Train de nuit 02 (2002)
De longues minutes passent, elle est toujours à quatre pattes, sur le sol, à réfléchir longuement, puis, une idée chassant l'autre, elle en vient à se demander, pourquoi elle reste ainsi, seule, nue, comme une chienne. Après quelques secondes d'hésitation, elle se reprend et vient s'asseoir dans sa couchette. Là, ses cogitations reprennent de plus belles.
Près d'une demi-heure plus tard, le joyeux tortionnaire réapparaît, sans autre forme de procès, et entre dans le compartiment, tirant ainsi sa proie des réflexions dans lesquelles elle erre, assise sur sa couchette. Voyant que ses instructions n'ont pas été suivies à la lettre, il commence à crier dès la porte refermée derrière lui :
- Ne t'ai-je pas dit de rester à quatre pattes, comme une vulgaire chienne bien dressée ?
Sous la violence du ton, la pauvre Sophie sursaute et se remet, une fois de plus, à pleurer.
L'homme la prend sans ménagement, par le bras et la tire en bas de la couchette, en criant encore :
- À quatre pattes, salope !
Puis, après que la malheureuse fille se soit remise en place, comme le souhaitait son tortionnaire, ce dernier laisse tomber, d'une voix très étrange :
- Bien, maintenant, je t'enferme et je reviens avec ton tout premier client, tâche d'être une bonne pute...
Sur ces dernières paroles, il ressort rapidement du compartiment, en refermant avec soin derrière lui.
Cette fois, Sophie n'ose plus bouger, elle pensait réellement, que s'en était fini des contraintes, imposées par ce monstrueux poinçonneur, mais elle se rend bien compte, que l'homme n'a pas décidé de la laisser en paix. À nouveau, elle tremble de peur, elle redoute le pire, pour les minutes qui viennent.
Son angoisse n'est pas de très longue durée, car bientôt, la porte s'ouvre à nouveau. Le contrôleur entre dans le compartiment, suivi de près par le serveur du wagon-restaurant.
Georges est un homme d'une bonne quarantaine d'années, assez petit et rond, ses cheveux grisonnants, lui donnent un air débonnaire, mais d'étranges lueurs salaces luisent, dans ses yeux gris clair. C'est loin d'être un bel homme, l'ensemble fait beaucoup plus penser, à un client assidu de bordel, qu'à un serveur, malgré sa tenue.
Dès que la porte est refermée, le contrôleur s'adresse à son copain :
- Alors ? N'est-elle pas jolie, ma petite pute ?
- Oui... Mais elle me semble un peu jeune... Tu es sûr qu'elle pourra recevoir ma grosse queue ?
Oui, je connais ton problème de ce côté-là, je crois vraiment que oui, de toute façon, si ça ne marchait pas, je te rembourserais !
En entendant ces mots, la pauvre Sophie a de grands frissons, elle se demande encore une fois, pourquoi elle a accepté toutes ses horreurs. Elle se dit aussi, qu'elle est tombée bien bas, pour accepter, même sous la contrainte, toutes les choses, que lui ordonne cet épouvantable contrôleur.
François vient se placer devant sa pute, lui attrape les cheveux et les tire vers le haut, pour que la jeune fille redresse sa tête, puis, il enchaîne :
- Elle est mignonne, non ?
- Oui, pas de problème ! Répond le serveur, après être venu à côté de son pote, pour dévisager la petite brune.
- Bon, je vais alors te laisser avec cette chienne, si quoi que ce soit se passe mal, si elle se rebiffe ou te manque de respect, ou tout simplement, si elle ne veut pas faire ce que tu lui demandes, appelle-moi avec le talkie-walkie. Elle sait, qu'elle doit être bien obéissante, mais on ne sait jamais, avec ces chiennes, deux précautions valent mieux qu'une !
- OK. En cas de souci, je t'appelle !
- Bien, alors amuse-toi, régale-toi comme tu veux, défonce-lui bien le cul, de toute façon, son prochain client ne sera pas là, avant longtemps, donc tu as carte blanche, pour cette soirée, vieux frère !
Sur ces dernières paroles, le contrôleur lâche les cheveux qu'il tenait toujours en main et sort tranquillement du compartiment, en refermant encore derrière lui.
- Parfait salope, commence alors l'homme resté seul, tu vas commencer par me sucer, pour me mettre en forme !
Sur ces mots, Georges baisse son pantalon et son slip puis s'assoit sur le bord de la couchette. Une fois bien installé, il dit encore :
- Viens me sucer, qu'attends-tu chienne ?
