement sa capote et vient la mettre dans la bouche de la pauvre femme.
Celle-ci, totalement soumise au vice, ouvre d'elle-même la bouche et accueille le précieux liquide, épais et tiède, qui commence à couler.
- Ouais... Reste comme ça Ali, je fais un gros plan de cette bouffeuse de foutre.
Aziz, ayant enfilé son gant de latex, prend possession de la chatte détrempée et s'enfonce dans le corps de la femme aussi facilement, qu'il est possible d'imaginer. Excité comme il est, il lime très vite, sa bite plus fine, mais très longue va taper au fond du vagin béant.
À chaque fois que la queue de l'homme vient cogner contre le col de l'utérus, Béatrice pousse un petit cri, qui sort déformé de sa bouche pleine de salive et de sperme mêlés.
- Prends cette vieille enculée par-derrière, je viens te filmer, annonce la cameraman amateur, en se déplaçant à nouveau. Tout en continuant d’enregistrer le sperme qui coule doucement de la capote et tombe dans la bouche grande ouverte.
Aziz ne se fait pas prier, il ressort sa bite, la prend en main et l'introduit dans l'anus encore ouvert. Le membre, emballé de latex, glisse sans problème dans le boyau dilaté. L'homme commence à donner de grands coups de rein très amples.
À nouveau, la blonde se pâme sous les assauts de cette queue qui semble vouloir lui rentrer toujours plus loin dans le ventre.
En filmant maintenant la bite qui va-et-vient, dans les intestins de la pauvre femme, Ahmed demande encore à son pote Ali :
- Toi non plus, tu ne me jettes pas la capote, quand elle est vide...
Ali, un petit sourire narquois au coin des lèvres, pose le préservatif usagé plus loin sur la table. Puis, tenant et présentant devant la bouche ouverte sa queue déjà flasque, il ordonne :
- Lave-moi la teube salope...
Béatrice prend le membre mou en bouche et le tète avidement pendant que sa main droite se pose sur son pubis et qu'elle commence à se caresser le clitoris. Après le déchirement anal, qu'elle a subi plus tôt, cette queue longue et fine qui semble vouloir la transpercer lui donne un plaisir inouï.
Ahmed, recadrant pour prendre toute la scène avec son appareil et attirant l'attention de ses complices sur la masturbation de la blonde en arabe, encourage la blonde :
- Vas-y, branle-toi bien, vieille pute...
La femme, presque au bord de l'asphyxie, mais continuant tout de même à téter la bite qu'elle a en bouche, ne se contrôle absolument plus. Et, alors qu'un nouvel orgasme dévastateur la secoue, elle lâche une petite série de pets, alors qu’Aziz jouit dans la capote, en s'affalant sur le corps de la pauvre blonde, avec un cri d'animal blessé.
Prenant l'homme affalé par l'épaule, Ahmed, tout en continuant de filmer, lui ordonne :
- Va-lui faire boire ton foutre.
Dès que son ami s'est reculé, il enfonce les cinq doigts de sa main gauche qui forment un cône de chair, dans le sexe béant.
Béatrice pousse un grand cri, car elle a l'impression qu'on la déchire. Ce faisant, elle recrache le sexe mou, redresse sa tête et attrape le poignet de l'homme, pour tenter de retirer les doigts, qui la font souffrir.
Bien qu'il ne puisse pas enfoncer sa main plus loin que la base des doigts, l'homme se met à bombarder sauvagement le sexe détrempé, qui émet des bruits. Malgré les deux petites mains, qui lui enserre le poignet et qui essayent vainement de le retenir, il s'active de plus en plus vite et finit par dire d'une voix troublée :
- Branle-toi le clito, salope.
L'impression de déchirement commençant à s'estomper, la pauvre femme s'exécute. Lâchant subitement le poignet, reposant sa tête en arrière, de sa main droite, elle commence à s'astiquer le bouton avec autant de frénésie que l'homme.
Aziz a retiré son préservatif, vient le placer au-dessus de la bouche entrouverte et le vide, en pinçant le sommet et en faisant glisser deux doigts le long du latex.
