Téléphone pervers 02 (2002)
Suite des aventures téléphoniques d'Annie, Luc et Alain.
Bientôt, les deux hommes décident, malgré l'heure assez tardive, d'aller boire un pot en ville. Luc se tourne alors vers sa compagne et ordonne d'une voix impérieuse :
– Toi, tu t'habilles sexy, et tu resteras dans la voiture à attendre mon appel !
Annie, déjà très bouleversée par toute cette étrange soirée, ne sait plus très bien que penser de tout ça. Bien sûr, le coup du téléphone lui a plu, mais elle aimerait, maintenant, pouvoir avoir l'autorisation de retirer l'appareil de ses intestins. Bien sûr, le fait de se faire lécher la chatte par un inconnu, lui a aussi beaucoup plu, mais là encore, elle aimerait que tout cela ne reste qu'un jeu, la tournure des évènements ne lui plaît pas tout à fait, pourtant, curieuse comme elle est, elle accepte encore, les fous désirs de son amant.
– Alain, on prend ta voiture ?
– Oui, pas de problème, comme tu es là, tu as envie de pouvoir t'occuper de notre hôtesse en voiture, toi ! Déclare l'homme en souriant.
– En quelque sorte, oui ! Laisse tomber Luc, de façon énigmatique.
Puis se retournant vers sa compagne, il ordonne encore :
– Alors, tu m'as bien compris, une jupe, un chemisier transparent, pas de soutif, pas de culotte, des escarpins et on y va !
– Oui mon chéri ! Bredouille juste la femme rousse en allant vers sa chambre.
Quelques minutes suffisent à Annie pour enfiler un chemisier blanc, assez transparent et une jupe fendue qui lui arrive juste au-dessus du genou. Elle se sent dans un drôle d'état, certes, son côté exhibitionniste se réjouit de cette tenue provocante, certes, elle est excitée d’être avec deux hommes, en sachant parfaitement, qu'ils s'occuperont d'elle encore en fin de soirée, mais le ton sec et directif, de son amant, la choque. Toutefois, elle a tellement rêvé de vivre une relation de soumise, qu'elle a aussi une folle envie, de voir jusqu'où ira Luc.
Quand la voiture sort du parking de la résidence, le pervers amant, assis à côté de sa compagne sur la banquette arrière, annonce :
– Un petit essai de transmission... !
Et il affiche une fois de plus le numéro de son portable sur le téléphone de la rousse, et demande la connexion. Dès que le portable se met à vibrer, la femme s'agite fébrilement sur son siège. Il en profite alors pour demander de manière à être entendu par Alain à l'avant du véhicule :
– Ça te plaît ce petit jeu, hein salope ?
– Oui ! Dit Annie dans un souffle toujours sous l'emprise des vibrations.
– Plus fort, Alain n'a pas entendu !
– Oui mon chéri ! Crie alors la rousse, qui n'arrive pas à maîtriser le volume de sa voix.
– C'est bien, tu es une bonne salope bien obéissante !
Le voyage en voiture n'est pas très long, bientôt Alain arrête le moteur. Luc sort un bandeau de sa poche et bande les yeux de sa compagne, puis, il ajoute d'une voix tonique :
– Tu restes dans la voiture pour le moment !
Alain ouvre sa portière pour descendre, son ami, quant à lui, en profite encore pour déboutonner le chemisier blanc et sortir les seins ronds et généreux du fin chemisier. Avant de sortir à son tour de la voiture, il ajoute encore en l'embrassant :
– J'espère qu'il y aura du passage pour t'admirer !
La belle rousse reste ainsi sans trop oser bouger, tout se bouscule dans sa tête. Effectivement, elle est très excitée, mais de se retrouver seule, ainsi exposée, la dérange tout de même beaucoup. De plus, cette attente, sans connaître la suite des évènements, la fait frissonner quelque peu. Elle est à l'écoute du moindre bruit, lui annonçant le retour des deux compères ou le passage de quelques badauds.
Les deux hommes entrent tranquillement dans ce bar réputé pour sa carte des bières du monde. Alain connaissant bien la faune de la nuit de cette petite ville de province en profite pour saluer quelques connaissances et présenter son ami, puis les deux hommes s'installent à une table, au centre du bar et commandent.
Pour Annie, les minutes sont interminables. À chaque fois qu'elle entend des pas, elle se fige, allant jusqu'à retenir sa respiration, et attend que les portes de la voiture s'ouvrent enfin. Mais pour le moment, il semble que ce ne soient que des passants, et le pire est qu'elle ne sait absolument pas si ces inconnus la voient ou non.