Sans mot dire, Sophie, comme un automate, se retourne en restant à quatre pattes et vient se placer entre les jambes de l'homme. Cette fois, elle ne sait plus du tout où elle en est, elle exécute ce qu'on lui demande comme si elle rêvait.
Le type ne bande pas du tout, il a sa queue toute molle qui pend entre ses cuisses. Il s'empare des cheveux de la brunette et les tire pour la faire venir plus près de lui, puis il ajoute encore :
- Vas-y, suce-moi, morue...
Alors la pauvre fille ouvre la bouche et happe la bite molle. Maintenant, elle commence à la sucer, doucement.
- Oui... Pompe-moi le dard, salope, tu es une bonne pute, à ce que je vois !
Très vite, la queue grossit dans la bouche de la petite brune. Il faut dire qu'elle s'y prend plutôt bien, elle avale la bite le plus loin possible dans sa gorge, quand elle estime que le vit est tout au fond de sa gorge et qu'elle commence à avoir un petit haut-le-cœur, elle le ressort doucement en le flattant avec sa langue, puis elle recommence encore à l'aspirer, et ainsi de suite.
À ce régime, Georges ne peut rester de marbre, ou plus exactement, il devient de marbre, mais en plus chaud. En quelques minutes, sa queue devient raide, elle n'est pas plus longue, que la moyenne en fait, mais au moins, deux fois plus grosse.
Le diamètre imposant de l'engin, qu'elle suce, commence à fatiguer sérieusement la pauvre Sophie, qui fait de gros efforts pour ouvrir, toujours plus grande, sa mignonne petite bouche. Cette fois, elle ne peut pas vraiment dire que cet homme bedonnant l'excite, d'ailleurs, en temps normal, elle aurait toujours refusé les avances d'un tel personnage, pourtant, en ce moment, elle mouille et prend même plaisir à sucer ce bonhomme. Encore une fois, elle se demande, un bref instant, pourquoi, puis, se laisse de nouveau aller à son plaisir perverti.
Bien sûr, le contraste de l'attitude de ce serveur qui lui caresse les cheveux avec celle précédente du contrôleur, doit être une des causes de son excitation. Mais il semble également que ce fameux employé ait vu juste, et que la contrainte participe encore à cette excitation, pour la jeune fille.
Georges ne se pose aucune question, quant à lui, il se laisse aller, apprécie cette bonne pipe, trouve la fille très jolie et bien experte pour son jeune âge.
Tout à coup, dans un étrange son guttural, Sophie ressort l'énorme mandrin de chair de sa bouche et dit en s'excusant :
- Je suis désolée, mais votre sexe est vraiment devenu trop gros pour que je le suce, Monsieur !
- Viens t'allonger ici ! Dit alors Georges d'un ton compatissant, en se relevant du bord de la couchette et en désignant cette dernière à la jeune fille.
Toujours dans un état second, moitié rêve, moitié cauchemar, la jolie brune se relève en se frottant les genoux et vient s'allonger docilement, comme il lui a été proposé.
Une fois qu'elle est correctement installée, le serveur qui vient de défaire sa veste et sa chemise et de le jeter négligemment dans un coin, écarte le genou droit de la jolie fille et vient plaquer sa bouche sur la chatte détrempée. Il commence par lécher la cyprine qui coule sur le haut des cuisses, tout doucement, gentiment, avec, visiblement, l'envie de donner du plaisir à sa partenaire.
Sophie ressent la bienveillance de cet homme et l'apprécie, d'autant plus qu'elle a encore en mémoire les durs moments, qu'elle vient de passer, avec l’effroyable contrôleur.
Georges laisse sa main gauche caresser la poitrine et le ventre de la fille, pendant que l'autre main s'occupe d'écarter les grandes lèvres, pour que sa langue puisse cajoler le clitoris, déjà tout gonflé.
La belle brune commence vraiment à se détendre, sous les doux assauts de cette langue généreuse. Sa respiration et son pouls deviennent plus rapides, de temps à autre, de petits gémissements de plaisir, s'échappent de sa gorge.
Le serveur se rend bien compte, que ses caresses sont appréciées, à leur juste valeur. Il s'applique d'autant plus, qu'il sent pertinemment que cette petite beauté, ne va pas tarder à s'envoyer en l'air, et il sait, par expérience, qu'une femme comblée est ensuite prête à bien des choses, en remerciement.
La jolie jeune fille est au bord de la jouissance, la douceur de la langue sur sa vulve, les doigts chauds et doux qui se promènent sur le bas de son ventre et le haut de ses cuisses, là où la chair est si tendre et si sensible, le souffle qu'elle perçoit, sur ses petites lèvres, tout concourt à lui donner du plaisir.