Béatrice, trop occupée qu'elle est, par cette main qui veut s'enfoncer toujours plus loin en elle et s'occupant frénétiquement de son bouton d'amour, qui semble prêt à exploser, ne s'occupe même pas du foutre qui coule sur ses lèvres et s'insinue dans sa bouche. De toute façon, au point où elle en est, elle ne cherche plus à esquiver quoi que ce soit. Elle entend vaguement des échanges de propos en arabe, puis, d'un seul coup, alors que la main qui commençait à lui procurer du plaisir se retire brusquement, elle entend :
- Continue à te branler, qu'on te filme…
Moustapha a pris la relève avec le caméscope et enregistre la masturbation de la blonde, en prenant soin de la cadrer entièrement. Ali s'occupe des tétons en les pinçant, puis en les étirant, comme s’il avait décidé d'allonger les seins de la pauvre femme. Aziz récupère son foutre avec ses doigts, dont une partie a coulé sur la joue et dans le cou, pour ramener sa précieuse semence, dans la bouche.
Ahmed vient de sortir de la pièce et revient au bout de trois minutes. Il apporte un énorme plug blanc cassé, qui doit bien faire dans les six ou sept centimètres de diamètre, dans sa partie la plus large. Il pose l'objet sur la table près de la tête de la blonde, défait sa ceinture et sa braguette, baisse son pantalon en même temps que son caleçon. Puis, attrapant les joues de Béatrice pour lui faire tourner la tête vers lui, ordonne :
- Maintenant, suce-moi salope, c'est ta récompense.
Moustapha, voyant que la femme arrête sa masturbation, ordonne à son tour :
- Branle-toi en même temps, vieille traînée.
- C'est bon hein ! Des bonnes bites d'arabes, qui te font bien crier, hein ! Excité à son tour, Ahmed sent, qu'il ne résistera pas très longtemps.
La blonde totalement partie dans sa masturbation, excitée qu'elle est par cette folle soirée, suce la belle queue de l'homme presque machinalement. Elle ne se rend pas compte, du tout, de cette situation obscène. Elle, une femme mariée, qui vient de rejeter tout ce qu'elle avait construit avec son mari, pour suivre un bel inconnu, et elle se retrouve allongée sur une table, les jambes écartées, à se masturber comme une jeune fille impudique, un goût de foutre et de caoutchouc dans la bouche, le cul et la chatte dilatés. Et la vedette, malgré elle, d'un film X amateur.
Très vite, Ahmed, tenant toujours le menton de la blonde, donne les signes de sa jouissance prochaine. Il retire sa bite de la bouche chaude, se branle frénétiquement pendant quelques secondes, sans lâcher la femme, puis, approchant à nouveau son membre du visage, éjacule en longues saccades en criant :
- Tiens ! prends ça dans ta gueule, grosse pute...
Quelques gouttes de sperme chaud viennent dans l’œil de la pauvre femme, qui les ferme dans un réflexe. D'être ainsi humiliée et traitée de pute devant tout le monde, déclenche un nouvel orgasme, qui lui fait pousser de grands cris.
- Filme bien tout ça, qu'on ait des preuves, lâche Ahmed sur un ton sadique, à l'attention de son ami Moustapha, qui ne rate pourtant rien de la scène.
- T'inquiète pas, je n'en perds pas une miette, d'ailleurs, je vais faire un gros plan sur sa gueule.
Ahmed lâche le menton, se recule un peu, puis de la même voix :
- Relève la tête et fixe bien l'objectif, que l'on voit bien, la salope que tu es.
Sans broncher, la blonde s'exécute docilement. Elle se redresse sur ses coudes et fixe l'objectif de l'appareil, avec un drôle d'air. Elle semble comme dans un autre monde.
- C'est bien pétasse, tu vas dire à la caméra comment tu t'appelles, interroge Moustapha.
- Béatrice Dubreuil.
- Tu fais quoi dans la vie ?
- Je suis secrétaire à la mairie.
- Ton mari sait que tu es une pute pour arabes, comme ça ?
- Non...
- T'as des enfants ?
- Oui...
- Quel âge ?
- Marc a vingt ans et Franck a seize ans...