Après quelques moments passés à discuter et à s'exciter en parlant de la belle rousse, les deux compères se disent qu'il serait temps d'aller voir comment ça se passe dans la voiture.
C'est à ce moment qu'Alain aperçoit son pote François. D'un geste de la main, il lui demande de passer à la table, fait très vite les présentations, puis poursuit négligemment :
– Tu es toujours routier, camarade ?
– Ben oui, que veux-tu, il faut bien vivre !
– Et que fais-tu de ton bahut les soirs ? Demande alors Luc avec une petite idée derrière la tête.
– Hé bien, pour éviter tout problème, je dors dedans toutes les nuits ! Pourquoi, tu cherches un appartement ? Questionne, le nouvel arrivant, d'un ton sec.
– Ho, excuse-moi, je ne voulais pas être indiscret, ajoute tout de suite Luc.
– Laisse, François, si Luc te pose cette question, le connaissant, je pense qu'il a une idée en tête, et comme je connais un peu ses inspirations, je crois pouvoir te dire que ce genre de concept pourrait bien t’intéresser !
– Ha bon, c'est quoi votre truc, là ?
Et alors, Alain se met à raconter la folle soirée du couple, du moins ce qu'il en connaît et finit par captiver François. Ce dernier, après avoir bien suivi le récit, demande alors à Luc :
– Mais tu veux quoi, au juste, Luc ?
– J'aimerais que nous fassions semblant de ne pas nous connaître et que je te la présente devant ton bahut, ça te dit ?
– Tu parles si ça me dit ! Aucun problème, mon ami, je suis garé à la sortie de la ville, en direction de Paris, si tu connais, c'est un parking où il y a souvent une camionnette qui vend des pizzas !
– Je crois voir où c'est, effectivement, donne-moi ton portable, si des fois, nous avions des soucis pour trouver !
Les deux hommes s'échangent leurs numéros respectifs, puis conviennent de laisser à François un bon quart d'heure d'avance. Une fois le dialogue terminé, le camionneur sort rapidement du bar, sans même finir sa bière, et retourne à son camion garé à deux pas.
Assurément, Annie entend bien un lourd camion démarrer et passer au ralenti à côté de la voiture. Mais elle est tellement obnubilée par ce qu'elle vit, qu'elle ne se pose aucune question concernant l'engin. Elle commence à trembler, non pas par froid, mais de nervosité de l'attente, que lui font endurer ses deux compères.
Un bon quart d'heure est maintenant passé quand Luc et Alain se lèvent, règlent l'addition et sortent du bar. Ils viennent se placer, sans faire de bruit, autour de la voiture, et regardent la femme rousse en détails. Un autre homme sort du bar et se dirige vers eux, Luc lui fait signe de venir regarder, sans faire de bruit.
L'inconnu regarde quelques instants en faisant des commentaires salaces, puis, se sauve.
Alain déverrouille les portes et monte dans la voiture, Luc fait de même et demande d'une voix fausse :
– Ça va, ça n'a pas été trop long, ma belle ?
– Salaud ! Répond uniquement la femme.
Puis, au bout de quelques secondes, elle poursuit d'une voix troublée :
– Tu Parles, j'ai cru mourir de honte, et cette attente ! Dieu qu'elle a été longue, tu ne me referas plus jamais ça, hein Luc ?
– Si tu es très sage, non, si tu es une vilaine fille, je recommencerai ! Annonce alors l'homme, d'une voix dure.
– Non ! Je te promets d'être sage, mon chéri, mais ne me refais plus jamais ça, je t'en prie !
– Pour le moment, relève ta jupette, que tu montres un peu ta jolie petite chatte !
Annie s'exécute rapidement, relève sa jupe et découvre son sexe.
Alain, bien que démarrant son véhicule, passe sa main droite entre les sièges avant et va caresser doucement, le minou offert. Très vite, il en profite pour flatter le clitoris, qui se dresse aux premières sollicitations.
Luc regarde faire, malgré la faible clarté, il comprend ce que fait son ami, laisse faire quelques instants, puis, dit :
– Allez Alain, on va faire un tour en ville en voiture, il vérifie que le téléphone portable est toujours bien en place, dans le cul de son amie, puis, il glisse son doigt dans la chatte déjà détrempée et commence à y exécuter de petits moulinets en frottant doucement sur la partie rugueuse à l’intérieur du vagin (appelé aussi point G).
La jolie rousse se met à geindre, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, à mesure que les caresses deviennent plus vigoureuses. Elle ferme les yeux, se laisse aller au plaisir, quand elle entend :
– J'adore te voir jouir ma cochonne, tu sais... !
