Amis de la poésie (sourions un peu)
Ode à la putain Mais c'est donc que tu tapines, Vile mangeuse de pines, Tout ça pour ce grand benêt, Qui croûte ta monnaie ! Oui j'aime me faire bien ramoner, Et même pour la monnaie, Je reste la plus belle salope avide Dans laquelle on se vide Mais à te tâter fermement le sein, Il semble qu'on sent bien, Toute la très bonne chaleur humide, Encore plus que le numide ! Allons donne, et viens piner mon con, A moins qu'en pochetron, Tu ne préfères enfiler mon gros cul, pour te finir bite nue. Crache, crache, fais vomir ta queue, je veux le jus de nœud, Pour me souiller et me sentir pleine, Que ça supprime ta peine. Celle que je suis, aimable grosse catin, Certes vénale et putain, Travaille du cul jusqu'à ce que tu jouis Sans que cela te souci. Me voici pleine du doux jus de ton vit, Mon porte-monnaie aussi, Toi plus léger des bourses, sans tourment, Content de cet arrangement.