- Ils font quoi ?
- Marc travaille, Franck est au lycée.
- Et ils se doutent, que leur mère est une vraie traînée ?
- Ben non...
- Ça va ! Intervient Ahmed d'un ton mauvais. Pour le moment, on s'en fout de son pedigree, à cette vieille connasse en chaleur, moi, je veux qu'elle se doigte devant le caméscope, pour faire un bon film !
- T'as entendue salope, mets-toi les doigts dans la moule, hurle Moustapha, contrarié par l'intervention, peu aimable, de son ami.
Elle serait bien en peine d'expliquer pourquoi, elle répond aux questions indiscrètes et fait toutes ces choses obscènes, qu'on lui demande, sans réagir outre mesure. Mais toujours est-il, que Béatrice porte sa main droite à son sexe et commence à y faire pénétrer trois doigts, en fixant toujours autant l'objectif de l'appareil.
- Ouais, comme ça... Ouvre-toi bien la chatte, salope.
La femme écarte ses doigts de manière à dilater l'entrée de sa chatte, qui a déjà été bien ouverte auparavant, par le passage du gros sexe de Moustapha. Très vite, la sensation, l'ambiance, recommencent à lui échauffer les sangs et elle prend plaisir à cette introduction obscène.
Ahmed s'empare du gros plug et vient se placer à côté de son pote. Là, sans s'occuper de la pauvre femme, il lui soulève les jambes, lui écarte les fesses d'une main sûre, puis applique l'extrémité de l'engin contre la rosette. Se tournant vers son ami, il lui lance :
- Fais-nous un gros plan, sur son trou qui pète...
Béatrice semble ne pas se rendre compte, de ce qui l'attend, effectivement, elle n'a pas vu l'énorme plug, mais elle sent tout de même, qu'un objet va lui être introduit dans le rectum. Reprenant légèrement conscience de ce qu'elle est en train de vivre, elle retire ses doigts et tente de se redresser, un peu plus, pour voir ce qui se passe, exactement.
Bloquant le corps de la femme de son bras droit en lui appuyant sur le haut des cuisses retournées, Ahmed, qui vient de prendre la base du plug de sa main gauche, pousse de toutes ses forces pour faire entrer le jouet de caoutchouc dans l'étroit boyau. En moins de deux secondes, l'objet est planté dans l'anus.
Un cri d'effroi ampli la pièce, la pauvre femme vient de ressentir une énorme brûlure au passage du plug, et, à nouveau, elle a cette sensation de déchirement. Dès que le gros de la douleur est passé, elle s'affale sur la table dans un bruit sourd.
- Quand elle supportera ça sans gueuler, elle pourra se faire enculer par un éléphant ! S'écrit le sinistre Ahmed, avec un sourire mauvais au coin des lèvres.
La blonde se met à pleurer à chaudes larmes, la douleur vient de la ramener à la réalité, de façon très brutale. Maintenant, non seulement elle a très mal au cul, mais en plus, elle commence à se demander pourquoi elle est ici, allongée sur la table, avec ces mecs vicieux qui l'humilient.
Quelques rires gras et des paroles en arabe sont très vite échangés. Ahmed, très pervers, relâche l'étreinte sur les cuisses, puis attrape les bras de la femme, la tire à lui pour la mettre debout, tout en ordonnant encore :
- Marche un peu dans la pièce, qu'on voit comment tu t'en tires.
- Non, je ne veux...
- Ta gueule pouffiasse, quand on te faisait le cul, pour ton petit plaisir de vieille bourge, tu faisais moins la fière...
- Mais vous n'avez...
- Ferme ta gueule, sinon on te fout une de ces raclée, que tu t'en souviendras toute ta vie de pute...
Sentant que l'homme n'a pas vraiment envie de plaisanter, elle se laisse aider et se retrouve debout devant la table. Là, elle sent que l'homme fait glisser sa robe vers le bas. Puis, une grande claque sur la fesse droite lui donne l'élan de départ, et elle commence, à pas menus, à se rendre vers le canapé où elle espère bien pouvoir se reposer.