Puis, l'amant s'adresse à son ami, qui les regarde dans le rétroviseur et ajoute :
– N'est-elle pas belle comme ça, quand elle prend son pied ?
– Oh que si... Elle mouille beaucoup ?
– Vérifie toi-même, Alain !
Le conducteur remet sa main droite entre les sièges et son majeur va directement dans la grotte féminine de la belle, poussant ainsi le doigt déjà en place, qui continue néanmoins ses mouvements. S’apercevant de l'état d'excitation de la femme, Alain s'exclame alors :
– C'est dingue comme elle mouille !
– Ça t'excite qu'on parle de toi, hein ma salope ? Demande l'homme qui en profite pour appuyer encore d'avantage, ses caresses à l'intérieur de la foufoune inondée.
– Oui... ! Arrive tout juste à articuler la jolie rousse dans un râle.
– Ne roule pas trop vite, Alain, je veux que les piétons puissent bien la voir en train de s'envoyer en l'air comme une bonne salope !
– T'inquiète pas, je roule tranquillement, justement pour ça !
La voiture traverse la ville doucement. L'instant est excitant pour les trois personnes, chacune pour des raisons différentes, mais très excitant. Quelques badauds aperçoivent la femme aux seins nus dans cette voiture, mais bien peu s'y intéressent réellement.
Au bout d'un petit quart d'heure, la voiture d'Alain finit par sortir de la ville par la route de Paris. À moins de deux kilomètres de là, ce trouve le parking où les attend le chauffeur de poids lourd. La voiture prend un peu de vitesse, puis, ralentit déjà, à la vue, au loin, du parking.
Sentant le véhicule ralentir, Annie demande alors d'une voix un peu anxieuse :
– Vous voulez vous arrêter en pleine campagne ?
– Non, sur un parking, j'ai envie que de gros routiers viennent t'admirer, en bonne salope soumise, que tu es, ma belle ! Dit gentiment Luc.
Puis, il reprend son téléphone, affiche le numéro magique, et envoie un appel sur l'appareil, pour voir si, ce dernier, fait toujours autant d'effets à la jolie rousse.
La première série de vibrations fait presque sursauter la femme, mais dès la deuxième série, elle recommence à râler doucement. Elle attend ensuite la troisième série, mais là, rien ne vient, elle se sent frustrée.
– Tu l'aimes, mon petit téléphone, hein ma salope ? Dit gentiment Luc.
– Oh oui... Mais laisse-le sonner plus longtemps, s'il te plaît !
Luc en profite alors pour retirer le bandeau, des yeux de sa compagne, en précisant :
– Tu vas pouvoir te rendre compte, à quel point, tu es excitante !
La voiture d'Alain s’arrête près du poids lourd. Le chauffeur est debout à côté de son véhicule et fume une cigarette. Luc demande alors à son ami :
– Mets-toi à côté du routier, qu'il puisse se rincer l’œil, le pauvre travailleur !
Alain approche la voiture juste à côté de l'homme. Luc descend alors la vitre, du côté de sa copine, puis, se penchant au-dessus d'elle, dit d'une voix claire :
– Approchez-vous, mon vieux, venez jeter un petit coup d’œil, j'ai une petite surprise pour vous !
L'homme s'approche doucement à la fenêtre ouverte. Alain allume alors le plafonnier. Luc apprécie le geste et le fait savoir en disant à son pote :
– Merci mon ami, très bonne idée !
François, le chauffeur, en profite alors pour avancer sa main droite et venir caresser le sein gauche de la rousse en passant par la fenêtre grande ouverte. Il malaxe fermement la chair pendant quelques courts instants, puis s'empare du téton, tire dessus et dit, d'une voix rauque :
– T'as l'air d'être une sacrée salope, toi, dis donc !
Depuis sa place, à côté de la rousse, Luc dit alors, après quelques secondes de silence :
– Hé bien salope, répond au monsieur, tout de même !
– Mais... Mais que veux-tu que je lui dise ? Gémit doucement Annie en se tournant vers son amant.
– Juste la vérité, tu réponds : « oui Monsieur, je suis une sacrée salope », et c'est tout !
Se tournant alors vers la fenêtre ouverte, elle regarde l'homme et finit par balbutier doucement :
– Oui Monsieur, je suis une salope... !
– Tu vois que c'est pas si compliqué que ça, tout de même, et puis, je suis sûr que cela te plaît d'avouer que tu es une salope, car salope, ça tu l'es ! Et avec un grand S encore !
– Oui ! Laisse encore traîner la rousse.