Georges passe un long moment, à s'occuper de cette petite moule toute fraîche. Parfois, il enfonce sa langue, dans le sexe ouvert et chaud, parfois, il se contente de lécher toute la vulve, pour laper la cyprine douce de la belle, parfois, il mordille doucement, les lèvres sexuelles jusqu'à voir la jeune fille se crispe, puis, ensuite, il revient au bouton d'amour, pour le branler et ainsi apaiser sa partenaire.
Suivant les caresses, Sophie gémit, aspire profondément et bruyamment, souffle fort, se crispe, se détend, s'abandonne, relève sa tête, la laisse retomber, crie, hurle. Cette fois, elle jouit complètement et se laisse aller au plaisir, la tête envahie de douces sensations, seul son corps, répond encore aux sollicitations de son amant.
Sous une caresse de la langue sur son clitoris, plus appuyée que les autres, la jolie brune ne peut s'empêcher de dire d'une voix chavirée :
- Oui… Tu me rends folle… Continue surtout...
- Tu aimes ça, cochonne, hein...
- Oh oui... Oh oui !
Et voyant que cette fois, la jeune fille est vraiment en train de défaillir, Georges en profite pour lui susurrer :
- Je vais te mettre ma grosse bite, tu veux ?
- Oui... Baise-moi mon cœur !
Sans plus attendre, l'homme se place entre les cuisses de sa partenaire et guide, de sa main droite, son gros dard, qu'il applique contre l'ouverture de la moule, entre les grandes lèvres.
Sophie est avide de douceur, après cette folle soirée qu'elle vient de passer, et le contraste des attitudes des deux hommes fait, qu'elle se sent encore plus en sécurité, et que maintenant, elle a envie de rapport sexuel plus classique. Et puis, elle commence à former le secret espoir, que cet homme puisse l'aider, si elle s'y prend correctement, et qu'il la délivre des griffes de l'affreux contrôleur.
Le serveur fait pénétrer doucement, son énorme gland, dans le petit minou rose, qui essaye de s'ouvrir le plus possible, pour le laisser passer.
Sous l'assaut, les chairs s'écartent, procurant ainsi un subtil mélange de sensations à la jolie Sophie, mélange de plaisir et de douleur, plaisir de se sentir envahie, remplie, et douleur légère et excitante, du passage forcé.
Georges prend tout son temps, pour faire entrer sa grosse bite, tout au fond du jeune vagin, déjà détrempé. Durant cette première pénétration, il ne cesse de prodiguer ses caresses, sur toutes les parties du corps à sa portée, doucement, presque tendrement, il embrasse la jeune fille, comme pour la rassurer.
Bientôt, elle sent le gland venir buter au fond de sa matrice, elle a l'impression que son sexe va se déchirer, tant la dilatation est importante. Il lui semble impossible, qu'elle ait pu accueillir un engin d'une telle taille, surtout, avec si peu de mal, les caresses de cet homme sont, certainement, le secret de cet exploit.
Le serveur commence un lent va-et-vient, prenant bien soin de ne pas brusquer, sa jeune et jolie partenaire. Il profite de ce moment pour venir embrasser goulûment, la belle bouche à sa portée, puis, il pivote sur lui-même, en serrant puissamment sa frêle compagne, pour se retrouver sur le dos et qu'elle puisse être assise, sur sa queue.
C'est un réel plaisir pour Sophie, de se sentir ainsi possédée, par ce personnage si prévenant, quel contraste avec le début de soirée, peut-être est-ce là aussi, le secret de son plaisir, mais elle n'en a pas encore vraiment conscience. Pour le moment, elle se laisse bercer par les allés et venues de la bite dans sa chatte, qui la remplissent de bonheur.
Georges sait parfaitement qu'on attrape plus de mouches avec du miel qu'avec du vinaigre, aussi prend-il tout son temps, pour amadouer cette jolie femelle, mais bientôt, sa nature vicieuse revient au galop, alors, il laisse sa main droite se diriger vers les fesses de la belle et se permet d'introduire son index et son majeur dans l'anus encore tout dilaté.
Cette fois, la jeune fille s'exprime, en commençant à pousser de longs petits râles de béatitude. Elle a l'impression d'être envahie de partout, d'être tout entière vouée au sexe et à la luxure, et cette idée ajoute encore, à son excitation.
Ses deux doigts plantés bien dans le beau petit cul ferme, de la jeunette, Georges en profite alors, pour les écarter et dilater ainsi, encore plus l'anus, déjà bien ouvert.