Ahmed n'a pas dit son dernier mot, il attend que la blonde soit prés du canapé, là, il l'apostrophe à nouveau :
- Reviens ici, maintenant, vieille chienne.
Tout en se demandant comment elle va pouvoir se sortir de ce guêpier, la femme obéit et revient vers la table. Elle marche doucement, le plug lui faisant un mal de chien, à chaque pas de plus. Elle n'est pas vraiment pressée, non plus, de voir la suite des événements, car elle commence à comprendre, que si elle n'obéit pas au doigt et à l’œil, à ces quatre hommes, elle risque de le payer chèrement.
L'homme tire une chaise en arrière, la désigne du menton et ajoute :
- Viens t'asseoir ici...
C'est avec une précaution extrême que Béatrice s'assoit sur la chaise. Le gros plug la contraint à rester la plus droite possible, mais même en restant telle un "i", elle souffre le martyre.
Encore quelques mots en arabes, qui sont échangés sans que la pauvre femme ne puisse rien comprendre. Puis, l'homme l'interroge à nouveau :
- Tu vas nous laisser ton numéro de téléphone fixe, ma pute...
- Mais...
- Pas de "mais" qui tienne, tu nous donnes ton téléphone, un point c'est tout.
Béatrice se retrouve avec un stylo et une feuille de papier sous les yeux, avant qu'elle n'ait pu comprendre, ce qui allait se passer.
- Voilà, tu nous laisses ton numéro, qu'on puisse t'appeler, quand on aura envie de se vider les couilles.
- J'm'en souviens plus...
- Attention ! On vérifie tout de suite, et si ce n'est pas le bon numéro, on t'attache et te fouette, jusqu'à ce que tu finisses par donner le bon... Te voilà prévenue, pauvre conne...
Sentant que les menaces sont de plus en plus précises, et ne voulant pas se faire découper, en petits morceaux, par ces hommes, elle note finalement son numéro sur le papier.
Ahmed se penche par-dessus son épaule, donne quelques indications à Aziz en arabe, et celui-ci décroche le combiné pour faire le numéro. Après quelques sonneries d'attente, l'homme fait un signe de tête prouvant que le numéro est bon. Il vient de tomber sur le répondeur.
- Bien, une vieille bourge comme toi, ça doit avoir un portable, allez, tu le notes aussi.
Cette fois, la pauvre blonde ne cherche pas à se rebiffer et note, directement, le deuxième numéro.
- Pour le cas où il faudrait venir te chercher, tu vas nous noter, également, ton adresse exacte.
Sachant qu'avec le numéro de téléphone, les sales types pourront toujours retrouver son adresse, une fois encore, sans lever le nez, elle note ses coordonnées.
- Parfait ! Nous, on a bien mérité un bon whisky, tu vas nous le servir.
- Mais ! s'étonne la pauvre blonde, en se demandant quand, ces salauds vont enfin la laisser tranquille.
- Dans le bar du meuble, allez, magne-toi le cul !
À nouveau, des phrases en arabes sont échangées, et les quatre hommes, goguenards, se rendent tranquillement dans le canapé. Seul Ahmed s'assoit dans le fauteuil.
Béatrice vient servir ses persécuteurs pendant qu’Ahmed discute aimablement, semble-t-il, avec ses amis. Frissonnant dans l'atmosphère qui se rafraîchit un peu, elle en profite pour demander :
- Je peux avoir ma robe ?
- Non, je la garde en souvenir, on te ramènera chez toi, mais nue.
- Mais ! S'offusque la blonde, qui estime qu'il est grand temps de mettre un terme, à ce petit jeu pervers.
- J'ai dit non, connasse ! L'homme en profite pour lui donner une grande claque sonore sur la fesse à sa portée, puis il ordonne encore :
- Mets-toi à genoux devant moi, salope.
Avec la peur au ventre, elle s'agenouille devant ce monstre d'homme, qui lui a fait perdre la tête en début de soirée. Évitant de croiser son regard, elle fixe le sol sous elle.
Ahmed demande à ses acolytes qu'on lui passe la bouteille de whisky, puis, quand il la tient, il attrape à nouveau le menton de la pauvre femme, et porte le goulot de la bouteille à ses lèvres, pour la faire boire.