– Tiens, pour montrer à quel point tu es une bonne salope, tu vas sucer ce gentil chauffeur !
François, qui a tout entendu, défait sa braguette de sa main libre, tout en continuant de triturer le téton de sa main droite. Lorsque sa braguette est ouverte, il sort délicatement sa queue de son pantalon et l'approche de la vitre baissée. Puis, il ajoute :
– Allez, suce-moi bien, salope !
Annie se penche machinalement à la vitre et happe la queue, déjà bien raide, qui est à sa portée. Maintenant qu'elle commence à sucer l'homme, elle sent des doigts, qui viennent flatter son clitoris. Son anus dilaté, dans lequel, elle a le portable de son amant, se rappelle à ses bons souvenirs. Elle recommence à gémir doucement.
Luc, toujours aussi pervers, vient d’appeler, une fois, de plus sur son portable. Il sait parfaitement, que les vibrations de l'engin, ont un effet des plus stimulants sur la rousse, aussi, laisse-t-il sonner l'appareil jusqu'à ce que le système le bascule sur le répondeur. De sa main libre, il cajole le clitoris pour amplifier encore, les sensations de sa compagne.
Alain s'est retourné et ne perd pas une miette du spectacle. Et voyant que le sein gauche de la belle est libre, il en profite pour venir à son tour, pincer le téton durci qui pointe.
La belle rousse perd totalement pied en ce moment, elle ne sait plus, ni qui la caresse, ni qui elle suce, ses sensations sont diverses et si variées, qu'elle ne peut plus mettre une idée derrière l'autre. Au bout de quelques minutes, qu'elle suce cet inconnu, elle finit par prendre la bite dans sa main droite pour le branler.
– Arrête, tu vas me faire jouir, salope ! Annonce alors le routier qui a dans l'idée autre chose qu'une petite pipe, même si cette dernière est très bien exécutée.
– Allez, montre-moi que tu es une bonne salope bien soumise ! Dit alors Luc d'une voix impérieuse.
Puis, il enchaîne :
– Je veux que tu montes avec ce routier comme une bonne pute !
– Mais... Commence Annie, tout de suite coupée dans son élan par les vibrations dans son anus, car son ami vient, à nouveau, de jouer avec le téléphone.
– Allez, descends et va te faire prendre comme une bonne chienne, ma chérie ! Dit Luc en la poussant vers la portière.
La femme, complètement perdue, ouvre alors machinalement la porte, puis descend, lorsque les vibrations du téléphone cessent. Elle en profite alors pour se tourner vers son amant et dire :
– J'ai vraiment honte de ce que tu me fais faire… Mais en même temps, ça m'excite ! Merci mon cœur !
Puis, elle se penche et vient lui déposer un baiser, sur les lèvres.
– Allez, va et fais-toi bien prendre... Mais attention, pas question de retirer le téléphone que tu as dans le cul, c'est bien compris ?
– Parce qu'elle a un téléphone dans le cul ? S'exclame alors François, très surpris.
– Oui, tu n'as qu'à rappeler le dernier numéro ! Dit encore Luc en tendant au chauffeur le portable de la rousse qu'il détenait.
– Merci, je vais tester ça tout de suite ! Dit François en s'éloignant vers son camion, suivi de près par la femme.
Les deux compères dans la voiture regardent partir la rousse. Quelques secondes s'égrainent en silence, puis Alain finit par dire :
– Je ne sais pas où tu vas chercher toutes ces idées, mais je dois bien reconnaître que tu es champion pour inventer des jeux toujours plus fous les uns que les autres !
– Cela s'appelle de l'imagination ! Dit Luc en riant.
Puis, redevenant un peu plus sérieux, il demande à son ami :
– Au fait, tu n'as pas une copine bi, par hasard ?
– Non, pourquoi ?
– Annie m'a avoué être bisexuelle, j'aimerais bien la voir se faire manger le minou par une autre nana...
– Je peux peut-être trouver ! Lâche le copain. En attendant, si on allait écouter comment ça se passe avec François ?
– Tu as raison, autant que l'on sache, tout de suite, si elle donne entièrement satisfaction !
Et les deux hommes sortent de la voiture et referment doucement les portières. Ils s'approchent de la cabine du camion et tendent l'oreille.
Durant ce temps-là, François avait fait monter la femme rousse dans sa cabine. Dès qu'il eût refermé la lourde porte, il tira les rideaux, qui lui permettaient habituellement de dormir, en toute quiétude. Puis, il avait dit d'une voix ferme à Annie :
– Allez, fous-toi à poil, salope, que je puisse voir comment tu es gaulée !