Sophie perd complètement la tête, elle ne sait même plus, où se trouvent les doigts et où opère la bite, tant elle est partie dans son transport sexuel. Elle se laisse maintenant, totalement faire par ce personnage, si peu attrayant de prime abord, mais si sensuel et doux, si prévenant et, surtout, si expert. Elle s’abandonne, se laisse retourner, se laisse porter par le plaisir qui lui est offert, elle perd tout repère de temps et de lieu.
L'homme, sentant que sa partenaire est bel et bien partie, se laisse à son tour partir, dans son propre plaisir. Cette petite moule, aussi juteuse soit-elle, lui comprime la queue de façon divine, et très vite, il sent qu'il va exploser, s’il ne se contrôle pas. Alors, étant en train de prendre la jeune fille en levrette, il se retire d'un coup, pour laisser la tension retomber quelque peu.
Le sevrage brutal perturbe la pauvre Sophie, qui a encore envie de sentir cette énorme bite lui vriller le ventre, elle s'en inquiète et demande d'une voix très chatte :
- Continue, prends-moi, c'est si bon...
- Oui ma chérie, rassure-toi, je vais te redonner du plaisir mon cœur...
Mais cette fois, il plaque son gros gland sur l'anus encore tout ouvert, le fait pénétrer de quelques millimètres, et ajoute :
- Je vais t'enculer ma belle... !
Sans rien dire, la jeune fille acquiesce en bougeant doucement son cul de droite à gauche, excitée comme elle est, elle permet tout à cet inconnu, qui fait preuve de tant de douceur et de prévenance, comparé au contrôleur lubrique, dont elle a subi les assauts et les injures précédemment. D'ailleurs, elle commence maintenant à oublier ses malheurs.
Et Georges pousse doucement, sur ses hanches, pour faire entrer son gros mandrin, dans le petit trou du cul chaud, mais déjà très bien dilaté.
Le muscle se relâche encore, pour laisser passer le pieu de chair, arrachant, au passage, de grands cris à sa propriétaire, cris de plaisir, juste entrecoupés par la respiration haletante, de la jeune fille.
L'homme fait pénétrer doucement, son terrible engin jusqu'au fond du boyau, en ayant pris soin d'écarter les jolies fesses, pour pouvoir aller le plus loin possible. Puis, quand il est sûr de ne plus pouvoir aller plus loin, il commence à faire ressortir sa bite, tout aussi doucement.
Durant toute la lente introduction, la belle s’extasie, jamais, elle n'aurait cru qu'un tel engin puisse entrer en elle, alors, bien sûr, elle ne pouvait pas imaginer un instant, que pareille chose puisse loger dans ses entrailles. C'est une sensation nouvelle et très agréable, pour cette jeune créature si dévergondée, elle sent son anus ouvert, béant. Quand son amant ressort entièrement son mandrin, elle a l'impression qu'elle restera à jamais dilatée, grande ouverte, et qu'elle peut maintenant engloutir, par cet orifice, des objets de plus en plus gros.
Georges a sorti sa bite, intégralement, pour regarder le petit trou essayer de se refermer, lentement après cet incroyable passage. Après quelques instants de ce spectacle, il introduit à nouveau son gros sexe. Cette fois, il va plus vite, que précédemment, au fond de l'affaire.
Comme le passage est déjà rodé, Sophie ne ressent qu'une immense joie à cette nouvelle introduction, et tout en gueulant de bonheur, elle se cambre pour recevoir, le plus loin possible, ce merveilleux membre, qui lui procure tant de plaisir.
Le serveur se laisse maintenant, aller à son propre jeu, il se régale d'enculer cette jolie jeune fille, il lui lime l'oignon sans vergogne, en lui tenant fermement les hanches.
Sophie pousse de longs cris, à chaque fois que cette grosse queue se fraye un chemin, dans ses intestins, et reprend un peu son souffle, quand elle se retire. Elle jouit comme une folle et s'en donne à cœur joie, cette fois, elle se laisse totalement aller, elle aussi, à son plaisir. Ses sens sont en feu.
Georges a adopté un rythme soutenu, qu’il ne va pas pouvoir tenir très longtemps. Et, effectivement, rapidement, il grogne et sent son foutre brûlant, vouloir jaillir. Mais il tient à faire durer la chose, le plus longtemps possible, alors tant pis pour son orgasme, il doit se maîtriser.
Sophie, les poings crispés, ses doigts emprisonnant le drap épais, est à bout de souffle. Le rythme imposé est tel, qu’elle manque cruellement d’oxygène. Elle est à la limite de l’évanouissement, quand le gros bâton de chair ressort d’elle.
