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Affichage des articles du avril, 2025

Un bon job : Avant propos

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  C'est souvent dans mes nouvelles que je m'accroche à mon vécu, à mes expériences. Ici, que j'ai commencé à écrire tout au début des années 1990, j'ai pris comme cadre, une entreprise où j'ai travaillé pendant un an et demi. On peut la c l asser comme boîte de merde, sujet du salaire et de la mentalité des quatre patrons. Mais à côté de ça, j'a vais un job passionnant, puisque je travaillais pour le C. E.A. et je faisais de la géophysique. Si la boîte était nulle, l'ambiance était particulièrement marrante, le type qui bossait dans le même labo que moi, que je devais former, avait un sens de l'humour très bien développé et on se mar rait vraiment beaucoup. On faisait aussi pas mal de conneries. Côté cul, il y avait la femme du premier patron, officiellement le gérant, qui était une petite cochonne sympa, mais je m'en méfi ais tout de même. Et une grande nana, bien foutue, dans les quarante ans, qui était au contrôle qual...

Un peu de retard

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  Je suis désolé du retard dans mes parutions, j’ai eu quelques soucis de santé et autres, rien de grave, mais ça m’a tout de même bien occupé l’esprit. Voici donc un « roman » qui date, disons que je l’ai commencé vers 1990, et terminé que récemment. Corrections, remise en forme, bref, vous me direz ce que vous en pensez… Bonne lecture

La restauratrice pervertie : Les clients se suivent mais ne se ressemblent pas

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  Le temps s’écoule doucement, jusqu'à ce qu'un coup de fil sorte les deux nanas de leurs échanges. - Oui, allô, tu es dans la rue ? Tout en disant cela, Karine se lève et va à la fenêtre de la salle de bain, pour vérifier que le véhicule du monsieur se trouve bien près de chez elle. - Oui, je suis dans la voiture verte. - Oui, je te vois, tu peux venir. Elle voit encore l'homme garer son véhicule, puis sortir de celui-ci. Quelques instants plus tard, il sonne à la porte. - Entrez, je vous en prie. Une fois que le type est entré dans le hall, il détaille la femme de cinquante-huit ans et émet un petit sifflement d'admiration. - C'est joli, ça, ma chère. - Oui, et vous y aurez droit, une fois qu'on aura passé le petit péage. - Bien entendu, mais vous me disiez être deux ? - Oui, bien sûr, Sylvie, tu peux venir nous rejoindre, s'il te plaît. Et depuis le salon, on entend : - Tout de suite, ma chérie. Deux secondes plus tard, la voi...