La femme rousse s'était exécutée sans sourciller. Dès qu'elle fut nue, François commença à l'inspecter à la faible lueur de sa lampe de bord. Puis, une fois ses yeux repus du corps de la femme, il s'était assis sur la banquette arrière qui lui servait de lit et avait ordonné :
– Suce-moi la queue, espèce de pute en chaleur !
La rousse s'était alors penchée en avant vers ce sexe pas encore en totale érection, entre les deux sièges avant du camion, et avait happé le vit, déjà dressé.
Très vite, le chauffeur était revenu à son idée première, prendre cette jolie chienne sans autre forme de procès. Aussi, avec la même voix impérative, il avait dit brusquement :
– Viens te mettre à quatre pattes sur ma couchette, que je te prenne comme la grosse truie que tu es !
Annie, totalement en dehors de sa personnalité, tant elle jouait le jeu, vint donc sur la couchette, à quatre pattes.
L'homme était venu se placer à genoux derrière elle, d'une main ferme lui avait fait baisser la tête et lui avait ordonné :
– Ouvre ton cul de pétasse, avec tes deux mains, que je puisse voir le téléphone... !
Là encore, la folle rousse avait obéi sans rien dire, elle s'était emparé de ses fesses à pleine main, et les avait écartées.
François, n'y tenant plus, avait alors planté sa grosse queue dans le vagin dégoulinant de cyprine. Et c'est au moment où François commençait à limer la chatte de la rousse qui poussait de grands cris que les deux amis étaient arrivés sur le marchepied de la cabine.
En entendant les feulements de son amie, Luc ne peut s’empêcher de dire :
– Elle se prend un drôle de pied, la salope !
– Fais-lui donc ta petite surprise, avec mon téléphone ! S’empresse de dire Alain, tout excité qu'il est.
– Tu as raison, le bonheur c'est simple comme un coup de fil !(1) Dit encore l'amant en composant le numéro sur le téléphone que vient de lui donner son ami.
Les vibrations du téléphone surprennent autant la rousse que le chauffeur qui a sa bite plantée au fond de la vulve brûlante. Ce dernier, stimulé par les vibrations qu'il ressent à travers la fine paroi qui sépare la chatte du cul, ne peut plus résister. Il jouit par grosses saccades de foutre qui viennent s'écraser au fond de la matrice.
Annie ne sait plus où donner de la tête. Sa chatte bien limée par une bonne grosse bite, son cul dilaté, les vibrations remontent le long de sa colonne vertébrale et elle se met à jouir en se pâmant.
Les deux acolytes comprennent très vite que les deux personnes dans la cabine du camion sont en train de s'envoyer en l'air. Ils s'échangent un clin d’œil complice, puis Luc dit :
– Alors, elle n’est pas bonne, cette salope rousse ?
– Putain, mais comment tu fais pour trouver de pareilles nanas ? Et en étant en déplacements, en plus !
– Si tu es sage, je te donnerai mon secret, allez, viens, on va boire un verre, je crois que nous l'avons bien mérité tous les trois, non ?
– Oui, je crois aussi !
Les deux hommes redescendent le marchepied sur lequel ils avaient pris place, puis l'amant donne deux coups secs contre le bas de la portière et crie :
– Allez ma petite pute, tu reviens maintenant !
Très peu de temps après, la portière du camion s'ouvre, et c'est une Annie rayonnante, et entièrement nue, ses vêtements à la main, qui descend les trois marches. Dès qu'elle est sur le sol, elle se jette au cou de son amant et l'embrasse fougueusement.
Luc, tout en l'embrassant, lui flatte le cul, son pote en profite pour lui peloter les seins. Puis l'amant se dégage en disant :
– On va aller se boire un pot en ville, tous les trois, maintenant !
Les trois complices retournent à la voiture, Alain fait un discret signe de la main à son ami chauffeur, puis, déverrouille les portes. Luc aide sa compagne à se rhabiller, tout en lui soufflant à l’oreille :
– La prochaine fois, tu demanderas cent balles pour monter, comme une vraie putain !
– Je n’oserai jamais demander de l’argent !
– Il n’y a que la première fois qui coûte… !
Une fois dans la voiture, Luc et Annie à l'arrière, l'homme reprend d'une voix claire, mais ferme :
– Je suis vraiment très fier de toi, j'espère que tu as pris un super pied ce soir ?
– Oh oui, mon chéri !
– Parfait, si tu continues à être aussi sage, je ferai de toi une bonne putain soumise et t'offrirai encore plein d'orgasmes, fou furieux, comme ce soir !
1(1) : Slogan d’une célèbre publicité pour le téléphone
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