Surprise, la blonde, après un petit temps d'arrêt, se laisse faire et boit de grandes gorgées d'alcool en espérant, que le breuvage puisse lui faire oublier et sa douleur rectale, et l'humiliation qu'elle subit en ce moment même.
- Boit pétasse, comme ça, quand on te lâchera devant chez toi, nue comme la grosse pute que tu es, tes voisins pourront se rendre compte que tu es aussi une poivrote...
Les larmes montent immédiatement aux yeux de Béatrice qui s'imagine déjà descendre de la voiture sous les regards de tous ses voisins, et la honte qu'elle aura à traverser son jardin pour aller à la porte d'entrée.
Repoussant si violemment la pauvre femme qu'elle se retrouve sur le cul par terre, ce qui a pour effet de raviver, instantanément, la douleur rectale, que l'alcool avait quelque peu apaisée, Ahmed, d'un ton de plus en plus mauvais, ordonne encore :
- Va chercher les capotes qui traînent sur la table, vieille pute.
La blonde a un mal fou à se relever. De plus, pas un de ces quatre monstres ne lui prêterait assistance, bien au contraire, ils la regardent en rigolant. Une fois debout, voulant éviter toutes sources de conflit ou d'humiliation, elle va chercher les trois préservatifs posés sur la table, pas loin d'où elle était allongée quelques minutes plus tôt. Elle s'en empare, et les ramène à Ahmed, toujours les yeux fixés sur le sol.
- Mange-les ! Je veux que tu les gardes en bouche jusqu'à ce qu'on te ramène chez toi, ainsi, tu auras la véritable haleine des putes en fin de soirées...
- Non ! S'écrit la pauvre femme.
- Ta gueule, sinon t'en prends une, et une bonne encore... Si ça se trouve, ça excitera ton mari !
- Pitié...
- Pas de pitié pour les vieilles putes, qui trompent leur mari ! tu restes debout devant nous, tu gardes les capotes en bouche et tu la fermes, les hommes boivent, toi, tu trinques, compris ?
- Oui... Et Béatrice baisse à nouveau les yeux, en priant secrètement que son martyre, finisse au plus tôt.
Un bon quart d'heure s'écoule, les hommes discutent en arabe et ne s'occupent plus du tout de la pauvre femme, qui reste debout devant eux, comme si elle faisait déjà partie du décor. Malheureusement pour la blonde, tout l'alcool qu'elle a ingurgité durant la soirée demande à ressortir, commençant à danser d'une jambe sur l'autre pour attirer l'attention sur elle, et ne voyant aucun résultat, elle finit par demander, le plus poliment du monde, d'une voix bizarre, due aux trois préservatifs, qu'elle a toujours en bouche :
- Excusez-moi, pourriez-vous me dire où se trouvent les toilettes ?
- Tu ne crois tout de même pas, que je vais laisser une pute comme toi, saloper mes toilettes, non !
- Oui, mais j'ai très envie...
- Pisses devant nous, tu nettoieras après... Et Ahmed reprend sa conversation en arabe, comme si de rien n'était.
Une autre demi-heure se passe, cette fois la pauvre ne tient plus, elle se risque à faire un pas en direction de la sortie pour aller uriner dehors, quand elle est retenue par le bras et entend :
- Tu pisses ici, vieille conne, devant nous...
- Non !
- Si ! Avec ce qu'on a déjà vu de toi, c'est pas une petite pissette de pute, qui va nous rendre aveugle !
Les trois autres hommes rient de bon cœur, autant d'entendre les propos vicieux de leur pote, que de voir la tête qu'affiche la pauvre femme, qui se remet à pleurer.
- Allez, écarte tes cuisses et pisse tout debout...
Béatrice reprend sa place, les yeux au sol, mais n'écarte pas les cuisses et tente encore de se retenir.
- Si tu n'obéis pas, je vais défaire ma ceinture et t'en donner quelques bons coups sur le cul, pour t'apprendre ta place, chienne ! Sur ce, il s'empare du caméscope qu'il avait posé près du fauteuil, le rallume et commence à filmer l'entre-jambe de la femme.