Le serveur vient de ressortir son épais sexe, de l’anus qui reste béant. Se reculant de quelques centimètres, il admire cet œil de bronze, qui vibre encore du traitement qui vient de lui être infligé. Le vicieux personnage, lâchant les hanches qu’il maintenait toujours fermement, enfonce ses pouces dans l’antre brun, et écarte encore un peu plus le sphincter. Il tire et étire le muscle, le plus possible.
La pauvre jeune fille sent maintenant, son anus être contraint de s’ouvrir encore plus grand, et d’un coup, c'est une vive brûlure qui lui déchire les entrailles. Elle pousse un cri qui se termine en une longue plainte, puis s’écrie :
- Vous me faites mal !
Sans répondre, l’employé retire ses doigts. De la main droite, il guide sa grosse bite vers le trou, encore plus béant que quand il en est sorti. La main gauche attrape la hanche gauche de la belle brune et il enfourne à nouveau son chibre épais, dans le fourreau de chaires tendres.
Si le sphincter, totalement dilaté, ne présente aucune résistance au passage du gros pieu, l’intérieur est contraint à nouveau de laisser place à l’envahisseur. La sensation n’est pas douloureuse, mais quelque peu étrange. Elle a l’impression, qu’on lui ouvre le ventre en deux, mais sans que ça ne lui fasse mal.
Dorénavant, le furieux serveur s’emploie à taper dans ce jeune cul, de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Sophie gueule fort et en perd à nouveau le souffle. Elle a l’impression d’être une poupée de chiffon, toute molle, maltraitée par le bonhomme ! Mais en même temps, elle a orgasmes sur orgasmes ! Elle ne sait bientôt plus, qui elle est !
- Il est bon, ton petit cul, jeune putain !
Et, en même temps qu’il prononce ces mots, il sort sa bite de l’anus, et sans rien demander, l’enfile dans le vagin, qui est plus serré, lui. Là, il redouble de fureur et lime maintenant, comme un démon.
Après cette sodomie fantastique, cette pénétration vaginale est totalement inattendue. Et là, après une série d’orgasmes fulgurants et de bonne intensité, dès les premiers va-et-vient, Sophie ressent un orgasme encore plus fort, et qui entre dans une duré bien supérieure aux précédentes.
Georges ne peut bientôt plus se contrôler. Il empoigne alors, avec encore plus de dureté, les hanches de la jeune femme, et pousse son dard épais au fond du vagin, jusqu’à ce que son méat touche le col de l’utérus. Là, fermement campé sur ses puissantes cuisses, il décharge plusieurs jets brûlants, qui vont directement dans l’utérus.
C'est apothéose pour Sophie ! elle n’a plus la force de crier, donc elle pousse un dernier gémissement, et se met à trembler de tout son être.
En sueur, Georges se pousse en arrière et ne met pas de temps, à se remettre debout au milieu de la petite pièce. Là, tranquillement, après avoir ramassé ses affaires, il remet de l’ordre dans sa tenue, contemple pendant quelques instants la belle brune, qui est encore secouée de spasmes, puis il ressort pour reprendre son service.
Une fois la porte refermée, il ne se passe pas plus de dix minutes, avant que ne revienne l’affreux contrôleur.
La pauvre brunette tremble encore et est restée allongée sur la couchette. Ses nerfs sont saturés d’impulsions électriques.
L’homme défait, une fois de plus, sa ceinture, et l’entoure autour de sa main droite, puis, il frappe cinq fois sur le cul rebondi, sans ménagement.
Le premier coup violent sort Sophie de sa torpeur, et tout de suite, elle pousse un hurlement, en voulant se redresser ? Toutefois, son élan est vite coupé par une main puissante, qui la garde plaquée sur le drap. Elle subit les quatre coups suivants en poussant, à chaque fois, un cri perçant.
- Tu n’es pas là pour prendre ton pied, mais pour me rapporter de la fraîche ! Alors remets de l’ordre dans tout ça, j’ai un autre client à te présenter, celui-ci, tu lui demandes quatre cents balles pour ta jeunesse, il est déjà au courant du prix !
- Je ne pourrai jamais…
- Tu fais ce que je te dis, et tu le fais bien, sinon, gare à ma ceinture !
- Mais ce n'est pas possible…
- Si, et avant notre arrivée, demain matin, tu en auras encore cinq ou six, à deux cents balles, alors ne perds pas de temps ! Tu les éponges, et hop, tu me bipes sur le talky, que j’amène le suivant, compris ?
- Oui Monsieur !
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