Toute honte bue, pressée par sa vessie, la blonde finit par obtempérer. Elle écarte ses cuisses et laisse l'urine chaude jaillir vers le sol, en éclaboussant ses chevilles.
Une bonne minute passe, le jet ne tarit pas, et c'est une grande flaque qui inonde le carrelage. Les quatre hommes regardent, avec un air narquois, la pauvre femme uriner.
Béatrice se sent soulagée, un mince filet coule maintenant le long de ses jambes, mais elle n'en a cure, dans l'état de nerf où elle se trouve, ce n'est plus un peu d'urine sur ses cuisses, qui va déranger grand-chose.
Ahmed coupe l'enregistrement et se lève sans mot dire. Il sort de la pièce et revient très vite, cette fois, il porte un seau qui contient une serpillière. Il s'arrête devant la pauvre femme et lui tend l'objet en lui ordonnant :
- Ramasse ta pisse salope... Puis, il retourne s'asseoir confortablement, dans son fauteuil, et remet en route le caméscope.
Béatrice passe plusieurs minutes à éponger son urine et à tordre la serpillière dans le seau. Dans cette position accroupie, le plug se rappelle à son bon souvenir, et elle tente désespérément de trouver une position qui lui fasse moins mal, mais c'est peine perdue. Elle se sent humiliée comme jamais auparavant, toutefois, cette tâche ménagère, même si elle n'est pas agréable, lui permet de s'échapper de ses peurs, durant toute l'opération.
Lorsque la femme a fini de ramasser son urine, Ahmed ordonne encore, en faisant un gros plan sur le visage de la pauvre :
- Ouvre la bouche, que je vois que tu as toujours tes capotes…
Sans aucun commentaire, la femme s'exécute en ouvrant la bouche en grand. Elle attend quelques secondes, que l'homme lui autorise de refermer la bouche. Puis, reprend sa position debout, droite, à attendre.
- Tourne-toi et penche-toi en avant, que je vois, une fois encore, si le plug est bien en place.
Une fois de plus, sans broncher, la belle se tourne et se penche en avant. Le mouvement est assez douloureux, mais moins, tout de même, que lorsqu'elle était accroupie.
- Je suis sûr que ton mari va apprécier de te retirer ton plug, tout à l'heure, remarques, ça lui donnera peut-être quelques idées neuves, pour te dresser... Bon, allez les gars, on ramène cette vieille pute chez elle, j'ai envie de me coucher et de dormir un peu.
Béatrice est tout à coup effrayée, elle sent que l'homme va mettre ses menaces à exécution et qu'il va la ramener nue chez elle, elle tente de se diriger vers la table, pour prendre sa robe, qui traîne par terre, mais la main puissante d’Ahmed la bloque, à nouveau.
- À poils ! je t'ai dit que je te ramène à poils, t'as pas encore compris ce que veut dire : À poils ?
- Pitié...
Une grande gifle vient en guise de réponse, puis l'homme poursuit encore :
- Tu voulais te faire des arabes, bon, on t'a fait jouir, bon alors ! Maintenant, ce sont nos conditions, un point c'est tout !
- Mais je ne peux pas...
Une nouvelle gifle vient la faire taire.
- À poils, comme la vieille pute que tu es ! Et il entraîne la pauvre femme vers l'extérieur.
Les trois complices suivent le couple, en faisant de fines allusions sur le plug, mais en arabe, si bien que la femme ne comprend pas ce qui se dit. Néanmoins, elle se doute bien, qu'elle est l'objet des quolibets qui fusent, fussent-ils dans une langue étrangère.
Chacun reprend sa place dans la voiture, et bientôt la voiture démarre. Dès qu'elle commence à rouler, Ahmed défait sa braguette et ordonne encore à la pauvre blonde :
- Profite du voyage pour me sucer la bite. Et pour que les choses aillent dans son sens, il prend la nuque et baisse la tête de la femme sur sa queue.
Le conducteur ne pose pas de question, car il a noté tout à l'heure, mentalement, l'adresse de la femme, et, connaissant bien la ville, il sait exactement où il doit se rendre, pour la déposer.
- C'est trop marrant, une pute qui te suce, avec des capotes en guise de chewing-gum...
Les trois autres hommes rigolent à nouveau et reprennent leur discutions en arabe.
Béatrice essaye de sucer cette queue, dont elle avait pourtant une énorme envie, en début de soirée, mais avec tous ces événements, c'est bien à contrecœur, qu'elle prend le membre en bouche. Cependant, ne voulant pas provoquer l'homme, qu'elle sait maintenant être dangereux, elle s'applique en se disant que son calvaire touche à sa fin. Commençant à se dégriser, sa propre haleine commence aussi à la gêner, seul le plug devient de moins en moins douloureux, au fur et à mesure que le temps passe.
La voiture s'arrête enfin. Sans aucun ménagement, Ahmed attrape les cheveux de la blonde et la retire en arrière. Il la lâche pour rentrer son dard dans son pantalon et refermer sa braguette. Puis, la reprend par las cheveux et la tire derrière lui en sortant de la voiture.
Béatrice voudrait crier, appeler au secours, mais nue, cela lui parait être la dernière des choses à faire. Elle suit donc le mouvement et se retrouve dans la rue, debout sur la chaussée, nue comme au premier jour, avec l'homme qui se tient devant elle.
Ahmed fixe la blonde dans les yeux, puis, sans crier gare, il lui crache au visage en lui disant :
- Rentre chez toi, vieille putain, va retrouver ton mari, à qui tu as fait du mal pour ton unique plaisir, de salope en chaleur.
L'homme se retourne et entre dans la voiture, qui redémarre avant qu'il n'ait eu le temps de claquer sa portière.
Béatrice se retrouve sur la chaussée, le regard perdu, les larmes lui montent aux yeux. Elle entrevoit tout juste ce qu'elle vient de faire, car les vapeurs de l'alcool commencent à se dissiper. Elle reste plantée, nue, pluggée, les capotes toujours en bouche dans la fraîcheur du début de matinée, son cerveau se refusant de croire, ce qui vient de se passer.
Le voisin d'en face aperçoit sa voisine et reste figé pendant quelques instants, de voir cette femme, souvent sympathique, mais qui reste comme inaccessible, là, devant lui, nue, à pleurer. Le premier moment de stupeur passé, il se précipite à l'intérieur, attrape le téléphone et compose le numéro de son voisin. Après de nombreuses sonneries, et tout en vérifiant par la fenêtre que la femme est toujours sur la route, il entend :
- Oui ?
- Salut Richard, c'est Maurice, ton voisin, sais-tu que ta femme est nue, sur la route, devant chez toi ?
- Heu !
- Je t'assure, je la vois en ce moment même, elle est comme pétrifiée...
- Ha bon ! Et le mari se précipite à son tour à la fenêtre, il voit effectivement sa compagne, nue sur la chaussée. Il lâche le téléphone qui tombe au sol et se rue dehors, en courant.
Comme dans un rêve, Béatrice voit son compagnon de toujours courir vers elle, mais elle ne peut bouger, tant la honte l'envahie subitement.
Richard La prend dans ses bras et la ramène, en essayant de faire vite, dans le pavillon. Malheureusement, il sent bien que son épouse a du mal à marcher, aussi fait-il l'effort de ralentir, pour qu'elle puisse avancer, sans trop souffrir. Il voit parfaitement sa femme, cracher trois morceaux de latex, dans la pelouse, mais le moment n'est pas aux questions, il est urgent de faire rentrer son épouse, avant que tout le voisinage, ne la surprenne ainsi.
Dès que la porte d'entrée est refermée derrière elle, la pauvre femme éclate en sanglot. Une longue plainte lugubre s'échappe de sa bouche entrouverte. Puis, elle se laisse tomber aux pieds de son époux, et s'écrie :
- Pardon, mille fois pardon, mon Chéri, si tu savais comme je regrette...
L'homme, malgré la soirée épouvantable qu'il vient de passer, se baisse, et aide sa compagne à se redresser. C'est en la voyant horriblement grimacer, qu'il comprend qu'elle est blessée quelque part, aussi, il demande d'une voix compatissante :
- Mais, tu as mal où ?
- Les salauds, ils m'ont mis un énorme god et j'ai mal au cul, pardon mon Chéri... Et elle éclate à nouveau en sanglots.
Comprenant qu'il est arrivé quelque chose de grave à son épouse, Richard se penche sur le côté, et constate effectivement, que sa femme a un gros morceau de caoutchouc blanc, qui lui marque ses fesses plates. Il passe derrière sa femme et lui demande gentiment, de se pencher en avant.
Cette fois, se sentant enfin en sécurité, Béatrice se penche en avant en faisant tout de même attention, à laisser son dos le plus droit possible. Maintenant que les effets pervers de l'alcool se sont évanouis, elle écarte ses jambes et tend son intimité à l'homme, qu'elle a choisis, jadis, pour la vie.
- Les salauds ! Les salauds ! Répète continuellement le pauvre homme, pensant que son épouse a subi de terribles sévices sexuels, contre sa volonté. Les salauds ! On va porter plainte contre ces malades...
Les souvenirs reviennent très vite à la mémoire de Béatrice. Et si elle se remémore les horreurs qu'elle vient de subir, elle se souvient aussi, de l'excitation et des orgasmes, que les quatre salopards lui ont, tout de même, apportés. Elle se souvient même, de s'être laissé entraîner et avoir pris du plaisir à être exhibée, triturée, malaxée par des mains inconnues. Et, malheureusement, elle a également le souvenir du caméscope, qui a enregistré toutes les scènes, et là, elle sait que tout n'est pas à son avantage, de loin s'en faut. Aussi décide-t-elle de temporiser la légitime colère de son mari en disant :
- Non ! Pour le moment, j'ai besoin de repos, pas question que je me fasse encore toucher, ne serait-ce que par un médecin.
Richard a bien essayé de tirer sur la base du plug, mais il s'est vite aperçu que l'objet était bien arrimé et que sa sortie risquait fort d'être des plus douloureuses. Mais il n'est pas question, non plus, de laisser ce symbole de torture en place, aussi demande-t-il à sa femme :
- Tu as mal, quand je tire doucement, comme ça ?
- Aie ! Oh que oui ! Tire d'un coup sec, je crois que c'est encore la meilleure solution...
- Alors attention, cramponne-toi... Et, à deux mains, Richard tire l'objet de toutes ses forces.
Le peu de force qui reste à Béatrice, lui sert à pousser, pour faire sortir l'infernal objet, de ses entrailles.
Le plug finit par sortir, en faisant un bruit de bonde de lavabo. Puis, tout de suite après, alors que l'homme est encore juste à côté de l'anus, un pet pestilentiel sort du trou, encore béant. Ensuite, suinte un jus infâme.
Richard, fâché de l'incident, mais aussi et encore, après son épouse dont les frasques de la veille, l'ont mis à mal, regarde fixement le diamètre impressionnant du jouet et ne peut s'empêcher de dire :
- Tu devais être sacrément excitée, pour qu'un tel monstre puisse entrer dans ton cul !
- Je t'en prie Chéri, ne parlons pas de ça maintenant, j'ai réellement besoin de me reposer, pardonne-moi encore pour hier soir, si tu savais comme j'ai honte de moi.
- Mais comment t'es-tu retrouvée devant la maison ?
- Ces infâmes salauds m'ont déposé en voiture et m'ont laissé nue.
- Attends ! ils t'ont violée ?
- Oui... Enfin non... Peut-être qu'ils m'ont droguée, je ne me souviens plus exactement.
- C'est pas très clair ton histoire...
- Je t'en prie Chéri, laisse-moi aller me coucher pour le moment, je t'en supplie !
En colère, mais sans être inhumain, Richard accompagne son épouse, au bord de l'épuisement, dans la chambre à coucher. Là, tout doucement, il l'aide à s'allonger, puis la recouvre du drap.
Béatrice ferme les yeux et tente de s'endormir, mais c'est peine perdue, toute la soirée lui revient sans cesse en mémoire, et avec de plus en plus de détails.
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